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SERBIE

Nom officielRépublique de Serbie
Chef de l'ÉtatAleksandar Vučić - depuis le 31 mai 2017
Chef du gouvernementMiloš Vučević - depuis le 2 mai 2024
CapitaleBelgrade
Langue officielleSerbe
Population 6 623 183 habitants(2023)
    Superficie 77 474 km²

      Article modifié le

      La Serbie, située au cœur des Balkans, a été l'une des six républiques de la Fédération des républiques socialistes deYougoslavie formée le 29 novembre 1945, héritière du royaume des Serbes, Croates et Slovènes fondé en 1918, sur les ruines des empires austro-hongrois et ottoman.Belgrade, sa capitale, ottomane après la disparition de la grande Serbie médiévale, était aussi la capitale de la « deuxième Yougoslavie », fondée par le maréchal Tito à la libération du pays. En 1991-1992, après des référendums sur l'indépendance, la plupart des autres républiques quittent la Fédération, sauf le Monténégro. Serbie et Monténégro forment alors la République fédérale de Yougoslavie le 27 avril 1992. Cette « troisième Yougoslavie » ne rentre dans l'O.N.U. que le 1er novembre 2000. Un accord est signé le 13 mars 2002 par les Parlements serbe et monténégrin, remplaçant la République fédérale de Yougoslavie par l'État de Serbie-et-Monténégro. Cette nouvelle entité est officialisée le 4 février 2003. Après la proclamation de l'indépendance du Monténégro le 3 juin 2006, l'État de Serbie-Monténégro disparaît pour laisser la place à la République de Serbie et la République du Monténégro.

      Serbie : carte physique - crédits : Encyclopædia Universalis France

      Serbie : carte physique

      Encyclopædia Universalis France

      Serbie : drapeau - crédits : Encyclopædia Universalis France

      Serbie : drapeau

      Encyclopædia Universalis France

      Géographie

      Depuis le référendum d'autodétermination monténégrin du 21 mai 2006, qui met fin à l'État de Serbie-et-Monténégro, la Serbie réapparaît comme État indépendant sur la carte politique européenne (elle avait déjà existé en tant qu'État souverain auxixe siècle, entre 1878 et 1918). Avec une superficie de 77 474 kilomètres carrés et 7 120 000 habitants lors du recensement de 2011, la Serbie est la république la plus étendue et la plus peuplée des États ex-yougoslaves. Les statistiques serbes ajoutent à ces deux chiffres les 10  887 kilomètres carrés et les quelque 2,1 millions d'habitants duKosovo, qui est toujours considéré officiellement par la Serbie comme partie intégrante de son territoire, malgré la proclamation d’indépendance des autorités kosovares du 17 février 2008. Compte tenu de cette situation instable vis-à-vis de la reconnaissance du Kosovo, tant en Serbie qu’au niveau de la communauté internationale encore largement divisée sur la question, les contours exacts du territoire national serbe restent aujourd'hui incertains. De fait, la Constitution serbe, votée par référendum les 28 et 29 octobre 2006 alors que les négociations serbo-albanaises étaient dans l’impasse, précise dans son Préambule que le Kosovo fait partie intégrante du territoire serbe (les Albanais du Kosovo étaient exclus du corps électoral).

      Un carrefour physique et démographique

      Confluent du Danube et de la Save à Belgrade, Serbie - crédits : J. S. Buldain/ Berg&Assoc.

      Confluent du Danube et de la Save à Belgrade, Serbie

      J. S. Buldain/ Berg&Assoc.

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      Par sa géographie physique, la Serbie occupe une position de carrefour régional. En effet, le territoire serbe se trouve à l'interface de la grande plaine pannonienne au nord (24,3 % du territoire) et de trois grands ensembles montagneux – Alpes dinariques, Rhodope et ensemble carpato-balkanique – qui couvrent plus de 70 % de son territoire au sud de la Save et duDanube. Dans ce relief difficile et accidenté, les grandes vallées fluviales constituent des axes de pénétration et de communication privilégiés : l'axe Save-Danube permet de traverser le nord du territoire d'est en ouest, et relie le pays à laCroatie et laRoumanie, tandis que la vallée de la rivière Morava, d'orientation sud-nord, ouvre une percée vers le sud (vers la Macédoine du Nord et la vallée du Vardar qui mène à Thessalonique) et vers l'est (par la vallée de la Nišava, son affluent, qui trace un axe vers Sofia). Le sud-ouest du territoire, en revanche, perché sur la frange orientale desAlpes dinariques, n'offre que peu de voies naturelles, excepté la vallée de l'Ibar parallèle à la Morava, qui relie cette région au Kosovo.

      La situation de carrefour régional de la Serbie est confortée par sa localisation politique. Elle partage en effet des frontières avec pas moins de huit pays différents, à savoir le Monténégro au sud-ouest, laBosnie-Herzégovine à l'ouest, la Croatie au nord-ouest, laHongrie au nord, la Roumanie au nord et à l'est, laBulgarie à l'est, la Macédoine du Nord au sud, et unefrontière, contestée, avec le Kosovo.

      La composition multiethnique de la population serbe reflète cette position géographique. D'après le recensement de 2002, la population de Serbie est constituée de 82,8 % de Serbes, de 1,07 % de Yougoslaves (cette catégorie représente les individus qui se sont déclarés comme tels, alors que la République fédérale de Yougoslavie réunissait encore la Serbie et le Monténégro), 0,92 % de Monténégrins, 1,81 % de Bosniaques (populationsslaves de tradition musulmane) et 0,26 % de Musulmans (essentiellement regroupés dans la région du Sandžak à la frontière avec le Monténégro), 3,91 % de Hongrois (habitant principalement la région de Voïvodine dans le nord du pays), 1,44 % de Roms, 0,94 % de Croates, 0,82 % d'Albanais, 0,70 % de Slovaques, 0,34 % de Macédoniens, ainsi que d'autres groupes nationaux très peu représentés. La faible proportion d'Albanais en rapport à la population totale en Serbie s'explique par deux phénomènes. Tout d'abord, les régions où les Albanais sont majoritaires, en Serbie du Sud, dans les municipalités de Preševo, Bujanovac et Medveda, ont en partie boycotté le recensement. Ensuite, la méthodologie utilisée pour le recensement de 2002 excluait des chiffres officiels les Albanais originaires de la région mais résidant à l'étranger, qui étaient auparavant inclus dans les résultats.

      Le secteur agricole : diversité et contrastes régionaux

      Serbie : économie - crédits : Encyclopædia Universalis France

      Serbie : économie

      Encyclopædia Universalis France

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      Sur le plan économique, l'essentiel du produit intérieur brut (P.I.B.) de la Serbie est constitué, à la fin des années 2000, par le secteur tertiaire (65 % du P.I.B.), tandis que le secteur primaire en représente 10 % et le secteur secondaire 25 %. Cette répartition sectorielle de l'économie serbe est cependant assez récente. Jusqu'à la SecondeGuerre mondiale, le territoire serbe était un espace essentiellement agraire et peu développé, dans lequel plus de 70 % des emplois étaient voués à l'agriculture.

      Malgré un relief prédominant sur plus de la moitié de sa surface, la Serbie dispose en effet d'un important potentiel agricole, puisque près de 80 % de son territoire est cultivable. Les grandes plaines du Srem (entre le Danube et la Save), du Banat (à l'est de la Tisza) et de la Bačka (entre la Tisza et le Danube) en Voïvodine, la partie orientale de la Šumadija (à l'ouest de la Morava), et la vallée de la Morava sont les principales terres arables. Dans ces régions s'étendent de grandes parcelles cultivées en openfield, où alternent les cultures demaïs, deblé, de tournesol, de betterave àsucre, de houblon et de chanvre. Les cultures maraîchères, plus dispersées sur le territoire, sont principalement tournées vers la pomme de terre, le chou, le haricot, la tomate et le poivron. Outre le raisin et les vignobles, la production fruitière, dans les régions du Banat, du Srem, de Bela Crkva (sud-est de la Voïvodine), de la Šumadija, autour de Valjevo, Kragujevac et Čačak, ainsi que dans les environs de Leskovac (sud-est de la Serbie), est en grande partie orientée vers la pomme, la poire, la prune, la pêche et la cerise.

      L'élevage a également une place importante dans l'agriculture serbe. Les espaces montagneux offrent de nombreux alpages pour les élevages bovin et ovin, respectivement premier et troisième élevage serbe en termes d'importance économique. L'élevage porcin (second élevage) et l'élevage avicole sont pratiqués dans les plaines, en Voïvodine, Šumadija, dans les vallées du Danube et de la Morava, dans la région de la Mačva – au sud-est du Srem. Enfin, la filière bois représente une part économique significative du secteur primaire. La Serbie dispose d'une végétation abondante et diversifiée. Les forêts d'altitude ou de plaine occupent plus de 30 % du territoire.

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      Les campagnes serbes présentent d'importants contrastes économiques et sociaux. La différence apparaît de façon évidente entre les exploitations mécanisées de Voïvodine et de Šumadija, et les petites exploitations traditionnelles et familiales de l'Est et du Sud de la Serbie, régions pauvres, en déclin démographique. La Yougoslavie communiste avait mis en œuvre une transformation radicale de l'économie régionale. En développant l'industrie lourde et légère dans les régions urbaines, l'État yougoslave entraînait un fort mouvement d'exode rural et la disparition d'un grand nombre de villages. L'économie paysanne traditionnelle avait néanmoins pu subsister dans les régions de moyenne montagne, où le relief rendait la modernisation et le regroupement des parcelles difficiles, et où la structure familiale de lazadruga restait fortement ancrée dans les pratiques socioculturelles. Lazadruga se définissait comme une unité familiale élargie regroupant au moins deux familles restreintes (père, mère et enfants mineurs), partageant lapropriété de la terre, des troupeaux et des outils, ainsi que les travaux d'exploitation agricole et pastorale. Ce regroupement familial, lié à un mode de vie rural, s'est perpétué dans les Balkans jusqu'à la moitié duxxe siècle. Il explique la permanence, encore aujourd'hui, de réseaux familiaux élargis fortement structurés et solidaires. Ainsi, le système de gestion yougoslave permettait la coexistence de quelques grandes exploitations mécanisées et de petites exploitations familiales, qui trouvaient des débouchés économiques sur les marchés locaux. Aujourd'hui, une partie de ces petites exploitations ne survivent que par autosubsistance, les revenus obtenus sur les marchés locaux étant très faibles. Auparavant prédominante en Serbie, cette agriculture familiale traditionnelle s'éteint au fil des générations, laissant à sa place des espaces en friches, économiquement peu attractifs et en voie de désertification.

      Du grand développement industriel socialiste à l'effondrement économique et social

      Le développement industriel de la Serbie date des investissements de la période communiste. Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'État yougoslave orientait ses efforts vers la modernisation des républiques les moins développées, dont la Serbie faisait partie (avec la Bosnie-Herzégovine, le Monténégro et la Macédoine). L'accent était mis d'un côté sur l'exploitation des ressources énergétiques (gaz, pétrole, hydroélectricité) et surtout minières (lignite,cuivre, antimoine), abondantes dans la région, et de l'autre sur l'industrie lourde (métallurgie, industrie chimique) et l'industrie légère (agroalimentaire, biens de consommation). L'objectif était de bâtir un quadrillage urbain rationnel de chacune des républiques de l'espace yougoslave, centralisé sur Belgrade, à la fois capitale serbe et capitale fédérale, tout en créant pour chaque agglomération un bassin d'emploi spécifique. Au niveau énergétique, la Serbie a ainsi été pourvue de nombreuses infrastructures : centrales hydroélectriques et centrales thermiques le long des principales rivières, structures d'exploitations gazières et pétrolières en Voïvodine (dont deux raffineries à Pančevo et Novi Sad). En outre, des mines carbonifères étaient exploitées dans le centre et l'est du pays, de même qu’au Kosovo où la question des ressources a fait partie des arguments avancés par la Serbie contre les autorités indépendantistes kosovares.

      Le développement de l'industrie lourde, industrie métallurgique et pétrochimique, a bénéficié de la présence sur le territoire serbe de nombreuses matières premières (fer, plomb, chrome, cuivre, bauxite, lignite, antimoine, manganèse). Plusieurs combinats métallurgiques de l'époque yougoslave sont toujours en fonctionnement, dont celui de Bor, dans l'est du pays, qui fut, lors de sa création, le plus grand complexe industriel et minier européen. En parallèle avaient été créées des industries d'ingénierie mécanique, dont les fabriques automobiles Zastava – à Kragujevac et à Priboj – sont sans doute les exemples les plus typiques. Enfin, l'industrie légère avait également été développée, en particulier dans l'agroalimentaire (fabrique d'huile, de sucre, conserveries, etc.) et dans letextile.

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      Ces infrastructures ont été ébranlées à plusieurs niveaux par l'éclatement de la Yougoslavie et par les conflits des années 1990. Entre 1993 et 1994, en plein cœur du conflit en Bosnie-Herzégovine, la Serbie et le Monténégro connaissent une vague d'hyperinflation sans précédent dans l'histoire européenne. Celle-ci affecte profondément l'économie serbe, qui voit de nombreuses industries disparaître. Après la signature des accords de Dayton (novembre 1995), qui marque la fin des combats en Croatie et en Bosnie-Herzégovine, la production serbe ne reprend que partiellement, ses débouchés ayant été considérablement réduits par l'indépendance des républiques voisines. Le conflit du Kosovo, les sanctions internationales et les bombardements en 1998-1999 sont un second coup d'arrêt pour l'économie serbe. Depuis la chute du régime de Milošević, à l'automne de 2000, l'économie et les échanges reprennent lentement. Les conséquences de dix années de guerre et d'isolement sont toutefois toujours lourdement perceptibles pour les populations, dont la situation sociale est caractérisée par de bas niveaux de salaires ((le salaire mensuel net moyen en 2008 était estimé à l’équivalent de 350 euros) et un fort taux de chômage (les chômeurs déclarés représentaient 29 % de la population active en 2008-2009).

      Après avoir été temporairement gelée en raison du manque de coopération de Belgrade avec le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (T.P.I.Y.), l’intégration de la Serbie à l’Union européenne (U.E.) constitue une perspective de développement. Après avoir signé un Accord de stabilisation et d’association avec l’U.E. le 29 avril 2008, la Serbie a déposé officiellement sa candidature le 22 décembre 2009. Dans un contexte troublé par l’indépendance contestée du Kosovo et les poussées électorales des nationalistes serbes, cet acte est un geste fort de l’U.E. pour marquer la vocation européenne de la Serbie.

      — Amaël CATTARUZZA

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      Écrit par

      • : docteur en géographie, coordonnateur scientifique de l'Atelier de recherches internationales, université de Belgrade
      • : docteur en histoire duxxe siècle de l'Institut d'études politiques, Paris, journaliste, membre du comité de rédaction de la revueConfluences Méditerranée
      • : professeur, doyen de la faculté de philosophie de Belgrade
      • : docteur de l'université de Bordeaux-III, chercheur associé à l'Institut de recherche sur les sociétés postcommunistes (I.R.E.S.C.O., Nanterre), collaboratrice scientifique à l'Université libre de Bruxelles
      • Encyclopædia Universalis : services rédactionnels de l'Encyclopædia Universalis

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      Serbie : carte physique - crédits : Encyclopædia Universalis France

      Serbie : carte physique

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      Serbie : drapeau

      Encyclopædia Universalis France

      Confluent du Danube et de la Save à Belgrade, Serbie - crédits : J. S. Buldain/ Berg&Assoc.

      Confluent du Danube et de la Save à Belgrade, Serbie

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      Autres références

      • SERBIE,chronologie contemporaine

        • Écrit par Universalis
      • ALBANIE

        • Écrit par , , et
        • 22 078 mots
        • 9 médias
        Albanie : carte physique - crédits : Encyclopædia Universalis France
        Les frontières, établies dès le printemps au nord et au nord-est, laissaient au Monténégro et surtout à laSerbie plusieurs centaines de milliers d'albanophones, notamment autour de Kosovo ; au sud, le protocole de Florence (déc. 1913) partageait la Çameria, à peuplement mixte, entre la Grèce...
      • AUTRICHE

        • Écrit par , , , , , et
        • 34 129 mots
        • 21 médias
        Autriche : carte physique - crédits : Encyclopædia Universalis France
        ...question serbe. En 1878, l'Autriche-Hongrie occupe en effet laBosnie-Herzégovine peuplée de Serbes et de Slaves convertis à l'islaām. Le royaume de Serbie avait escompté l'annexion de la Bosnie. La Bosnie, en renforçant considérablement l'élément sud-slave, pesa d'un poids très lourd dans l'équilibre...
      • BALKANSouPÉNINSULE BALKANIQUE

        • Écrit par et
        • 7 514 mots
        • 1 média
        Empire ottoman, recul dans les Balkans, XIX<sup>e</sup> siècle - crédits : Encyclopædia Universalis France
        ...sécheresse de l'été et menacés d'incendie. Avec des précipitations moindres mais mieux réparties, les montagnes de l'intérieur de la péninsule, en Bosnie, en Serbie et en Bulgarie, ont de vastes forêts sur leurs terrains généralement imperméables, et les possibilités agro-pastorales y sont meilleures. En outre,...
      • BELGRADE

        • Écrit par
        • 1 026 mots
        • 2 médias
        Confluent du Danube et de la Save à Belgrade, Serbie - crédits : J. S. Buldain/ Berg&Assoc.

        Capitale de la Serbie, Belgrade (en serbo-croateBeograd, littéralement « ville blanche ») est située au confluent de la Save et du Danube. Avec 1 639 121 habitants (selon le recensement de 2011), Belgrade est, en termes de démographie, la première agglomération deSerbie et de l'ancien...

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