Philosophy for Children: The Continuation of Dewey's Democratic Project.Marie-France Daniel,Michael Schleifer &PierreLebouis -1992 -Analytic Teaching and Philosophical Praxis 13 (1).detailsMatthew Lipman is an American philosopher who conceived, in the 1970s, a method to help children think in an autonomous, critical and reasonable way. This method is a global approach which aims to develop the personal as well as the intellectual, the moral and the social aspects of the person; it is an educative project in the broad sense of the term. This holistic project takes the form of a program of philosophy for students from five to fifteen years old. (...) The philosophical content is adapted to the children's interests and needs and is presented in the form of novels which relate semantic, logic, esthetic and ethic experiences of daily life. (shrink)
Philosophie et littérature.Pierre Gravel (ed.) -1979 - Paris: Montréal : Bellarmin ; Paris : Desclée.detailsWestern ontario a london dans le cadre du congr.
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Douleur, maîtresse de vie.Pierre Sanson -1937 - Paris,: Flammarion.detailsCet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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Le nihilisme chrétien: sotie.Pierre-Emmanuel Dauzat -2001 - Paris: Presses universitaires de France.detailsUn étrange mythe hante l'Occident : le christianisme aurait redonné un peu de consistance au monde, un Dieu de chair, comme dit Tertullien, lui aurait conféré un supplément de réalité. La vérité semble aux antipodes : loin d'offrir une âme au monde, les chrétiens l'en ont privé et se sont appliqués à le déréaliser. Dans cette optique, le christianisme apparaît en sentinelle du néant, toujours en avance d'un nihilisme : nihiliste actif, quand on le croit passif ; nihiliste postmoderne, quand (...) on le croit archaïque ; nihiliste négatif, quand on l'imagine mystique ; bref, nihiliste jusque dans ses décisions ex cathedra, dans sa christologie et sa théologie mariale. Comme la profondeur qui se cache à la surface de l'aphorisme, le nihilisme foncier du christianisme se cache à la surface du dogme. (shrink)
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L’éthique et l’administration publique.Pierre Lucier -2001 -Éthique Publique 3 (1).detailsDans ce texte, l’auteur tente d’abord de cerner la réalité éthique et de comprendre ce qui fait qu’on s’intéresse actuellement de plus en plus aux questions éthiques. Puis, il présente les tendances lourdes dans la façon dont se posent les questions éthiques dans les administrations publiques contemporaines. Il trace enfin une brève esquisse des tendances prévisibles de développement de la problématique de l’éthique gouvernementale.
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El lugar de la "Ética a Nicómaco" en la discusión contemporánea sobre la ética.Pierre Aubenque -2004 -Laguna 15:9-17.detailsSe recupera aquí para la discusión ética contemporánea la perspectiva universalista del logos presente en la Ética a Nicómaco de Aristóteles. En oposición a unas versiones comunitaristas de la ética aristotélica que dan lugar a posiciones particularistas o relativistas, el logos se liga a la naturaleza humana, y universal, del hombre.
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The Rise of the Pseudo-Aristotelian Theory of Analogy of Being: Trans.: Tomasz Bartel, Jan Bigaj, Seweryn Blandzi, Danilo Facca.Pierre Aubenque -2010 -Archiwum Historii Filozofii I Myśli Społecznej 55.detailsThe article is an instructive exposition of the central problem of scholastic metaphysics, namely: the problem of analogia entis. The author sees the origin of this idea in a historical development, which began with late neoplatonism, continued with Arabic philosophy and ended with medieval authors, especially S. Thomas Aquinas.
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L'éthique à la croisée des savoirs: Actes tu colloque "Le retour de l'éthique" (Université de Provence, novembre 1991).Pierre Livet -1996 - Vrin.detailsL'éthique, c'est l'interrogation sur la diversité et la cohérence des exigences morales. Elles se développent au cœur des questions qui suscitent de nouvelles techniques, en particulier biologiques. Des savoirs qui se voulaient indépendants des positions morales, comme l'économie, le droit, la sociologie, découvrent à la fois la pertinence des questions éthiques pour leurs propres démarches, et la possibilité d'utiliser leurs propres méthodes pour tenter de renouveler le traitement de ces questions. Ces croisements entre éthique et savoirs, des philosophes - les (...) stoïciens, Leibniz - les avaient souhaités. Sans remettre en cause la scission entre être et savoir, on peut même tenter encore aujourd'hui de défendre l'idée d'une objectivité des valeurs! (shrink)
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