Hannah Arendt.Michelle-Irène Brudny -2004 -Cités 20 (4):179.details« Hannah Arendt avait l’air enchanté, sur la piste d’un paradoxe flambant neuf. Ses yeux et son sourire avaient un éclat plus profond que celui de la tolérance, car il jaillissait d’un besoin d’aimer ce qui était étranger, et de pardonner ce qui paraissait laid, horrible, sauvage » . Le romancier précise que le..