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Results for 'F. J. Haydn'

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  1.  43
    gunpowder plot, 7 Hampshire, S., 79-80 Handel, GF, 137 Hardy, T., 18 Hare, RM, x, xii, 24.G. Eliot,T. S. Eliot,W. Empsom,M. Ernst,M. C. Escher,B. Flanagan,H. Focillon,F. M. Ford,A. Fowler &F. J.Haydn -2004 - In John Hawthorne,Ethics. Wiley Periodicals. pp. 81.
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  2.  2
    The Neurosciences: Paths of Discovery.F. G. Worden,J. P. Swazey &G. Adelman (eds.) -1975 - MIT Press.
  3. Measurements and Time Reversal in Objective Quantum Theory.F. J. Belinfante -1979 -British Journal for the Philosophy of Science 30 (2):187-191.
     
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  4. Mensch und Tier. Ein Beitrag zur vergleichenden Psychologie.F. J. J. Buytendijk -1958 -Tijdschrift Voor Filosofie 20 (4):754-754.
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  5. The biological concept of progress.F. J. Ayala -1974 - In Francisco Jose Ayala & Theodosius Dobzhansky,Studies in the Philosophy of Biology: Reduction and Related Problems : [papers Presented at a Conference on Problems of Reduction in Biology Held in Villa Serbe, Bellagio, Italy 9-16 September 1972. Berkeley: University of California Press. pp. 339--354.
     
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  6.  15
    Mier en slang: correspondentie van F.J.J. Buytendijk met Erich Wasmann S.J.F. J. J. Buytendijk -1990 - Zeist: Kerckebosch. Edited by Erich Wasmann & Henk Struyker Boudier.
    Geannoteerde briefwisseling van de twee geleerden over het vraagstuk van de evolutie.
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  7.  27
    On the psychophysiological identification of covert nonoral language processes.F. J. McGuigan &G. V. Pavek -1972 -Journal of Experimental Psychology 92 (2):237.
  8. What is Existence?J. F. WILLIAMS -1981
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  9. Introduction to studies in the philosophy of biology.F. J. Ayala -1974 - In Francisco Jose Ayala & Theodosius Dobzhansky,Studies in the philosophy of biology: reduction and related problems. Berkeley: University of California Press.
  10. Anna Comnena.F. J. Foakes Jackson -1934 -Hibbert Journal 33:430.
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  11. Frans H. van Eemeren, Rob Grootendorst, Sally Jackson, and Scott Jacobs, Reconstructing Argumentative Discourse.F. J. Kauffeld -1996 -Argumentation 10:129-137.
     
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  12. Biology and ethics.F. J. G. Ebling (ed.) -1969 - New York,: Published for the Institute of Biology by Academic Press.
  13.  54
    End of No-Popery in Continental Congress.F. J. Zwierlein -1936 -Thought: Fordham University Quarterly 11 (3):357-377.
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  14.  109
    A Simple Method of Testing Truth-Functions.J. H. Woodger &W. F. Floyd -1935 -Analysis 3 (6):92 - 96.
  15. Pain: Its Modes and Functions.F. J. J. BUYTENDIJK -1962 -British Journal for the Philosophy of Science 13 (50):185-186.
     
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  16. Bibliographisch Repertorium.F. J. J. Buytendijk -1949 -Tijdschrift Voor Filosofie 11:361*-536*.
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  17. De Romans Van dostojewski.F. J. J. Buytendijk -1949 -Tijdschrift Voor Filosofie 11 (4):559-588.
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  18. « Phénoménologie de la rencontre », Collection « Textes et Etudes Philosophiques ».F. J. J. Buytendijk &Jean Knapp -1954 -Les Etudes Philosophiques 9 (1):102-104.
     
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  19.  15
    Les humanistes transmetteurs de textes anciens (xive-xviie siècLes): Perspectives de coopération internationale.J. -F. Maillard -1993 -Bibliothèque d'Humanisme Et Renaissance 55 (2):339-344.
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  20. Ethics in the business curriculum: A survey of deans in AACSB schools.F. J. Evans &J. Robertson -2003 -Business and Society Review 110 (3):233-248.
     
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  21. On the virtues and pitfalls of the molecular evolutionary clock.F. J. Ayala -2014 - In Francisco José Ayala & John C. Avise,Essential readings in evolutionary biology. Baltimore: The Johns Hopkins University Press.
     
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  22.  8
    Ethics in Nursing Practice: Basic Principles and Their Application.F. J. Fitzpatrick -1988 - Linacre Centre for Health Care Ethics.
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  23. Being and Death.J. F. Mora -1965
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  24. Models of animal learning and their relations to human learning.F. J. López &D. R. Shanks -2008 - In Ron Sun,The Cambridge handbook of computational psychology. New York: Cambridge University Press. pp. 589--611.
     
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  25. Michel Fichant (ed.): GW Leibniz, De l'horizon de la Doctrine humaine et 'Apokatastasis Panton'.F. J. Fernandez -1997 -Synthesis Philosophica 12:573-573.
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  26. De schaduwen Van het kennen.F. J. J. Buytendijk -1939 -Tijdschrift Voor Filosofie 1 (1):5-28.
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  27. Enige aspecten Van het tasten.F. J. J. Buytendijk -1961 -Tijdschrift Voor Filosofie 23 (3):403-427.
    1. L'aspect le plus important du toucher est sa relation au temps et à l'étendue, relation constituée par le mouvement même du toucher. En référence aux conceptions de E. Straus, on expose la distinction entre le toucher et l'être-touché à la lumière d'expériences faites par nous avec des animaux. 2. Le toucher est un être-dans-les-limites-propres et en même temps un franchissement de ces limites, être par lequel l'objet touché est éprouvé à la fois comme „Gegenstand” et comme „Mitseiend”. „Pour le (...) tactile, c'est l'être à deux qui se place au premier rang.” L'affirmation de l'être par le sens du toucher est saisissante dans le cas du se-touchersoi-même, qui est une union exceptionnelle d'activité et de passivité. 3. La reconnaissance tactile de la forme présente elle aussi une dialectique d'activité et de passivité, dialectique qui procède sous la forme d'un développement surmontant le temps, et cela à partir d'un schéma produit dans l'acte même de préhension. On renvoie aux études de V. von Weizsäcker sur le „Gestaltkreis”. Il faut se rappeler aussi l'inquiétude primaire de la main, qui dans le jeu de la main avec un objet devient perdurante. 4. La main peut enserrer un objet. En ce faisant une image schématique tactile est donnée, image qui fonctionne comme hypothèse ou comme principe organisateur du développement prolèptique de l'exploration tactile ultérieure. L'analyse phénoménologique du toucher avec la main se révèle comme une préfiguration de la pensée par jugements synthétiques. Il est donc vrai, comme le remarquait Herder et comme le confirmaient Goldstein et Merleau-Ponty, que la perception telle que l'homme l'effectue et l'existence spirituelle sont identiques. 5. En se référant aux recherches de Révèsz et de Palagyi, on analyse le caractère propre du monde tactil. L'exploration tactile procède selon un véritable développement, donnant lieu à des déterminations anticipatives et rétrospectives qui assurent la continuité de l'événement et de son sens. La perception tactile permet de décrire l'unité continue des phases discontinues objectivement constatables, „comme si” attente et souvenir, jugements provisoires et vérification, fixations conceptuelles et corrections étaient mises en œuvre. 6. Important est l'aspect affectif et émotif des impressions tactiles et leur rapport aux relations interhumaines. 7. Par le toucher l'homme se trouve d'une manière „sensible” en relation personnelle avec cette matérialité des choses qui demeure cachée aux sens-à-distance. Cette participation a un double aspect. Elle est comme le surgissement d'un „état d'âme”, une '‚Befindlichkeit”, mais en même temps elle est le point de départ actif d'un sentir, d'un „comprendre”, d'un „saisir par le dedans”, d'un être-ému, d'un être-frappé par l'objet touché qui se rend présent comme un „quale” propre, comme une matière, comme un être-en-soi. On rappelle le caractère propre du caresser, par lequel l'„être à deux” de l'objet caressé devient complémentaire avec celui du caressant actif. Les concepts usuels par le moyen desquels, dans la vie pratiquement et gnostiquement vécue, sont indiquées les qualités tactiles les plus importantes, ont comme but de nous référer aux propriétés des choses qui prennent place dans le monde géométrique et dans l'espace objectivement mesurable et qui fondent notre orientation naturelle. On rappelle les recherches de von Homborstel au sujet des propriétés internodales des impressions tactiles. Celles-ci nous montrent comment un „savoir” qui accompagne ta perception peut changer une impression sensible. La relation affective, déterminée par un „savoir” nuancé et par un système de valeurs, change la réalité tangible, la substantialité du corps, de la „chair”. Ce changement affectif de la matière, cette „transsubstantiation phénoménale” peut se réaliser facilement par rapport à des objets dont nous savons qu'ils appartiennent ou ont appartenu à quelqu'un. La signification qu'a une chose change la matière de l'objet, objet qui, précisément par le toucher, se rend présent „en chair et en os”. On illustre ceci avec plus de précision grâce aux phénomènes du fétichisme et grâce à de simples expériences de la vie courante. Si nous cherchons un point de vue anthropologique à partir duquel le toucher, dont la main réalise les possibilités, peut prendre un sens, une approche d'un tel point de vue devra s'effectuer à partir de la certitude non-représentable que l'unité ontique de la nature et de l'esprit est dans l'homme la réalité d'une participation possible, participation qui, dans notre existence, n'est qu'indiquée. L'„inquiétude” de la main jamais remplie et toujours chercheuse que nous avons remarquée, est le signe humain de notre existence concrète. Ainsi le toucher nous montre ce que Valéry remarquait à propos de l'esprit : „L'esprit est à la merci du corps, comme les aveugles sont à la merci des voyants.”. (shrink)
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  28. Het voetballen.F. J. J. Buytendijk -1951 -Tijdschrift Voor Filosofie 13 (3):391-417.
    Dans cet article, dont le sujet peut paraître assez inattendu dans une revue de philosophie, l'auteur poursuit dans un cas déterminé les recherches qu'il a publiées dans son grand ouvrage sur la théorie générale des attitudes et des mouvements humains.Il y applique la même méthode assez complexe, mais qui tient surtout de la phénoménologie. Le football n'est de ce point de vue qu'un mode spécial de la relationde l'homme au monde. L'auteur rappelle d'abord la signification générale de cette relation. Il (...) s'applique ensuite à analyser la valeur propre de la balle, de la balleélastique surtout, comme objet de jeu. A la lumière de la distinction entre le mouvement du jet et celui du coup de pied il décrit la différence entre le jeu de paume et le football. Le coup de pied est plus agressif que le jet. Caractère d'agressivité qui s'accuse d'avantage encore lorsque dans le jeu, les coups de pied se répondent mutuellement.Aussi bien le football est-il une manifestation de masculinité sous la forme du jeu.On peut jeter comme une fille, mais le shot est essentiellement masculin, même lorsqu'on est femme. C'est pourquoi on n'a jamais réussi à introduire le football parmi les femmes. L'auteur analyse ensuite le caractère si particulièrement captivant du football.Il en trouve plusieurs raisons. Le joueur est entièrement absorbé par la situation, qu'il crée sans doute lui-même pour une part mais qui est constituée aussi par le jeu de l'adversaire et des autres hommes de son équipe. Il s'en suit que tout match est dans un certain sens une aventure. Par ailleurs quelque soit l'art du joueur, il ne peut jamais être parfait parce que le hasard intervient toujours à certains moments. De plus, le jeu se déroule d'une manière dramatique ; il traverse une série de phases critiques et aboutit finalement à une sorte de dénouement. Il faut reconnaître cependant que ces caractéristiques sont communes à plusieurs jeux sportifs sur le terrain, comme p. ex.le hockey et le rugby. L'élément spécifique du football reste, ce que le mot d'ailleurs exprime : le coup de pied au ballon. L'auteur s'interroge enfin au sujet de l'attraction que le football exerce sur le public, plus qu'aucun autre sport dans certains pays du moins. Il en voit la cause dans ce fait que le spectateur prend part d'une manière ambiguë à chaque phase du jeu. Celui qui ne joue pas au football est cependant en état de prendre part au jeu comme spectateur, et plus facilement qu'à beaucoup d'autres sports. Par ailleurs il s'y maintient dans une attitude critique. Le résultat incertain de chaque match entrepris dans de bonnes conditions, la perfection toujours relative du jeu, le rituel propre à ce sport, l'orgueil national ou local qui est engagé dans l'affaire, le culte des joueurs favoris et l'encouragement donné à tout cela par la presse, sont, par ailleurs les facteurs principaux de la popularité extraordinaire du football. Chaque époque et chaque peuple à son sport propre. Au monde actuel convient fort bien la popularité d'un jeu sportif à la fois local, national et international où se manifeste une agressivité masculine modérée ainsi qu'une aptitude technique qui peut s'exercer dans des entreprises dépourvues de danger et qui cependant présentent certains aspects d'un sensationnel tempéré et où peuvent se prendre un orgueil et une célébrité sans conséquences sérieuses. (shrink)
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  29. Over de humor.F. J. J. Buytendijk &J. Linschoten -1951 -Tijdschrift Voor Filosofie 13 (4):603-666.
    In der holländischen Umgangssprache hat das Wort « Humor » eine wenig bestimmte Bedeutung. Es schliesst das Komische und allen Arten von Witz und Schertz ein. Diese Vieldeutigkeit ist zum Teile begründet in dem schillernden Charakter des humoristischen Phänomens. In der jetzigen Untersuchung befragen wir den Humor auf seinen wesentlichen Gehalt. Solche Analyse des Humors soll sich nicht von vornherein zu einem ästhetischen, psychologischen, ethischen oder soziologischen Ausgangspunkt entschliessen ; wir versuchen den Humor phänomenologisch gegen ihn verwandte Erscheinungen abzugrenzen. Zunächst (...) befragen wir den « Geist » des geistreichen Witzes. Dieser Geist, von den Französen Esprit genannt, ist der « Geist des Komischen », in dem Sinne, dass in ihm einer der Wesenszüge des Komischen seine letzte Vervollkommnung findet. Der geistreiche Witz ist ein intellektualistisch kühles Spiel mit Wert und Gegenwert ; er enthüllt plötzlich und ohne Mitgefühl ein Paradoxen. In dem Hinweis auf das Absurde liegt seine Affinität zum Humor. Der Humor ist aber weniger nüchtern, nicht so zugespitzt, sondern gemütlicher und freundlicher. Der Esprit führt nicht zum herzlichen Lachen, weil er das Gemüt nicht berührt. Eine Analyse des Lachens zeigt uns dieses Phänomen als eine Krise des Verhaltens . Lachen ist die Kapitulation einer Person vor der Unmöglichkeit eines Kontrastes, das dem Verhalten keinen Halt bietet. Im Lachen verlieren wir unsere Haltung und Selbstbeherrschung. Gerade diese Explosivität des Lachens ist es, die dem Humor abgeht. Der Lacher macht sich keine Sorge um den Wert, den er verlacht ; er lacht schlechtweg, weil der Kontrast zwischen der Erscheinung und ihrer Norm ihn dazu veranlasst. Der lachende Mensch sieht nicht, dass der lächerliche Kontrast in einer tieferen Diskrepanz begründet ist : in der Diskrepanz zwischen dem realen Sein und der idealen Norm des Menschen. Es ist vor allem der tragische Blick, der diese fundamentale Diskrepanz entdeckt. Der tragische Mensch geht eben an diesem Wissen zugrunde. Seine Auseinandersetzung mit der Welt und mit sich selbst entfaltet sich in der Verstimmung, in der Einsamkeit und Trostlosigkeit. Es gelingt dem tragischen Menschen nicht, sich im Lachen von der Zerrissenheit der Existenz zu distanzieren. Das Lachen bietet dem Lachenden die Möglichkeit, Abstand zum Kontrast zu gewinnen. Es kann daher als Zugang zum Humor fungieren, der die Diskrepanz erkennt, sie aber im Gegensatz zum Tragischen, heiter relativiert. Der Humor spricht vom Absurden ohne Feindseligkeit oder Trauer, aber auch ohne Ausgelassenheit. Er hüllt sich jedoch nicht in der Indifferenz. Der Humor findet sich in einer gehobenen Stimmung beheimatet, und er verhält sich sympathisch zum Mitmenschen und zur Existenz. Sein Zeichen ist daher das Lächeln, diese Mim ik des Geistes , eine harmlose Gebärde, die eine Suspension der inneren Haltung wie der äusseren Aktivität verrät. Der humoristisch gestimmte Mensch enthält sich von jeder Stellungnahme ; mit Vergnügen zeigt er auf die Widersinnigkeit des Lebens hin, ohne sich mit dieser auseinanderzusetzen. Er verweigert sich, den andern Menschen bei seiner schwachen Stelle zu nehmen. Der Humor beabsichtigt also keinen Zweck. Er blüht auf wie ein Geschenk des zufriedenen Zumuteseins. Er zeigt den Menschen im Spiel mit seinem eigenen paradoxalen Dasein. Seiner Neutralität wegen, und der darin implizierten Ambiguität, ist Humor so schwierig zu fassen. Der für den Humor unzugängliche Zuhörer ist ja immer dazu geneigt, ihn aus einer bestimmten Haltung zu deuten, und sucht also im Humor Urteil oder Angriff, Mitleid oder Schertz. Der Humor setzt sich nicht mit den stellungnehmenden Anderen auseinander, er ist nicht in der Alltäglichkeit der Auseinandersetzung und des Gespräches zu Hause, sondern fordert den Mitmenschen auf zu einem gemeinsamen Blick auf den Kontrast, seine Tiefe und seine Relativität. Gerade deshalb fassen der religiöse und der tragische Mensch ihn als einen leichtsinnigen Schertz auf, der sich dem Ernste des Lebens entzieht. Sie haben dann eben nicht verstanden, dass das Wesen des Humors in seiner Feinheit und Zartheit liegt. Diese Feinheit ist die Feinheit einer Grenze. Es ist das Wesen des Humors, sich auf der Grenze zwischen dem Komischen und dem Tragischen zu befinden. Der Humor weder lacht noch weint, er lächelt froh über die Paradoxalität des Daseins. Darum ist er auch ungenügsam als dauernde Lebenshaltung. (shrink)
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  30.  13
    Why is cooperation in medical ethics in Central European area advisable and how to achieve it?J. F. Haderka -1992 -Journal International de Bioethique= International Journal of Bioethics 3 (4):229-235.
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  31. (1 other version)De la Douleur.F. J. J. Buytendijk -1952 -Revue de Métaphysique et de Morale 57 (1):97-98.
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  32.  19
    Eugenics and socialism.F. J. Allaun -1932 -The Eugenics Review 24 (1):73.
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  33.  23
    Dislocation distributions during stage I deformation of silver single crystals.F. J. Worzala &W. H. Robinson -1967 -Philosophical Magazine 15 (137):939-957.
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  34. Reason and Rhetoric in the Philosophy of Hobbes. By Quentin Skinner.J. F. Dienstag -1999 -The European Legacy 4:94-95.
  35. Gregory A. Smith: Education and the Environment.J. F. Disinger -1995 - In Robert Elliot,Environmental Ethics. Oxford University Press. pp. 17--107.
     
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  36. De spiritu..J. F. Dobson (ed.) -1914 - Oxford: The Clarendon press.
     
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  37.  23
    Genetic studies of genius. Vol. I. Mental and physical traits of a thousand gifted children.J. F. Duff -1926 -The Eugenics Review 18 (1):45.
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  38. L'homme-machine et le behavioriste.J. F. Dumas -1980 -Revue Philosophique de la France Et de l'Etranger 3 (3):305-323.
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  39. The Cambridge Conference of the Churchman's Union in 1921.F. J. Foakes Jackson -1921 -Hibbert Journal 20:193.
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  40. A.[K.] SEN, The Idea of Justice, ISBN 978-1-846-14147-8/Die Idee der Gerechtigkeit, ISBN 978-3-406-60653-3.F. J. Bormann -2012 -Theologie Und Philosophie 87 (2).
     
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  41. 'Onde bate o sol' (1989) de Joaquim Pinto.F. J. Tovar -2005 -Humanitas 57:431-446.
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  42.  36
    Philosophical Subjects: Essay Presented to P.F. Strawson.C. J. F. Williams -1982 -Philosophical Books 23 (1):33-33.
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  43.  5
    Geoffrey Hill and British Poetry 1956-1986: An Analysis of Poetic Language and Poetic Voice.J. F. Lloyd -1991
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  44.  42
    AΓan and Λian in Attic.J. F. Lockwood -1938 -The Classical Review 52 (01):7-8.
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  45.  36
    Direction-Posts and the Date of DemetriusDe Elocutione.J. F. Lockwood -1938 -The Classical Review 52 (02):59-.
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  46.  15
    Hoe word die skrif uitgelê in die prediking?F. G. J. Loots -1974 -HTS Theological Studies 30 (1/2).
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  47.  38
    Eugenics and capitalism.F. J. Allaun -1933 -The Eugenics Review 24 (4):345.
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  48.  81
    Buddhist Belief ‘In’: F. J. HOFFMAN.F. J. Hoffman -1985 -Religious Studies 21 (3):381-387.
    Recent articles in Religious Studies have underscored the questions of whether Buddhism presents any empirical doctrines, and whether, if it does, such doctrines are false or vacuous. In what follows I want to sketch an interpretation of Buddhism according to which it does not offer doctrines which are empirically false, on the one hand, or trivially true on the other. In doing so I take my cue from an earlier, and by now classic, paper by H. H. Price. For the (...) exposition of Buddhism I take the Pali Nikāyas, the single most significant collection of texts in the Buddhist tradition. The particular doctrine which is the focus of discussion here is the kammavāda or ‘karma view’ of early Indian Buddhism, for it is the focus of much of the recent literature cited above and a doctrine which some have thought amenable to statement in empirical terms. (shrink)
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  49. De rangorde der organismen in de biologie.F. J. J. Buytendijk -1941 -Tijdschrift Voor Filosofie 3 (1):3-42.
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  50. De waarde Van de Roman voor de psychologische kennis en de psychologische vorming.F. J. J. Buytendijk -1949 -Tijdschrift Voor Filosofie 11 (3):351-374.
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