Lacélébration eucharistique est l’action duChrist et de l’Église qui est le peuple saint réuni et organisé sous l’autorité de l’évêque. C’est pourquoi elle concerne le Corps tout entier de l’Église ; elle le manifeste et l’affecte ;en réalité, elle atteint chacun de ses membres, de façon variée, selon la diversité des ordres, des fonctions et de leurparticipation effective[SC 26]. De cette manière, le peuple chrétien, « descendance élue, sacerdoce royal, nation sainte, peuple racheté », manifeste sa cohésion et son organisation hiérarchique[SC14]. C’est pourquoi tous, ministres ordonnés ou fidèles laïcs, en accomplissant leur fonction ou leur office, feront tout ce qui leur revient, et cela seulement[SC28].
– Présentation Générale du Missel Romain, n° 91

Les voies nouvelles de la pluriministerialité en liturgie. Cet article réfléchit l’actualité et la fécondité de l’adage de saint Jean-Paul II « La liturgie, épiphanie de l’Église en prière » sous l’angle de la pluriministérialité qui s’exerce dans la célébration selon le Missel romain.

Dans la célébration chrétienne, tout disciple, suivant en cela l’exemple du Christ serviteur, est appelé à se mettre au service de l’assemblée. Ce ne sont donc pas les seuls ministères d’évêque, de prêtre ou dediacre qui manifestent, ladiaconie du Christ. De multiples acteurs ont à cœur de la rendre visible dans l’action liturgique. Mais ce service de ladiaconie ne saurait être un serviceordinaire.

Apprendre à lire et à compter, apprendre à nager, apprendre à célébrer…un mot commun : « apprendre » pour des apprentissages très différents. Apprendre, mais dans la liturgie surtout initier. Quand on apprend à célébrer avec des enfants, deux alliés leur sont précieux : le corps présent par ses cinq sens et le temps, en acceptant que les résultats ne soient pas toujours vérifiables.

Beaucoup pensent que la demande faite par l’Église aux fidèles d’avoir une participation active à l’action liturgique remonte au deuxième concile du Vatican. En réalité, elle a exactement soixante ans de plus et date de 1903.

Depuis la nouvelle traduction francophone du Missel romain entrée en vigueur en France en 2021, uneoraison super populum est systématiquement prescrite pour les dimanches deCarême et proposée chaque jour de ce temps liturgique.

Le Missel n’est pas d’abord un texte à lire, ni même à méditer. Il est avant tout un livre-action qui vise à faire naître le véritable culte eucharistique afin que toute vie humaine s’y insère.

Dans cette contribution parue dans le n° 306 de la revue La Maison-Dieu (décembre 2021), Bernadette Mélois, directrice du Service National de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle (SNPLS) souligne la dimension éminemment pastorale du Missel romain, à l’occasion de sa nouvelle traduction en langue française.

Qu’il s’agisse de tendances de fond (l’individualisme ambiant…) ou de raisons plus conjoncturelles (les pandémies récentes, un changement de pasteur…), les évolutions de la société conduisent à « se déshabituer de lamesse »

« On a la fâcheuse habitude de compartimenter les choses et de ne pas relier les différentes réalités les unes aux autres. Dans l’Église, il est commode d’identifier des gens à des secteurs, ou pire, à des dossiers… »

D'après une intervention de Maxime Leroy, directeur du CIPAC (Centre de formation pastorale et d’animation catéchétique interdiocésain, à Lille) lors d’une journée diocésaine des équipes liturgiques dans le diocèse d’Arras en avril 2000. « La liturgie - et tout spécialement l’eucharistie - est à la fois la source et le sommet de toute vie chrétienne » nous dit le Concile Vatican Il au n°10 de sa Constitution sur la Sainte Liturgie. Source et sommet de toute notre vie. Mais qu’est-ce donc que la vie ?

Quelle est la signification de cette « participation pleine, consciente et active » que l’on « doit viser de toutes ses forces dans la restauration et la mise en valeur de la liturgie » selon la constitution Sacrosanctum Concilium du Concile Vatican II ? Voici une réponse en quelques mots

Après Vatican II, l’assemblée, dans nos églises, s’est emparée avec enthousiasme du chant et a cru de bonne foi qu’il lui revenait de tout chanter à lamesse, puisqu’on lui demandait une « participation active ».

« La mère Église désire beaucoup que tous lesfidèles soient amenés à cette participation pleine, consciente et active, aux célébrations liturgiques qui est demandée par la nature de la liturgie elle-même et qui est, en vertu de sonbaptême, un droit et un devoir pour le peuple chrétien » (Constitution sur la liturgie, n°14). Cette demande du Concile, bien reçue dans les communautés chrétiennes, suppose que chacun comprenne ce dont il s'agit lorsqu'on évoque la participation active desfidèles.

Ces deux figures sont désignées par Jésus lui-même : « Je suis au milieu de vous comme celui qui sert » (Lc 22, 27), et « Je suis le vrai berger » (Jn 10, 11). Ce « Je suis » de Jésus nous rappelle la même affirmation de Dieu, en réponse à la question de Moïse : « Je suis celui qui suis » (Gen 3, 14). « Je suis » est le nom par lequel Dieu veut être appelé.

Du latin ordinatio : « action de mettre enordre », « action d’organiser la distribution des charges », l’Ordination se déroule au cours d’une cérémonie solennelle qui confère le sacrement de l’ordre. L’acte essentiel de l’ordination épiscopale, presbytérale et diaconale est l’imposition des mains suivie de la prière consécratoire. Le caractère épiscopal est requis pour procéder validement à des ordinations.

On s'est beaucoup appliqué à parler du chant desfidèles, du rôle de lachorale et de l'intérêt de disposer de bons chantres. Peut-être a-t-on négligé le chant du ministre ordonné. Si ce ministre n'est pas vocalement défaillant, qu'apporte le chant ?

Nous ne nous posons guère de question à propos du ministre du sacrement debaptême : nos communautés sont, aujourd’hui, habituées à voir lediacre, et non plus seulement le prêtre, baptiser. Cependant, le cas dubaptême est, parmi les sept sacrements, assez particulier à propos de cette question du « ministre » …

En 1964, le Concile Vatican II envisageait une restauration du diaconat, commeordre permanent[1]. Le pape Paul VI le rétablit trois années plus tard [2]. Aujourd’hui, dans chacun de nos diocèses, des hommes d’origines diverses, mariés ou célibataires, sont appelés par leur évêque à devenir signe du Christ serviteur, au milieu du monde en recevant l’ordination diaconale.

Toute action liturgique est l’œuvre d’uneassemblée, réalisation concrète de Église, Corps du Christ, en un lieu et en un temps donnés. Cetteassemblée, où tous sont égaux en fonction de leur communbaptême, est aussi structurée un de ses membres est chargé d’en assurer la présidence. Que de difficultés n’entend-on pas évoquer à ce propos.

La Maison-Dieu poursuit son exploration ecclésiologique de la liturgie, cette fois sous un angle différent et complémentaire des précédents. Après LMD 313, Des ministères dans l’assemblée liturgique, abordant surtout le ministère de présidence et les enjeux d’une pluriministérialité[...]

Le synode sur la synodalite engagé par le pape François pour l’Église universelle, commençant par des démarches diocésaines avec synthèses nationales puis continentales, a mis en avant un certain nombre d’interrogations, dont certaines touchent directement la liturgie. Le[...]

En 2012 débuta un chantier de restauration de l’église Notre-Dame de l’Assomption qui était fermée au public depuis près de vingt ans à la suite de désordres structurels importants.

Il faut le répéter sans se lasser, tant la chose est importante les diverses publications conciliaires de Vatican Il relatives à la célébration chrétienne ont mis en lumière une figure nouvelle de l’assemblée liturgique l’assemblée chrétienne est un rassemblement orienté vers le Seigneur qui vient à la rencontre des siens et se tient au milieu d’eux.

Par Claude Duchesneau Avant même de faire le tour de toutes les questions liturgiques, c’est-à-dire théologiques et pratiques, concernant l’autel, il faut dire une chose[...]

Voici venu l’instant de lamesse où le lecteur doit s’acquitter de sa fonction. Est-il superflu de rappeler que le lecteur doit d’abord savoir exactement à quel moment il doit intervenir ? Nous le répétons : ceux qui ont l’habitude n’ont pas de problème. Mais celui qui va lire pour la première fois, ou qui n’a pas lu depuis longtemps, ne sait plus tout d’un coup où se place la première lecture, bien qu’il aille à lamesse tous les dimanches. Mais le responsable veille !

Cette catéchèse consacrée à la liturgie de la Parole fait partie d'un cycle d'enseignements du pape François sur lamesse et l'eucharistie.

« Parle Seigneur, ton serviteur écoute » (1 S 9, 10). L’écoute est une attitude-clé de la Bible mais aussi pour nous aujourd’hui. Pour qu’il y ait une bonne écoute, il faut une bonne lecture. Celle-ci manifeste que cette Parole nous est donnée d’un Autre. Lors de l’Eucharistie dominicale, l’ambon sera le lieu de la proclamation.

Commenter la Parole lors des funérailles : De quelle légitimité se revendiquer ? Comment faire ? La légitimité est donnée par lebaptême et la lettre de mission.

En prenant conscience de leur voix et en la travaillant, le lecteur, le chanteur, le célébrant pourront transformer bien des choses en eux-mêmes et permettre une écoute plus active de la parole de Dieu, une participation plus large de l’assemblée.

Premier volume de la Collection : Le Concile Vatican II a souhaité favoriser « la célébration sacrée de la Parole de Dieu » en dehors de lamesse. A cette fin, l'Église a progressivement accompagné des célébrations spécifiques de la Parole.

Pour préparer à un sacrement, les rituels offrent un appui certain ! Mais il peut arriver que nous ne voyions pas le lien entre le geste à faire et la parole de Dieu à proclamer. On choisit, privilégie l’un par rapport à l’autre. Que faire ?

Par ce référentiel, la Commission épiscopale de liturgie et de pastorale sacramentelle (CELPS), propose des repères pour définir les différentes missions du maître de chapelle et les qualités et compétences requises pour exercer avec profit cette charge

Si l’on peut, sans trop de risques de se tromper, penser que la liturgie aura toujours besoin d’une personne référente pour le chant, et que des chanteurs auront toujours de la joie à associer leurs voix dans un ensemble, force est de constater que nous sommes dans une période de questionnement et de doute pour l’orgue et leurs organistes.

On ne dira jamais assez la richesse humaine, sociale et musicale qui se vit à l’intérieur des chorales … quel que soit son potentiel technique.En se développement tout au long du XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle lachorale a pu penser que la Réforme liturgique voulait se débarrasser d’elle en faveur seulement du chant d’assemblée.

L’animateur, lachorale et l’organiste sont les premiers collaborateurs du ministre pour le chant. Et les premiers serviteurs de l’assemblée chantante. Cinquante ans après le Concile Vatican II, il nous a paru souhaitable de tenter ensemble une synthèse critique :

Pour qu’une animation se déroule correctement, il faut qu’on ait l’impression qu’elle n’a pas nécessité de préparation ! Or non seulement l’animateur aura reçu une formation, mais il aura préparé la cérémonie. Mieux il l’aura préparée, et moins l’assemblée sera gênée. La liturgie, l’art de célébrer, est l’art accommoder notre présence enassemblée à la présence du « Tout Autre ».

Flûtes, cromornes, cornets, anches viennent à peine d’avoir coloré le temps deNoël, et me voici confronté au Tempsordinaire. Les pleins jeux et tutti ont accompagné la joie pascale, et déjà le Tempsordinaire s’annonce, un long temps ponctué de quelques fêtes.

De l'animation de chant au ministère duchantre. Avant Vatican II, il y avait dans chaque paroisse, pour lamesse chantée, un ou plusieurs chantres. Lechantre se situait dans le chœur, revêtu d'une soutane et d'un surplis. Son rôle consistait à répondre au prêtre dans les dialogues, à assurer l'exécution des pièces du "propre" de lamesse et à dialoguer les chants "de l'Ordinaire" avec d'autres chantres ou un chœur de chanteuses situées dans la nef.

Qu’on l’appellechorale, schola, chapelle musicale, chœur ou groupe de chanteurs, voilà un groupe auquel l’Eglise reconnaît une fonction liturgique. Qu’il remplisse cette fonction tous les dimanches, ou une fois par mois, ou aux fêtes seulement, ou seulement lors des célébrations diocésaines, ce groupe reçoit de l’Eglise une mission dont il semble utile de rappeler les contours.

Cet article, sous forme de témoignage, nous propose uneimmersion au cœur d'une équipe liturgique, lors de la préparation d'une célébration dominicale, du choix du répertoire et de la place de l'orchestre et des instruments.

Quelques points de repère pour conduire le chant de l'assemblée. Au cours des célébrations, on voit souvent intervenir, face auxfidèles, non seulement le prêtre et les lecteurs, mais aussi une personne qui invite l’assemblée à chanter.

De nombreuses questions de nature sociale et parfois d’ordre canonique ont été posées concernant la relation existant entre les paroisses et les organistes. Ce Vademecum a pour objectif de rappeler le cadre dans lequel doit impérativement s’inscrire l’intervention des organistes musiciens du culte au sein des paroisses catholiques.

Mon propos sera aussi un cri et un appel. Depuis le Moyen Âge, les organistes se trouvent au cœur de l’action liturgique soit comme réponse alternative à l’office, soit comme interprète et improvisateur, soit comme accompagnateur, soit aussi comme compositeur d’un grand nombre de chef-d’œuvres de musique sacrée.

En prenant conscience de leur voix et en la travaillant, le lecteur, le chanteur, le célébrant pourront transformer bien des choses en eux-mêmes et permettre une écoute plus active de la parole de Dieu, une participation plus large de l’assemblée.

Le P. Philémon MUTWARE s’est appuyé sur un lancement d’une pastorale des servants d’Autel pour élargir la vie paroissiale à toutes les générations. Dans les paroisses rurales les plus éloignées des grands centres urbains, la vitalité des paroisses n’est pas une fatalité. En quelques mots ils nous expliquent les étapes et les fruits attendus d’un tel renouvellement dynamique dont les fruits sont déjà visibles en quelques semaines.

Rassemblés pour célébrer : Les servants d’autel sont membres de l’assemblée même s’ils sont placés dans le sanctuaire de l’église. Les servants d’autel ont une fonction spéciale à jouer dans les célébrations liturgiques. Les servants d’autel participent activement à la prière de l’assemblée puisqu’ils en font partie : chants, prières communes, attitudes physiques.

La pastorale du service à l’autel dépasse le seul service liturgique. Être servant d’autel, ce n’est pas uniquement être serviteur de la célébration. La pastorale du service à l’autel est un lieu de proposition et d’approfondissement de la foi chrétienne. Si les jeunes doivent y trouver une formation liturgique, ils vont également y recevoir une formation spirituelle, une certaine catéchèse, une expérience fraternelle de convivialité, de découverte et de vie en Église. Être servant, c’est répondre à l’appel de Dieu.

Pourquoi es-tu servant d’autel ? Telle est la question que je souhaite te poser aujourd’hui. Pour ma part, j’y vois trois raisons : tu es servant d’autel à cause du Christ, à cause de l’Eglise et aussi à cause de toi-même.

Quel est le rôle des servants d'autel pendant la liturgie de la Parole ? Pourquoi se placent-ils auprès de l'ambon au cours de la célébration ?

Au cours de la célébration eucharistique, des attitudes communes de tous les participants sont observées. Elles sont le signe de la communauté et de l’unité de l’assemblée, une expression universelle de la même foi. Chacun et ainsi engagé dans tout son être pour la rencontre avec Dieu. Quelles sont ces attitudes, ces positions corporelles et que signifient-elles ?

En préalable, rappelons que la liturgie a aujourd’hui une place particulière dans la vie de l’Église. Dans ce monde très sécularisé dans lequel nous vivons, où il y a peu de pratiquants, pour beaucoup la liturgie est un lieu d’initiation à la vie chrétienne, l’expérience d’une première rencontre avec Dieu, l’entrée dans l’univers symbolique chrétien. Ceci confère à la liturgie une place importante dans l’annonce de l’Évangile, y compris pour les jeunes et les enfants.

Le missel (du latin missa qui signifiemesse) est le livre regroupant les textes des lectures et prières constituant la liturgie de lamesse pour tous les jours de l’année. Le porte-missel est chargé de porter le missel au célébrant pendant lamesse.

Le mot «céroféraire » tire son origine du grec kèros : « cire » et pherein : « porter ». Parmi les servants d'autel, lecéroféraire est, littéralement, le « porteur decierge ».

Parmi les servants d'autel, quel rôle l'acolyte endosse-t-il au cours de la célébration liturgique ?

Celui qui veille au bon déroulement : le cérémoniaire. Dans la «messe chantée » d’avant Vatican II, il y avait parmi les enfants de chœur, un cérémoniaire, censé guider les autres. Dans les célébrations épiscopales, un « maître des cérémonies » remplissait ce rôle.

"Plus Belle laMesse", est une mini-série de 7 épisodes destinée à accompagner les servants d'autel à accueillir la nouvelle traduction du Missel romain !

Encensoir, évangéliaire, patène, corporal,chasuble ... présentation des objets, linges et livres liturgiques.

Les fleurs, dans une célébration, ne sont ni purornement nihomélie. Quel est leur rôle liturgique ? En lien avec la liturgie du dimanche ou de lafête célébrée, la composition florale est le fruit de la méditation des textes proposés par cette liturgie et de la prière contemplative, prière qui se prolonge au moment du choix des divers éléments, du contenant, des feuillages et des fleurs.

Cette intervention de Marie-Odile Lalo concluait la formation nationale du département Fleurir en liturgie de mars 2016. Dans le précédent article traitant du sens de la mission des personnes chargées du fleurissement de l’espace liturgique, l’accent est mis sur sept actions caractérisant cette mission. Nous voudrions maintenant dégager trois fondamentaux de « Fleurir en liturgie ».

« Fleurir en liturgie » est un service d’Église contribuant à la beauté de la liturgie. Quelles sont les attitudes qui caractérisent ce service d’Église ?

Depuis bientôt un demi-siècle, le renouveau de la liturgie et le partage accéléré des cultures ont fait naître un nouvel art floral liturgique. La composition florale est devenue un véritable acteur de la célébration.

L’art de célébrer lamesse, présentation générale du Missel Romain (PGMR) est présent dans toutes les paroisses ; ce livre a pour but de commenter le Missel et donc lerituel de la Célébration.

En cette fin d’année 2023, l’équipe nationale du service Fleurir en liturgie a convié les membres des équipes diocésaines et les responsables du fleurissement des cathédrales à une réflexion sur le thème : Les fleurs au service de la vie spirituelle.

De l’Art floral au service de la Liturgie à « Fleurir en Liturgie », notre démarche a évolué. La liturgie est première et la technique florale est à son service. Il nous est indispensable de savoir :

Pour éviter la panique lors de l’absence imprévue de la personne qui prépare d’habitude ce qui est nécessaire à la célébration, voici un petit pense-bête (non exhaustif) préparé par le diocèse de Paris à afficher dans lasacristie et à compléter … Le diocèse de Cambrai propose une guide pratique intitulé Les fiches du sacristain.

Dans la célébration chrétienne, tout disciple, suivant en cela l’exemple du Christ serviteur, est appelé à se mettre au service de l’assemblée. Ce ne sont donc pas les seuls ministères d’évêque, de prêtre ou dediacre qui manifestent, ladiaconie du Christ. De multiples acteurs ont à cœur de la rendre visible dans l’action liturgique. Mais ce service de ladiaconie ne saurait être un serviceordinaire.

Au service de la participation de tous desfidèles laïcs sont appelés à remplir des rôles spécifiques. Lesquels et pourquoi ? Tel est l’objet de cet article.

De nombreux laïcs participent aujourd’hui à la mission de l’Église en conduisant des funérailles, contribuant ainsi à manifester la compassion de l’Église aux familles en deuil et à annoncer l’espérance qu’ouvre larésurrection. Pour les aider, l’AELF a fait paraître en 2008 un guide pastoral « Dans l’espérance chrétienne. Célébrations pour les défunts ». Les attentes évoluent […]

Commenter la Parole lors des funérailles : De quelle légitimité se revendiquer ? Comment faire ? La légitimité est donnée par lebaptême et la lettre de mission.

Il n’est pas rare que l’on téléphone à l’Évêché au sujet des parrains et marraines debaptême. Le plus souvent, c’est pour savoir à quelles conditions on peut être admis commeparrain ou marraine. Ces conditions sont énumérées dans le Code de Droit canonique.

Nous ne nous posons guère de question à propos du ministre du sacrement debaptême : nos communautés sont, aujourd’hui, habituées à voir lediacre, et non plus seulement le prêtre, baptiser. Cependant, le cas dubaptême est, parmi les sept sacrements, assez particulier à propos de cette question du « ministre » …

Tous les rituels issus du Concile Vatican II comportent une partie qui porte ce titre, c’est dire l’importance que l’Église attache à la diversité des rôles. Dès le début de cerituel qui concerne l’initiation chrétienne en général (voir le paragraphe 7), il est d’abord question du peuple de Dieu dans sa richesse et sa diversité.
Il fut un temps où l’on trouvait fréquemment sur les faire-part de mariage : « Adélie et Ulysse se donneront le sacrement de mariage. » L’expression est moins fréquente aujourd’hui, et leRituel du mariage actuel, qui date de 2005, y est sans doute pour quelque chose. A en considérer la structure et les acteurs, on peut comprendre pourquoi.
