(Brusseleer)Variante dededevant un substantif masculin au singulier commençant par une voyelle, unh, und, unt ou unb. Il s’utilise également devant le prénom de la personne dont on parle.
Apparenté àdyn en gallois,den en cornique,duine en gaélique, issus du proto-celtique*donios ; plus avant, d’origine discutée :
avec le sens de « terrien », apparenté au vieil irlandaisdú (« endroit, lieu ») qui remonte à l’indo-européen commun*dʰéǵʰōm[1], voirhomo,humus en latin.
avec le sens de « mortel », l’indo-européen commun*dʰew-[2] (« mourir ») apparenté àθνητός,thnētós (« mortel ») en grec,funus en latin,die (« mourir »),dead (« mort ») en anglais.
Ce mot dénote unesupplétion car son étymologie est distincte de celle detud[3]. Apparenté àdouar.
En Diskleriadur Emrenerezh e lenner : "Derc'hel a reomp ez eo anat ar gwirionezioù-mañ : an hollzenion zo krouet par, ha deroet dezho gant o C'hrouer un niver gwirioù dilammadus, hag en o zouez, Buhez, Frankiz hag holc'h d'an Eurvad."— (Gwenael Maze,Emsav hag istor, Aber, 2014, page 152)
Dans la Déclaration d’Indépendance on lit : "Nous tenons pour évidentes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont doués par leur Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur."
Le,la.Note d’usage : l'article est utilisé pour marquer la forme définie d'un substantif au commun singulier lorsqu'il est précédé d'un adjectif, d'un numéral ou d'un autre déterminant.
I klitterne vest for Skagen by står tårnet afden gamle sognekirke, […].— (1=« Den tilsandede Kirke », Miljøministeriet Naturstyrelsen)
Hergé, D'aveteurn van Kuiftsje, Et Doenker Ejland, Casterman, 2015,ISBN9789030327479, page 2
Jean-Paul Couché et collectif ANVT-ILRF, Woordenboek van ’t West-Vlamsch in Frankryk, Institut de la langue régionale flamande, 2018,1re édition, page 7[version en ligne]
Contraction dedeetan.Note d’usage : Cette contraction est obligatoire, c'est-à-dire que les deux éléments n'apparaissent jamais l'un après l'autre non contractés. Elle entraîne la lénition des consonnes suivantes à l'exception ded,s out.
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens,Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →[lire en ligne]
Le nominatif et vocatif pluriels ont une autre variante,dnové, qui, grammaticalement est un masculinanimé témoignant —peut-être— d’une ancienne sacralisation du jour → voirdies,deus etdivum en latin.
Variante dededevant un substantif masculin au singulier commençant par une voyelle, unh, und, unt ou unb. Il s’utilise également devant le prénom de la personne dont on parle.