Tous les employés supérieurs ont leur auto, en général d'assez belles voitures américaines, des services debus vraiment modernes assurent les transports en commun des moins fortunés— (Conseil général des mines,Annales des mines, 1948)
En sortant par la porte de la grande muraille, qui donne directement sur le terminus de ma ligne 32, je trouve le dernierbus à attendre.— (AbdallahSaaf,Carnets de bus: essai sur le quotidien des quartiers Sud-Ouest de Rabat, 1999)
À quelques mètres des grilles, lebus est stoppé par des « supporters » qui lancent des pierres et des bombes agricoles sur le véhicule. Bloqués pendant de longues minutes et traumatisés, les joueurs rentrent en Normandie sans avoir joué.— (Tony Chapron, en collaboration avec Patrick Lafayette,Enfin libre ! Itinéraire d'un arbitre intraitable, Arthaud/Flammarion, 2018)
(Architecture des ordinateurs)Ensemble delignes detransmission sur lesquelles plus de deuxéquipements sont reliés enparallèle. Par extension on parle aussi de bus pour certaines liaisons se comportant comme tel (exemple liaisonUSB)
(Électronique) Dispositif non bouclé reliant plusieurs composants, sous-ensembles ou matériels pour permettre entre eux l’apport d’énergie et la circulation d’informations.
En France, les mots « bus » et « autobus » sont utilisés de préférence pour les lignes régulières urbaines ; pour les lignes interurbaines, on emploie plutôt les mots « car » ou « autocar ».[2]
Le mot est traité comme féminin par beaucoup de locuteurs du Canada, notamment ceux de la région des villes de Québec et de Sherbrooke, ainsi que ceux de Moncton, au Nouveau-Brunswick. Le mot est masculin ailleurs au Canada et dans la francophonie[3][4].
Première personne du singulier du passé simple deboire.
Jebus du champagne en regardant un film de Mel Gibson sur un écran à cristaux liquides.— (Éric Neuhoff,La Petite Française, Albin Michel, 1997, page 111)
Deuxième personne du singulier du passé simple deboire.
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François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
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↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens,Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →[lire en ligne]