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La calligraphie de l’enso (en japonais, « cercle ») symbolise, dans le bouddhisme zen, la vacuité ou la pratique et l'éveil qui sans cesse se renouvellent (dokan, « anneau de la Voie »). Ce symbole est issu duwuweitaoïste.
Le zen se réfère auchan, une forme de méditation indienne implantée enChine parBodhidharma il y a 1 500 ans. Il prend sa source dans la méditation deSiddhartha Gautama sous l'arbre de la Bodhi par laquelle il obtint l'éveil, il y a plus de 2 500 ans enInde, mais il a été influencé par letaoïsme. On y trouve aussi l'influencecoréenne duson. Le zen japonais se réfère principalement à la posture de méditation d'éveil de Siddhārtha Gautama de transmission en transmission ditezazen. EnOccident, il s'agit de l'une des branches les plus connues et les plus pratiquées du bouddhisme zen, dans la version soit de l'écoleSōtō, soit de l'écoleRinzai[2].
La légende de l'origine de la tradition zen et de la lignée de ses maîtres remonte à un sermon duBouddha Shâkyamuni à ses disciples alors qu'ils étaient réunis sur lepic des Vautours, relaté dans leLankavatara Sutra.
Pour tenter d'expliquer un point de son enseignement, il se contenta de cueillir silencieusement une fleur d'udumbara. Aucun des disciples n'aurait compris le message qu'il tentait de faire passer, à l'exception deMahakashyapa, qui aurait souri auBouddha. Celui-ci lui aurait alors dit devant l'assemblée qu'il lui avait ainsi transmis son trésor spirituel le plus précieux.
C'est une préfiguration de la description duchan que l'on prêtera à son fondateur légendaire,Bodhidharma : « Pas d'écrit, un enseignement différent (de tous les autres), qui touche directement l'esprit pour révéler la vraie nature de Bouddha » (« 不立文字、教外別傳, 直指人心,見性成佛 »).
Liste rapportée par la tradition des vingt-huit patriarches de l’école avant son arrivée en Chine et liste des sept premiers patriarches duchan chinois :
Bodhidharma, vingt-huitième patriarche dans la filiation indienne, serait venu enChine autour de520[3]. Les différents textes chinois qui le mentionnent ne s'accordent pas exactement sur son origine (Kanchipuram dans le sud de l'Inde ouPerse) ni sur sa route (arrivé par l'ouest ou par un port du sud-est). On lui prête un attachement particulier pour leLankavatara Sutra, et la première écolechan constituée est connue sous le nom d'école Lankā (楞伽宗).
Le Thiền vietnamien moderne est influencé par lemodernisme bouddhiste[5]. Parmi les figures contemporaines importantes, citons le maître du Thiền Thích Thanh Từ (1924-), le militant et propagateur du bouddhisme,Thích Nhất Hạnh (1926-2022), et le philosophe Thích Thiên-Ân. Le Thiền vietnamien est divers et inclusif, apportant avec lui de nombreuses pratiques telles que la méditation du souffle, lemantra, les influencesTheravada, le chant, la récitation desutra et l'activisme dubouddhisme engagé.
La Corée influença fortement tous les arts qui furent, par la suite, affiliés au zen tel qu'on le connaît et reconnaît aujourd'hui. Notamment les arts esthétiques et les arts martiaux, héritages directs d'une Chine florissante et profondément attachée à la justesse de la voie. L'ordre monastique Chogye plonge ses racines dans la plus ancienne tradition zen, c'est-à-dire l'écoleLinji (japonais: Rinzai) et en conserve le plus pur héritage, particulièrement dans la transmission orale d'esprit à esprit entre maîtres et disciples par le moyen deskong an (kōan). Le lignage de l'ordre Chogye d'ailleurs descend directement de Linji. Un des grands maîtres coréens, par ailleurs réformateur de celle-ci, fut le maîtreChinul (1158-1210). Dans l'esprit de Ta-hui il n'inclinait ni pour la pure approche zen ni pour la pure approche textuelle car la lumière se fait par-delà les deux, au plus intérieur du cœur dans ce qu'il appelait « l'esprit-cœur vrai »[6].
Le pavillon principal du templeTofuku-ji àKyoto. Fondé en 1236 parEnni Ben'en comme un lieu de pratiqueTendai,Shingon et Zen, il est rapidement devenu un temple de l'école ZenRinzai. C'est aujourd'hui le plus ancien temple zen du Japon.
Dès lors Bodhidharma (達磨) appeléDaruma (だるま) (deDharma) s'inscrit au cœur de la castebushido[11]. Ainsi dès les débuts de lapériode Edo et des 250 ans de paix duShogunat Tokugawa[12], la voie du sabre suivie par les castes de samouraïs s’est tournée plus encore vers le bouddhisme et le zen issu de Daruma.Takuan Soho (1573-1645) prélat de la secte Rinzai[13] (auteur notamment del’Esprit Indomptable, Écrits d’un maître zen à un maître de sabre) côtoya et influença considérablementYagyu Munenori (Heiho kadensho) etMiyamoto Musashi (Traité des cinq anneaux) le plus célèbre samouraï du Japon aujourd’hui appartenant autrésor national japonais, artiste et philosophe qui représenta à plusieurs reprises le Daruma. Ainsi leTraité des cinq roues apparenté auxcinq éléments,godai ((五大) terre, eau, air, feu, vide ou éther) qui jalonnent le bouddhisme zen est rappelé sur tout le territoire japonais par legorintō (« stūpa à cinq anneaux »)[14] et jusqu'à aujourd'hui au sein du drapeau de la nouvelle ère, le drapeauReiwa associé à l'eau et sa correspondance occidentale (solides de Platon[15] etMysterium Cosmographicum deKepler).
Le courant zen et la pratique duzazen (méditation assise pratiquée en esprit d'éveil) eurent beaucoup de succès au Japon et s'accompagnèrent du développement par les moines de plusieurs arts et techniques, soit directement importés de Chine, soit créés localement en intégrant des éléments du nord de la Chine et de laCorée. On peut citer comme exemple l'usage duthé ou l'esthétique simple et dépouillée. Lavilla impériale de Katsura (après 1616) en est profondément imprégnée, en particulier le jardin et lepavillon de thé, Shōkintei. Le zen japonais est aussi fortement influencé par letaoïsme, dont on retrouve certains symboles et notions.
Beaucoup plus tard,Ōbaku, fondé parYinyuan Longqi (隱元隆琦, Ingen Ryūki en japonais,1592-1613), fera également remonter sa lignée àHuangbo Xiyun (黃檗希運, Obaku Kiun, en japonais), maître de Rinzai.
Ummon se réclame deYunmen Wenyan (雲門文偃, Ummon Daishi en japonais, 864 ? - 789).
L'approche du zen consiste à vivre dans le présent, dans l' « ici et maintenant », sans espoir ni crainte[16].
Zazen Rinzai
On peut dire approximativement que lezen Sōtō insiste sur la pratique dezazen (deza assis etzen méditation) et deshikantaza (seulement s'asseoir) alors que lezen Rinzai fait une large place auxkōan,apories,paradoxes à visée pédagogique dont la compréhension intellectuelle est impossible mais relève de l'intuition.
Zazen peut permettre de parvenir à l'éveil (satori) : pour Dôgen, la pratique elle-même est réalisation ; pratique et éveil sont comme la paume et le dos de la main. Il suffit de s’asseoir immobile et silencieux pour s'harmoniser avec l'illumination du Bouddha. Néanmoins, selon le bouddhisme zen, même l'éveil ne saurait être un but en soi.Zazen doit être sans but, il aide à la connaissance de soi-même et à la découverte de sa vraie nature.
Zazen Soto
Leskōan (école Rinzai) sont des propositions le plus souvent absurdes ou paradoxales que pose le maître et que le disciple doit dissoudre (plutôt que résoudre) dans la vacuité du non-sens et, par suite, noyer son moi dans une absence de tensions et de volonté, que l'on peut comparer à la surface parfaitement lisse d'un lac reflétant le monde comme un miroir.
Comme toutes les versions sinisées du bouddhisme, le zen appartient à l'ensemblemahāyāna, qui affirme que chacun possède en soi ce qu'il faut pour atteindre l'illumination. Certaines écoles (Tiantai,Huayan) considèrent que chacun et toute chose possèdent la « Nature de Bouddha ». La position zen, plus proche du courant philosophique duyogācāra, considère selon certains que la seule réalité de l'univers est celle de la conscience ; il n'y a donc rien d'autre à découvrir que la vraie nature de sa propre conscience unifiée.
Malgré la définition duchan comme « sans écrit » (enmandarinbuliwenzi 不立文字) attribuée à Bodhidharma, dessutras ont inspiré une partie de son enseignement : le Sûtra du Lankā lui-même insiste sur la nécessité des écritures d'une part, et sur la nécessité d'autre part de ne pas leur accorder de valeur absolue ; certains maîtres ont laissé des écrits, des disciples ont rassemblé l'enseignement de leurs maîtres dans des recueils.
Parmi les soutras, on peut citer en premier lieu leLankavatara Sutra rattaché à l'écoleyogācāra, qui a grandement contribué à la philosophie idéaliste du zen, qui voit en la conscience l'unique réalité. La tradition en fait le texte de référence de Bodhidharma ; plus récemment,D. T. Suzuki l'a abondamment commenté. Les sutras de « perfection de la sagesse » que sont leSūtra du Diamant et leSūtra du Cœur sont également importants, ainsi que leShurangama Sutra particulièrement apprécié des courants syncrétistes, et leSamantamukha Parivarta, un chapitre duSūtra du Lotus.
Karatedō - (anciennement karaté) la voie de la main vide, avec des techniques de frappe, de poussée, de coup de pied, de blocage et de balayage des pieds.
Les arts et les voies du zen rappellent le caractère éphémère de la vie, lemono no aware japonais (物の哀れ), mettent en évidence l'interconnexion des choses; ils peuvent ainsi transmettre des connaissances spirituelles profondes.
Pour tous les arts zen, il était et reste vrai aujourd'hui qu'il faut apprendre à lâcher prise. Le praticien apprend à distinguer entre ce qui appartient à l'essence des choses et ce qui est superflu[17].
Bien qu'il soit difficile de déterminer le moment exact où l'Occident a pris conscience que le zen était une forme distincte de bouddhisme, la participation du moine zen japonaisSoyen Shaku auParlement mondial des religions de 1893 àChicago est souvent citée comme l'événement qui a fait connaître le zen dans le monde occidental[19].
Mais ce n'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960 que l'on voit un nombre significatif d'Occidentaux s'intéresser au zen sans pour autant être des descendants d'immigrants asiatiques.
Houn Jiyu-Kennett(en)(1924-1996) est la première femme occidentale nonne zen Soto, après une formation au temple deSoji-ji, en 1962. En 1963, elle obtient le titre deOshō(en), « prêtre » ou « enseignant », puis retourne en Occident en 1969. L'année suivante, elle fonde le monastère de Shasta Abbey enCalifornie en 1970[21].
Cette diffusion du zen et l'augmentation du nombre de pratiquant en Occident contraste avec l'intérêt limité que cette école rencontre au Japon. Ainsi, des cours de zen destinés aux chefs d'entreprise et aux responsables politiques « ont vu le jour aux États-Unis, en Allemagne et en Suisse », et le spécialiste des religionsMichael von Brück observe que « le zen en Occident connaît un réveil créatif qui est multiforme et révèle des contours organisationnels ouverts »[27].
Le zen s'est répandu en Occident à travers diverses écoles. L'un des principaux défis et tâches des maîtres zen est de transmettre le zen authentique, tout en l'adaptant dans une forme compréhensible et pratique pour les personnes socialisées dans des cultures influencées par l'Occident.
Le maître américain Zentatsu Richard Baker, qui a contribué à la diffusion du zen en Allemagne.
Le maître zen japonaisTaisen Deshimaru Rōshi (1914-1982), disciple du maître zen SōtōKodo Sawaki Roshi (1880 - 1965) est venu en France en 1967, où il a enseigné la pratique zen jusqu'à sa mort en 1982. Il a laissé derrière lui un grand nombre d'étudiants, et sa tradition continue à se développer aujourd'hui, avec diverses organisations zen à travers l'Europe. Il ouvre le dōjōPernety, àParis en 1971, qui devient la source de la diffusion du zen en Europe. Dans les années 1970, il fonde l'Association Zen Internationale (AZI)[28]. En 1974, Deshimaru a fondé le premier monastère zen près de la ville d'Avallon, dans l'ancienne région française deBourgogne[29]. Le premier temple zen d'Europe, la Gendronnière, a été fondé en 1980 par Deshimaru et ses disciples, près deBlois[30].
Zentatsu Richard Baker Roshi (né en 1936) est un maître zen américain qui a enseigné en Amérique puis, à partir de 1983, en Allemagne, dans une institution zen semi-monastique, leDharma Sangha, àHerrischried enForêt-Noire. Il a ainsi contribué à la diffusion de l'école Sōtō en Allemagne également[31],[32].
Un grand nombre de lignées Rinzai ont été transplantées du Japon enEurope, auxAmériques et enAustralie, et des pratiquants non japonais ont été certifiés comme enseignants et successeurs de ces lignées. Il y a des temples Rinzai, ainsi que des groupes de pratiquants dirigés par des laïcs, dans de nombreux pays.
Senzaki Nyogen (1876-1958) était un maître zen Rinzai japonais qui est considéré comme l'une des figures clés de la transmission du bouddhisme zen en Occident. Senzaki s'est installé aux États-Unis en 1905. Il a traduit et exposé de nombreux textes de la tradition bouddhiste zen en anglais au cours de sa vie.
Le maître zen japonais Kyozan Joshu Sasaki, qui enseigne le zen aux États-Unis depuis 1962, vient régulièrement en Autriche depuis 1979 pour donner des conférences et diriger des sesshins. Son travail et celui de ses élèves, en particulier le travail de Genro Seiun Osho à Vienne et dans le sud de l'Allemagne, ont contribué de manière significative à l'établissement de l'école zen Rinzai dans le monde germanophone.
L'Autrichienne Irmgard Schlögl s'est rendue au Japon en 1960 pour devenir l'une des premières femmes occidentales à connaître le zen authentique. En 1984, elle a finalement été ordonnée nonne zen sous le nom de Myokyo-ni. Elle a fondé le Centre Zen de Londres en 1979, et a travaillé dès lors à la fois comme traductrice d'importants écrits zen et comme enseignante zen. Un parcours similaire a été suivi par Gerta Ital d'Allemagne. En 1963, elle a été la première femme occidentale à être autorisée à vivre et à méditer dans un monastère zen japonais sur un pied d'égalité avec les moines pendant sept mois. Le résultat littéraire de cette période est son livre Der Meister die Mönche und ich, eine Frau im Zen-Buddhistischen Kloster (Le Maître, les moines et moi, une femme dans un monastère bouddhiste zen) dont les impressions ont façonné l'image du zen japonais en Occident[33].
Shōdō Harada Roshi est maître zen depuis 1982 au monastèreSōgen-ji d'Okayama, où il enseigne principalement à des étudiants étrangers. Il a créé plusieurs centres (One Drop Zendo) en Europe, en Inde et aux États-Unis.
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La décision duConcile VaticanII selon laquelle l'Église catholique romaine doit promouvoir le dialogue avec les autres religions a fondamentalement changé sa relation avec les autres religions. Depuis 1979, dans le cadre du programme d'échanges interreligieux initié dans le cadre du concile, des moines bouddhistes viennent régulièrement dans des monastères chrétiens en Europe, tandis que des moines chrétiens se rendent en Asie[34].
Ce dialogue interreligieux ainsi que l'approche religieuse globalement exempte de dogmatisme du bouddhisme en général ont favorisé un rapprochement entre le zen et l'Église catholique. Les médiateurs sont souvent des religieux, des prêtres, des professeurs et des théologiens. On mentionnera entre autres noms :
Il convient avant tout de mentionner les représentants de l'école de Kyōto, une école de philosophie qui a émergé au Japon au début duXXe siècle àKyōto. Dans son effort pour donner une expression philosophique au concept de Néant absolu (zettai-mu), l'école de Kyōto s'appuie sur la notion deshunyata (vide,vacuité, jap. 空, kū) développée dans le bouddhisme mahayana, et sur le concept de wu (無,mu), particulièrement caractéristique dutaoïsme et du bouddhisme zen.
Dès les années 1920, de nombreux philosophes japonais — qui se révèleront importants par la suite, et dont certains font partie de l'école de Kyōto — ont participé aux séminaires et cours deMartin Heidegger (1889-1976), par exempleTanabe Hajime,Watsuji Tetsurō etNishitani Keiji. Cela a conduit à un riche dialogue entre les deux parties, et permis également à Heidegger de se familiariser avec les principes fondamentaux du zen. Car en mettant « la mort et le néant en relation directe avec l'acte de vie lui-même, la philosophie de Heidegger développe une proximité de pensée avant tout avec (...) le chan et du bouddhisme zen, qui porte ses fruits jusqu'à ce jour »[35].
En 1938, lors de son séjour en Allemagne, Nishitani aurait offert à Martin Heidegger le premier volume desEssais sur le bouddhisme zen de D.TT. Suzuki en guise de cadeau d'anniversaire, mettant ainsi Heidegger en contact avec le bouddhisme zen, auquel il se réfèrera par la suite à de nombreuses reprises[36]. Il apprécia beaucoup le travail de Suzuki, qu'il rencontra en 1953. Cette rencontre l'impressiona beaucoup, au point qu'il aurait affirmé: « Si je comprends bien cet homme, c'est ce que j'essayais de dire dans mes écrits »[36].
Plus tard, Nishitani devint un philosophe de la religion qui combina les expériences de la pratique du zen avec l'existentialisme ainsi qu'avec l'approcheanthropologique deMartin Buber[37]. Grâce à sa connaissance approfondie de laphilosophie occidentale et orientale, il a réussi à créer un récit parallèle dunihilisme et deshunyata, qui pouvait également être formulé en langage théologique chrétien[réf. nécessaire].
↑Philippe Thiébault,La Pensée coréenne, Aux sources de l'Esprit-Coeur, Gémenos (13), éditions Autres Temps,, 400 p.(ISBN978-2-84521-255-8),p. 63
↑La lignée officielle des maîtres Chan se constitue ultérieurement ; l’un des premiers documents à mettre Bodhidharma en tête du Chan chinois est l’épitaphe de Fărú (法如 638–689), disciple deHongren, selonHeinrich Dumoulin,Early Chinese Zen Reexamined: A Supplement to Zen Buddhism: A History, Japanese Journal of Religious Studies, volume=20-1, 1993,p. 31–53p. 37
↑The Princeton dictionary of buddhism par Robart E. Buswell Jr et Donald S; Lopez Jr aux éditions Princeton University Press,(ISBN0691157863), page 557.
↑Larry A.Fader, « Zen in the West: Historical and Philosophical Implications of the 1893 Chicago World's Parliament of Religions »,The Eastern Buddhist,vol. 15,no 1,,p. 122–145(ISSN0012-8708,lire en ligne, consulté le)
↑[lire en ligne (page consultée le 13 juillet 2021)]. Le texte de Watts a été publié sous son titre anglais en 2016 par la République des Lettres, dans une traduction deJacques Darras.(ISBN978-1-258-01328-8)
↑Lettre de Hans A. Fischer-Barnicol à Martin Buber, 3 novembre 1964, in : Martin Buber :Briefwechsel aus sieben Jahrzehnten, Vol. III, Heidelberg, 1975, p. 623-626.
Shunryu Suzuki Roshi,Libre de soi, libre de tout, Seuil, 2011(ISBN9782021011289).
Shunryu Suzuki Roshi,La source brille dans la lumière. Commentaire du Sandokai, Sully, 2001(ISBN9782911074370).
Daisetz Teitaro Suzuki,Essais sur le bouddhisme zen. SériesI,II,III, trad. sous la direction deJean Herbert, Paris, Albin Michel, 2003 [Essays in Zen Buddhism,I: 1927 -II: 1933 -III: 1934].(ISBN978-2-226-13866-8)
Chang Chen-Chi,Pratique du zen, Buchet/Chastel, Paris, 1960.
Heinrich Dumoulin,Zen Buddhism: A History (Volume 1: India and China, Volume 2: Japan), Bloomington, World Wisdom, 2005
Michel Larroque,Approches occidentales du bouddhisme zen. La spontanéité efficace, L'Harmattan, 2003. /Lire une présentation — rédigée par l'auteur— de la thèse de cet ouvrage. (Consulté le 9 avril 2020).