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Yvoire

46° 22′ 18″ nord, 6° 19′ 37″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles ayant des titres homophones, voirIvoire etYvoir.

Yvoire
Yvoire
Yvoire vue du Léman.
Blason de Yvoire
Blason
Image illustrative de l’article Yvoire
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionAuvergne-Rhône-Alpes
DépartementHaute-Savoie
ArrondissementThonon-les-Bains
IntercommunalitéThonon Agglomération
Maire
Mandat
Jean-François Kung
2020-2026
Code postal74140
Code commune74315
Démographie
GentiléYvoiriens
Population
municipale
1 052 hab.(2022en évolution de +7,24 % par rapport à 2016)
Densité337 hab./km2
Population
agglomération
6 854 hab.(2022)
Géographie
Coordonnées46° 22′ 18″ nord, 6° 19′ 37″ est
AltitudeMin. 372 m
Max. 441 
m
Superficie3,12 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineMessery
(banlieue)
Aire d'attractionGenève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Sciez
LégislativesCinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Yvoire
Géolocalisation sur la carte :France
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Yvoire
Géolocalisation sur la carte :Haute-Savoie
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Yvoire
Géolocalisation sur la carte :Auvergne-Rhône-Alpes
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Yvoire
Liens
Site webyvoire.fr
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Yvoire (Ivouère enarpitan) est unecommune française située dans ledépartement de laHaute-Savoie, dans lecanton de Sciez enrégionAuvergne-Rhône-Alpes.

La commune appartient à lacommunauté d'agglomération de Thonon-les-Bains. Elle a obtenu plusieurs distinctions :plus beaux villages de France, label « ville fleurie » avec « 4 fleurs » dans le cadre duconcours des villes et villages fleuris, « Grand prix national du fleurissement » et médaille d'argent du concours européen du fleurissement.

Géographie

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Panorama depuis le port.

Localisation

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Yvoire se trouve enHaute-Savoie dans l'arrondissement de Thonon-les-Bains, sur les rives duLéman, à30 minutes d'Annemasse et de la sortie de l'autoroute.

Yvoire est limitrophe d'Excenevex (à l'est) et deNernier etMessery à l'ouest.

Rose des ventsGland(Drapeau de la SuisseSuisse)
Léman
Bursinel(Drapeau de la SuisseSuisse)
Léman
Rolle(Drapeau de la SuisseSuisse)
Léman
Rose des vents
NernierNExcenevex
O   Yvoire   E
S
Messery

Géologie et relief

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Hydrographie

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Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat d'Auvergne-Rhône-Alpes etClimat de la Haute-Savoie.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[1]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[2]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[3] et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4]. Elle est en outre dans lazone H1c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[5],[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de19,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 111 mm, avec1,2 jours de précipitations en janvier et8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deDouvaine à7 km àvol d'oiseau[7], est de11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 943,3 mm[8],[9]. La température maximale relevée sur cette station est de38,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de−11,9 °C, atteinte le[Note 1].

Voies de communication et transports

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Urbanisme

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Typologie

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Au, Yvoire est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].Elle appartient à l'unité urbaine de Messery[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à1 000 hectares, leLéman, est également une commune littorale au sens de la loi du, diteloi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique dulittoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si leplan local d’urbanisme le prévoit[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (35,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (47,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,3 %), zones urbanisées (30,1 %),terres arables (19,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), eaux continentales[Note 5] (0,3 %)[17].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

  • Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
  • Photo aérienne en couleurs de la commune.
    Carte orthophotogrammétrique de la commune.

Toponymie

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La première mention de la paroisse apparaît sous la formeEvyre (Ecclesia de Evyre), dans unebulle papale d'Innocent IV, du, attachant l'église à l'abbaye de Filly[18],[19]. Certains auteurs ont toutefois voulu faire le lien avec le port militaireEbrudunum Sapaudiæ, mentionné dans un texte romain de la fin de l'Empire, sans toutefois avoir de preuve à ce jour[20]. Le compte du bailli de Chablais, châtelain d'Evian, de 1291-1292 donne la graphie Yvery[21]. À partir de 1303, on la retrouve mentionnée sous les graphies médiévalesAquaria[19] et Akwaria, que l'on peut traduire par « lieu où il y a de l'eau ». On trouve finalement durant le Moyen Âge, la forme « becca d'Evère[19] » en référence à l'édification du village sur un promontoire[20].

Selon le site d'Henry Suter, cette forme ancienne d'Yvoire serait à rapprocher d'Evaire, qui désigne « Terrain humide, ou présence de sources », dérivant de l'ancien françaiséveux, « humide »[22].

Enfrancoprovençal ou arpitansavoyard, le nom de la commune s'écritÉvêre et se prononce« Évère » (retranscrit selon lagraphie semi-phonétique de Conflans)[23].

Histoire

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Antiquité

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Carte montrant le territoire des Allobroges et mentionnant Casuaria.
Territoire desAllobroges, avec mention de Casuaria.

La rive gauche du Léman se trouve en territoireallobroge. Ceux-ci contrôlent l'avant-pays plat, entre leRhône et lesAlpes[24].

Les Romains interviennent dans la région à partir duIIe siècle av. J.-C. Des traces — tegulæ — d'une présence romaine ont été trouvées à Yvoire et ses alentours sans toutefois indiquer une implantation importante contrairement à d'anciens sites voisins (Nernier ouMessery)[20]. Des auteurs ont tenté de voir dans la mention du port militaireEbrudunum Sapaudiæ dans un texte romain de la fin de l'Empire le site d'Yvoire. Les différentes recherches tendent de lui préférer la ville suisse d'Yverdon[20].

À 60 m du château, présence de la « Pierre de l'Equarroz » (de 1,1 m de haut et de 2,5 × 2,5 m), « située sur le promontoire dominant le confluent du Foron et du ruisseau de Chavannex »[25]. Il s'agit du versant est duMont de Boisy, proche du hameau de Chavannex. Selon la tradition, le lieu attirait les riverains pour y faire des sacrifices à Neptune, Neith ou Niton (voir égalementPierres du Niton)[26].

LaChronica Gallica (452) décrit l'installation desBurgondes dans la province deSapaudia[27]. La présence burgonde est avérée sur le territoire de la commune par la découverte de tombes[20], sur le site nommé la nécropole des Combes[28]

Période médiévale

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L'emplacement stratégique du promontoire avancé dans les eaux, entre lepetit et legrand lac, favorise l'édification d'un château dès leXIIe siècle, centre d'une seigneurie[20]. Aux nobles d'Yvoire, succède la grandefamille seigneuriale de Compey[20],[29], vassale descomtes de Genève. En 1289, un Anthelme de Compey, présent au traité de Sciez, est seigneur d'Yvoire et se déclare vassal de la baronneBéatrice de Faucigny[20].

L'Ecclesia de Evyre dépend de l'abbaye de Filly, comme l'indique unebulle papale d'Innocent IV, du[18],[30].

En 1306, le comteAmédée V de Savoie acquiert auprès des héritiers d'Anthelme de Compey lechâteau et le fait « réaménager, reconstruire et fortifier »[20],[29],[31]. L'édifice devient une véritable forteresse à la suite des remaniements de 1307-1308, puis de 1325-1326[32]. Les fortifications de la ville, débutées peu auparavant, se poursuivent[20],[31]. La place devient un point stratégique pour le comte contre ses voisins le comte de Genève et son allié le baron du Faucigny[31]. L'année suivante il prend d'ailleurs lechâteau voisin de Rovorée et le fait raser[20].

Le bourg fortifié est accessible par deux portes créées en 1318[33]. Il s'agit de « tours quadrangulaires de 5 m sur 6 », appelées « tour de Nernier » orientée vers l'ouest et « tour de Rovorée », à l'est[33]. Le port de la ville est également défendu par des aménagements[33].

Le comteÉdouard de Savoie octroie unecharte de franchises à la ville en 1324, reprenant le contenu de la charte de la ville d'Aigle, dans le canton de Vaud[31],[33]. En 1339, la seigneurie est rattachée au bailliage de Chablais et Genevois[31]. La seigneurie est inféodée dans la seconde moitié duXIVe siècle à Antoinede Miolans d'Urtières[34]. Suivront une dizaine d'autres familles à la tête de la seigneurie au cours des trois siècles suivants[34].

Malgré l'annexion duFaucigny par la maison de Savoie, le château et le bourg fortifié gardent une importance stratégique dans le conflit qui continue d'opposer les Savoie aux Genève[33].

En 1536, la partie nord duduché de Savoie est annexée par les troupes bernoises protestantes. Yvoire est intégré au nouveaubailliage de Thonon. Le culte protestant se développe dans le bourg en raison de la conversion du seigneur, François de Saint-Jeoire-d'Antioche[30]. Le vieux château est brûlé[35].

Période moderne

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En 1615, la seigneurie passe à lafamille Bouvier, originaire du Bugey, toujours propriétaire du château de nos jours[34]. En 1772, la seigneurie est érigée en baronnie[34].

Période contemporaine

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Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'agriculture et la pêche laissent place progressivement au tourisme.

Le village d'Yvoire a fêté ses700 ans en 2006.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2014 en Haute-Savoie.

Divisions administratives et électorales

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Situation administrative

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La commune d'Yvoire, au lendemain de l'annexion de la Savoie à la France de 1860, intègre lecanton de Douvaine[36] et l'arrondissement de Thonon-les-Bains.

La commune est membre, avec vingt-quatre autres, de lacommunauté d'agglomération de Thonon les Bains.

Circonscriptions électorales

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Depuis laréforme territoriale de 2014, la commune appartient aucanton de Sciez qui regroupe25 communes[37].

Yvoire relève de l'arrondissement de Thonon-les-Bains et de lacinquième circonscription de la Haute-Savoie, dont la députée estAnne-Cécile Violland (Horizons).

Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, lenombre de membres du conseil municipal est de 15[38].

Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs (depuis 1945)
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
19451995Paul Jacquier-Durand Pêcheur[39]
19952001Georges Béchet Pêcheur
mars 2001mars 2014Jean-Claude Fert Restaurateur
mars 2014en cours
(au 28 mars 2022)
Jean-François Kung Restaurateur

Population et société

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Démographie

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Ses habitantssont appelés lesYvoiriens[40].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].

En 2022, la commune comptait 1 052 habitants[Note 6], en évolution de +7,24 % par rapport à 2016 (Haute-Savoie : +6,01 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182218381848185818611866
267243247362392440387391430
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
187218761881188618911896190119061911
440435458452510483432401420
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
192119261931193619461954196219681975
345390389347320303271305335
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
19821990199920062011201620212022-
3574326398108799811 0681 052-
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puisInsee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Plusieurs animations ponctuelles ainsi que des artistes de rue s'installent dans le village pour la période estivale :

  • mai : parade vénitienne (l'association Rêveries Vénitiennes offre un spectacle d'élégance et de magie au sein du bourg médiéval durant tout un weekend) ;
  • juin : fête de la Musique ;
  • juillet : Yvoire Jazz Festival; Harley Days;
  • 14 juillet : fête du sauvetage ;
  • octobre : fête de l'âne et marché bio (pour terminer la saison, l'office de tourisme en collaboration avec les associations locales, organise la fête des Ânes.

Santé

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Sports

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Médias

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Radios et télévisions

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La commune est couverte par des antennes locales deradios dontFrance Bleu Pays de Savoie,ODS Radio,Radio Chablais… Enfin, la chaîne detélévision localeTV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émissionLa Place du village expose la vie locale.France 3 et sa station régionaleFrance 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse et magazines

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Lapresse écrite locale est représentée par des titres commeLe Dauphiné libéré,L'Essor savoyard,Le Messager - édition Chablais,le Courrier savoyard.

Cultes

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Économie

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La principale activité économique de la commune est liée à l'artisanat local et aux activités touristiques : croisière à bord de la navette solaire, traversées et croisières avec laCGN (ligne entre Nyon et Yvoire), chemin des Vaudois (à la découverte deNernier, petitvillage de pêcheurs).

Tourisme

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Yvoire est l'une des48 communes classées « commune touristique » du département[44]. Elle est adhérente de l’association « Les Plus Beaux Villages de France »[45], depuis 1982[46].

En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organismeSavoie Mont Blanc, est de990 lits touristiques répartis dans92 établissements[Note 7]. Les hébergements se répartissent comme suit :3meublés ;5hôtels et deux établissements d'hôtellerie de plein air[47].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[48] et un lieu répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[49]. Par ailleurs, elle ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[50] ni à l'inventaire général du patrimoine culturel[51].

Lieux et monuments remarquables

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Porte de Nernier, vue de l'intérieur du bourg ancien.
Porte de Rovorée, vue de l'extérieur du bourg ancien.

Laporte de Genève également nommée « porte de Nernier », est datéeXIVe et XVIe siècles. Elle est « classée » depuis le[52].

Laporte de Thonon également nommée « porte de Rovorée », est datée duXIVe siècle. Elle est « classée » depuis le[53].

Lelabyrinthe Jardin des Cinq Sens est situé au cœur du village. Créé en 1988 à la place de l'ancien potager du château, il a été restauré selon l'art des jardins clos du château du Moyen Âge. Le jardin est classéJardin remarquable de France. Il s'étend sur 2 500 m2 et est organisé autour d'un cloître végétal avec plantes médicinales et aromatiques, fontaines, volières, roses anciennes et arbres fruitiers palissés.

Autres lieux et monuments

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Au début duXIVe siècle, lechâteau-fort d'Yvoire est construit, sur une pointe dominant le Léman, par le ComteAmédée V de Savoie, sur l'emplacement d'une ancienne place forte. Il est entouré d'un bourg fortifié destiné à commander le passage entre Genève et l'Italie par la haute vallée du Rhône. Sa position stratégique permet de surveiller la navigation entre le petit lac et le grand lac du Léman. AuXVIe siècle, le château est incendié et les remparts dévastés au cours du conflit opposant les Bernois, les Genevois et les Français au duc de Savoie. Le château n'est que partiellement relevé de ses ruines. Au début duXXe siècle, le château d'Yvoire est restauré par la famille savoisienneBouvier d'Yvoire qui l'occupe depuis le milieu duXVIIe siècle (le château ne se visite pas). Un jardin botanique dénomméJardin des cinq sens est aménagé à l'intention des touristes, à proximité du château[54].

La Châtaignière-Rovorée, domaine départemental d'art et de culture, est une maison de maître édifiée au début duXXe siècle par des soyeux lyonnais. Elle est située en plein cœur du domaine de Rovorée, espace naturel sensible cogéré par leConservatoire du littoral et leconseil départemental de la Haute-Savoie. Chaque année, de juin à octobre, une exposition temporaire sur le patrimoine alpin y est présentée. En 2015, « Pourpoint, mantel et chaperon... Se vêtir à la cour de Savoie (1300-1450) ».

Le château de Rovorée est un château savoyard[55].

L'église paroissiale est dédiée àsaint Pancrace[30] et porteuse d'un passé chargé d'histoire. Elle a été transformée à plusieurs reprises. Le clocher actuel est unclocher à bulbe, typique de l'architecture religieuse savoyarde et piémontaise[30]. Il a été construit entre 1856[30]. Au départ, il était recouvert d'écailles en fer étamé. Au fil du temps, le clocher a rouillé ; il est maintenant recouvert d'acier inoxydable ; la flèche et le coq à son faîte sont recouverts d'or.

  • Le château.
    Le château.
  • L'église Saint-Pancrace.
    L'église Saint-Pancrace.
  • Intérieur de l'église.
    Intérieur de l'église.
  • Le port de plaisance.
    Le port de plaisance.
  • Vue générale et encrier géant.
    Vue générale et encrier géant.
  • Autre vue du château.
    Autre vue du château.
  • Prise de vue au bord du Léman.
    Prise de vue au bord du Léman.

Classements

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Ruelle fleurie du bourg médiéval.

Village médiéval fortifié situé sur les rives du Léman, adhérente de l'association desplus beaux villages de France[45], c'est l'une des destinations touristiques les plus prisées duChablais français.

Le village est récompensé chaque année depuis1959 dans le cadre duconcours des villes et villages fleuris. En2014, il bénéficie du label « ville fleurie » avec « 4 fleurs »[56] depuis1959.

Au fil des années, il figure parmi les lauréats aux concours nationaux de fleurissement (1992, 1995, 1998, 2001, 2007). Yvoire est aussi classée au « Grand prix national du fleurissement » depuis1995 et a reçu la médaille d'argent à l'édition de 2002 du concours européen du fleurissement.

Yvoire et la philatélie

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La Poste française a émis le un timbre de 0,53 euro dessiné par l'illustrateurLouis Briat, d'après une photo de l'office du tourisme[57].

Personnalités liées à la commune

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  • Famille Bouvier, seigneur d'Yvoire
  • Alfred de Bougy (1814-1874) visita le village. Voici comment il le décrit :« un ramassis de laides cahutes élevées sur un terrain en pente, tourmenté, rocailleux, qui descend au lac ; les rues, — si l'on peut donner ce nom à des passages nauséabonds, à peu près impraticables, — servent de rigoles à l'eau des fumiers ; les plusapparentes de ces masures ressemblent à des loges à porcs, la fumée en sort par des portes basses ; bêtes et gens vivent pêle-mêle, mangent et boivent au même pot, grouillent dans d'étroits et fétides réduits ; là, toute chose est repoussante, difforme, et pue la misère. » Entrant dans l'auberge dont« une branche de sapin pendait en guise d'enseigne, suivant l'usage campagnard au toit dont le bord était très large », il rapporte« Dès que j'eus mis les pieds dans ce lieu étroit, peu aéré, affreusement malpropre, je sentis des fourmilières de puces faire l'ascension de mes jambes, et des nuées de mouches vinrent bourdonner à mes oreilles. » (...)« Je m'assis au bout d'une table occupée par quelques buveurs qui ressemblaient plutôt à des animaux qu'à des êtres humains, dont le langage était une sorte de grognement inintelligible, le patois un idiome des plus barbares. »[58]

Héraldique

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Armes d'Yvoire

Les Armes de " Yvoire " seblasonnent ainsi :D'azur à une croix d'or, à une rivière d'argent brochant en pointe, sur laquelle nagent deux cygnes aux ailes éployées, un dans chaque canton.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Messery comprend deux villes-centres (Chens-sur-Léman etMessery) et deux communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  7. La structureSavoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme lesrésidences secondaires[47].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », surremonterletemps.ign.fr(consulté le). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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v ·m
Plus de 30 000 habitantsThonon-les-Bains(siège)
Plus de 5 000 habitants
Plus de 1 000 habitants
Moins de 1 000 habitants
v ·m
Auvergne-Rhône-Alpes
Bourgogne-Franche-Comté
Bretagne
Centre-Val de Loire
Corse
Grand Est
Hauts-de-France
Île-de-FranceBon articleLa Roche-Guyon
Normandie
Nouvelle-Aquitaine
Occitanie
Pays de la Loire
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