Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Yvetot

49° 37′ 04″ nord, 0° 45′ 15″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirYvetot (homonymie).

Page d’aide sur l’homonymie

Yvetot est partiellement homonyme avecYvetot-Bocage (Manche).

Yvetot
Yvetot
La mairie.
Blason de Yvetot
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNormandie
DépartementSeine-Maritime
ArrondissementRouen
IntercommunalitéCC Yvetot Normandie
(siège)
Maire
Mandat
Francis Alabert
2022-2026
Code postal76190
Code commune76758
Démographie
GentiléYvetotais
Population
municipale
11 548 hab.(2022en évolution de −2,86 % par rapport à 2016)
Densité1 546 hab./km2
Population
agglomération
15 241 hab.(2022)
Géographie
Coordonnées49° 37′ 04″ nord, 0° 45′ 15″ est
AltitudeMin. 83 m
Max. 157 
m
Superficie7,47 km2
TypeCentre urbain intermédiaire
Unité urbaineYvetot
(ville-centre)
Aire d'attractionYvetot
(commune-centre)
Élections
DépartementalesCanton d'Yvetot
(bureau centralisateur)
Législatives10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Yvetot
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Yvetot
Géolocalisation sur la carte :Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Yvetot
Géolocalisation sur la carte :Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Yvetot
Liens
Site webwww.yvetot.fr
modifier 

Yvetot (/iv.to/) est unecommune française située dans ledépartement de laSeine-Maritime enrégionNormandie.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Description

[modifier |modifier le code]

Yvetot est une villenormande, capitale dupays de Caux, située à 32 km au nord-ouest deRouen, 46 km duHavre, 28 km dulittoral de laCôte d'Albâtre àSaint-Valery-en-Caux.

Elle fait partie duParc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Communes limitrophes

[modifier |modifier le code]
Communes limitrophes d’Yvetot
Baons-le-ComteSainte-Marie-des-Champs
ValliquervilleYvetotÉcalles-Alix
AuzeboscTouffreville-la-CorbelineSaint-Clair-sur-les-Monts

Climat

[modifier |modifier le code]

Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Normandie etClimat de la Seine-Maritime.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[1]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique et est dans la région climatiqueCôtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement leGIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour larégion Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant auPays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans leCotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 952 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ectot-lès-Baons à 5 km àvol d'oiseau[4], est de10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Le sud de la ville d’Yvetot est principalement composé de quartiers populaires tels que Rétimare et Fief de Caux ainsi qu'une zone commerciale. Alors que plus au nord se trouvent des quartiers plus résidentiels comme le Fay et le Vallon Fleuri.

Typologie

[modifier |modifier le code]

Au, Yvetot est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle appartient à l'unité urbaine d'Yvetot[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle estville-centre[Note 2],[9],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yvetot, dont elle est la commune-centre[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier |modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,9 %),terres arables (16,8 %), prairies (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), forêts (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

[modifier |modifier le code]

En 2019, le nombre total delogements dans la commune était de 6 407, alors qu'il était de 6 068 en 2014 et de 5 666 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 90,6 % étaient desrésidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 50,1 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 49,2 % desappartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Yvetot en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 38,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (36,6 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Yvetot en 2019.
TypologieYvetot[I 2]Seine-Maritime[I 5]France entière[I 6]
Résidences principales (en %)90,687,882,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)0,949,7
Logements vacants (en %)8,58,28,2

Le bailleur social historique de la ville est la SA HLM d’Yvetot, créée en 1922 et devenue Logeal, dont le patrimoine s'étend désormais sur les départements de laSeine-Maritime et de l’Eure[13].

Article connexe :logement social en France.

Voies de communication et transports

[modifier |modifier le code]

Yvetot est desservie par l'ancienneroute nationale 15 (actuelle RD 6015) reliantRouen auHavre en passant par lepays de Caux. Elle est également proche de l'ancienneroute nationale 29 (actuelle RD 929), qui la relie àAmiens, et de l'autoroute A150 (tronçon nord), raccordée à l'autoroute A29.

Lagare d'Yvetot est desservie par les trains NOMAD Paris St Lazare - Rouen - Le Havre (ex-Intercités) ainsi que desTER Normandie (Rouen - Le Havre et Yvetot - Elbeuf).

Des correspondances par car pourSaint-Valery-En-Caux (ligne régionale NOMAD Car 525) sont assurées avec les trains Paris - Le Havre et Le Havre - Paris. La gare, le centre-ville et les établissements scolaires (collèges et lycées) sont également desservis par les lignes 503 et 510 du réseau NOMAD Car respectivement à destination deCaudebec-en-Caux etFécamp[14].

Des cars depuis et versDoudeville,Alvimare etFauville-en-Caux sont également mis en place les jours de marché sous le numéro 540 du réseau NOMAD Car[14].

  • La façade de la gare d'Yvetot avant son réaménagement en 2015.
    La façade de la gare d'Yvetot avant son réaménagement en 2015.
  • Autorails X 73500 en gare.
    AutorailsX 73500 en gare.

La ville est également desservie par son réseau de transport « Vikibus », composé de2 lignes circulaires bouclant sur la gare et totalisant 52 arrêts. Le réseau circule tous les jours sauf le dimanche. Une troisième ligne, gratuite, est également mise en place les jours de marché pour desservir plus finement le centre-ville[15].

Toponymie

[modifier |modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formesIvetoht en 1025-1026,Ivetot en 1046-1048[16].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en-tot, issu de l'appellatif toponymique d'originenorroisetopt, toft[16], signifiant « emplacement, endroit constructible, ferme », dont on compte environ 350 exemples en Normandie.

Le premier élément est le nom de personneIvo, anthroponyme d'originefranque[16] et qui a donné les prénomsYves (cas sujet) etYvon Ce lien renvoie vers une page d'homonymie (cas régime) en français. Le nom de personne n'indique pas l'origine ethnique du propriétaire qui peut très bien être d'origine norroise ou anglo-scandinave. En effet, les colons ont souvent adopté, surtout au moment de leur baptême, des anthroponymes germaniques ou autres (cf.Hrólfr /Rollon, baptisé « Robert », ou encoreBernard le Danois,Stigand de Mézidon dit « Odon », etTurstin Haldup dit « Richard »).

François de Beaurepaire estime qu'un seul et même personnage pourrait se retrouver dansIsmesnil (YvemesnilXIIe siècle), hameau situé à 5 km sur la commune voisine d'Allouville-Bellefosse etYvecrique « l'église d'Yves » à 10 km de là[16].

Au cours de laRévolution française, la commune porte provisoirement le nom d'Yvetot-la-Montagne[17].

Histoire

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Histoire d'Yvetot.

Moyen Âge

[modifier |modifier le code]

Les origines d'Yvetot, et plus particulièrement duroyaume d'Yvetot, restent obscures et de nombreuses hypothèses ont été avancées. Une chose est certaine, auxXIVe et XVe siècles, des actes officiels mentionnent effectivement la qualification de« roi d'Yvetot ». Le nom d'Yvetot est cité pour la première fois dans une charte de donation du duc de NormandieRichard II, en1021, aux religieux de l'abbaye deSaint-Wandrille. Plusieurs familles (dont la famille d'Yvetot jusqu'en 1401) tinrent la seigneurie d'Yvetot, avec le titre de roi (ou de prince, notamment à partir de Martin du Bellay, vers 1551). On en connaît les généalogies.

Le roi d'Yvetot

[modifier |modifier le code]

Ces seigneurs portent souvent le titre deroi, bénéficiant de tous les privilèges de souveraineté jusqu'en 1551. Ce titre de noblesse est attesté en 1024. Détaché de tout hommage, au moins depuis 1203, ce territoire reste uneprincipauté jusqu'en 1789. Cette principauté dépassait les limites actuelles de la commune d'Yvetot puisqu'il comprenait aussi les anciennes paroisses deSaint-Clair-sur-les-Monts etSainte-Marie-des-Champs.

En, par ses lettres patentes, le roiLouis XI (1423-1483) confirme les droits de laseigneurie d'Yvetot[18].

Incendies

[modifier |modifier le code]

La ville d'Yvetot a été incendiée alors qu'elle était sous domination anglaise en1418 lors de laGuerre de Cent Ans, puis lors desguerres de Religion en 1592. Redevenue un centre commercial prospère sousLouis XIV avec cinq halles pour les grains, les cordonniers, bouchers, filassiers, merciers et drapiers. Un incendie le détruisit tout le centre-ville. La ville ne fut reconstruite qu'en 1698 et l'église Saint-Pierre en 1771[19].

Époque moderne

[modifier |modifier le code]
Femme portant la coiffe du Pays de Caux dit « bonnet cauchois » ou coiffe d'Yvetot[20] (vers 1930).

La prospérité de la ville est liée à un commerce fort développé dès leXVIIe siècle, grâce à son statut de paradis fiscal, et à des filatures decoton en pleine expansion après 1794, avec l'arrivée desmachines à vapeur, la ville n'étant traversée d'aucun cours d'eau.Comme dans tout le pays de Caux se pratique, la sculpture et la taille de l'ivoire et de l'os[21].

Révolution française et Empire

[modifier |modifier le code]

Le 4 mars 1789, la ville est le lieu d'une émeute due à la cherté des blés. Pendant l'été 1789 la bourgeoisie de la ville s'arme, marquant les tensions dans la ville avec lesmanants, d'autant que les problèmes d'approvisionnement demeurent. Yvetot devient chef-lieu dedistrict de 1790 à 1795[17], en lieu et place deCaudebec réputée favorable à la Vendée. Jacobine au début de la révolution, Yvetot prend le nom du parti deRobespierre,La Montagne en 1793. Fêtes civiques s'y déroulent, luttes contre les accapareurs, Comité de Salut Public.

Napoléon Ier vient deux fois à Yvetot, en1802 et1810[22].

Époque contemporaine

[modifier |modifier le code]
La gare vers 1900.

En 1847 est mise en service lagare d'Yvetot, sur laligne de Paris-Saint-Lazare au Havre, facilitant le déplacement des personnes et le transport des marchandises, favorisant ainsi le développement économique de la ville.

AuXIXe siècle, la ville et son arrondissement développent une production de tissus, essentiellement du coton, de la soie et de la laine à travers des[23]. L'activité cotonnière disparaît presque complètement après 1870, à laquelle se substitue auxXIXe et XXe siècles, une forte activité dans le domaine de l'imprimerie.

La chute de Napoléon III

[modifier |modifier le code]
L'église St-Pierre d'Yvetot dans France-Album (fascicules 40-54) par A. Karl vers 1880 (source BNF).
Article connexe :Occupation de la France par l'Allemagne de 1870 à 1873.

Durant laguerre franco-allemande de 1870, Yvetot sert de base arrière pour les Prussiens, qui s'ils ont prisRouen ne parviennent pas à prendreLe Havre[24].

Leguide Joanne de1885 décrit Yvetot comme un chef-lieu d'arrondissement de 8 397 habitants situé dans une plaine fertile mais dépourvu de cours d'eau. L'église duXVIIIe siècle renferme un autel en marbre, des boiseries en chêne et une chaire de 1786[25].

Le, la ville reçoit le présidentCarnot.

Pendant laPremière Guerre mondiale, Yvetot est la base arrière du front britannique sur la Somme avec un hôpital militaire anglais.

Développement de l'Imprimerie

[modifier |modifier le code]
L'Abeille Cauchoise d'Yvetot.

L'imprimerie apparaît à Yvetot autour de 1762, le premier typographe y est autorisé en 1789. Le journalL'Abeille Cauchoise ouL'Abeille Cauchoise, journal d'Yvetot et d'annonces judiciaires est fondé en 1804. Ce journal très populaire est imprimé au 122, rue du Calvaire, puis rues Haëmers et Lormier. L'Imprimerie de l'Abeille Cauchoise édite aussile pays de Caux et l'Almanach du Roy d'Yvetot. L'Abeille Cauchoise disparaît en 1944. Imprimés par les imprimeurs Bretteville Frères à Yvetot, les journaux hebdomadairesL'Avenir de Duclair, Journal républicain,Le Flot,Le Réveil d'Yvetot sont fondés vers 1885.

La seconde guerre mondiale

[modifier |modifier le code]
Centre-ville et Église Saint-Pierre à Yvetot) en 1941 (Maillard Marcel) - Source BNF.

Le 10 juin 1940, le25e Panzer-Regiment commandé parRommel entre dans Yvetot[26], désertée par ses habitants. La ville est alors incendiée en particulier tout le centre-ville et l'église Saint-Pierre. L’occupation commence, elle dure 50 mois dans des conditions inconfortables, avec des centaines de maisons calcinées, plus de 1 000 sinistrés et 2 hectares de terrain anéantis[27]. La gare et sa ligne de chemin de fer sont bombardées en 1942 et en 1944. En juin 1944, des commandos parachutistes anglais y sont largués avec succès[28].Yvetot est libérée le, par les troupes anglo-canadiennes.

La reconstruction et l'évolution de l'Imprimerie

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Reconstruction en France après la Seconde Guerre mondiale.
L'église Saint-Pierre, Reconstruction (1956-1963), des architectes Chirol, Flavigny et Marchand avec des vitraux de Max Ingrand.

Pratiquement rasée en 1940 au début de laSeconde Guerre mondiale par lesAllemands, la ville est reconstruite dans un style classique à partir de 1945. La ville reprend de l'ampleur économique et devient un grand centre d'imprimerie, pour les journauxTémoignage Chrétien, ou en encore les éditions duFleuve Noir qui y imprime les romans deFrédéric Dard,San-Antonio grâce entre autres à l'Imprimerie Commerciale[29], également imprimeur du fameuxJ'irai cracher sur vos tombes deBoris Vian en1946 pour les éditions Scorpion[30].Sous l'impulsion d'André Bettencourt, les journaux Le Petit Cauchois et Le Réveil d'Yvetot fusionnent en 1948 et deviennentLe Courrier cauchois, publié parla Société Cauchoise de presse et de publicité sise à Yvetot[31].

En 1958, Yvetot est décrite comme un centre d'imprimerie d'intérêt régional selonLa revue de Rouen, en effet les destructions sévères du Havre et de Rouen ont entrainé une relocalisation vers les imprimeries d'Yvetot, restées indemne. La ville compte 5 Imprimeries. En 1967, l'Imprimerie Commerciale devient l'Imprimerie Nouvelle[32]. Elle fusionne avec l’imprimerie Édition Témoignage Chrétien, et devient ETC Inn installée àSainte-Marie-des-Champs jusqu’à sa fermeture en2018[33]. Les bâtiments de l'Imprimerie Nouvelle sont détruits en décembre 2022[34].

Autres activités

[modifier |modifier le code]

Crée en 1912, une marque de layette Ozona, développe des layettes pour bébé à partir de 1950 avec près de800 ouvrières. Dernier établissement de tisserands, les Établissements Laporte ferme en 2014. La ville comptait également deux minoteries. La marque de margarine Astra crée en 1912 à Yvetot déménage dans la banlieue parisienne en 1933. la laiterie est fermée en 1972[35].

Politique et administration

[modifier |modifier le code]

Jusqu'en 1926, Yvetot a étéchef-lieu de l'ancienarrondissement d'Yvetot, supprimé à cette occasion et jamais reconstitué. Elle était donc siège d'unesous-préfecture.

La ville d'Yvetot est le chef-lieu du canton.

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier |modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier |modifier le code]

La commune après avoir été lechef-lieu de l'arrondissement d'Yvetot de 1801 à 1926, fait désormais partie de l'arrondissement de Rouen du département de laSeine-Maritime.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu ducanton d'Yvetot[17]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier |modifier le code]

Pour lesélections départementales, la commune estdepuis 2014 lebureau centralisateur d'un nouveaucanton d'Yvetot

Articles détaillés :Liste des cantons de la Seine-Maritime,Conseil départemental de la Seine-Maritime etListe des conseillers départementaux de la Seine-Maritime.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de ladixième circonscription de la Seine-Maritime.

Articles détaillés :Liste des circonscriptions législatives de la Seine-Maritime etListe des députés de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

[modifier |modifier le code]

Yvetot est le siège de lacommunauté de communes Yvetot Normandie, unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 sous le nom decommunauté de communes de la Région d'Yvetot et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par lecode général des collectivités territoriales.

Tendances et résultats politiques

[modifier |modifier le code]

Élections présidentielles

[modifier |modifier le code]

Résultats des deuxièmes tours :

Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2007)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

Élections législatives

[modifier |modifier le code]

Résultats des deuxièmes tours :

Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2007)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

Élections européennes

[modifier |modifier le code]

Résultats des deux meilleurs scores :

Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2009)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

Élections régionales

[modifier |modifier le code]
Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2010)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

Élections municipales

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime.
  • Lors du premier tour desélections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste menée par le maire sortant Émile Canu (PS) remporte le scrutin avec 56,71 % des suffrages exprimés et 2 016 voix, suivie par les listes menées respectivement par la candidate divers-centre Charlotte Masset (29,59 %, 1 052 voix) et par le divers-centre Laurent Benard (13,7 %, 487 voix), l'abstention s'élevant à 59,26 %[36].
Article connexe :Élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime.

Référendums

[modifier |modifier le code]

Liste des maires

[modifier |modifier le code]
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
17981830Charles Delalande[37]  
18301840Jean-Louis Bourdon-Bénard Conseiller général d'Yvetot(1833 → 1842)
  Alexandre Roussel[38] Président de la Caisse d'épargne(1856 → 1862 et 1874 → 1880)
  Augustin Buisson[39] Avocat
Député de la Seine-Inférieure(1869 → 1870 et 1871 → 1876)
1846 Pierre Lefèvre[40],[41]Droite
Légitimiste
Filateur,
Conseiller général d'Yvetot(1848 → 1852)
Représentant du peuple(1848 → 1849)
Chevalier de la Légion d'honneur
18811905Ferdinand Lechevallier[42],[Note 4]républicain modéréManufacturier
Député de la Seine-Inférieure(1881 → 1905)
  Robert LemonnierRépublicainManufacturier
Conseiller général d'Yvetot(1883 → 1910)
19081925Eugène Bocheux[43],[Note 5]URDDirecteur de la caisse d'épargne
Conseiller général d'Yvetot(1910 → 1925)
Fondateur de la société d’HBM en 1922, actuellement Logéal Immobilière
Les données manquantes sont à compléter.
1933mars 1959Marcel Richard Médecin
Conseiller général d'Yvetot(1931 → 1940 et 1945 → 1958)
mars 1959juin 1995Pierre Bobée[44],[Note 6]SE puis
Rad. puisMRG
Médecin
Conseiller général d'Yvetot(1960 → 1994)
Officier de la Légion d'honneur
juin 1995mars 2008Philippe Décultot[45]DVDMédecin
Conseiller général d'Yvetot(1994 → 2008)
Président de laCC Yvetot Normandie(2002 → 2004)
mars 2008septembre 2022[46]
(démission)
Émile Canu[47]PSDocteur ès lettres, proviseur de lycée retraité
Conseiller général d'Yvetot(2008 → 2015)
octobre 2022[48]En cours
(au 23 mars 2023)
Francis AlabertDVGCadre retraité

Distinctions et labels

[modifier |modifier le code]
Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2011)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

En 2011, la commune d'Yvetot a été récompensée par lelabel « Ville Internet @@@ »[49].

Jumelages

[modifier |modifier le code]
Cette sectionne cite pas suffisamment ses sources (octobre 2020)
Pour l'améliorer, ajoutezdes références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle{{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Ainsi, la Ville est jumelée depuis 1967 avec Hemmingen en Allemagne, depuis 1975 avec Lanark en Écosse, et elle a souhaité s'ouvrir sur les pays de l'Est en signant officiellement une charte de jumelage avec Kyjov, ville de Moravie en République tchèque leCe jumelage tripartite a tissé des liens très forts entre les populations et les différentes générations de ces trois villes. Des échanges sont régulièrement organisés entre les établissements scolaires, les sapeurs pompiers, les employés de la Poste, les clubs sportifs, les écoles de musique...

En 2007, un protocole de coopération décentralisée entre le département de Seine-Maritime, la Ville d'Yvetot, la province deBam (Burkina) et la ville de Bourzanga (Burkina Faso) a été signé.

Un futur jumelage est enfin prévu avec la ville polonaise de Murowana-Goslina. Une délégation des habitants et élus de cette villea été récemment reçue[Quand ?] par la municipalité et le comité des échanges.

Équipements et services publics

[modifier |modifier le code]

Enseignement

[modifier |modifier le code]
Liste des établissements scolaires[50]
Écoles maternellesÉcoles primairesCollègesLycées

Écoles maternelles publiques :

  • École Elisabeth Cottard
  • École Léopoldine Hugo

École maternelle privée :

  • École Saint-Michel

Écoles primaires publiques :

  • École Cahan-Lhermitte
  • École Jean Prévost

École primaire privée :

  • École Saint-Michel

Établissement public :

  • Collège Albert Camus

Établissement privé :

  • Collège Bobée

Établissement public :

  • Lycée Raymond Queneau

Établissement public agricole :

  • Lycée Agricole et Agro-alimentaire / CFA-CFPPA

Établissement privé :

  • Lycée Jean XXIII

L'école Saint-Michel est la plus vieille école maternelle et primaire (317 ans). Elle a été ouverte le[réf. nécessaire]. Elle était auparavant une école mixte et un pensionnat pour filles. La ville dispose également d'une école maternelle et primaire publique, d'un collège public, d'un collège privé, d'un lycée polyvalent public, d'un lycée privé et d'un lycée agricole.

Population et société

[modifier |modifier le code]

Démographie

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[51],[Note 7].

En 2022, la commune comptait 11 548 habitants[Note 8], en évolution de −2,86 % par rapport à 2016 (Seine-Maritime : +0,35 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
9 8009 5009 4189 7589 0219 0209 0839 1838 922
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
8 6048 9218 8738 2828 4448 3977 9727 6177 545
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
7 3527 1337 1267 0107 1347 1627 2146 8046 885
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
7 9329 51010 43310 60510 80710 77010 94311 72511 888
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
11 38511 548-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puisInsee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs

[modifier |modifier le code]
Cette sectionne cite pas suffisamment ses sources (août 2021)
Pour l'améliorer, ajoutezdes références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle{{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Yvetot abrite de nombreux clubs sportifs, parfois de haut niveau, comme ceux de handball et de hockey sur gazon. On y trouve également le football, le basket, le rugby, la gymnastique, l'athlétisme, le VTT, le tennis, la pétanque, le judo, le karaté, le full contact, le tennis de table et l'escrime et d'autres. La MJC Yvetot propose des animations sportives également.

L'équipe féminine d'Yvetot de hockey sur gazon entraînée par Hubert Verrier est montée en élite en 2009, soit la première division française.

La maison des jeunes et de la culture Yvetot

[modifier |modifier le code]
Cette sectionne cite pas suffisamment ses sources (août 2021)
Pour l'améliorer, ajoutezdes références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle{{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
Logo de la MJC Yvetot.

La MJC Yvetot[53] est une association laïque régie par la loi de 1901 et agréée Jeunesse etÉducation populaire. Elle fut fondée en 1962 par l'équipe municipale de Pierre Bobée et une quarantaine de jeunes.

Elle repose sur l’apprentissage de la citoyenneté des jeunes en favorisant leur accès à la responsabilité. La MJC est affiliée à la fédération régionale MJC de Normandie, elle-même membre de la fédération nationaleMJC de France.

La démocratie se vivant au quotidien, la MJC a pour mission d’animer des lieux d’expérimentation et d’innovation sociale répondant aux attentes des habitants. Ses actions et services encouragent l’initiative, la prise de responsabilité et une pratique citoyenne.

Médias

[modifier |modifier le code]

Économie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?
Concours d'animaux de boucherie en 2013.

Culture locale et patrimoine

[modifier |modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier |modifier le code]
  • Abbaye d'Yvetot
Article détaillé :Abbaye d'Yvetot.
Vitrail de l'église Saint-Pierre.
Article détaillé :Église Saint-Pierre d'Yvetot.
  • Musée municipal des ivoires
Article détaillé :Musée des ivoires d'Yvetot.
  • Manoir du Fay : Un manoir typiquement cauchois construit en 1613 par Pierre Houel de Valleville. Ce manoir fut notamment la résidence de vacances de Pierre Corneille. Il a été classé Monument historique en 1996. D'une exceptionnelle qualité architecturale, en pierre calcaire et briques à motif de losanges dans le style Henri IV, il est maintenant à l'abandon[55], mais le parc et la cour sont régulièrement utilisés pour des représentations artistiques ou théâtrales et des feux d'artifice. Le club de tir à l'arc utilise également des installations sur le territoire du manoir du Fay.
Article détaillé :Manoir du Fay.
  • L'église Saint-Pierre.
    L'église Saint-Pierre.
  • Une pièce du Musée des ivoires.
    Une pièce du Musée des ivoires.
  • Le manoir du Fay.
    Le manoir du Fay.
  • Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.

Institution ecclésiastique

[modifier |modifier le code]

Le Séminaire d'Yvetot, institution ecclésiastique scolaire, fondée en 1826, a eu comme élèves l'écrivainGuy de Maupassant (de 1863 à 1868), l'évêque de Soissons,Jean-Baptiste Théodore Duval, l'évêque d'Arras,Eugène Julien,Louis Deschamps,Edward Montier,Raymond Mensire et Léonard-Auguste Beaucousin[56] fut fermé en1908.Deux écoles privées catholiques existent toujours L'école St Michel fondée en 1707, pour les filles (et où fut scolarisée Annie Ernaux) et le Lycée Jean XXIII.

Yvetot dans les arts et la culture

[modifier |modifier le code]
Coiffe d'Yvetot.

À l'entrée « Yvetot » duDictionnaire des idées reçues deGustave Flaubert, on trouve l'article suivant : « YVETOT : Voir Yvetot et mourir ! (v.Naples etSéville) ».

De nombreux ouvrages de l'auteureAnnie Ernaux ont pour cadre la ville d'Yvetot, parmi eux :La Place,Les Années,Retour à Yvetot

Citée dans une chanson deBéranger :le Roi d'Yvetot[57].

Film tourné à Yvetot

[modifier |modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier |modifier le code]

Natifs d'Yvetot

[modifier |modifier le code]
Monument funéraire du colonel Trupel.

Y ont passé leur enfance ou leur adolescence

[modifier |modifier le code]
  • Pierre Delanoë (1918-2006), parolier ;
  • Annie Ernaux (1940), écrivaine française, lauréate duprix Renaudot en 1984 pourLa Place et duprix Nobel de littérature en 2022 ;
  • Jean-Luc Mélenchon (1951), homme politique français, y est scolarisé à onze ans, après son arrivée deTanger en famille ;
  • Claudine Loquen (1965), artiste peintre, y passe ses vacances chez sa grand-mère maternelle, y est scolarisée au collège Albert-Camus (de 1976 à 1978) ;
  • Georges Pernoud (1947-2021), animateur de télévision ;
  • Serge Reggiani (1922-2004), comédien y a vécu rue Carnot;[60]
  • Auguste Rodin (1840-1917), sculpteur, dont le père Jean Baptiste (1803-1883) né à Yvetot et sa famille paternelle Claude Rodin (1764-1823) et Clothilde Renault (1775-1858) née à Yvetot sont des toiliers (marchand de coton) d'Yvetot.

Y est mort

[modifier |modifier le code]

Héraldique

[modifier |modifier le code]
Blason de YvetotBlason
De gueules à deux gerbes de blé en chef et deux navettes passées en sautoir en pointe, le tout d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Yvetot comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Une rue de la commune porte le nom de ce maire
  5. Une cité de logements municipaux porte son nom.
  6. Le nom de ce maire a été donné en 2014 à l'IME situé rue Joseph-Coddeville :« Merci Monsieur Bobée » : À l’occasion de la pose de la première pierre de sa réhabilitation, l’institut médico-éducatif a révélé son nouveau nom : Pierre Bobée. Le chantier durera deux ans pour un budget de six millions d’euros »,Paris-Normandie,‎(lire en ligne, consulté le).
  7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  8. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

[modifier |modifier le code]
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

[modifier |modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier |modifier le code]
  1. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Yvetot ».
  2. a etb« Chiffres clés - Logement en 2019 à Yvetot »(consulté le).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Yvetot - Section LOG T2 »(consulté le).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Yvetot - Section LOG T7 »(consulté le).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Maritime »(consulté le).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière »(consulté le).

Autres sources

[modifier |modifier le code]
  1. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  3. GIEC normand,Le climat en Normandie : présentation et évolution,, 18 p.(lire en ligne),p. 2
  4. « Orthodromie entre Yvetot et Ectot-lès-Baons », surfr.distance.to(consulté le).
  5. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  6. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  8. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  9. « Unité urbaine 2020 d'Yvetot », surle site de l'Insee(consulté le).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Yvetot », surle site de l'Insee(consulté le).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  13. Ghislain Annetta, « Yvetot : logement social, Logeal soigne ses locataires : Vendredi, le bailleur social Logeal a signé, avec les représentants des locataires de son parc, le plan de concertation 2017-2020. Cette cérémonie officielle s’est déroulée au siège, à Yvetot. »,Le Courrier cauchois,‎(lire en ligne, consulté le).
  14. a etb« Seine-Maritime : lignes régulières | Région Normandie », surnormandie.fr(consulté le).
  15. « Yvetot.fr | Site officiel de la Ville d'Yvetot. Fil Infos - Actualités - Conseil Municipal - Mairie - Cadre de vie - Enfance et jeunesse - Sports et loisirs - Solidarité et santé - Culture et patrimoine »(consulté le).
  16. abc etdFrançoisde Beaurepaire (préf. Marianne Mulon),Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris,A. et J. Picard,, 180 p.(ISBN 2-7084-0040-1,OCLC 6403150),p. 167.
  17. abc etdDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Lettres patentes de Louis XI, Rouen, octobre 1464(lire en ligne).
  19. Alexandre Fromentin, Essai historique sur Yvetot, et coup d'œil jeté sur ses environs, Valmont ... Péron, Rouen, 1844,p. 80-84.
  20. Voir le site patrimoine normand, Georges Bernage, Coiffes et costume normand : bonnet cauchois, Patrimoine Normand n°48, novembre-décembre 2003-janvier 2004. À lire surhttps://www.patrimoine-normand.com/article-147079-bonnet-cauchois.html, consulté le 14 décembre 2022
  21. voir son Musée de l'ivoire
  22. in Francis RENOUT, Yerville de la Révolution à l'Empire, Cercle généalogique du Pays de Caux, publié le 14 avril 2021 à lire surhttps://www.geneacaux.fr/
  23. in Francis Renout, L'Industrie cotonnière dans l'arrondissement d'Yvetot auXIXe siècle, Cercle Généalogique du Pays de Caux, Seine Maritime, 7 octobre 2022 à lire surhttps://www.geneacaux.fr/spip/spip.php?article821
  24. Ghislain Annetta, Une guerre oubliée : l'arrondissement d'Yvetot pendant le conflit franco-allemand de 1870, Le Courrier Cauchois, le 10 juin 2016à lire surhttps://www.lecourriercauchois.fr/actualite-89442-une-guerre-oubliee-l-arrondissement-d-yvetot-pendant-le-conflit-franco-allemand-de-1870
  25. in Guide Joanne, Normandie, Paris Hachette, 1885p. 36
  26. in Raymond Ruffin, Jeannine Balland, Normandie 1939-1944, le temps des épreuves, éditions Presse de la Cité, 1997.
  27. in Site Officiel de la ville d'Yvetot à lire surhttps://www.yvetot.fr/histoire-de-la-ville/
  28. Jean-Luc Leleu, Combattre en dictature 1944, La Wehrmacht face au débarquement, Perrin, Paris, 2022.
  29. in Didier Clatot, Yvetot grand centre d'imprimerie auxXIXe et XXe siècles, éditions Caravel création, Fauville-en-Caux, 2015.
  30. in Noel Arnaud, Dossier de l'affaireJ'irai cracher sur vos tombes, Bourgois, Paris, 2006,p. 270
  31. in Laurent Quevilly La Presse cauchoise à lire surhttp://jumieges.free.fr/journal_de_Duclair2.html
  32. in Ghislain Annetta, "Yvetot : imprimerie, une histoire qui a fait couler de l'encre , le Courrier Cauchois, le 31 décembre 2015.
  33. in Parc Régional des Boucles de la Seine Normandie à lirehttps://webmuseo.com/ws/pnr-seine-normande/app/collection/expo/72
  34. in Yvetot. Une page se tourne à l'Imprimerie Nouvelle, Patrimoine.L'imprimerie Nouvelle aura imprimé Le Courrier Cauchois de 1967 à 2007. Des travaux de démolition ont débuté. Le Courrier Cauchois, publié le 13/12/2022 à 19h57, à lire surhttps://www.lecourriercauchois.fr/actualite-333046-yvetot-une-page-se-tourne-a-l-imprimerie-nouvelle
  35. Ghislain Annetta, Yvetot : textile et idustrie, l'économie au passé composé, Le Courrier Cauchois, Yvetot, le 30 septembre 2016
  36. a etb« Yvetot 76190 »,Résultats aux municipales 2020, surlemonde.fr(consulté le).
  37. « Charles Delalande »,Les célébrités, surseine76.fr(consulté le).
  38. « Alexandre Roussel »,Les célébrités, surseine76.fr(consulté le).
  39. « Augustin, François Buisson (1812-1876) », surSycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  40. « Pierre, Nicolas, Pascal Lefèvre (1798-1865 », surSycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  41. « Lefèvre Pierre Nicolas Pascal »,base Léonore,ministère français de la Culture.
  42. « Ferdinand Lechevallier (1840-1905) », surSycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  43. « Eugène Bocheux »,Célébrités, surseine76.fr(consulté le).
  44. « Yvetot: Pierre Bobée, maire pendant 36 ans : Figure historique de la commune, Pierre Bobée est décédé samedi à l'âge de 85 ans. Estimé par ses concitoyens, il est à l'origine de nombreuses institutions »,Paris-Normandie,‎(lire en ligne, consulté le)« Maire pour la première fois en 1959, l'homme de gauche fut réélu cinq fois.Au cours de ses trente-six années de mandature, Pierre Bobée participa activement à l'essor d'Yvetot, tant sur le plan social que culturel.MJC, IME, hôpital…Il est notamment à l'origine de la MJC ».
  45. François Manoury, Éléonore Sinoquet, « Municipales 2020 : l’ancien maire d’Yvetot, Philippe Décultot, veut rassembler le centre et la droite : Philippe Décultot rêve que la ville retombe dans l’escarcelle de la droite. Probable futur allié de Charlotte Masset, l’ancien maire prône le rassemblement et cherche à dissuader Laurent Bénard de se présenter »,Paris-Normandie,‎(lire en ligne, consulté le)« À 72 ans, Philippe Décultot (Modem) estime avoir encore des choses à apporter à la ville d’Yvetot, dont il fut maire de 1995 à 2008. Battu par Émile Canu (DVG) lors des deux dernières élections municipales, ce médecin retraité milite pour rassembler les forces du centre et de droite. Et pourrait bien répondre à l’appel du pied de la candidate Charlotte Masset ».
  46. Mireille Loubet, « À Yvetot, Émile Canu, maire de la ville depuis 2008 démissionne de son mandat pour raisons de santé : C’est par un courrier lu par le premier adjoint à la toute fin du conseil municipal du mercredi 21 septembre 2022 que sa décision de se retirer de la vie politique cauchoise a été annoncée »,Paris-Normandie,‎(lire en ligne, consulté le).
  47. Réélu pour le mandat 2020-2026 :« Yvetot. Emile Canu vise un troisième mandat : "L'âge, c'est dans la tête" : Émile Canu, maire d'Yvetot depuis 2008, vise une troisième mandat. Il sera à nouveau tête de liste aux prochaines élections »,Le Courrier cauchois,‎(lire en ligne, consulté le).
  48. Olivier CASSIAU et Mireille Loubet-Anquetil, « Après la démission d’Émile Canu, Francis Alabert est élu maire d’Yvetot : Premier adjoint au maire depuis quatorze ans à Yvetot, Francis Alabert a été élu maire d’Yvetot lundi 10 octobre 2022. Il succède à Émile Canu, démissionnaire pour raisons de santé. »,Paris-Normandie,‎(lire en ligne, consulté le).
  49. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
  50. http://www.yvetot.fr/?q=node/95
  51. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  52. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  53. Site de la MJC d'Yvetot
  54. Jean-Louis Rinuy et Pascal Lemaître (Photographies),XXe-XIXe siècle Patrimoine sacré : Les lieux de culte en France depuis 1905, Paris,Éditions du patrimoine,, 232 p.(ISBN 978-27577-0344-1),p. 108-109.
  55. Pierre Jamme et Jean-François Dupont-Danican, Gentilshommes et gentilhommières en pays de Caux, Éditions de la Morande, 1996, pages 300 et 301
  56. in Robert Eude,Histoire religieuse du diocèse de Rouen auXIXe siècle - Séminaires et établissement d’enseignement , In: Études Normandes, livraison 18,no 65,1er trimestre 1956. Histoire religieuse du diocèse de Rouen auXIXe siècle - Séminaires et établissement d’enseignement.p. 187, à lire sur DOI :https://doi.org/10.3406/etnor.1956.3125, www.persee.fr/doc/etnor_0014-2158_1956_num_18_65_3125, consulté le 18 janvier 2023
  57. [1]
  58. « Trupel pur produit de la révolution... »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surParis-Normandie,(consulté le).
  59. Rémy GODBERT (modérateur du site), « TRUPEL Jean Aimable », surLes amis du patrimoine napoléonien(consulté le).
  60. https://seine76.fr/celebrites76/popup_portraits.php?var_portrait=reggiani-serge
v ·m
Communes les plus peuplées deNormandie
Les communes de plus de 3 000 habitants
Plus de 10 000 habitants
Plus de 150 000 habitants
Plus de 100 000 habitants
Plus de 40 000 habitants
Plus de 25 000 habitants
Plus de 20 000 habitants
Plus de 15 000 habitants
Plus de 10 000 habitants
De 5 000 à 10 000 habitants
Plus de 7 500 habitants
Plus de 5 000 habitants
De 3 000 à 5 000 habitants
Plus de 4 000 habitants
Plus de 3 500 habitants
Plus de 3 000 habitants
  • Gras : Préfecture régionale et départementale
  • Gras : Préfectures départementales
  • Gras : sous-préfectures
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Yvetot&oldid=222766868 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp