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Yaxchilan

16° 53′ 59″ nord, 90° 57′ 58″ ouest
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Yaxchilan
Pa' Chan
Image illustrative de l’article Yaxchilan
La structure 33, emblématique du site.
Localisation
PaysDrapeau du MexiqueMexique
ÉtatChiapas
Coordonnées16° 53′ 59″ nord, 90° 57′ 58″ ouest
Géolocalisation sur la carte :Mexique
(Voir situation sur carte : Mexique)
Yaxchilan
Yaxchilan
Yaxchilan
Géolocalisation sur la carte :Chiapas
(Voir situation sur carte : Chiapas)
Yaxchilan
Yaxchilan
Yaxchilan
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Yaxchilan (prononcerYachtchilan) est une ancienne citémaya située au Mexique, à l'est de l'État duChiapas sur la municipalité deOcosingo. Cerclé en fer à cheval par le fleuveUsumacinta qui fait office de frontière naturelle entre leMexique et leGuatemala, le site archéologique occupe une zone géographique d'environ2 500 hectares[1] au cœur de lajungle lacandone (es). Elle compte plus de 1 500 espèces végétales et animales dont une centaine est protégée[2].

Les explorations archéologiques ont permis d'établir que le site fut habité durant plus de 1 000 ans (300av. J.-C.-900apr. J.-C.)[3]. Il devint un centre culturelmésoaméricain important durant la période classique tardive (600-800apr. J.-C.), dominant des cités plus petites commeBonampak (située à 21 kilomètres) et étant en rivalité avec celle dePiedras Negras (distante de 40 kilomètres)[4]. Yaxchilan est particulièrement réputée pour ses 124 inscriptions hiéroglyphiques sculptées sur des linteaux, des stèles et des autels qui décrivent des cérémonies, des batailles, des rituels ainsi que son histoire dynastique[5].

Toponymie

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Selon les recherches du mayanisteSimon Martin (en), le nom antique de cette ville seraitPa' Chan, littéralement « Ciel Coupé » ou « Brisé » qui peut être interprété comme résultant d'un mythe faisant référence à la naissance du dieu du maïsK'awiil, à une métaphore du lever de soleil ou encore, sur la base d'une interprétation de hiéroglyphes dits « jumeaux », à la fusion politique entre deux cités[6].

Quoi qu'il en soit de ces hypothèses, le site a eu, à la suite de sa découverte, plusieurs noms en fonction des explorations successives. Comme celui que lui donnaDésiré Charnay en l'honneur dePierre Lorillard qui avait contribué à financer ses expéditions dans la zone maya : « Lorillard Ville ». Ou encore « Menche » tel que le nomma pour sa part l'archéologue anglaisAlfred Maudslay.

Mais ce n'est finalement qu'au début duXXe siècle que le site fut appelé Yaxchilan par l'archéologueTeobert Maler qui assembla lesmots mayas « Yäx » (vert) et « Tiilan » (qui gisent là) pour former letoponyme « Yäxtiilan » signifiant donc, dans ce cas particulier, « Pierres vertes »[7], en référence à la couleur verdâtre des pierres couvertes de mousse ou d'algues qu'il avait observées çà et là aux abords de la ville en ruine et du fleuveUsumacinta[8].

Histoire préhispanique

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Hormis leur nom, on trouve peu d'informations concernant les premiers souverains de Yaxchilan. On sait néanmoins que Yopaat Bahlam I, fondateur d'une longue dynastie,est monté sur le trône leapr. J.-C.[réf. nécessaire] alors que Yaxchilan était encore une cité mineure. Elle dominait néanmoins de plus petits sites tels queBonampak, et a longtemps été en guerre contrePiedras Negras, qui lui disputait le contrôle de la route commerciale del'Usumacinta[9].C’était également une ville rivale deTikal (au moins pendant un certain temps) et dePalenque, contre laquelle Yaxchilan a fait la guerre en654[réf. nécessaire]. Au fil du temps, la ville-État est devenue une capitale régionale dont la dynastie a duré jusqu'au début duIXe siècle.

Yaxchilán atteignit le faîte de sa puissance pendant le long règne de 61 ans du roi Itzamnaaj Bahlam III, mort à plus de 90 ans en742. Pourtant, la prise de pouvoir successorale de son fils Yaxun Bahlam IV n'est intervenue que dix ans plus tard, en752. Cette latence dans la chronologie des souverains de Yaxchilan n'a cessée d'intriguer les archéologues. Car elle semble correspondre à une période obscure que l'on appelle l'« interrègne » et qui donna lieu à une crise politique et à des luttes pour le pouvoir. Une des hypothèses qui tente d'éclairer cette décennie trouble s'appuie sur le panneau 3 de la cité rivale dePiedras Negras qui mentionne la visite en749 d'un seigneur dePa' Chan (Yaxchilan), Yopaat Bahlam II, dont on ne trouve pourtant aucune référence dans les inscriptions dynastiques de Yaxchilan. Cela pourrait alors indiquer qu'à cette époque, après la mort du roi Itzamnaaj Bahlam III, la ville s'est trouvée temporairement sous la domination politique dePiedras Negras[3].

Plus de la moitié des monuments que l'on peut voir actuellement sur le site, notamment ceux de la Grande Place, ont été érigés sous le règne de Yaxun Bahlam IV, probablement dans le but de renforcer sa légitimité retrouvée ainsi que le statut de sa mère, Dame Ik'-Crâne, originaire deCalakmul et troisième au rang des épouses de son père[3]. Mais dans cette quête de légitimité, Oiseau-Jaguar IV ne fut pas seulement un bâtisseur mais également unsouverain guerrier parmi les plus agressifs, comme le souligne le titre éloquent qui lui était donné : « aj k'al baak », c'est-à-dire « celui de vingt captifs »[10].

Ses entreprises militaires furent poursuivies par son fils Itzamnaaj Bahlam IV, qui contrôlait sans doute la cité deBonampak, puisqu'ilsupervisa l'accession au trône de son souverain en790[réf. nécessaire]. En808, son fils K'inich Tatbu-Crâne III remporta un dernier triomphe surPiedras Negras, dont il captura le souverain. Cette victoire semble avoir été lechant du cygne pour Yaxchilán : le Linteau 10 qui rapporte cet événement est le dernier monument de la cité portant une date encompte long. Par ailleurs, la piètre qualité dutexte hiéroglyphique témoigne d'une certaine décadence de la cité qui s'amorce à cette époque[11]. Bien que les circonstances exactes ne soient pas connues, la fin fut sans doute violente, comme tend à le prouver la découverte par l'archéologue Akira Taneko de217 pointes de projectiles éparpillées à un endroit stratégique de l'Acropole Ouest[12].

Chronologie partielle des souverains (ajaw) de Yaxchilán[11]

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Escalier Hiéroglyphique figurant Yaxun Bahlam III (Oiseau-Jaguar III) en train de jouer au jeu de balle.
Linteau 53 de la structure 55 : Itzamnaaj Bahlam III (Bouclier-Jaguar III) et son épouse Dame Ik'-Crâne, mère d'Yaxun Bahlam IV en 709[11].
Nom maya du souverainVariante / SobriquetPériode de règne
YOPAAT BAHLAM IAncêtre-Jaguar I359 - ?
ITZAMNAAJ BAHLAM IBouclier-Jaguar I?
YAXUN BAHLAM IOiseau-Jaguar I378 - 389
YAX-BOIS DE CERF-CRÂNECrâne Première Corne389 - 402
SOUVERAIN 5?402 - ?
K'INICH TATBU-CRÂNEIMahk'ina Tah Crâne I?
SOUVERAIN ?Lune-Crâne454 - 467
YAXUN BAHLAM IIOiseau-Jaguar II467 - ?
SOUVERAIN ?Yeux Noués-Jaguar I508 - 518
K'INICH TATBU-CRÂNEIIMahk'ina Tah-Crâne II526 - 537
SOUVERAIN ?Yeux Noués-Jaguar II564 - ?
ITZAMNAAJ BAHLAM IIBouclier-Jaguar II599 - ?
K'INICH TATBU-CRÂNEIIIMahk'ina Tah-Crâne III?
YAXUN BAHLAM IIIOiseau-Jaguar III629 - 669
ITZAMNAAJ BAHLAM IIIBouclier-Jaguar III681 - 742
(YOPAAT BAHLAM II)(Ancêtre-Jaguar II)« Interrègne »
YAXUN BAHLAM IVOiseau-Jaguar IV752 - 768
ITZAMNAAJ BAHLAM IVBouclier-Jaguar IV769 - 800
K'INICH TATBU-CRÂNEIVMahk'ina TahCrâne III? - 808

Histoire moderne

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Télégramme deDésiré Charnay informantJules Ferry de la découverte d’une cité maya inconnue.

Si la première mention faite de l'emplacement semble avoir été une brève note de l'aventurier costaricienJuan Galindo datant de1833[réf. nécessaire], c'est la publication en1847 d'un livre de voyage écrit et illustré par les AméricainsJohn Lloyd Stephens etFrederick Catherwood :Incidents de voyage en Amérique centrale, au Chiapas et au Yucatán (es), qui marqua le début des grandes découvertes dans cette région d’Amérique centrale.Il fallut néanmoins attendre 1881 pour que le professeur etcartographe allemandEdwin Rockstoh (es), du Collège national de Guatemala, inspecte les lieux et en rende compte de manière formelle. L'année suivante, ce fut au tour de l'explorateur et archéologue anglaisAlfred Maudslay et du photographe françaisDésiré Charnay de révéler au monde le site maya de Yaxchilan en réalisant un registre détaillé des édifices et monuments ainsi que de nombreux schémas et photographies[13].

Les rives du fleuveUsumacinta, près de Yaxchilan.

Par suite, en 1895, 1897 et 1900, l'explorateur austro-allemandTeobert Maler inspecta Yaxchilan afin d'établir unenomenclature des édifices et monuments du site, mais aussi d'emplacements voisins. Ce système de classification fait encore référence aujourd'hui. Au siècle suivant, entre1914 et1931, l'archéologue etépigraphiste américainSylvanus Morley dirigea plusieurs expéditions sous l'égide de l’Institut Carnegie de Washington qui permirent de réaliser latopographie du site et de découvrir d'autres édifices importants. De 1973 à 1985, l'Institut national d'anthropologie et d'histoire (INAH) confia à l'archéologue mexicain Roberto García Moll des travaux d'excavation et de consolidation sur une trentaine d'édifices. Plus tard, vers la fin des années 1990, les travaux de l'INAH portèrent cette fois-ci sur la consolidation de 13 autres structures ainsi que sur l'étudeépigraphique de nombreuses inscriptions. Situé dans une zone géographique riche en biodiversité, au cœur de la forêt tropicale, Yaxchilan fait partie des rares sites archéologiques déclarés conjointementmonument naturel etculturel[5].

Au delà des diverses explorations et autres investigations archéologiques, le site de Yaxchilan a toujours été difficile d'accès. Car jusqu'aux années 1990, les seuls moyens permettant de l'approcher étaient le bateau ou l'avion. Il n'y avait pas de route à moins de 150 kilomètres. Mais, depuis la construction dans les années 1990 d'une autoroute par le gouvernement mexicain le long de la frontière avec leGuatemala, il est désormais possible de se rendre à Yaxchilan par voie terrestre, jusqu'à la localité deFrontera Corozal, sur les rives du fleuveUsumacinta. De là, il est cependant toujours nécessaire d'emprunter une pirogue pour pouvoir, en 30 minutes, accéder au site de plain-pied.

Description du site

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À l'entrée du site, la structure 19 surnommée « Le Labyrinthe ».
Structures 6 (centre) et 7 (gauche) situées à l'est de la Grande Place.
Ensemble de constructions de l'Acropole Ouest (ou Petite Acropole).
Chefs-d'œuvre de l'art maya : Les linteaux 25, 24 et 26 du temple 23 (dimensions et couleurs harmonisées).

Yaxchilan compte, dans sa partie centrale, plus de 120 constructions distribuées en trois secteurs principaux : la Grande Place, la Grande Acropole et l'Acropole Ouest (ou Petite Acropole). Ces ensembles sont connectés à travers des escaliers, des rampes et des terrasses de distribution[3]. La Grande Place, située dans la partie basse de la ville et parallèlement au fleuveUsumacinta, concentre un grand nombre d'édifices. Dans sa section ouest, à l'entrée du site, on trouve entre autres le bâtiment 19 (également connu sous le nom de « Labyrinthe »), un jeu de balle ainsi qu'untemazcal (structure 17). À l'est, l'ensemble architectural se compose de cinq structures dont l'une, avec son escalier hiéroglyphique, peut être considérée comme un palais. Au centre de la Grande Place, en direction du sud, se trouvent plus de six bâtiments ainsi qu'un grand escalier qui mène aux constructions 25, 26 et 33. On se situe alors dans la Grande Acropole. Au nord-ouest, près de l'entrée du site sur une colline calcaire en élévation d'une cinquantaine de mètres, la Petite Acropole abrite deux places et treize constructions dont les bâtiments 44, 48 et 51. Finalement, on notera encore un 4e ensemble plus petit. Située en arrière plan au sud de la Grande Acropole, l'Acropole Sud est composée de trois édifies (39, 40 et 41)[5].

La plus ancienne construction connue de Yaxchilan date d'avant l'an 600apr. J.-C. Il s'agit de la sous-structure du bâtiment 7 situé sur la Grande Place. Par suite, les édifices 6, 13 et 74 ont été érigés dans le même secteur au cours de la première moitié duVIIe siècle. Ces premiers éléments architecturaux se caractérisent par destravées longues et étroites, couvertes par une voûte à moulures horizontales, deslinteaux en bois sur les ouvertures et des décorations représentant des divinités modelées enstuc. Dans ces bâtiments, la couleur rouge prédominait, ce qui a amenéTeobert Maler à identifier la structure 6 comme étant le « Temple Rouge »[14].

Pour la période comprise entre 650 et 700apr. J.-C., on distingue deux types de constructions : le premier consiste en des sous-sols en gradins avec des coins repliés, comme les bâtiments 18, 77, 35 et 36, dans la construction desquels de gros blocs de roche calcaire ont été utilisés. Bien qu'à ce jour aucune décoration qui leur soit associée n'ait été retrouvée, on peut supposer, par analogie avec d'autres sites, qu'elle était constituée de grands masques en stuc disposés sur les corps qui flanquent les escaliers à chevrons. Le deuxième type de constructions de cette seconde moitié duVIIe siècle se retrouve principalement dans la Grande Acropole et l'Acropole Sud, et est formé par les bâtiments 25, 26, 30, 33, 39 et 41. Ces édifices se caractérisent par une doubletravée intérieure (sauf le 39), une silhouette composite ouvrant à hauteur dulinteau et une crête de murs ajourés et droits au centre de la toiture. Le décor étant également composée de figures modelées enstuc[14].

Hormis ces divers bâtiments, Yaxchilan compte de nombreuses sculptures bien conservées dont la plus ancienne connue, la stèle 27, date du règne de Yeux noués-Jaguar I. Faisant face à l'édifice 9, elle représente le monarque et célèbre la fin d'unkatun en514. Endommagée au fil du temps, la stèle fut restaurée à la fin de lapériode classique, probablement sous le règne de Yaxun Bahlam IV (Oiseau-Jaguar IV)[11].

Le site est également connu pour avoir abrité la remarquable série des 3linteaux de l'édifice 23 (sur la Grande Place), la maison de Dame K'abal Xook, une des épouses du souverain Itzamnaaj Bahlam III (Bouclier-Jaguar III). Ces trois sculptures en relief, les 24, 25 et 26, représentent K'abal Xook dans l'accomplissement d'un rituel. La série commence chronologiquement par le linteau 25, datant de681, la représentant en proie à une vision. Lelinteau 24,daté du 24 octobre709[réf. nécessaire], est une scène de saignée rituelle : la femme fait passer à travers sa langue une corde munie d'épines, tandis que son époux l'éclaire avec un flambeau. Le linteau 26, daté de724, la représente tendant à son époux un casque en forme de jaguar. Ces trois linteaux sculptés en relief comptent parmi les chefs-d'œuvre de l'Art maya.

Au fil du temps, les découvertes faites à Yaxchilan ont suscité des convoitises diverses. Ainsi, entre 1882 et 1887,Alfred Maudslay et son agent mexicain Gorgonio López retirèrent du site sixlinteaux dont cinq sont aujourd'hui exposés auBritish Museum de Londres (notamment les 24 et 25) ; le sixième ayant été envoyé par erreur aumusée ethnologique de Berlin, puis disparut au cours de la Seconde Guerre mondiale. Par ailleurs, en 1964, à l'occasion de l'inauguration du nouveau bâtiment duMusée national d'anthropologie de Mexico, trois stèles et neuf linteaux (dont le 26) furent retirés de Yaxchilan. Depuis lors, une seule de ces sculpture a été rapatriée, en 1981[15].

Bibliographie

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Notes et références

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  1. (es) « Comisíon Nacional de Áreas Naturales Protegida (CONANP) », surGobierno de México(consulté le)
  2. (es) « Enciclovida (2022) », surComisión National para el Conocimiento y uso de la biodivesidad(consulté le)
  3. abc etd(es) María Elena Vega Villalobos, « La composición dinástica de Yaxchilán durante el reinado de Yaxuun B'ahlam IV »,Estudios de Cultura Maya,vol. 31,no 1,‎,p. 17-44(ISSN 0185-2574,lire en ligne, consulté le)
  4. (en) Héctor Victor Cabadas-Báez et al., « Soils as a Source of Raw Materials for Ancient Ceramic production in the Maya region of Mexico: Micromorphological insight »,Boletín de la Sociedad Geológica Mexicana,vol. 70,no 1,‎,p. 21-48(lire en ligne, consulté le)
  5. ab etc(es) « Yaxchilán Piedras verdes », surInstituto Nacional de Antropología e Historia (INAH)(consulté le)
  6. (en) Simon Martin, « A Broken Sky:The Ancient Name of Yaxchilan as Pa’ Chan »,The PARI Journal,vol. V,no 1,‎,p. 1-7(ISSN 1531-5398,lire en ligne, consulté le)
  7. (en) Carolyn E. Tate,Yaxchilan: The Design of a Maya Ceremonial City, Austin, University of Texas Press,, 328 p.(ISBN 9780292770416,lire en ligne),p. 8
  8. (de) Teobert Maler,Bauten der Maya aufgenommen in den Jahren 1886 bis 1905 und beschrieben,vol. 4, Berlin, Gebr.Mann Verlag,, 120 p.(ISBN 3786130035),p. 26
  9. (en)Robert J. Sharer et Loa P. Traxler,The Ancient Maya, Stanford University Press, 2006,6e éd., 931 p.(ISBN 978-0804748179,lire en ligne),p. 430-432
  10. (es) David Stuart, « Los antiguos mayas en guerra »,Arqueología Mexicana,vol. 14,no 84,‎,p. 41-48(ISSN 0188-8218)
  11. abc etd(en) Simon Martin etNikolai Grube,Chronicle of the Maya Kings and Queens, London, Thames & Hudson, 20082e éd., 240 p.(ISBN 9780500287262,lire en ligne),p. 118-137
  12. (en) Michael D. Coe,The Maya : Ancient Peoples and Places, London, Thames & Hudson, 20118e éd., 280 p.(ISBN 978-0500289020),p. 170
  13. (es) Roberto García Moll, « Yaxchilán, Chiapas, La ciudad en la selva »,Arqueología Mexicana,vol. IV,no 22,‎,p. 36-45(lire en ligne, consulté le)
  14. a etb(es) Roberto García Moll, « La arquitectura de Yaxchilán, Chiapas »,Arqueología Mexicana,vol. IV,no 22,‎,p. 36-45(lire en ligne, consulté le)
  15. (es) Roberto García Moll, « El saqueo de Yaxchilán. El diálogo roto »,Arqueología Mexicana,vol. IV,no 21,‎,p. 32(lire en ligne, consulté le)

Annexes

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Articles connexes

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