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William Bouguereau

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Pour les articles homonymes, voirBouguereau.

William Bouguereau
William Bouguereau,Autoportrait (1879),
Musée des beaux-arts de Montréal.
Fonction
Président
Fondation Taylor
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Adolphe-Williams Bouguereau
Nationalité
Domicile
Formation
Activité
Conjoints
Marie-Nelly Monchablon(d)(de à)
Elizabeth Jane Gardner Bouguereau(de à)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Henriette Vincens(d)
Georges Bouguereau(d)
Jeanne Bouguereau(d)
Paul Bouguereau(d)
Maurice Bouguereau(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Mouvement
Mécène
Maître
Genres artistiques
Influencé par
Distinction
secondprix de Rome (1848), premier prix de Rome (1850), grand officier de laLégion d'honneur[1]
Œuvres principales
signature de William Bouguereau
Signature
Tombe de William Bouguereau, aucimetière du Montparnasse (12e division).

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Adolphe William Bouguereau, né le àLa Rochelle où il est mort le, est unpeintrefrançais. Dans ses peintures réalistes, il utilise des thèmes mythologiques, proposant des interprétations modernes de sujets classiques, en mettant l'accent sur le corps féminin. Il est un des représentants majeurs de lapeinture académique française de la fin duXIXe siècle.

Biographie

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Adolphe Williams Bouguereau[2] est le fils d'un négociant envins de Bordeaux. Sa famille, de confessioncatholique, a des originesanglaises.

Il apprend le dessin à l'école municipale de dessin et de peinture deBordeaux. En 1846, il entre à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier deFrançois Édouard Picot, sur la recommandation de J. P. Allaux. Il remporte le secondprix de Rome,ex æquo avecGustave Boulanger, pour sa peintureSaint Pierre après sa délivrance de prison vient retrouver les fidèles chez Marie (1848).

Il remporte le premier prix de Rome en 1850 avecZénobie retrouvée par les bergers sur les bords de l'Araxe.

En 1866, le marchand de tableauxPaul Durand-Ruel s'occupe de sa carrière et permet à l'artiste de vendre plusieurs toiles à des clients privés. Il a ainsi énormément de succès auprès d'acheteurs américains, au point qu'en 1878, lors de la première rétrospective de sa peinture pour l'Exposition universelle àParis, l'État ne peut rassembler que douze œuvres, le reste de sa production étant localisée aux États-Unis[3]. Il passe aussi un contrat avec la maison d'éditionGoupil pour la commercialisation de reproductions en gravure de ses œuvres. En 1876, il devient membre de l'Académie des beaux-arts.

En 1866, il se marie avec son modèle, Marie-Nelly Monchablon, avec qui il vit déjà depuis plusieurs années et que l'on peut retrouver sur nombre de ses tableaux depuis les années 1850[4]. Le couple a déjà trois enfants, nés avant leur mariage : Henriette (1857-1953), Georges William (1859-1875), et Jeanne (1861-1866) et qui meurt à l'âge de cinq ans. Deux autres enfants naissent après leur mariage : Paul (1868-1900) et William Maurice (1876-1877). Ce dernier meurt huit mois après sa naissance, suivi de près par sa mère, qui s'éteint en 1877. Ils étaient tous deux atteints par latuberculose[5] et leur mort éprouve durablement Bouguereau, qui peint en 1877 uneVierge consolatrice.

En 1885, il est élu président de laFondation Taylor, fonction qu'il occupera jusqu'à la fin de sa vie. La même année, il obtient la médaille d'honneur au Salon[6].

Professeur en 1888 à l'École des beaux-arts de Paris et à l’Académie Julian, ses peintures de genre, réalistes ou sur des thèmes mythologiques, sont exposées annuellement auSalon pendant toute la durée de sa carrière. Il travaille aussi à de grands travaux de décoration, notamment pour l'hôtel deFrançois Bartholoni, et peint aussi le plafond duGrand Théâtre deBordeaux.

En 1896, Bouguereau épouse en deuxièmes noces une de ses élèves, la peintreElizabeth Jane Gardner. Le peintre use de son influence pour permettre l'accès des femmes à beaucoup d'institutions artistiques en France[7].

L'appartement d'Elizabeth Jane Gardner se trouve dans la même rue que la famille de William Bouguereau, auno 75rue Notre-Dame des Champs[8],[9]. Peu de temps après la mort de Nelly Monchablon, Bouguereau souhaite épouser Elizabeth Gardner, une élève qu'il connaît depuis dix ans, mais sa mère s'y oppose[10] ainsi que sa fille[8]. Elizabeth Gardner fait jurer à Bouguereau qu'il ne se remarierait pas du vivant de celle-ci[10]. Ils se fiancent en 1879[11]. Après la mort de sa mère et après dix-neuf ans de fiançailles, ils se marient à Paris en juin 1896[10]. Ils passent leurs étés àLa Rochelle[8] et resteront ensemble jusqu'à la mort de celui-ci[12].

Son fils, Georges William, âgé de15 ans, en villégiature àÉcouen, meurt chezGuillaume Seignac le[13]. Son autre fils Paul meurt en 1900.

William Bouguereau meurt le àLa Rochelle[14] en sonhôtel particulier, ne laissant comme descendance que sa fille aînée, Henriette, mariée en 1880 à un cousin éloigné Georges Vincent (1839-1913) et morte en 1953[15]. Ella a un fils unique William (1880-1963) qui prend comme nom de famille Vincens Bouguereau.

Le peintre est inhumé à Paris aucimetière du Montparnasse (12e division), au côté de sa première épouse.

Un peintre de la femme et de l'enfant

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L'Aurore (1861),Birmingham Museum of Art.

Son thème de prédilection est lareprésentation du corps féminin. AvecAlexandre Cabanel,Jules Lefebvre etJean-Léon Gérôme, il est associé au genre du nu académique. SaNaissance de Vénus (1879,Paris,musée d'Orsay) est emblématique d'une peinture sensuelle profondément influencée par les Vénus d'Ingres. C'est avec ce genre qu'il connaît le plus de succès mais rencontre aussi le plus de critiques. À cause de la texture lisse et minutieuse de sa peinture,Joris-Karl Huysmans dit à son encontre :« Ce n'est même plus de la porcelaine, c'est du léché flasque ; c’est je ne sais quoi, quelque chose comme de la chair molle de poulpe[16] ». Le peintre impressionnisteEdgar Degas invente le verbe « bouguereauter » pour désigner ironiquement l'action de fondre et de lisser le rendu pictural de cette manière.

Après le deuil qu'il subit en 1877, il se tourne davantage vers lapeinture religieuse et délaisse peu à peu les thèmes en rapport avec l'Antiquité de ses débuts.

Il représente également de nombreuses fois des portraits d'enfants à partir de 1870. Il peint sa fille Henriette et son fils Paul dans le tableauLa Sœur aînée en 1869. Lorsqu'il se trouve àLa Rochelle à partir de 1893, il prend pour modèles récurrents trois fillettes habitant près de La Rochelle : Yvonne et ses sœurs Jeanne et Marguerite. On retrouve Yvonne dans un grand nombre de mises en scènes intimistes ou champêtres, la plupart vendus aux amateurs américains dontLe Livre de prix, devenu invisible depuis 1916, qui réapparaît dans une vente chezSotheby's à New York en 2019, où il atteint le prix de1 275 000 dollars[17], confirmant le regain d'intérêt pour les œuvres de Bouguereau.

Postérité

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Nymphes et satyre (1873)Williamstown,Clark Art Institute.

Déconsidéré en Europe peu après sa mort et jusque vers la fin duXXe siècle, son œuvre y est redécouverte tardivement. De son vivant, les toiles de Bouguereau sont très recherchées par les collectionneurs américains qui les achètent à des prix élevés, de sorte qu'une grande partie de son œuvre a quitté la France.

Dante et Virgile (1850),Paris,musée d'Orsay.

Dans le contexte duXXe siècle, où l'influence dumodernisme grandit en histoire de l'art pour en devenir finalement le courant officiel[18], l'art académique se trouve discrédité et dévalué[19], sévèrement critiqué par une pensée moderniste favorable à l'art d'avant-garde[20] et mis à l'index[21]. Les artistes académiques comme Bouguereau connaissent alors une dévaluation très significative. Pendant des décennies, le nom du peintre a même fréquemment disparu des encyclopédies généralistes et des enseignements artistiques ou est simplement mentionné comme celui d'un exemple à ne pas suivre[22], objet de moqueries[23] — souvent appuyées sur des citations deZola ou deHuysmans — et entaché par des rumeurs diffamantes[24]. On reproche au peintre sa participation aux jurys dessalons officiels de peinture duXIXe siècle, où il se serait opposé à l'admission d'œuvres de peintres impressionnistes (en réponse,Degas désigne le style académique par le néologisme « bouguereauter » ;Cézanne surnommait le Salon :« le Salon de Bouguereau[25],[26] »). Il a néanmoins influencé des peintres commeFritz Zuber-Bühler[27].

À partir desannées 1950, lesurréalisteSalvador Dalí manifeste son admiration pour l'art de Bouguereau, qu'il oppose àPablo Picasso, et contribue à sa redécouverte. DansLes Cocus du vieil art moderne[28], volontiers adepte d'une rhétorique paradoxale, Dali écrit :« Picasso, qui a peur de tout, fabriquait du laid par peur de Bouguereau. Mais, lui, à la différence des autres, en fabriquait exprès, cocufiant ainsi ces critiques dithyrambiques qui prétendaient retrouver la beauté[29] ».

Depuis l'exposition rétrospective de ses œuvres organisée auPetit Palais à Paris en 1984, la réputation de Bouguereau s'est progressivement améliorée, sur fond de controverse entre partisans et opposants au retour en grâce de la peinture académique. Ainsi, à l'ouverture dumusée d'Orsay à Paris en 1986, l'exposition d'œuvres académiques est sévèrement critiquée par une majorité de critiques d'art[21],[30]. En 2001, Fred Ross, président duArt Renewal Center qui promeut la réhabilitation de Bouguereau, fustige ce qu'il estime être une« propagande » du modernisme ayant conduit, selon lui, au« système de pensée le plus oppressif et restrictif de toute l'histoire de l'art[31] ». Il édite un catalogue raisonné de l'œuvre peint de Bouguereau rédigé par Damien Bartoli.

En 2006-2007 a lieu auPhilbrook Museum of Art deTulsa une exposition[32] consacrée au peintre et à ses élèves américains. La cote élevée de ses peintures témoigne du regain d'intérêt des collectionneurs d'art pour son œuvre[33] et du goût du public pour ses peintures dans les musées[34].

En 2019, leMilwaukee Art Museum àMilwaukee a organisé une exposition de plus de quarante tableaux de Bouguereau, intituléeBouguereau & America[35]. Cette exposition doit ensuite se déplacer àMemphis auMemphis Brooks Museum of Art (en)[36], puis àSan Diego auSan Diego Museum of Art[37].

Œuvres

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Article détaillé :Œuvre peint de Bouguereau.
Flore et Zéphyr (1875),musée des Beaux-Arts de Mulhouse.

Œuvres dans les collections publiques

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Argentine

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Australie

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Canada

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Cuba

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L'Art et la Littérature (1867),New York,Arnot Art Museum.

Espagne

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États-Unis

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Sur la grève ouSœurs sur le rivage[38] (1896),Detroit Institute of Arts.

France

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Détail duVœu à Sainte-Anne-d’Auray (1869).
Napoléon III visitant Tarascon lors des inondations de 1856, Hôtel de Ville deTarascon, salle des Consuls.

Grande-Bretagne

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Inde

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Japon

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Récompenses et distinctions

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Élèves

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William Bouguereau dans la culture

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  • Le musicien norvégienVarg Vikernes, au sein du projet deblack metalBurzum, prend le tableauDouleur d'amour (1899) comme illustration de son albumFallen en 2010.
  • Dans le film, tiré du roman deMarcel Aymé :Le Bœuf clandestin (2013) réalisé parGérard Jourd'hui, le tableauBiblis est présent comme unique tableau des Berthaud et permet une longue discussion des personnages sur ce qu'a voulu faire le peintre.
  • Le designer italienRiccardo Tisci utilise[Quand ?] les œuvres du peintre dans une de ses collections pour la maison de haute-couture françaiseGivenchy.
  • Dans le romanSoumission (2015) deMichel Houellebecq, le tableauAdmiration qui orne le salon de l'identitaire Lempereur est longuement décrit.
  • William Bouguereau est cité plusieurs fois dans le romanLa Toile du paradis (traduction du japonais) de Maha Harada, éd. Picqier, Arles, 2021.

Notes et références

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  1. Ministère de la Culture et de la Communication, Base Léonore, Archives Nationales.
  2. Son acte de naissanceno 412 du1er décembre 1825, consultable auxarchives départementales de Charente-Maritime (Collection du greffe), mentionne son nom de famille sous la forme « Adolphe Williams Bouguereau », mais la dénomination d'usage est celle de la signature de ses tableaux, « William Bouguereau ».
  3. James Harding,Les peintres pompiers,p. 25.
  4. « Marie-Nelli Monchablon (1836-1877) | WikiTree FREE Family Tree », surwww.wikitree.com(consulté le)
  5. Didier Jung,William Bouguereau, le peintre roi de la Belle Époque, éditions Le Croît vif, Saintes, 2014.
  6. Henry Havard (ill. Goupil &Cie),Salon de 1885, Paris, Ludovic Baschet,(OCLC 5867680).
  7. « Elizabeth Jane Gardner Bouguereau - 23 artworks », surArt Renewal Center(consulté le)
  8. ab etc(en) Authorjonathan5485, « Elizabeth Jane Gardner – the resolute and tenacious artist. »Accès libre, surmy daily art display,(consulté le)
  9. Bertrand Dreyfus,Le guide du promeneur :6e arrondissement, Paris, Parigramme, 1994,p. 243.
  10. ab etcWissman, Fronia E.,Bouguereau, San Francisco, Pomegranate Artbooks,(ISBN 978-0876545829),p. 15
  11. (en-US) « Elizabeth Jane Gardner Bouguereau | Artist Profile », surNMWA(consulté le)
  12. Bartoli, Damien et Ross, Frederick C.,William Bouguereau: His Life and Works,
  13. Notice sur William Bouguereau sur le sitePeintres-ecouen.com.
  14. Archives départementales de Charente-Maritime Acte de décèsno 458 dressé le 20/08/1905, vue 119 / 198
  15. Information documentée sur le siteGazette-drouot.com.
  16. Joris-Karl Huysmans,Écrits sur l'art, Jérôme Picon, éd., Paris, Flammarion, 2008,476 p.(ISBN 978-2-08071-252-3).
  17. Vente sous leno 407 sur le siteSothebys.com.
  18. (en) Corinne Robins,The Pluralist Era American Art, 1968-1981, Harper & Row, 1984,p. 2.
  19. (en)Academic American Encyclopedia, Grolier Academic, 1989,p. 69(ISBN 0-7172-2024-9).
  20. (en) Tim Barringer,Rethinking Delaroche/Recovering Leighton,.
  21. a etb(en) Michael Kimmelman, « Forgiving the popular paintings »,New York Times, (en ligne)
  22. (en) Mark Roth, « Gifted artist ? Bouguereau's work controversial more than a century after his death »,Pittsburgh Post-Gazette, (en ligne).
  23. (en) Lisa Small, « Dahesh Curator Lisa Small on Kitsch », surdaheshmuseum.org ([PDF] en ligne).
  24. (en) Damien Bartoli, « Bouguereau William » surartrenewal.org (en ligne).
  25. Le salon des beaux Arts,hist-geo.ac-rouen.fr.
  26. Collectif et FrançoisBlondel,La peinture au musée d'Orsay, VisiMuZ Editions,(ISBN 979-10-90996-37-3,lire en ligne)
  27. « Fritz Zuber-Buhler », surhistoryofpainters.com(consulté le).
  28. Grasset et Fasquelle, 1956.
  29. Salvador Dali :Les cocus du vieil art moderne« Copie archivée »(version du surInternet Archive).
  30. (en) Andrea Kupfer Schneider,Creating the Musée D'Orsay. The Politics of Culture in France, Penn State Press, 1998,p. 56.
  31. (en)[PDF]arthistory.sbc.edu
  32. (en)In the Studios of Paris: William Bouguereau & His American Students.
  33. (en) Carly Berwick, « Who Is Buying All Those Bouguereaus? »,New York The sun, (en ligne).
  34. (en)[MP3]« Sarah Hall, director of Curatorial Affairs for the Frick Art & Historical Center »,post-gazette.com.
  35. (en) « Bouguereau & America »,Milwaukee Art Museum, 2019.
  36. « Bouguereau & America », surwww.brooksmuseum.org(consulté le).
  37. (en)Bouguereau & America,musée d'Art de San Diego, 2020.
  38. Yvonne et sa sœur Marguerite, modèles habituels du peintre à La Rochelle.
  39. (en) « Fraternal Love », surMuseum of Fine Arts, Boston,(consulté le).
  40. (en-US) « Bataille des Centaures contre les Lapithes (Primary Title) - (2008.100) », surVirginia Museum of Fine Arts(consulté le).
  41. « Joslyn Art Museum Omaha Nebraska », surjoslyn.org, Art Museum, Art Classes Omaha Nebraska(consulté le).
  42. « Joslyn Art Museum Omaha Nebraska », surjoslyn.org, Art Museum, Art Classes Omaha Nebraska(consulté le).
  43. « The Elder Sister », surmfah.org, The Museum of Fine Arts, Houston(consulté le).
  44. « Nymphs and Satyr », surclarkart.edu(consulté le).
  45. « Homer and His Guide (Homère et son guide) », surcollection.mam.org, Milwaukee Art Museum(consulté le).
  46. a etb« William Adolphe Bouguereau (French, 1825-1905), La Charité », surChristie's(consulté le)
  47. (en) « A Young Girl Defending Herself against Eros (Getty Museum) », surThe J. Paul Getty in Los Angeles(consulté le).
  48. (en) « The Nut Gatherers », surdia.org(consulté le).
  49. (en) « Paintings. Bouguereau, William Adolphe », surHenry Collections Home(consulté le).
  50. (en-US) « Whisperings of Love », surNew Orleans Museum of Art(consulté le).
  51. (en) « The Little Beggars (Les Petites Mendicants) », surSyracuse University Art Galleries(consulté le).
  52. « Collections Database », surmuseums.fivecolleges.edu(consulté le).
  53. (en) « Collection | Carnegie Museum of Art », surcollection.carnegieart.org(consulté le)
  54. « Admiration », sursanantonio.emuseum.com(consulté le)
  55. « Childhood Idyll », surdenverartmuseum.org, Denver Art Museum(consulté le).
  56. « Memorial Art Gallery Collection-Young Priestess, 73.1 », surmagart.rochester.edu(consulté le).
  57. MarieLemaréchal,André Crochepierre (1860-1937) : Eloge de l’instantané, Ville de Villeneuve s/Lot,, 80 p.(ISBN 2-9523881-7-2),p. 28.
  58. (en-US) « L'Aurore (Dawn) », surartsbma.org, Birmingham Museum of Art(consulté le).
  59. Moniteur, « Nominations »,Moniteur belge,no 135,‎,p. 1(lire en ligne, consulté le).

Voir aussi

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Bibliographie

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Monographies

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Ouvrages généraux

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Catalogues

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Articles connexes

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Liens externes

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