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Vlaams Belang

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Vlaams Belang
Image illustrative de l’article Vlaams Belang
Logotype officiel.
Présentation
PrésidentTom Van Grieken
Fondation
SiègePlace Madou, 8bte 9
1210
Bruxelles
Organisation de jeunesseVlaams Belang Jongeren
Slogan« Nos gens d'abord »
PositionnementExtrême droite[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9],[10]
IdéologieNationalisme flamand[11],[12]
National-conservatisme[13]
Séparatisme[11],[12]
Conservatisme social[14]
Euroscepticisme[15]
Populisme de droite[11],[16]
Républicanisme[17]
Anti-islam[18],[19]

Factions :
Nationalisme thiois[20],[21],[22]

Affiliation européenneMENL/PID
Groupe au Parlement européenPfE
Adhérents22 194(2021)[23]
CouleursNoir etjaune
Site webvlaamsbelang.org
Présidents de groupe
Parlement européenJordan Bardella(PE)
Représentation
Députés européens(collège néerlandais)
3  / 13
Députés fédéraux
(groupe néerlandophone)
20  / 90
Sénateurs
(groupe néerlandophone)
7  / 35
Députés flamands
31  / 124
Députés bruxellois
(groupe néerlandophone)
2  / 17
Conseillers provinciaux flamands
24  / 175
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LeVlaams Belang (« Intérêt flamand »), nomméVlaams Blok (« Bloc flamand ») jusqu'au, est unparti politiquebelge, classé à l'extrême droite, prônant lenationalisme flamand et l'indépendance de laFlandre.

Initialement une dissidence de laVolksunie, le Vlaams Blok est fondé parKarel Dillen en 1979. À ses débuts, le parti reste assez peu important et ne remporte qu'un siège à laChambre en 1978, 1981 et 1985. En 1987, le parti en remporte deux. Le Vlaams Belang obtient ses meilleurs résultats dans la province d'Anvers. Sa première véritable percée électorale dans toute la Flandre se situe en 1989 où il remporte son premier siège au parlement européen avec 6,59 % des voix néerlandophones.

En 1991, le parti sextuple son nombre de sièges à laChambre des Représentants avec 6,6 % des voix dans le royaume. C'est à la suite de cette élection, qualifiée de « dimanche noir » par ses opposants, que les autres partis politiques décident d'exclure le Vlaams Belang de toute coalition dans le cadre d'un accord appelécordon sanitaire[24].

Le parti poursuit néanmoins son ascension jusqu'à atteindre 24,15 % des voix en Flandre et 34,07 % des suffrages à Bruxelles (pour le collège électoral néerlandophone) lors desélections régionales belges de 2004. La même année, le parti est poursuivi pour racisme et xénophobie, ce qui peut conduire à l'interdiction du parti. Le Vlaams Blok se dissout donc de lui-même et son successeur, le Vlaams Belang, est fondé

À partir de là, le parti commence son déclin jusqu'à atteindre 5,92 % des voix en Flandre auxélections régionales belges de 2014 et seulement trois sièges à laChambre des Représentants. Une chute qui peut être expliquée par la montée d'un nouveau parti nationaliste flamand, laN-VA, qui tient des positions plus modérées sur l'immigration.

Tom Van Grieken devient alors président du parti qui voit une remontée inattendue auxélections fédérales de 2024 où le parti redevient deuxième en Flandre avec 21,81 % des voix et20 sièges.

Lors desélections communales et provinciales belges de 2024, le Vlaams Belang décroche son premier bourgmestre à la ville deNinove,Guy D'haeseleer, et détient la majorité absolue[25].

Histoire

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Genèse

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Aux élections du, le Vlaams Blok était une sorte decartel réunissant deux dissidences de laVolksunie : leVlaams Nationale Partij (« Parti national flamand ») de Karel Dillen et leVlaamse Volkspartij (« Parti populaire flamand ») deLode Claes. Ces deux partis s'étaient séparés de la Volksunie, le parti nationaliste flamand, à la suite d'un désaccord sur lepacte d'Egmont[26].

Karel Dillen fut le seul élu et la tendance qu'il représentait finit par prendre l'ascendant : le Vlaams Nationale Partij fusionna définitivement avec l'aile radicale du Vlaams Volkspartij pour former le Vlaams Blok. Lode Claes disparut de ce nouveau parti. Karel Dillen décrivit dans unManifest van het rechts Vlaams-nationalisme (« Manifeste du nationalisme flamand de droite ») les conceptions fondamentales du parti.

Le, le Parlement flamand vote une motion qui condamne le programme « anti-immigrés » du Vlaams Blok.

Transformation du Vlaams Blok en Vlaams Belang

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Le Vlaams Belang lors de laCoupe Sels 2015 àMerksem.

Le, lors d'un congrès réuni àAnvers, le Vlaams Blok se dissout et refonde un nouveau parti avec les mêmes personnes et essentiellement le même programme : le Vlaams Belang[27].

Le congrès faisait suite à la décision de la Cour de cassation de Belgique, le9 novembre, de confirmer un précédent arrêt de la cour d'appel de Gand, le[28], qui condamnait pourracisme etxénophobie plusieurs associations « proches » du Vlaams Blok :Vlaamse Concentratie (VC),Nationaal Vormingsinstituut (NV) etNationalistische Omroepstichting (NOS), à de lourdes amendes pénales et risquait d'entraîner, à court terme, une mise hors-la-loi du parti lui-même[29]. En effet, la loi dit qu'un parti que la justice qualifie de « raciste » peut se voir privé de sadotation publique. Or le VB ne pouvait prendre le risque de voir ainsi s'échapper une partie non négligeable de ses finances[30].

Le parti change donc de nom, tout en conservant les mêmes initiales (VB) et les mêmes couleurs, le noir et le jaune, qui sont celles de laFlandre. En prévision de l'arrêt du, qui était attendu, le parti avait préalablement modifié ses statuts, renonçant à demander « le renvoi vers leur pays [d'origine] de larges groupes d'immigrés non-européens », et fait désormais campagne pour une non-acceptation de ceux qui « rejettent, nient ou combattent notre culture »[31].

Le président du Vlaams Blok,Frank Vanhecke, qui devrait jouer un rôle comparable dans le nouveau parti (de même que les autres figures marquantes telles queFilip Dewinter) appelait récemment[Quand ?] au départ immédiat des immigrés clandestins et à la nécessité, pour les immigrés respectant les conditions de séjour, de « s'adapter à notre manière de vivre, à notre langue et à notre culture ».

Durant la législature 2000-2006, un éluChristen-Democratisch en Vlaams (CD&V) du district deDeurne passe au Vlaams Belang devenant ainsi le tout premier échevin de ce parti.

Ascension

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De 1978 à 2004, le parti a connu une ascension lente mais irrésistible jusqu'à recueillir 24 % des votes aux élections duParlement flamand du, devenant ainsi le deuxième parti flamand, derrière lecartel CD&V/N-VA (démocrates chrétiens + nationalistes).

Auxélections duParlement flamand du, le Vlaams Belang a recueilli 15,30 % des votes, maintenant ainsi sa place de deuxième parti flamand, derrière leCD&V (chrétiens-démocrates), et ce malgré une chute de près de 10 % de son nombre d'électeurs. Un an plus tard, aux élections fédérales flamandes, le Vlaams Belang a encore reculé en n'enlevant que 12,6 % des voix et douze sièges de députés, ce qui le place au rang de cinquième parti flamand. Son groupe au parlement européen estEurope des nations et des libertés depuis le.

Déclin

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À partir de 2011, le parti commence son déclin électoral[32].

Lors des électionscommunales àAnvers du, le Vlaams Belang chute de 33,51 % à 10,18 % soit un recul historique de plus de23 points[33].

Cet échec historique est dû àBart De Wever[réf. nécessaire], chef de file de laN-VA, qui siphonne les voix du Vlaams Belang et remporte les élections à Anvers avec 37,68 % des voix contre 28,62 % pour la liste decartelsp.a-CD&V emmenée parPatrick Janssens[33].

Après la victoire de Bart De Wever, le Vlaams Belang, laminé, offre ses services à la N-VA pour monter une coalition, son chefFilip Dewinter déclarant : « Le Vlaams Belang a semé pendant des décennies afin que la N-VA et Bart De Wever puissent maintenant moissonner »[34].

Activité hors de la Flandre et dans des parlements n'ayant pas ses séances en Flandre

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Dans le même temps, la section de Bruxelles du Vlaams Belang dénonce (en français) sur son site le « Frankenstein politico-médiatique NVA, produit sponsorisé par le régime, bricolé pour servir de caisse de résonance d’une partie du patronat flamand et pour réduire l’électorat du Vlaams Belang » avec un programme qui « est sur les questions de la sécurité et de l’immigration un copié-collé de celui du Vlaams Belang »[35]. Dans la foulée, le parti obtient le soutien d'un autre parti d'extrême droite européen, leFront national deMarine Le Pen[36],[37].

Aux élections de 2014, le parti perd énormément de voix et de sièges au profit de laNieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA)[38]. Ainsi, le Vlaams Belang perd neuf sièges à laChambre des représentants, n'ayant plus que trois élus. AuParlement flamand, le parti passe de vingt à six députés, ne recueillant que 5,92 % des voix. Enfin, auParlement européen, le parti n'a plus qu'un élu, en la personneGerolf Annemans.

Nouveaux succès

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Le parti est en progression dans toutes les provinces lors desélections communales et provinciales de 2018. Il réalise son meilleur résultat dans les provinces d'Anvers et deFlandre Orientale avec 14,2 % des voix et son moins bon résultat dans la province duBrabant Flamand avec 8,6 % des voix.

ÀNinove, le Vlaams Belang remporte 40 % des voix[39]. Ce résultat historique ne permet toutefois pas au parti de rentrer dans une majorité dans cette commune, les autres partis refusant catégoriquement cette option. Un collège communal composé de tous les partis sauf le Vlaams Belang entre donc en fonction dans la commune[40].

Lors des électionsfédérales,régionales eteuropéennes du, le Vlaams Belang remporte un succès électoral, passant à 18 % des voix en Flandre[41]. Parmi les raisons qui peuvent expliquer cette victoire, le positionnement comme parti antisystème, en face de la N-VA au pouvoir depuis quatre ans, la ligne dure du parti sur l'immigration, le positionnement plus à gauche du parti sur le social, et l'usage massif des réseaux sociaux.

Sa position semble encore renforcée depuis les élections de 2019, tous les sondages jusqu'en donnent le Vlaams Belang vainqueur en Flandre. Cette popularité s'expliquerait par la stratégie du parti d'utiliser les réseaux sociaux pour contourner les médias traditionnels,Tom Van Grieken serait ainsi l'homme politique belge le plus populaire sur Facebook (plus de 500 000 « j'aime ») loin devant tous les autres responsables politiques de Belgique et avec 600 000 suiveurs, le Vlaams Belang parvient même à avoir une audience plus importante sur les réseaux sociaux que les médias audiovisuels flamands, VTM (437 000 suiveurs) et la VRT (390 000 suiveurs)[42].

Lors duméga-scrutin de mai 2024, le parti augmente encore ses voix. Néanmoins, il réalise de moins bons scores quele prévoyaient les sondages. Il reste ainsi le deuxième parti au parlement fédéral et flamand, derrière laNVA qui se maintient. Il passe cependant premier parti belge auxélections européennes.

Idéologie, programme et positionnement politique

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La plupart des observateurs politiques situent le Vlaams Belang à l'extrême droite[43],[44] ; seuls quelques-uns le situent plutôt à la droite radicale[45]. Sarah de Lange, professeur de sciences politiques à l'Université d'Amsterdam et spécialiste de l'extrémisme et du populisme, préfère parler de droite radicale. Selon elle, le terme « extrême » renvoie à des partis et des groupes anti-démocratiques, caractéristique non attribuée au parti[46]. SelonJean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, la décision de l'UNESCO de retirer leCarnaval d'Alost de saliste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité à la suite de stéréotypes antisémites, et la victimisation qui s'est ensuivie « pourrait se traduire dans les urnes au profit du Vlaams Belang, formation d’extrême droite qui passe son temps à blanchir collaborateurs et antisémites »[47].

À ses débuts, son prédécesseur le Vlaams Blok« se revendique d'unnationalisme ethnique devant aboutir à uneEurope des régions ethniques où les droits de l'individu doivent être « assujettis à la primauté de l’ensemble organique ». Le cadre est assez proche des courantsnationalistes-européens développés depuis l'après-guerre, avec le soutien à la construction d'une armée européenne et la conception d'un marché unique européen certesprotectionniste à l'extérieur, maisnéolibéral à l'intérieur »[48].

Le Vlaams Blok a été aussi décrit commenéofasciste[49],[50],[51].

Durant lacampagne électorale de 2019, le centre d'études RePresent[52] — composé de politologues de cinq universités (UAntwerpen,KU Leuven,VUB,UCLouvain etULB) — a étudié les programmes électoraux des treize principaux partis politiques belges. Cette étude a classé les partis sur deux axes « gauche-droite », de « - 5 » (extrême-gauche) à « 5 » (extrême-droite) : un axe socio-économique « classique », qui fait référence à l'intervention de l'État dans le processus économique, et au degré suivant lequel l'État doit assurer une égalité sociale, et un axe socio-culturel, qui fait référence à un clivage articulé autour d'une opposition identitaire autour de thèmes comme l'immigration, l'Europe, la criminalité, l'environnement, l'émancipation, etc.

Le Vlaams Belang présente alors le programme le plus à droite des partis politiques belges sur le plan socio-culturel (3,57), mais se positionne au centre sur le plan socio-économique (0,85)[53],[54].

Le centre RePresent réitère l'exercice durant lacampagne électorale de 2024, pour les douze principaux partis. Le positionnement du Vlaams Belang s'est déplacé vers la droite sur les deux plans : si son programme est de centre-droit sur le plan socio-économique (1,43), il est incontestablement à l'extrême-droite sur l'axe socio-culturel (4,62)[55].

Indépendance de la Flandre

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Le but premier du Vlaams Belang est la création d'un État flamand, grâce à une« sécession pacifique » avec laBelgique sur les modèlestchécoslovaque etmonténégrin. Les raisons de ces désirs d'indépendance sont, selon le parti,« des différences culturelles et politiques énormes entre Flamands et Wallons »[56]. D'autre part, la Flandre est plus riche et plus peuplée que la Wallonie, ainsi, pour le Vlaams Belang, les Flamands « en ont assez de payer les factures » des Wallons. Dans le projet du Vlaams Belang, le nouvel État flamand indépendant resterait membre de l'Union européenne et de l'OTAN[57].

Immigration et minorités

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La politique officielle d'immigration du Vlaams Belang est plus modérée par rapport à celle de l'ancien Vlaams Blok. Dans son nouveau programme, le parti appelle à l'expulsion des immigrés qui« rejettent, nient ou combattent la culture flamande ainsi que certaines valeurs européennes, notamment laliberté d'expression et l'égalité entre hommes et femmes », ce qui lui vaut d'être parfois considéré commexénophobe etislamophobe[58],[59]. Le parti a aussi proposé de durcir les conditions d'accès aux allocations sociales pour les étrangers[60],[61].Filip Dewinter a déclaré que les femmes portant lehidjab ont« signé leur contrat d'expulsion »[62].

Le parti est aussipro-israélien[63], considère queJérusalem est la capitale de l'État d'Israël et que celui-ci a le droit de se défendre contre le "terrorisme islamiste"[64]. Ce positionnement pro-israélien est aussi l'occasion pour le Vlaams Belang de se laver des accusations d’antisémitisme[65].

Loi et ordre

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Le parti voudrait appliquer une politique detolérance zéro afin de sécuriser les villes flamandes. Le parti s'oppose aussi à lalibéralisation des drogues. Citant la« surreprésentation massive des immigrants dans les statistiques de la criminalité », le parti propose d'expulser les immigrés illégaux et les criminels de nationalités étrangères[66].

Économie

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Alors que le Vlaams Blok était plus porté sur l'économie mixte, le Vlaams Belang s'oriente plutôt vers lenéolibéralisme[62]. En 2019, une analyse du programme social du parti montre un net basculement vers la gauche, les propositions étant parfois proches duPTB[67].

Structure

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Présidents

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Tom Van Grieken, président du VB depuis 2014.
PrésidentsDébutFinDuréeRemarque
Karel Dillen1978199618 ansPlus long mandat
Frank Vanhecke1996200812 ans
Bruno Valkeniers200820124 ans
Gerolf Annemans201220142 ansPlus court mandat
Tom Van Grieken2014En cours8 ans

Résultats électoraux

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Parlement fédéral

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AnnéeChambre des représentantsSénatGouvernement
Voix%SiègesVoix%Sièges
197875 6351,37
1  / 212
80 8091,47
0  / 106
Opposition
198166 4241,10
1  / 212
71 7331,20
0  / 106
Opposition
198585 3911,41
1  / 212
90 1201,50
0  / 106
Opposition
1987116 5341,9
2  / 212
122 9532,0
2  / 105
Opposition
1991405 2476,6
12  / 212
414 4816,8
5  / 70
Opposition
1995475 6777,8
11  / 150
463 8967,8
3  / 40
Opposition
1999613 3999,87
15  / 150
583 2089,42
4  / 40
Opposition
2003767 60511,59
18  / 150
741 94011,32
5  / 40
Opposition
2007799 84411,99
17  / 150
787 78211,89
5  / 40
Opposition
2010506 6977,76
12  / 150
491 5477,60
3  / 40
Opposition
2014247 7463,67
3  / 150
N/A
2  / 60
Opposition
2019810 17711,95
18  / 150
7  / 60
Opposition
2024961 60113,77
20  / 150
Opposition

Entités fédérées

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Parlement flamand

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AnnéeVoix%SiègesGouvernement
1995465 23912,33
15  / 124
Opposition
1999603 34515,54
20  / 124
Opposition
2004981 58724,15
32  / 124
Opposition
2009628 56415,28
21  / 124
Opposition
2014248 8405,92
6  / 124
Opposition
2019783 97718,50
23  / 124
Opposition
2024992 50422,66
31  / 124
Opposition

Parlement de la région de Bruxelles-Capitale

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AnnéeVoix%SiègesGouvernement
19899 0062,06
1  / 75
Opposition
199512 5073,03
2  / 75
Opposition
199919 31031,89[68]
4  / 75
Opposition
200421 29734,07[68]
6  / 89
Opposition
20099 07217,51[68]
3  / 89
Opposition
20143 0065,62[68]
1  / 89
Opposition
20195 8388,34[68]
1  / 89
Opposition
20248 47510,54
2  / 89
En cours

Conseils provinciaux

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Année%Anvers%Brabant Flamand%Flandre Occidentale%Flandre Orientale%Limbourg
200628,5
25  / 84
18,2
15  / 84
17,5
14  / 84
21,0
19  / 84
18,1
15  / 75
201210,9
7  / 72
6,7
5  / 72
6,9
5  / 72
8,3
6  / 72
9,1
6  / 63
201814,2
6  / 36
8,6
3  / 36
14,1
5  / 36
14,2
6  / 36
12,3
4  / 31
202418,0
7  / 36
12,9
5  / 36
19,6
8  / 36
18,2
7  / 36
17,9
6  / 31

Élections communales

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Anvers

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Le Vlaams Belang parvient à remporter jusqu'à un tiers des voix dans la plus grande ville de Flandre en 2000 et 2006. Le parti ne pourra toutefois pas participer à l'exécutif communal car les autres partis appliquent le « cordon sanitaire » à l'égard du Vlaams Belang.

Anvers[69],[70],[71]
AnnéeVoix%Sièges+/-Statut
198216 5285,15
2  / 55
en augmentation 2Dans l'opposition
198854 16317,69
10  / 55
en augmentation 8Dans l'opposition
199476 87728,03
18  / 55
en augmentation 8Dans l'opposition
200082 91332,95
20  / 55
en augmentation 2Dans l'opposition
200694 90933,51
20  / 55
en stagnationDans l'opposition
201227 82410,21
5  / 55
en diminution 15Dans l'opposition
201829 56510,5
6  / 55
en augmentation 1Dans l'opposition
202420 93410,6
6  / 55
en stagnation 0Dans l'opposition

Gand

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Gand[69],[70],[72]
AnnéeVoix%Sièges+/-Statut
19823 7042,36
0  / 51
en stagnation 0Dans l'opposition
19888 0175,16
2  / 51
en augmentation 2Dans l'opposition
199418 87812,66
7  / 51
en augmentation 5Dans l'opposition
200028 69919,54
11  / 51
en augmentation 4Dans l'opposition
200628 15218,05
9  / 51
en diminution 2Dans l'opposition
20129 9666,53
3  / 51
en diminution 6Dans l'opposition
201812 3547,8
4  / 53
en augmentation 1Dans l'opposition
20247 5586,5
3  / 53
en diminution 1Dans l'opposition

Ninove

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La liste Forza Ninove, associée au VB, remporte 40% des voix et 15 sièges sur 33 dans la commune aux élections communales de 2018. Malgré le grand succès du VB, tous les autres partis décident d'appliquer le « cordon sanitaire » à l'égard du Vlaams Belang et refusent ainsi toute coalition avec le parti.

Le 16 octobre 2018, laN-VA annonce qu'elle exclut toute coalition avec le VB et que le parti restera dans l'opposition. Cette décision déclenche un blocage politique puisqu'aucune autre majorité n'est possible sans rompre le cordon sanitaire[73].

En décembre 2018, la situation est debloquée puisqu'un des deux élusN-VA décide de finalement soutenir une majorité composé de tous les partis à l'exception du VB. Tania de Jonge reste ainsi bourgmestre de Ninove[74].

Le 3 janvier 2019, une manifestation « pour la démocratie » rassemblant une centaine de personnes est organisée par les organisations d'extrême-droiteSchild & Vrienden etVoorpost et soutenue par la tête de liste Forza NinoveGuy d'Haeseleer. Ceux-ci jugent anti-démocratique la formation d'une « coalition de perdants »[75].

Ninove[69],[70],[76]
AnnéeVoix%Sièges+/-Statut
19941 4315,83
1  / 31
en augmentation 5Dans l'opposition
20003 20012,86
4  / 31
en augmentation 3Dans l'opposition
20066 14223,61
8  / 33
en augmentation 4Dans l'opposition
2012[77]6 89426,50
9  / 33
en augmentation 1Dans l'opposition
2018[77]10 89040,00
15  / 33
en augmentation 6Dans l'opposition
2024[77]10 41547,40
18  / 33
en augmentation 3Majorité absolue

Parlement européen

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AnnéeVoixSiègesRangGroupe
Nombre%
198473 1742,10
0  / 13
6eExtra-parlementaire
1989241 1176,59
1  / 13
6eNI
1994463 91912,56
2  / 14
4e
1999584 39215,09
2  / 14
3e
2004930 73123,16
3  / 14
2eNI(2004-2007), ITS(2007) et NI(2007-2009)
2009647 17015,88
2  / 13
3eNI
2014284 8916,76
1  / 12
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Présidents

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Controverses

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Si le Vlaams Blok a été condamné pour discrimination raciste, son successeur le Vlaams Belang est lui aussi régulièrement accusé de racisme[78].

Liens avec l'idéologie nazie et néonazie

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Depuis sa création en 2004, le Vlaams Belang a été confronté à plusieurs controverses liées à des connexions directes ou indirectes entre ses membres et l'idéologie nazie ou néonazie.

Hommages et références historiques

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En octobre 2005,Tom Van Grieken, alors président de la section anversoise du Nationalistisch JongStudentenVerbond (NJSV), a publié un message de deuil rendant hommage à Bert Eriksson, ancien dirigeant du Vlaamse Militanten Orde (VMO) et membre de laHitlerjugend[79].

En septembre 2018, sous l'impulsion du conseiller Vlaams Belang Pol Denys, la commune deZedelgem a érigé un monument surnommé « Ruche lettone » en hommage aux 12 000 légionnaires lettons de laWaffen-SS détenus après laSeconde Guerre mondiale. Ce monument a été critiqué pour son approche historiographique révisionniste minimisant l'implication de ces unités dans legénocide juif[80].

En mai 2025, Filip Dewinter a publié sur Instagram une photographie le montrant devant le drapeau duVerdinaso, mouvement fasciste belge, avec comme légende « Onze eer is trouw », traduction littérale de la devise SS « Meine Ehre heißt Treue ». Cette publication a suscité l'indignation duForum des organisations juives[81].

Relations avec des groupes d'extrême droite européens

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En novembre 2016, plusieurs dirigeants du Vlaams Belang, dontFilip Dewinter,Anke Van dermeersch,Jan Penris etFrank Creyelman, se sont rendus en Grèce pour rencontrer des responsables du parti néonaziAube dorée.Filip Dewinter y a prononcé un discours faisant référence à la milice d'extrême droite belge Vlaamse Militanten Orde (VMO)[82].

Incidents liés aux saluts nazis

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En avril 2019, Katrina Langlet, présidente de la section deSint-Truiden, a été suspendue après la diffusion d'une photographie la montrant effectuant un salut hitlérien lors d'une fête privée, antérieure à son adhésion au Vlaams Belang[83].

En août 2019, un jeune membre flamand du groupe néonazi Right Wing Resistance, et sympathisant Vlaams Belang, a été photographié auFort de Breendonk en train de faire un salut nazi devant une croix gammée. Le parquet de Malines a ouvert une enquête en novembre 2019[84].

Sympathisants nazis parmi les candidats et élus

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En octobre 2018, une enquête deHet Laatste Nieuws a révélé qu'au moins quinze candidats du Vlaams Belang affichaient sur les réseaux sociaux des « likes » en faveur d'Adolf Hitler ou encore, des sympathies pour Tomas Boutens, un terroriste reconnu. Il a dirigé le groupe néo-nazi "Bloed, Bodem, Eer en Trouw" et a planifié des attaques afin de garder la Flandre "blanche". Le parti a alors ouvert une procédure disciplinaire[85].

En juin 2019, Jef Leffelaer, conseiller communal du Vlaams Belang àStabroek, a partagé sur Facebook une vidéo glorifiant la brigade27e SS-Freiwilligen-Grenadier-Division Langemarck, accompagnée du commentaire « nous nous battons encore pour le même idéal qu'eux ». Cette publication a provoqué une polémique et des sanctions internes[86].

Notes et références

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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