Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Vitamine D

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vitamine D
Image illustrative de l’article Vitamine D
Image illustrative de l’article Vitamine D
Cholécalciférol (D3)
Identification
Synonymes

existe sous deux formes :
D2 (ergocalciférol)
ou D3 (cholécalciférol)

NoECHA100.014.361
Code ATCA11CC
Propriétés physiques
T° fusion84 à 85 °C

Unités duSI etCNTP, sauf indication contraire.
modifier 

Lavitamine D est unevitamineliposoluble (soluble dans leslipides). C'est unehormone retrouvée dans l'alimentation et synthétisée dans l'organisme humain à partir d'un dérivé ducholestérol ou d’ergostérol sous l'action des rayonnementsUV-B du Soleil. Elle existe sous deux formes : D2 (ergocalciférol), produite par les végétaux, et D3 (cholécalciférol), présente dans les produits d'origine animale et certainslichens. Ces deux molécules sont des 9,10-sécostéroïdes. Le corps humain synthétise aussi lavitamine D3 au niveau de la peau, sous l'effet des rayonsultraviolets.

La vitamine D intervient dans l'absorption ducalcium et duphosphore par les intestins, ainsi que dans leur réabsorption par les reins, sous l'influence de laparathormone. Ses effets sont contrebalancés par lacalcitonine. Elle intervient dans laminéralisation osseuse dusquelette et desarticulations, ainsi que sur la tonicité musculaire. D'autre part, elle influence plus de 200 gènes[1],[2] et aurait une action deréparation de l'ADN.

Une quantité suffisante devitamine D est particulièrement nécessaire durant la petite enfance afin d'éviter lerachitisme, et nécessaire chez l'adulte afin d'éviter l'ostéomalacie. Elle diminue le risque d'ostéoporose[3]. Elle pourrait avoir un effet bénéfique dans plusieurs maladies comme lediabète[4], certainscancers[5],[6], lasclérose en plaques[7], l'épilepsie[8] et ladépression[9],[10].

Historique

[modifier |modifier le code]
Ergocalciférol (vitamine D2).
Cholécalciférol (vitamine D3).

Les propriétés curatives de l'huile de foie de morue contre lerachitisme ont été découvertes en1824 par l'Allemand D. Schütte[11]. En 1919,Edward Mellanby fait des expériences sur des chiens qui l'amènent à conclure que le rachitisme est causé par une carence en vitamine liposoluble[12]. Lavitamine D a été identifiée en1922[13] :Elmer McCollum démontre que l'huile de foie de morue prévient encore le rachitisme après totale destruction de savitamine A, il en déduit qu'elle contient une autre substance qu'il désignevitamine D. En 1932,Adolf Windaus isole la vitamine D2, puis en 1934 la vitamine D3.

Ses propriétés font l'objet de nombreuses recherches, tant sur ses effets « classiques » (minéralisation osseuse, métabolisme phosphocalcique) que « non classiques » (sur le muscle, le système immunitaire, le rein, l'appareil cardiovasculaire)[14]. Plus de 2 500 publications sur la physiologie de lavitamine D en lien avec le cancer (déficit envitamine D associé à une augmentation du risque relatif de certains cancers colorectaux et du sein) sont ainsi recensées en 2010[15].

Structure

[modifier |modifier le code]
  • Les vitamines D sont des dérivés destérols issus dumétabolisme des animaux (cholécalciférol ouvitamine D3) ou des végétaux (ergocalciférol ouvitamine D2).
  • La vitamine D est à l'origine ducalcitriol,hormone qui joue un rôle essentiel dans la fixation ducalcium par l'organisme.
  • Le cycle B des stérols est ouvert, et un ensemble de trois liaisons éthyléniques conjuguées se forme sur lescarbones 5, 6, 7, 8, 10et 19. Cette structure est favorable au déplacement desélectrons.

La vitamine D1 désignait initialement une substance qui s'est avérée correspondre à un mélange devitamine D2 et delumistérol[16]. Aujourd'hui cette dénomination n'est plus usitée. Outre les deux formes D2 et D3 on définit aussi :

  • vitamine D4 ou 22-dihydroergocalciférol ;
  • vitamine D5 ousitocalciférol ;
  • vitamine D6[17], dérivé éthylé de lavitamine D4 ;
  • vitamine D7[18], dérivé 24R-méthyl de lavitamine D3.

Physiologie

[modifier |modifier le code]

Synthèse

[modifier |modifier le code]
Exposer la peau au Soleil permet de synthétiser de lavitamine D.
Dans les couches épidermiques de la peau, la production est la plus forte dans le Stratum germinativum/basale (de couleur rouge) etstratum spinosum (couleur brun clair).

Au niveau de la peau, les rayonsultraviolets B (UV-B) permettent la formation devitamine D3 à partir du7-déshydrocholestérol, dérivé ducholestérol normalement présent dans l'organisme. Grâce à l'action des ultraviolets de la lumière (UV-B), un des cycles du 7-déshydrocholestérol est cassé. La molécule s'isomérise spontanément en cholécalciférol encore inactif. Il est alors métabolisé par lefoie en25-hydroxy-vitamine D, forme qui est dosable communément dans le sang. Cette dernière est transformée par lerein en1-25-dihydroxy-vitamine D (calcitriol), la forme active de la vitamine[19].

Cette source est très variable selon lalatitude, l'ensoleillement (saison,brouillard,pays, habillement), l'épaisseur et la pigmentation de lapeau. Une exposition de 15 à 30 minutes deux fois par semaine au soleil garantit, chez la plupart des personnes, une bonne réserve envitamine D[20]. Une exposition de 12 minutes par jour au Soleil à une latitude de 38° (Californie ouEspagne) sur 50 % de la surface cutanée équivaudrait à un apport de 3 000 unités internationales (UI) par jour[21]. Cet effet bénéfique est à mettre en regard des dangers d'une exposition excessive de la peau aux rayons solaires[22]. Il n'y a, en théorie, pas de surdosage à craindre envitamine D lors d'une exposition au Soleil, laquelle contribue à la destruction de la vitamine[23].

Absorption

[modifier |modifier le code]

L'absorption intestinale de la vitamine D a lieu au niveau de la région proximale de l'intestin grêle[24]. Elle se fait probablement par diffusion passive (de nature lipophile, à l'aide deschylomicrons) ainsi que par un mécanisme impliquant destransporteurs membranaires[25],[26]. Ces transporteurs sont des protéines exprimées au niveau de la bordure en brosse de l'intestin qui permettent le captage de la vitamine D.

Une fois que la vitamine D est internalisée dans l'entérocyte, on suppose qu'elle est prise en charge par une protéine cytoplasmique (qui n'est pas connue à ce jour) puis elle va pouvoir être resécrétée dans la circulation sanguine. On sait qu'au niveau circulant, la vitamine D est prise en charge par une protéine : laVDBP (vitamin D binding protein), dont le complexe avec la vitamine D va circuler dans le sang.

Métabolisme

[modifier |modifier le code]

La vitamine D est transportée par la circulation vers lefoie par laprotéine de liaison à la vitamine D (ou DBP de l'anglaisvitamin D-binding protein). Dans cet organe, elle est d'abord hydroxylée par l'enzyme25-hydroxylase, qui fixe unhydroxyle à la place du H ducarbone 25, formant la 25-hydroxyvitamine D appelée aussicalcifédiol. Stocké dans le foie, ce composé est véhiculé par le plasma dans le glomérule. Toujours lié auDBP, il est filtré par leglomérule et réabsorbé dans le tube proximal du rein[27] où il est transformé par l'enzyme1-alpha hydroxylase en1,25-dihydroxy-vitamine D3, encore appeléecalcitriol, qui est l'une des formes hormonales actives. Ce métabolite actif est transporté dans le sang vers des tissus cibles, se liant avec unrécepteur spécifique. Le complexe hormone-récepteur migre vers le noyau cellulaire pour activer ou inhiber des gènes[28].

Sonmétabolisme et son seuil d'activité (et peut-être ses fonctions) semblent varier selon que l'organisme soit celui d'un nourrisson[29], d'un enfant[29], d'une femme préménopausée[29], selon sa contamination par certains toxiques (cadmium, plomb par exemple[30]), selon les carences ou la disponibilité en calcium, ou encore selon l'origine ethnique[29].

Régulation du calcium dans le corps humain. Le rôle de lavitamine D est représenté en orange.

Laparathormone (PTH) stimule l'expression du gène de l'enzyme 1-alpha-hydroxylase. Elle favorise l'hydroxylation sur lecarboneno 1 et donc stimule la production de la forme active de lavitamine D (1-25-dihydroxy-vitamine D).En revanche, l'absence de PTH favorise une hydroxylation différente qui ne permet pas d'avoir la forme active. Elle se fait (au niveau du rein) sur lecarbone 24 par l'enzyme 24-hydroxylase, ce qui donne le24,25-dihydroxy-cholécalciférol moins actif que le 1,25-dihydroxycholecalciferol[31].Lacalcitonine diminue les taux sanguins de calcium et s'oppose aux effets de la parathormone[32].

Rôle sur le calcium

[modifier |modifier le code]

La vitamine D est nécessaire à plusieurs actions physiologiques et à la robustesse dusquelette humain.

Elle permet (avec laménaquinone) l'absorption decalcium par l'intestin, la réabsorption du calcium et du phosphore par les reins (diminue la calciurie) et la résorption osseuse par lesostéoclastes. Il existe un délai d'action entre le moment de l'administration devitamine D et celui où l'absorption du calcium augmente sous son effet.L'action dépend de lavitamine D disponible et de la charge calcique de l'os. Lavitamine D fixe le calcium sur l'os à dose physiologique alors qu'elle le libère à trop forte dose (hypervitaminose), provoquant unehypercalcémie.

Au cours de la croissance, son site d'action privilégié est la zone métaphysaire, où le cartilage de conjugaison se transforme en tissu osseux.

Mécanisme d'action

[modifier |modifier le code]

La vitamine D se fixe sur unrécepteur nucléaire spécifique, lerécepteur de la vitamine D, qui une fois activé se lie sur lesséquences promotrices présentes sur l'ADN desgènes cibles, activant leurtranscription, ce qui expliquerait les effets variés observés[13]. Les femmes qui ont le plus devitamine D dans le corps auraient destélomères plus longs que celles qui manquent de cette vitamine ce qui pourrait avoir des effets bénéfiques sur le vieillissement[33].

Apport alimentaire

[modifier |modifier le code]

La vitamine D chez l'Homme provient, soit d'une synthèse directe à partir des dérivés du cholestérol dans l'organismevia l'exposition auxUV, soit des apports alimentaires.

Sources

[modifier |modifier le code]

La vitamine D2 ouergocalciférol est présente notamment dans certainschampignons etvégétaux (en faible quantité), tandis que lavitamine D3 oucholécalciférol est d'origine animale, concentrée dans les huiles de foie de poisson et, en moindre mesure, dans les poissons, lelait, lebeurre, lefromage. Elle est aussi présente dans certainslichens (utilisés dans des compléments alimentaires sans produits animaux)[34],[35].

Peu d'aliments courants apportent une quantité appréciable devitamine D (l'apport quotidien généralement recommandé est de 15 μg = 600 UI, y compris lavitamine D apportée par le Soleil ; voirApports recommandés).

AlimentTeneur en μg pour 100 g[36]
Huile de foie de morue200 à 250
Foie de morue appertisé, égoutté54,3
Huile deflétan22,5[37]
Saumon,hareng,anchois8-20
sardine,maquereau7-12
Margarine0-10
Flétan cuit (cru)5,8[38] (4,7[39])
Thon2-6
Œuf2
Beurre0,6-1,5
Chocolat noir (70 %)2,16[réf. nécessaire]

Les végétaux ne contiennent que de faibles doses d'ergocalciférol. Les champignons sauvages commeBoletus edulis (ou « Cèpe de Bordeaux »), contiennent environ 5 µg d'ergocalciférol pour 100 g de poids sec, alors que cette vitamine est presque totalement absente dans les champignons cultivés commeAgaricus bisporus (« champignon de Paris »), qui contiennent en revanche de l'ergostérol, un précurseur de lavitamine D[40]. Les champignons de Paris séchés et exposés à un rayonnementUV peuvent ainsi avoir des teneurs envitamine D2 supérieures à 400 µg/g de poids sec[41].

La vitamine D existe sous la forme de compléments alimentaires, soit concentré d'huile de foie de poisson, soit à partir de laine de mouton (lanoline)[42], soit sous forme végétale à partir de levure exposée auxUV[43].

La forme D3 (cholécalciférol) est rare dans les végétaux mais existe néanmoins, notamment dans certainslichens[44], dont on peut l'extraire pour produire des compléments convenant aux personnesvéganes[45]. Elle est présente en quantité notable dans les feuilles (seule partie étudiée en 2013) de certaines plantes de la famille dessolanacées[46].

Apports recommandés

[modifier |modifier le code]

En 1992, les apports nutritionnels conseillés (ANC) pour la population adulte française étaient de 12 μg (ou 480 UI) par jour. Ils ont ensuite été abaissés en 2001 à 5 µg (ou 200 UI) par jour. Finalement, en 2012, l'Académie nationale de médecine française a réévalué cette estimation et recommande désormais un apport quotidien de 800 UI jusqu'à 50 ans, et davantage au-delà[47]. L'apport recommandé la même année parSanté Canada était un peu plus faible : il s'établissait à 600 UI/jour de 9 à 70 ans, et à 800 UI/jour après 70 ans, sur la base d'une« exposition minimale au Soleil »[48].

Les recommandations concernant la posologie pour la population générale sont d'une ampoule de 100 000 UI tous les 2 ou 3 mois, ou de 50 000 UI tous les 1 à 2 mois en hiver[49].

Carence et insuffisance

[modifier |modifier le code]

En raison de nombreux facteurs influençant les résultats des dosages, il n'y a pas de consensus international sur la valeur normale de la25-OH-vitamine D[50]. La carence (sévère) est définie par un taux sanguin de25-hydroxyvitamine D inférieur à 25 nmol/l (10 ng/ml). Elle est à l'origine durachitisme et de l'ostéomalacie. L'insuffisance est définie par un taux sanguin de25-hydroxyvitamine D inférieur à 75 nmol/l (30 ng/ml)[51]. Selon cette définition, la carence concerne plus d'un milliard de personnes sur Terre et plus de la moitié des femmes ménopausées[23].

Causes

[modifier |modifier le code]

Les situations de carence sont souvent en rapport avec une exposition insuffisante au Soleil.

Les principaux groupes à risque sont les suivants :

D'autres facteurs incluent :

  • vivre en intérieur et se déplacer en voiture, les vitres bien que laissant passer la lumière, ne permettent pas la formation devitamine D par la peau car elles bloquent lesUV-B ;
  • la formation de vitamine D nécessite du cholestérol ou de l’ergostérol. Les médicaments qui baissent le cholestérol gênent la production devitamine D ;
  • le port permanent de vêtements couvrants[58],[59],[60],[61],[62].

Risques associés

[modifier |modifier le code]

Les études citées sont essentiellement des études observationnelles montrant unecorrélation entre un taux sanguin faible devitamine D et divers événements. Cette corrélation ne suffit pas naturellement pour affirmer qu'il s'agit d'une conséquence d'un déficit mais fait simplement poser la question d'un rapport possible de cause à effet.

Une carence envitamine D, tout comme un niveau sanguin plus faible par polymorphisme génétique, seraient associée à un excès de mortalité, toutes causes confondues[63],[64]. Une autre étude a montré une mortalité en forme de courbe en J inversé avec une valeur optimale à 50–60 nmol/L. La mortalité était supérieure avec des valeurs plus basses ou plus hautes[65].

Une carence envitamine D provoquerait une faiblesse et des douleurs musculaires[66],[67],[68] (lavitamine D est nécessaire à la relaxation musculaire indépendamment des valeurs du calcium et des phosphates sanguins[69]) et à un stade plus avancé, uneostéomalacie chez l'adulte. Elle augmente le risque de fracture et peut être cause derachitisme chez l'enfant.

La carence en vitamine D serait associée avec un risque plus important de cancer du sein[70],[71],[72], du tube digestif[72] et de la prostate[73]. Des chercheurs ont montré que lavitamine D ralentit l'action d'une protéine clé dans le processus de développement des cellules cancéreuse du côlon. La stimulation du récepteur de lavitamine D inhibe l'action de la protéine β-caténine, bloquant la transformation de cellules intestinales en cellules cancéreuses. Le manque devitamine D rend le cancer plus agressif, par contre la protection n'influence pas l'apparition des tumeurs mais réduit leur agressivité pendant la phase de croissance. Lavitamine D joue donc un rôle protecteur important dans le développement du cancer du côlon et une carence en cette vitamine est un facteur de risque[74],[75].

La carence en vitamine D serait associée avec un risque plus important de maladies cardiovasculaires[76]. La concentration sanguine envitamine D serait inversement corrélée à la prévalence de l'hypertension artérielle, dudiabète et de l'obésité[77].

Un taux bas de vitamine D semble être corrélé avec un déficit cognitif chez les personnes âgées[78],[79]. Une carence envitamine D pourrait multiplier par deux le risque deschizophrénie[80]. Il semble exister une corrélation inverse entre le taux sanguin devitamine D et le risque de développer unesclérose en plaques[81],[82]. Cette corrélation n'a été retrouvée que chez les personnes à la peau blanche.

Au cours de la grossesse, la carence en vitamine D a plusieurs conséquences chez la femme enceinte : risque accru deprééclampsie, de petit poids de naissance, devaginose bactérienne[83].

Le taux sanguin de vitamine D semble inversement corrélé avec le risque dedépression[10],[84].

Dosage

[modifier |modifier le code]
Taux sanguins mondiaux de vitamine D chez les adultes (nmol/L)[85],[86].
  • > 75
  • 50-74
  • 25-49

Le dosage de la vitamine D est un examen courant debiologie médicale. Il consiste à mesurer la concentration de lavitamine D totale (Ergocalciférol + Cholécalciférol) dans le sérum prélevé lors d'une prise de sang.

La mesure de la vitamine D n'est pas standardisée et les différentes techniques disponibles (chimiluminescence, techniques immuno-enzymatiques, etc.) ont des spécificités différentes selon les formes de lavitamine D. Les experts s'accordent sur des valeurs souhaitables de25-hydroxy-vitamine D dans le sang comprises entre30 et70 ng/ml[87]. On rencontre aussi des mesures exprimées en nmol/l, avec des valeurs recommandées entre 75 et 175 nmol/L (la conversion de nmol/L à ng/ml se fait en divisant par 2,496[88]).

On utilise aussi, plus rarement, le dosage ducalcitriol pour évaluer une altération du métabolisme de lavitamine D[89] : rachitisme vitamino-résistant, hypercalcémie de la sarcoïdose, etc.

En France, le dosage sanguin de la vitamine D n'est pas remboursé par l'assurance maladie en dehors d'indications précises (suspicion de rachitisme, d’ostéomalacie, suivi ambulatoire de l’adulte transplanté rénal au-delà de trois mois après transplantation, avant et après une chirurgie bariatrique, évaluation et prise en charge des personnes âgées sujettes aux chutes répétées, respect des résumés des caractéristiques des produits (RCP) des médicaments préconisant ce dosage)[90].

Supplémentation

[modifier |modifier le code]

Un manque de vitamine D a été associé au risque de contracter certaines maladies non transmissibles et infectieuses, mais il est souvent difficile de savoir si le manque devitamine D est une conséquence ou un facteur de l'infection[91]. Par ailleurs, des contradictions existent concernant les résultats des études sur les bénéfices supposés de la supplémentation envitamine D[92]. Plusieurs revues ont montré de nombreuses lacunes de connaissance à combler[93],[94]. On ne retrouve pas d'association entre supplémentation envitamine D et mortalité, densité minérale osseuse des enfants et adolescents en bonne santé, cancer du sein, cancer de la prostate et mucoviscidose[95], mais la mortalité des personnes âgées diminue d'environ 5 % avec une supplémentation[96]. Un autrebiais méthodologique est que la majorité des observations n'ont pas été réalisées à partir d'essais cliniques mais d'études d'association sur des populations nordiques qui manquent d'ensoleillement ou à partir de femmes vieillissantes plus obèses et sédentaires. La biologiste Sylvie Demers considère que les bienfaits attribués à lavitamine D proviendraient en fait des hormones sexuelles féminines, lesprogestérones etœstrogènes[97]. LeNational Health Servicebritannique recommande une supplémentation de 10 μg par jour en automne et en hiver pour les enfants de plus de 5 ans et pour les adultes, y compris les femmes enceintes et allaitantes[98].

Tandis que les administrations publiques telles queSanté Canada et laFood and Drug Administration recommandent de ne pas céder à l'engouement actuel pour lavitamine D, un grand nombre de chercheurs et de spécialistes[Qui ?], ainsi que plusieurs organismes tels qu'Ostéoporose Canada[99] et laSociété canadienne du cancer (en) estiment qu'il est plus prudent de ne pas attendre et de consommer des doses de 4 000 à 6 000 UI[100].

Effets sur l'ostéoporose

[modifier |modifier le code]

La vitamine D (à plus de 700 UI/jour) associée à une supplémentation en calcium a un léger effet bénéfique sur la densité osseuse et la diminution du risque de fracture et de chutes[29],[101], mais ces avantages peuvent être réduits à des sous-groupes spécifiques (pas d'effet chez le nourrisson ni chez certaines personnes âgées)[29]. Une dose de 700 UI/par jour se situe entre leplacebo et l'intervention thérapeutique, selon les critères deThe Endocrine Society et duVitamin D Council, qui recommandent, respectivement, 1 500 à 2 000 UI et 5 000 UI par jour pour des personnes n'ayant aucun trouble de santé[102].

En pratique, chez les personnes âgées, la supplémentation envitamine D diminuerait sensiblement le risque defractures (surtout hanches et vertèbres)[3] et améliore l'équilibre et la tonicité musculaire, malgré quelques études récentes semblant suggérer le contraire[103]. En particulier la supplémentation systématique chez la personne de plus de 50 ans n'a pas d'intérêt démontré sur la prévention des fractures[104]. Un autre essai mené sur des personnes âgées pendant cinq ans est aussi négatif mais note que le risque relatif de fractures semblait diminuer avec l'augmentation de la durée de suivi[105].

Un traitement par vitamine D et calcium serait utile sans faire de dosage en cas de fracture ostéoporotiques des personnes âgées de plus de 65 ans. Une surveillance de la calcémie permettrait de surveiller l'absence de surdosage[50].

Effets sur le cancer

[modifier |modifier le code]

Plusieurs arguments, indirects, font penser que la vitamine D participe à laprévention des cancers[106]. D'une part, on observe nettement moins decancers colorectaux dans les pays du Sud que du Nord (pour l'hémisphère Nord), et ce, sur tous les continents. D'autre part, l'administration devitamine D3, ou decholécalciférols modifiés, inhibe lacancérogenèse colorectale induite chez desrongeurs (plusieurs études rapportées[107]). Plusieurs études observationnelles[108] semblent indiquer une baisse significative de certains cancers, dont ceux du sein (risque 50 % plus faible avec un taux de 130 nmol/l (52 ng/ml), obtenu avec une supplémentation de 4 000 UI par jour, qu'avec un taux inférieur à 32 nmol/l (13 ng/ml))[21]. Une supplémentation de 400 UI par jour n'a pas montré de protection contre le cancer colorectal. En revanche, elle a démontré une corrélation inverse significative entre le risque de cancer colorectal et le taux de25-hydroxyvitamine D (le risque étant le plus faible avec un taux supérieur ou égal à 58 nmol/l (23 ng/ml))[109]. D'autres études de moindre ampleur indiquent une réduction de près de 60 % de la survenue de cancers tout-venant chez des femmes ménopausées[110] mais qui n'est pas retrouvée partout[111]. Cependant un taux élevé de25-hydroxyvitamine D pourrait augmenter le risque decancer du pancréas[112]. La supplémentation en vitamine D réduirait la mortalité par cancer d'approximativement 15 %[113].

Effets cardiovasculaires

[modifier |modifier le code]

Une supplémentation en cette vitamine diminuerait sensiblement le risque cardiovasculaire[114], mais serait par contre inefficace pour faire baisser la tension artérielle[115].

Dans un petit essai en double aveugle, randomisé et contrôlé par placebo, lavitamine D3 associée au calcium (500 mg de calcium par jour plus 50 000 UI devitamine D3 par semaine en une prise) a amélioré la fraction d'éjection ventriculaire gauche de 5 %, et le degré d'insuffisance cardiaque tel que défini par laclassification fonctionnelle de la New York Heart Association, chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque[116].

Cependant, une méta-analyse d'essais randomisés contrôlés, publiée en 2022, conclut que la supplémentation envitamine D n'est pas associée à une réduction du risque d'accidents cardiovasculaires[117].

Effets au cours de la grossesse

[modifier |modifier le code]

Une supplémentation en vitamine D desfemmes enceintes prévient labronchiolite parvirus respiratoire syncytial (VRS) de leursnourrissons : sur 5 millions de nourrissons contractant unVRS auxÉtats-Unis, 1 million de cas seraient évités si les mères prenaient cette vitamine, qui peut aussi combattre l'épuisement et lediabète pendant la grossesse[118]. Les bébés ayant moins devitamine D sanguine (taux corrélé avec la prise de suppléments chez la mère pendant la grossesse), risquent six fois plus de contracter une bronchiolite àVRS que ceux qui en ont le plus[119].

La supplémentation vitaminique réduit le risque de petit poids à la naissance[120].

Effets sur la dépression

[modifier |modifier le code]

Selon une revue systématique et une méta-analyse d'essais randomisés contrôlés, la supplémentation en vitamine D semble être efficace uniquement chez les personnes atteintes detroubles dépressifs majeurs et chez celles présentant des symptômes dépressifs anténataux/postnatals[9].

Effets sur le diabète de type 2

[modifier |modifier le code]

Une méta-analyse de huit études a montré que la supplémentation en vitamine D réduit significativement le risque dediabète de type 2 chez les patients prédiabétiques non obèses[121]. Une autre méta-analyse de 37 articles a révélé que la supplémentation en vitamine D améliorait significativement le contrôle glycémique (modèle d'évaluation homéostatique de larésistance à l'insuline [HOMA-IR]), l'hémoglobine A1C (HbA1C) et le taux de glucose à jeun (FBG) chez les personnes atteintes de diabète de type 2[122]. Unerevue générale de 2022 a montré que la supplémentation chez les personnes diabétiques semble améliorer modérément les niveaux deprotéine C réactive, deTNF-α et demalondialdéhyde[123].

Effets sur le système immunitaire

[modifier |modifier le code]

Maladies infectieuses

[modifier |modifier le code]

La vitamine D tend à activer lesystème immunitaire inné et à affaiblir lesystème immunitaire adaptatif[124]. Une carence est associée à un risque accru d'infections virales, dont les infections parVIH et lagrippe[125],[126],[127]. De faibles niveaux semblent être un facteur de risque pour latuberculose[128], lavitamine D était d'ailleurs utilisée comme traitement dans le passé[129].

On soupçonne de longue date que les enfants rachitiques ont une susceptibilité marquée aux infections respiratoires[130] ; une étude de 2010 établit un lien entre le taux de 25(OH)D et le risque de développer une infection virale respiratoire en période hivernale[131]. Peu d'études laissent penser que la supplémentation protège de maladies infectieuses, sauf pour certaines infections des voies respiratoires supérieures : ainsi en 2017, une méta-analyse basée sur 11 321 participants dans 25 essais contrôlés randomisés a conclu à une protection contre les infections aiguës des voies respiratoires, et que les sujets déficients, présentant de faibles concentrations sériques (< 25 nmol/L) de25-hydroxyvitamine D (marqueur du statut envitamine D), en tirent les meilleurs bénéfices[132].

COVID-19
[modifier |modifier le code]

Un effet présumément favorable de la vitamine D vis-à-vis de la Covid-19 a été proposé dès par la docteure Emmanuelle Faucon[133],[134]. Selon Fiona Mitchellet al. (2020),« un nombre croissant de preuves circonstanciées établit désormais un lien spécifique entre les résultats du COVID-19 et le statut envitamine D »[91],[135].

La pandémie s'est d'abord propagée dans les zones de moyenne latitude nord où la température moyenne était de5 à 11 °C et une faible humidité. Aucun lien de cause à effet n'est à ce jour explicite, mais des chercheurs de l'université de Cambridge () attirent l'attention sur le fait que la carence envitamine D (« qui a également été décrite comme unepandémie ») sévit sous certaines latitudes (en particulier enEurope), à tous les âges et pour toutes les origines ethniques : ainsi, 40 % des Européens manquent devitamine D (taux de25 (OH) D <50 nmol/L) et 13 % sont en carence grave (25 (OH) D <30 nmol/L). Une relation quadratique a été mise en évidence entre les niveaux devitamine D et le degré de pénétration de la COVID-19, selon la latitude[136]. Dans lapopulation générale, les pays où l'on manque le plus devitamine D sont situés dans les régions subtropicales (Arabie saoudite 46 %, Qatar 46 %, Iran 33,4 %, Chili 26,4 %) et sous les latitudes moyennes (France 27,3 %, Portugal 21,2 % et Autriche 19,3 %). Les carences sont plus rares dans les régions tropicales et aux latitudes élevées (ex. : Norvège, Finlande, Suède, Danemark et Pays-Bas). La rareté des carences sévères dans les régions proches des pôles pourrait être due à une meilleure conscience de l'importance de la vitamine D dans ces pays et à la consommation de suppléments et d'aliments enrichis en vitamine D[136]. Selon eux, une sévère carence envitamine D pourrait aggraver le taux de mortalité de la COVID-19.

Les malades de la COVID-19 ont généralement un taux anormalement bas devitamine D. Cela a été montré en Suisse par des dosages rétrospectifs de25-hydroxyvitamine D (25 (OH) D) dans le plasma d'une cohorte de patients suisses. Les patients testés positifs au virusSARS-CoV-2 en avaient (en valeur médiane)11,1 ng/mL, soit deux fois moins que le dosage médian (24,6 ng/mL) des patients testés négatifs ; cette différence restait valable en stratifiant les patients selon l'âge (> 70 ans)[137].

La vitamine D est connue pour interagir avec l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2[91].

Elle semble favoriser une meilleure production de peptides antimicrobiens dans l'épithélium desvoies respiratoires (immunité cellulaire renforcée).

Elle atténue la réponse inflammatoire excessive (choc cytokinique) induite par le système immunitaire inné face au SARS-CoV-2 (chez les malades atteint par la forme sévère de la COVID-19, le système immunitaire inné génère un flux très élevé de cytokines pro-inflammatoires en réponse aux infections virales et bactériennes)[138]. Lavitamine D semble freiner la production de cytokines Th1 pro-inflammatoires, tout comme lefacteur de nécrose tumorale α et l'interféron γ. L'administration devitamine D réduit l'expression des cytokines pro-inflammatoires, tout en favorisant l'expression des cytokines anti-inflammatoires par les macrophages[139].

La vitamine D (parmi de nombreux autres facteurs) agit sur lesystème immunitaire adaptatif[140],[141],[91].

Ceci expliquerait desmorbidité etmortalité plus élevées enhiver et dans les pays nordiques, et que« les Noirs et les minorités ethniques — qui sont plus susceptibles de souffrir d'une carence envitamine D parce qu'ils ont la peau foncée — semblent être plus affectés que les Blancs par la COVID-19 » (par exemple, enAngleterre et auPays de Galles les Noirs sont plus de quatre fois plus susceptibles de mourir du COVID-19 que les Blancs)[91]. L'Italie et l'Espagne, deux pays bien ensoleillés, semblent contredire cette théorie, mais la prévalence de la carence envitamine D y est« étonnamment courante »[91].

Sur ces bases, et sachant que les effets secondaires de cette vitamine sont rares, plusieurs équipes scientifiques ont suggéré une supplémentation prophylactique envitamine D et/ou l'enrichissement des aliments comme thérapie adjuvante dans le monde[136],[91],[137],[142]. En effet, la supplémentation de 4 000 UI par jour pendant un mois a permis de diminuer de 77 % la probabilité d'être infectée chez des personnels de santé d'hôpitaux mexicains[143].

Maladies auto-immunes

[modifier |modifier le code]

La vitamine D peut atténuer ou prévenir différentes maladies expérimentales chez l'animal, en particulier dans lemodèle murin (syndrome de fatigue chronique,lupus,polyarthrite rhumatoïde,diabète de type 1…)[144].

De nombreusesétudes épidémiologiques montrent une association entre un déficit envitamine D et une plus grande fréquence de certainesmaladies auto-immunes :diabète de type 1,sclérose en plaques[7],[145],polyarthrite rhumatoïde,sclérodermie… Cependant, le lien de causalité reste encore non prouvé (nécessité d'autres études complémentaires)[144].

Les essais d'utilisation de vitamine D contre des maladies auto-immunes ont eu des résultats discordants, modestes ou encore discutés (sclérose en plaques,polyarthrite rhumatoïde,maladie de Crohn,diabète de type 1,lupus érythémateux)[146].

Ainsi, une supplémentation en vitamine D pourrait être associée à une diminution du risque depolyarthrite rhumatoïde[147] mais cette hypothèse a été infirmée[148]. L'insulino-résistance (anomalie donnant un risque de diabète) pourrait être améliorée chez les femmes[4], mais dans l'étude qui le dit, aucune femme n'avait de diabète. Lavitamine D interagit avec l'immunité et serait notamment bénéfique dans le traitement de lamaladie de Crohn[149],[150].

À haute dose, la vitamine D limiterait l'activité deslymphocytes s'attaquant à la gaine demyéline de nerfs de patients souffrant desclérose en plaques[151].

En 2017, il n'est pas encore possible de conclure sur la valeur d'une supplémentation envitamine D pour le traitement desmaladies auto-immunes ; les études en cours devraient aider à mieux comprendre cette question[146].

Autres effets

[modifier |modifier le code]
  • Douleur : une correction de la carence en vitamine D diminuerait la douleur de patients atteints defibromyalgie[152].
  • Maladie d'Alzheimer : l'utilisation de la vitamine D contre cette maladie a été proposée[153],[154].
  • Testostérone : lavitamine D augmenterait les taux de cette hormone chez des patients réputés sains mais carencés envitamine D[155].
  • Dermatite atopique : sa sévérité pourrait être atténuée par lavitamine D[156],[157].
  • Fatigue perçue : diminution de celle-ci chez des personnes en bonne santé déficientes en vitamine D par l'administration d'une dose unique de 100 000 UI[158].

Effets indésirables

[modifier |modifier le code]

L'humain peut tolérer au moins 10 000 UI par jour, sans risque particulier selon une étude dont le premier auteur est affilié auCouncil for Responsible Nutrition (en), une organisation professionnelle de producteurs de suppléments alimentaires[159]. Dépasser l'apport nutritionnel de référence n'est pas réputé associé à un risque particulier, mais la plupart des essais de doses plus élevées devitamine D ne visaient pas à évaluer d'éventuels inconvénients à long terme[29]. La prise de suppléments devitamine D3 jusqu'à 35 000 UI par semaine pendant le dernier trimestre degrossesse dans le cadre d'une étude menée en 2013 n'a pas entraîné de problème de santé pour les femmes enceintes ni pour leurfœtus[160].

D'après une étude publié en 2023, des travaux de recherches évaluant la prévalence de l'utilisation de médicaments et de compléments alimentaires contenant de la vitamine D sont nécessaires pour mieux clarifier son profil de sécurité en pratique clinique[161].

Intoxication

[modifier |modifier le code]

L'intoxication à la vitamine D peut provoquer unehypercalcémie. Ce risque estétabli en cas de traitement par une dose devitamine D de 40 000 UI par jour pendant plusieurs mois consécutifs. Des taux élevés de25-(OH)-vitamine D peuvent être observés lorsqu'on consomme plus de 10 000 UI par jour pendant 3 mois ou plus, ou plus de 300 000 UI sur une période de 24 heures. Il n'est pas souhaitable de dépasser150 ng/mL[162]. Selon le Groupe de recherche et d’information sur les ostéoporoses, des taux de25-(OH)-vitamine D de l’ordre de100 à150 ng/mL sont associés à un risque faible d’hypercalcémie[163]. Un taux de250 ng/mL est attribué à un risque élevé d’hypercalcémie.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. (en) « Vitamin D found to influence over 200 genes, highlighting links to disease », surScience Daily,.
  2. (en) Sreeram V. Ramagopalan, Andreas Heger, Antonio J. Berlanga, Narelle J. Maugeri, Matthew R. Lincoln, Amy Burrell, Lahiru Handunnetthi, Adam E. Handel, Giulio Disanto, Sarah-Michelle Orton, Corey T. Watson, Julia M. Morahan, Gavin Giovannoni, Chris P. Ponting, George C. Ebers et Julian C. Knight, « A ChIP-seq defined genome-wide map of vitamin D receptor binding: Associations with disease and evolution »,Genome Research,‎(DOI 10.1101/gr.107920.110,lire en ligne).
  3. a etb(en) Bischoff-Ferrari HA, Willett WC, Wong JBet al.Prevention of nonvertebral fractures with oral vitamin D and dose dependency, a meta-analysis of randomized controlled trials,Arch Intern Med, 2009;169:551-561.
  4. a etb(en)Vitamin D supplementation reduces insulin resistance in South Asian women living in New Zealand who are insulin resistant and vitamin D deficient – a randomised, placebo-controlled trial, ncbi.nlm.nih.gov,.
  5. La vitamine D en prévention du cancer ?, passeportsante.net,.
  6. (en) H. Dorota Halicka, Hong Zhao, Jiangwei Li, Frank Traganos, George P. Studzinski, Zbigniew Darzynkiewicz, « Attenuation of constitutive DNA damage signaling by 1,25-dihydroxyvitamin D3 »,Aging (Albany NY) (en),vol. 4,no 4,‎,p. 270-278(ISSN 1945-4589,PMID 22498490,lire en ligne, consulté le).
  7. a etb« Vitamine D dans la prise en charge de la sclérose en plaques », surcochrane.org(consulté le).
  8. (en) Holló A., Clemens Z., Kamondi A., Lakatos P., Szűcs A., « Correction of vitamin D deficiency improves seizure control in epilepsy: A pilot study »,Epilepsy Behav. (en),‎.
  9. a etbTuomasMikola, WolfgangMarx, Melissa M.Lane et MeghanHockey, « The effect of vitamin D supplementation on depressive symptoms in adults: A systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials »,Critical Reviews in Food Science and Nutrition,‎,p. 1–18(ISSN 1549-7852,PMID 35816192,DOI 10.1080/10408398.2022.2096560,lire en ligne, consulté le).
  10. a etb(en) ValiMusazadeh, MajidKeramati, FaezehGhalichi et ZeynabKavyani, « Vitamin D protects against depression: Evidence from an umbrella meta-analysis on interventional and observational meta-analyses »,Pharmacological Research,‎(DOI 10.1016/j.phrs.2022.106605,lire en ligne, consulté le).
  11. (de)Archiv für medizinische Erfahrung, 1824, 2:79–92.
  12. (en)« History of Vitamin D », survitamind.ucr.edu,(version du surInternet Archive).
  13. a etbL. Tavera-Mendoza et J. White « La vitamine du soleil »Pour la Science,p. 74-80.
  14. Étienne Cavalier, Jean-Claude Souberbielle, « La vitamine D : effets « classiques », « non classiques » et évaluation du statut du patient »,Médecine Nucléaire,vol. 33,no 1,‎,p. 7-16(DOI 10.1016/j.mednuc.2008.10.001).
  15. (en) Michael F. Holick,The Vitamin D Solution, Penguin,,p. 37.
  16. Nutrition et alimentation des volaillesp. 145, Michel Larbier, Bernard Leclercq 1992.
  17. PubChem14715482.
  18. PubChem7850889.
  19. (en) Hector F.DeLuca, « Overview of general physiologic features and functions of vitamin D »,The American Journal of Clinical Nutrition,vol. 80,no 6,‎1er décembre 2004,p. 1689S–1696S(ISSN 0002-9165,DOI 10.1093/ajcn/80.6.1689S,lire en ligne, consulté le).
  20. « La vitamine D : un rayon de soleil », surLigue nationale contre le cancer.
  21. a etb(en) Garland CF, Gorham ED, Mohr SBet al., « Vitamin D and prevention of breast cancer: Pooled analysis »,The Journal of Steroid Biochemistry and Molecular Biology (en),vol. 103,no 3,‎,p. 708--711(PMID 17368188).
  22. « Effets du rayonnementUV sur la santé », surOrganisation mondiale de la santé.
  23. a etb(en) Holick MF,« Vitamin D deficiency »The New England Journal of Medicine 2007;357:266-281.
  24. « Vitamine D »,.
  25. (en) Mariana Costa Silva et Tania Weber Furlanetto, « Intestinal absorption of vitamin D: a systematic review »,Nutrition Reviews,vol. 76,no 1,‎1er janvier 2018,p. 60-76(DOI 10.1093/nutrit/nux034,lire en ligne)
  26. (en) EmmanuelleReboul, AurélieGoncalves, ChristineComera et RomainBott, « Vitamin D intestinal absorption is not a simple passive diffusion: evidences for involvement of cholesterol transporters »,Molecular Nutrition & Food Research,vol. 55,no 5,‎,p. 691–702(ISSN 1613-4133,PMID 21280209,DOI 10.1002/mnfr.201000553,lire en ligne).
  27. (en) ManishaSahay et RakeshSahay, « Rickets-vitamin D deficiency and dependency »,Indian Journal of Endocrinology and Metabolism,vol. 16,no 2,‎,p. 164(ISSN 2230-8210,PMID 22470851,PMCID PMC3313732,DOI 10.4103/2230-8210.93732,lire en ligne, consulté le).
  28. Alain Randoux,Biochimie dynamique,De Boeck Supérieur,,p. 453.
  29. abcdef etg(en) Cranney A, Horsley T, O'Donnell S, Weiler H, Puil L, Ooi D, Atkinson S, Ward L, Moher D, Hanley D, Fang M, Yazdi F, Garritty C, Sampson M, Barrowman N, Tsertsvadze A, Mamaladze V. « Effectiveness and safety of vitamin D in relation to bone health »Evid Rep Technol Assess. (Full Rep), (158):1-235 (Résumé)PMID18088161.
  30. « Les effets des métaux lourds sur l'environnement et la santé », surSénat(consulté le).
  31. Beckman MJ, Tadikonda P, Werner E, Prahl J, Yamada S, DeLuca HF, « Human 25-hydroxyvitamin D3-24-hydroxylase, a multicatalytic enzyme »,Biochemistry,vol. 35,no 25,‎,p. 8465–72(PMID 8679605,DOI 10.1021/bi960658i,lire en ligne).
  32. (en) Boron WF, Boulpaep EL,Medical Physiology : A Cellular And Molecular Approach, Elsevier/Saunders,(ISBN 1-4160-2328-3), « Endocrine system chapter ».
  33. (en) Richards JB, Valdes AM, Gardner JP, Paximadas D, Kimura M, Nessa A, Lu X, Surdulescu GL, Swaminathan R, Spector TD, Aviv A. duKing's College de Londres -« Higher serum vitamin D concentrations are associated with longer leukocyte telomere length in women »Am J Clin Nutr. 2007 Nov;86(5):1420-1425.
  34. L214, « La vitamine D », survegan-pratique.fr(consulté le).
  35. (en) « Vegan Vitamin D3 Products from Lichen », surnutritionaloutlook.com,(consulté le).
  36. « Vitamine D (µg/100 g) », surANSES, base Ciqual(consulté le).
  37. (en) Lisa M. Bodnar, Janet M. Catov, Hyagriv N. Simhan, Michael F. Holick, Robert W. Powers et James M. Roberts, « Maternal Vitamin D Deficiency Increases the Risk of Preeclampsia »,The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism,(DOI 10.1210/jc.2007-0718, consulté le).
  38. (en)USDA, « National Nutrient Database for Standard Reference: halibut dry heat cooked (release 27) »(consulté le).
  39. (en)USDA, « National Nutrient Database for Standard Reference: halibut (release 27) »(consulté le).
  40. (en) P.Mattila etLampi A-M, Ronkainen R, Toivo J, Piironen V., « Sterol and vitamin D2 contents in some wild and cultivated mushrooms »,Food Chemistry,vol. 76,no 3,‎,p. 293–298(lire en ligne).
  41. Claude Leray,Les lipides. Nutrition et santé,Lavoisier,,p. 149.
  42. Vincent Amstutz, Bernard Favrat, Jacques Cornuz et Marc-Antoine Krieg, « Vitamine D : actualité et recommandations »,La revue médicale suisse,no 319,‎,p. 2332-2338(lire en ligne, consulté le).
  43. Comité de nutrition de la Société française de pédiatrie, « La Vitamine D : une vitamine toujours d'actualité chez l'enfant et l'adolescent »[PDF],(consulté le).
  44. (en) T. Wang, G. Bengtsson, I. Kärnefelt, L. O. Björn, « Provitamins and vitamins D2 and D3 in Cladina spp. over a latitudinal gradient: possible correlation withUV levels », surlup.lub.lu.se,Journal of Photochemistry and Photobiology, B:Biology 62 (1-2) (nl),(ISSN 1011-1344,DOI 10.1016/S1011-1344(01)00160-9, consulté le),p. 118-122.
  45. (en) A. Spiro, J. L. Buttriss, « Vitamin D: An overview of vitamin D status and intake in Europe », surncbi.nlm.nih.gov,Nutrition Bulletin,(PMID 25635171,DOI 10.1111/nbu.12108, consulté le),p. 322–350.
  46. (en) Rie B. Jäpelt et Jette Jakobsen, « Vitamin D in plants: a review of occurrence, analysis, and biosynthesis », surncbi.nlm.nih.gov,Front Plant Sci. (en),(PMID 23717318,DOI 10.3389/fpls.2013.00136, consulté le).
  47. « Statut vitaminique, rôle extra osseux et besoins quotidiens envitamine D »[PDF], surAcadémie nationale de médecine,(consulté le).
  48. « La vitamine D et le calcium : Révision des Apports nutritionnels de référence », surSanté Canada,(consulté le).
  49. « Quelle dose de vitamine D cet hiver ? »,La Revue du praticien,.
  50. a etb« Insuffisance » envitamine D chez les adultes gare aux concepts trop flous,La revue Prescriretome 33no 356.
  51. (en) Bischoff-Ferrari HA, Giovannucci E, Willett WC, Dietrich T, Dawson-Hughes B,« Estimation of optimal serum concentrations of 25-hydroxyvitamin D for multiple health outcomes »Am J Clin Nutr. 2006;84:18–28.
  52. (en) Susan S. Harris, « Vitamin D and African Americans »,The Journal of Nutrition,‎(lire en ligne).
  53. « Vitamine D : l'hémisphère Nord manque de vitamine D »(consulté le).
  54. (en) Webb AR, Kline L et Holick MF, « Influence of season and latitude on the cutaneous synthesis of vitamin D3: exposure to winter sunlight in Boston and Edmonton will not promote vitamin D3 synthesis in human skin »,Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism,vol. 67,no 2,‎,p. 6196–6199(lire en ligne, consulté le).
  55. (en)National Institutes of Health, « Vitamin D — Health Professional Fact Sheet »,(PMID 2839537, consulté le).
  56. (en)New Guidelines Suggest Higher Doses ofVitamin D -Endocrine Society Says Vitamin D Deficiency May Be Common in U.S. Daniel J. DeNoon WebMD Health News.
  57. (en) Sarah N. Taylor, Carol L. Wagner et Bruce W. Hollis, « Vitamin D supplementation during lactation to support infant and mother »,Journal of the American College of Nutrition,vol. 27,no 6,‎,p. 690–701(PMID 19155428,résumé).
  58. (en) NihalBuyukuslu, KubraEsin, HilalHizli et NihalSunal, « Clothing preference affects vitamin D status of young women »,Nutrition Research (New York, N.Y.),vol. 34,no 8,‎,p. 688–693(ISSN 1879-0739,PMID 25156789,DOI 10.1016/j.nutres.2014.07.012,lire en ligne, consulté le).
  59. (en) JamshidFarahati, JamesNagarajah, ElenaGilman et SohaMahjoob, « Ethnicity, Clothing Style, and Body Mass Index are Significant Predictors of Vitamin D Insufficiency in Germany »,Endocrine Practice: Official Journal of the American College of Endocrinology and the American Association of Clinical Endocrinologists,vol. 21,no 2,‎,p. 122–127(ISSN 1530-891X,PMID 25297668,DOI 10.4158/EP14320.OR,lire en ligne, consulté le).
  60. (en) F.Alagöl, Y.Shihadeh, H.Boztepe et R.Tanakol, « Sunlight exposure and vitamin D deficiency in Turkish women »,Journal of Endocrinological Investigation (en),vol. 23,no 3,‎,p. 173–177(ISSN 0391-4097,PMID 10803475,DOI 10.1007/BF03343702,lire en ligne, consulté le).
  61. (en) FadouaAllali, Siham ElAichaoui, BouchraSaoud et HoudaMaaroufi, « The impact of clothing style on bone mineral density among post menopausal women in Morocco: a case-control study »,BMC Public Health,vol. 6,‎,p. 135(ISSN 1471-2458,PMID 16712731,PMCID PMC1524743,DOI 10.1186/1471-2458-6-135,lire en ligne, consulté le).
  62. (en) A. A.Mishal, « Effects of different dress styles on vitamin D levels in healthy young Jordanian women »,Osteoporosis International (en): a journal established as result of cooperation between the European Foundation for Osteoporosis and the National Osteoporosis Foundation of the USA,vol. 12,no 11,‎,p. 931–935(ISSN 0937-941X,PMID 11804019,DOI 10.1007/s001980170021,lire en ligne, consulté le).
  63. (en) Schöttker B, Jorde R, Peasey Aet al., « Vitamin D and mortality: meta-analysis of individual participant data from a large consortium of cohort studies from Europe and the United States »,BMJ,BMJ Publishing Group Ltd,vol. 348,‎, g3656(DOI 10.1136/bmj.g3656,lire en ligne, consulté le).
  64. (en) ShoaibAfzal, PeterBrøndum-Jacobsen, Stig E.Bojesen et Børge G.Nordestgaard, « Genetically low vitamin D concentrations and increased mortality: Mendelian randomisation analysis in three large cohorts »,BMJ (Clinical research ed.),vol. 349,‎, g6330(ISSN 1756-1833,PMID 25406188,PMCID 4238742,DOI 10.1136/bmj.g6330,lire en ligne, consulté le).
  65. (en) Durup D, Jørgensen HL, Christensen J, Schwarz P, Heegaard AM et Lind B, « A reverse J-shaped association of all-cause mortality with serum 25-hydroxyvitamin D in general practice: the CopD study »,The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism,Endocrine Society Chevy Chase,vol. 97,no 8,‎(PMID 22573406,lire en ligne[PDF], consulté le).
  66. Nutri-Facts, « Vitamine D, Carence, Os, Faiblesse Musculaire »,(consulté le).
  67. Danielle Lévesque, « La vitamine D, tout le monde en parle, mais… »,Le Médecin du Québec,vol. 44,no 3,‎,p. 51-55(lire en ligne[PDF], consulté le).
  68. (en) Plotnikoff, Gregory A et Quigley, Joanna M, « Prevalence of Severe Hypovitaminosis D in Patients With Persistent, Nonspecific Musculoskeletal Pain »,Mayo Clin Proc, Elsevier,vol. 78,no 12,‎,p. 1463-1470(résumé).
  69. (en) JS Rodman J.S. et T. Baker,« Changes in the kinetics of muscle contraction in vitamin D-depleted rats »Kidney International, 1978 mars;13(3):189-93.lire en ligne.
  70. AFP,« Cancer du sein : la carence en vitamine D augmente le risque »,(version du surInternet Archive) le, (consulté le).
  71. AFP, « La vitamine D, un bon remède contre le cancer du sein », sur7sur7.be,(consulté le).
  72. a etb(en) Tea Skaaby, Lise Lotte Nystrup Husemoen, Charlotta Pisinger, Torben Jørgensen, Betina Heinsbæk Thuesen, Mogens Fenger, Allan Linneberg, « Vitamin D Status and Cause-Specific Mortality: A General Population Study »,PLOS ONE,vol. 7,no 12,‎, e52423(PMID 23285034,DOI 10.1371/journal.pone.0052423,lire en ligne, consulté le).
  73. (en) Srilatha Swami, Aruna V Krishnan, David Feldman, « Vitamin D metabolism and action in the prostate: implications for health and disease »,Molecular and Cellular Endocrinology (en),vol. 347,nos 1-2,‎,p. 61-69(ISSN 1872-8057,PMID 21664249,DOI 10.1016/j.mce.2011.05.010,lire en ligne).
  74. (en)PLoS ONE « Vitamin D Receptor Deficiency Enhances Wnt/β-Catenin Signaling and Tumor Burden in Colon Cancer ».
  75. (en) Larriba MJ, Ordóñez-Morán P, Chicote I, Martín-Fernández G, Puig I.et al. (2011)« Vitamin D Receptor Deficiency Enhances Wnt/β-Catenin Signaling and Tumor Burden in Colon Cancer »PLoS ONE 6(8): e23524.DOI 10.1371/journal.pone.0023524.
  76. (en) Wang TJ, Pencina MJ, Booth SLet al.« Vitamin D deficiency and risk of cardiovascular disease »Circulation 2008;117:503-11.
  77. (en) Martins D, Wolf M, Pan Det al.« Prevalence of cardiovascular risk factors and the serum levels of 25-Hydroxyvitamin D in the United States »Arch Intern Med. 2007;167:1159-1165.
  78. (en) Llewellyn DJ, Lang IA, Langa KMet al.Vitamin D and risk of cognitive decline in elderly persons, Arch Intern Med, 2010;170:1135-1141.
  79. (en) Balion C, Griffith LE, Strifler L, Henderson M, Patterson C, Heckman G, Llewellyn DJ et Raina P., « Vitamin D, cognition, and dementia: a systematic review and meta-analysis. »,Neurology,AAN Enterprises,vol. 79,no 13,‎,p. 1397--1405(PMID 23008220,lire en ligne, consulté le).
  80. (en) « Vitamin D deficiency doubles schizophrenia risk »,Business Standard India,‎(lire en ligne, consulté le).
  81. (en) Kassandra L. Munger, Lynn I. Levin, Bruce W. Hollis, Noel S. Howard, Alberto Ascherio« Serum 25-Hydroxyvitamin D levels and risk of multiple sclerosis »JAMA 2006;296:2832-2838.
  82. Florian Gouthière, « Quels liens entre sclérose en plaques et vitamine D ? », surAllô docteurs,(consulté le).
  83. (en) Aghajafari, Fariba, Nagulesapillai, Tharsiya, Ronksley, Paul E, Tough, Suzanne C, O'Beirne, Maeve et Rabi, Doreen M, « Association between maternal serum 25-hydroxyvitamin D level and pregnancy and neonatal outcomes: systematic review and meta-analysis of observational studies »,British Medical Journal,BMJ Publishing Group Ltd,vol. 346,‎(lire en ligne, consulté le).
  84. (en) Haibin Li, Dianqin Sun, Anxin Wang, Huiying Pan, Wei Feng, Chee H Ng, Gabor S Ungvari, Lixin Tao, Xia Li, Wei Wang, Yu-Tao Xiang et Xiuhua Guo, « Serum 25-hydroxyvitamin D levels and depression in older adults: a dose-response meta-analysis of prospective cohort studies »,The American journal of geriatric psychiatry,vol. 27,no 11,‎,p. 1192-1202(DOI 10.1016/j.jagp.2019.05.022,lire en ligne).
  85. (en) D. A.Wahl, C.Cooper, P. R.Ebeling et M.Eggersdorfer, « A global representation of vitamin D status in healthy populations »,Archives of Osteoporosis (en),vol. 7,nos 1-2,‎,p. 155–172(ISSN 1862-3522 et1862-3514,DOI 10.1007/s11657-012-0093-0,lire en ligne, consulté le).
  86. (en) D. A.Wahl, C.Cooper, P. R.Ebeling et M.Eggersdorfer, « A global representation of vitamin D status in healthy populations: reply to comment by Saadi »,Archives of Osteoporosis (en),vol. 8,nos 1-2,‎1er février 2013(ISSN 1862-3522 et1862-3514,DOI 10.1007/s11657-013-0122-7,lire en ligne, consulté le).
  87. « Vitamine D (25-hydroxy-) »[PDF], surEurofins Biomnis(consulté le),p. 2/3.
  88. (en) ArashHossein-nezhad et Michael F.Holick, « Vitamin D for Health: A Global Perspective »,Mayo Clinic proceedings. Mayo Clinic,vol. 88,‎1er juillet 2013,p. 720–755(ISSN 0025-6196,PMID 23790560,PMCID 3761874,DOI 10.1016/j.mayocp.2013.05.011,lire en ligne, consulté le).
  89. « Vitamine D - 1,25 - dihydroxy-vitamine D - sérum », sureurofins-biomnis.com.
  90. « Dosage de la vitamine D », surwww.ameli.fr(consulté le).
  91. abcdef etg(en) FionaMitchell, « Vitamin-D and COVID-19: do deficient risk a poorer outcome? »,The Lancet Diabetes & Endocrinology,vol. 8,no 7,‎, S2213858720301832(DOI 10.1016/S2213-8587(20)30183-2,lire en ligne, consulté le).
  92. (en) Chung M, Balk EM, Brendel M, Ip S, Lau J, Lee J, Lichtenstein A, Patel K, Raman G, Tatsioni A, Terasawa T, Trikalinos TA « Vitamin D and calcium: a systematic review of health outcomes »Evid Rep Technol Assess. (Full Rep) 2009 Aug;(183):1-420 (Résumé)PMID20629479.
  93. (en) A. Cranney, H. A. Weiler, S. O'Donnell et L. Puil, « Summary of evidence-based review on vitamin D efficacy and safety in relation to bone health »,The American Journal of Clinical Nutrition,vol. 88,no 2,‎,p. 513S-519S(PMID 18689393,résumé).
  94. (en) Philippe Autier, Mathieu Boniol, Cécile Pizot et Patrick Mullie, « Vitamin D status and ill health: a systematic review »,The Lancet Diabetes and Endocrinology,vol. 2,no 1,‎1er janvier 2014,p. 76-89(DOI 10.1016/S2213-8587(13)70165-7,lire en ligne).
  95. Rapport d'évaluation technologique. Utilité clinique du dosage de lavitamine Doctobre 2013.
  96. (en) AntonioRuiz-García, VicentePallarés-Carratalá, MiguelTurégano-Yedro et FerranTorres, « Vitamin D Supplementation and Its Impact on Mortality and Cardiovascular Outcomes: Systematic Review and Meta-Analysis of 80 Randomized Clinical Trials »,Nutrients,vol. 15,no 8,‎,p. 1810(ISSN 2072-6643,PMID 37111028,PMCID PMC10146299,DOI 10.3390/nu15081810,lire en ligne, consulté le).
  97. Sylvie Demers,Le mythe de la vitamine D. Rétablir la vérité sur les hormones,Les Éditions de l'Homme,, 248 p..
  98. (en) « Vitamin D », surNational Health Service,(consulté le).
  99. Ostéoporose Canada.
  100. (en)« Scientists taking vitamin D in droves », Martin Mittelstaedt,Globe and Mail..
  101. Prévention des chutes chez les personnes âgées par la prescription de vitamine D.(en) Venning G.,Recent developments in vitamin D deficiency and muscle weakness among elderly people.BMJ,.lire en ligne.
  102. (en)How do I get the vitamin D my body needs?Vitamin D Council.
  103. (en) Holick MF, « The role of vitamin D for bone health and fracture prevention »,Curr Osteoporos Rep,vol. 4,no 3,‎,p. 96–102(PMID 16907998).
  104. (en) LeBoff MS, Chou SH, Ratliff KAet al., « Supplemental vitamin D and incident fractures in midlife and older adults »,The New England Journal of Medicine,no 387,‎,p. 299-309(DOI 10.1056/NEJMoa2202106,lire en ligne).
  105. MaryWaterhouse, Peter R.Ebeling, Donald S. A.McLeod et DallasEnglish, « The effect of monthly vitamin D supplementation on fractures: a tertiary outcome from the population-based, double-blind, randomised, placebo-controlled D-Health trial »,The Lancet. Diabetes & Endocrinology,vol. 11,no 5,‎,p. 324–332(ISSN 2213-8595,PMID 37011645,DOI 10.1016/S2213-8587(23)00063-3,lire en ligne, consulté le)
  106. Priscille Tremblais, « Les news - Les effets anti-cancer de la vitamine D confirmés »,(consulté le).
  107. (en) D. Corpet,« Chemoprevention Database Colorectal Cancer Prevention -Vitamin D3 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surINRA,.
  108. (en) Cedric F. Garland, Frank C. Garland, Edward D. Gorham, Martin Lipkin, Harold Newmark, Sharif B. Mohr et Michael F. Holick, « The Role of Vitamin D in Cancer Prevention »,American Journal of Public Health (en),American Public Health Association (en),vol. 96,no 2,‎,p. 252(PMCID 1470481).
  109. (en) Jean Wactawski-Wende, Jane Morley Kotchen, Garnet L. Andersonet al., « Calcium plus vitamin D supplementation and the risk of colorectal cancer »,The New England Journal of Medicine,vol. 354,no 7,‎,p. 684-696(PMID 16481636,DOI 10.1056/NEJMoa055222).
  110. (en) Joan M. Lappe, Dianne Travers-Gustafson, K. Michael Davies, Robert R. Recker et Robert P. Heaney, « Vitamin D and calcium supplementation reduces cancer risk: results of a randomized trial »,The American Journal of Clinical Nutrition,vol. 85,no 6,‎,p. 1586-1591(lire en ligne).
  111. (en) Chung M, Lee J, Terasawa T, Lau J et Trikalinos TA, « Vitamin D with or without calcium supplementation for prevention of cancer and fractures: An updated meta-analysis for the U.S. preventive services task force »,Ann Intern Med,vol. 155,no 12,‎,p. 827--838(DOI 10.7326/0003-4819-155-12-201112200-00005).
  112. (en) Helzlsouer KJ, « Overview of the Cohort Consortium Vitamin D Pooling Project of Rarer Cancers »,American Journal of Epidemiology,vol. 172,no 1,‎,p. 4--9(DOI 10.1093/aje/kwq119).
  113. Bruce M.LeClair, CelineSi et JontuSolomon, « Vitamin D Supplementation and All-Cause Mortality »,American Family Physician,vol. 102,no 1,‎1er juillet 2020(ISSN 1532-0650,PMID 32603077,lire en ligne, consulté le).
  114. (en) Autier P, Gandini S,Vitamin D supplementation and total mortality: a meta-analysis of randomized controlled trials,Arch Intern Med, 2007;167:1730–1737.
  115. (en) Witham MD, Price RJ, Struthers ADet al.Cholecalciferol treatment to reduce blood pressure in older patients with isolated systolic hypertension, The VitDISH Randomized Controlled Trial, JAMA Intern Med, 2013;173:1672-1679.
  116. MohammadGarakyaraghi, MansourSiavash et MaryamKerdegari, « The effect of vitamin D therapy in the improvement of cardiac performance and exercise capacity in patients with heart failure: A double-blind, randomized, placebo-controlled trial »,ARYA atherosclerosis,vol. 17,no 3,‎,p. 1–7(ISSN 1735-3955,PMID 35685819,PMCID 9133706,DOI 10.22122/arya.v17i0.2135,lire en ligne, consulté le).
  117. Yi-YanPei, YuZhang, Xing-ChenPeng, Zhe-RanLiu, Ping Xu et Fang Fang, « Association of Vitamin D Supplementation with Cardiovascular Events: A Systematic Review and Meta-Analysis »,Nutrients,vol. 14,no 15,‎,p. 3158(ISSN 2072-6643,PMID 35956336,PMCID 9370368,DOI 10.3390/nu14153158,lire en ligne, consulté le).
  118. (en)Vitamin D can prevent RSV, new study says.. par Nkoyo Iyamba,Deseret News.
  119. (en) Belderbos ME, Houben ML, Wilbrink B, Lentjes E, Bloemen EM, Kimpen JLet al., « Cord Blood Vitamin D Deficiency is Associated With Respiratory Syncytial Virus Bronchiolitis. »,Pediatrics (en),‎(PMID 21555499,DOI 10.1542/peds.2010-3054,lire en ligne).
  120. (en) Thorne-Lyman A, Fawzi WW,Vitamin D during pregnancy and maternal, neonatal and infant health outcomes: a systematic review and meta-analysis,Paediatr Perinat Epidemiol (en), 2012;26(suppl 1):75-90.
  121. (en) YuZhang, HuiwenTan, JingjingTang et JingLi, « Effects of Vitamin D Supplementation on Prevention of Type 2 Diabetes in Patients With Prediabetes: A Systematic Review and Meta-analysis »,Diabetes Care,vol. 43,no 7,‎,p. 1650–1658(ISSN 1935-5548,PMID 33534730,DOI 10.2337/dc19-1708,lire en ligne, consulté le).
  122. (en) RezaSahebi, MajidRezayi, MaryamEmadzadeh et MaryamSalehi, « The effects of vitamin D supplementation on indices of glycemic control in Iranian diabetics: A systematic review and meta-analysis »,Complementary Therapies in Clinical Practice,vol. 34,‎,p. 294–304(ISSN 1873-6947,PMID 30712741,DOI 10.1016/j.ctcp.2018.12.009,lire en ligne, consulté le).
  123. (en) ElhamMoslemi, ValiMusazadeh, ZeynabKavyani et NavidNaghsh, « Efficacy of vitamin D supplementation as an adjunct therapy for improving inflammatory and oxidative stress biomarkers: An umbrella meta-analysis »,Pharmacological Research,vol. 186,‎,p. 106484(ISSN 1096-1186,PMID 36206958,DOI 10.1016/j.phrs.2022.106484,lire en ligne, consulté le).
  124. (en) Hewison M, « Vitamin D and innate and adaptive immunity »,Vitam. Horm.,vol. 86,‎,p. 23–62(ISBN 9780123869609,PMID 21419266,DOI 10.1016/B978-0-12-386960-9.00002-2).
  125. (en) Beard JA, Bearden A, Striker R, « Vitamin D and the anti-viral state »,Journal of clinical virology : the official publication of the Pan American Society for Clinical Virology,vol. 50,no 3,‎,p. 194–200(PMID 21242105,PMCID 3308600,DOI 10.1016/j.jcv.2010.12.006).
  126. (en) Spector SA, « Vitamin D and HIV: letting the sun shine in »,Topics in antiviral medicine,vol. 19,no 1,‎,p. 6–10(PMID 21852710).
  127. (en) Cannell JJ, Vieth R, Umhau JC, Holick MF, Grant WB, Madronich S, Garland CF, Giovannucci E, « Epidemic influenza and vitamin D »,Epidemiology and Infection (en),vol. 134,no 6,‎,p. 1129–1140(PMID 16959053,PMCID 2870528,DOI 10.1017/S0950268806007175).
  128. (en) Nnoaham KE, Clarke A, « Low serum vitamin D levels and tuberculosis: a systematic review and meta-analysis »,International Journal of Epidemiology (en),vol. 37,no 1,‎,p. 113–119(PMID 18245055,DOI 10.1093/ije/dym247).
  129. (en) Luong Kv, Nguyen LT, « Impact of vitamin D in the treatment of tuberculosis »,The American Journal of the Medical Sciences (en),vol. 341,no 6,‎,p. 493–498(PMID 21289501,DOI 10.1097/MAJ.0b013e3182070f47).
  130. (en) Khajaviet al.The rachitic lung: pulmonary findings in 30 infants and children with malnutritional rickets.Clin Pediatr 1977 16: 36-38.
  131. (en) James R. Sabetta, Paolo DePetrillo, Ralph J. Cipriani, Joanne Smardin, Lillian A. Burns, Marie L. Landry :Serum 25-Hydroxyvitamin D and the Incidence of Acute Viral Respiratory Tract Infections in Healthy Adultslire en ligne.
  132. (en) Adrian R.Martineau et David A.Jolliffe, « Vitamin D supplementation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data », surBMJ,(ISSN 0959-8138,PMID 28202713,PMCID PMC5310969,DOI 10.1136/bmj.i6583, consulté le), i6583.
  133. « Vérification. Covid 19 : la vitamine D peut-elle éviter les formes graves de la maladie ? », surFrance 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur,.
  134. Zhijian Caoet al.,SARS-CoV-2 et Covid-19 : Rôles clés du système « rénine-angiotensine » & vitamine D. Impact sur le développement de médicaments et vaccins,.
  135. (en) William B.Grant, HenryLahore, Sharon L.McDonnell et Carole A.Baggerly, « Evidence that Vitamin D Supplementation Could Reduce Risk of Influenza and COVID-19 Infections and Deaths »,Nutrients (en),vol. 12,no 4,‎,p. 988(ISSN 2072-6643,DOI 10.3390/nu12040988,lire en ligne, consulté le).
  136. ab etc(en) MuratKara, TimurEkiz, VincenzoRicci et ÖzgürKara, « ‘Scientific Strabismus’ or Two Related Pandemics: COVID-19 & Vitamin D Deficiency »,British Journal of Nutrition (en),‎,p. 1–20(ISSN 0007-1145 et1475-2662,DOI 10.1017/S0007114520001749,lire en ligne, consulté le).
  137. a etb(en) AntonioD’Avolio, ValeriaAvataneo, AlessandraManca et JessicaCusato, « 25-Hydroxyvitamin D Concentrations Are Lower in Patients with Positive PCR for SARS-CoV-2 »,Nutrients,vol. 12,no 5,‎,p. 1359(ISSN 2072-6643,DOI 10.3390/nu12051359,lire en ligne, consulté le).
  138. (en) ChaolinHuang, YemingWang, XingwangLi et LiliRen, « Clinical features of patients infected with 2019 novel coronavirus in Wuhan, China »,The Lancet,vol. 395,no 10223,‎,p. 497–506(PMID 31986264,PMCID PMC7159299,DOI 10.1016/S0140-6736(20)30183-5,lire en ligne, consulté le).
  139. (en) Adrian F.Gombart, AdelinePierre et SilviaMaggini, « A Review of Micronutrients and the Immune System–Working in Harmony to Reduce the Risk of Infection (voir aussi les références contenues dans cet article) »,Nutrients,vol. 12,no 1,‎,p. 236(ISSN 2072-6643,PMID 31963293,PMCID PMC7019735,DOI 10.3390/nu12010236,lire en ligne, consulté le).
  140. (en) MariangelaRondanelli, AlessandraMiccono, SilviaLamburghini et IlariaAvanzato, « Self-Care for Common Colds: The Pivotal Role of Vitamin D, Vitamin C, Zinc, and Echinacea in Three Main Immune Interactive Clusters (Physical Barriers, Innate and Adaptive Immunity) Involved during an Episode of Common Colds—Practical Advice on Dosages and on the Time to Take These Nutrients/Botanicals in order to Prevent or Treat Common Colds »,Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine (en),vol. 2018,‎,p. 1–36(ISSN 1741-427X et1741-4288,PMID 29853961,PMCID PMC5949172,DOI 10.1155/2018/5813095,lire en ligne, consulté le).
  141. (en) Margherita T.Cantorna, « Mechanisms underlying the effect of vitamin D on the immune system »,Proceedings of the Nutrition Society (en),vol. 69,no 3,‎,p. 286–289(ISSN 0029-6651 et1475-2719,PMID 20515520,PMCID PMC3138329,DOI 10.1017/S0029665110001722,lire en ligne, consulté le).
  142. « Covid-19. 73 experts confirment les bénéfices de lavitamine D pour lutter contre le virus »,Ouest-France,.
  143. (en) Miguel A.Villasis-Keever, Mardia G.López-Alarcón, GuadalupeMiranda-Novales et Jessie N.Zurita-Cruz, « Efficacy and Safety of Vitamin D Supplementation to Prevent COVID-19 in Frontline Healthcare Workers. A Randomized Clinical Trial »,Archives of Medical Research,vol. 53,no 4,‎,p. 423–430(PMID 35487792,PMCID PMC9013626,DOI 10.1016/j.arcmed.2022.04.003,lire en ligne, consulté le).
  144. a etbCatherine Cormier, « Vitamine D : quand doser et comment corriger ? »,La Revue du Praticien - médecine générale,vol. 26,no 880,‎,p. 331-336(lire en ligne).
  145. AipingFang, YueZhao, PingYang et XuehongZhang, « Vitamin D and human health: evidence from Mendelian randomization studies »,European Journal of Epidemiology,‎(ISSN 1573-7284,PMID 38214845,DOI 10.1007/s10654-023-01075-4,lire en ligne, consulté le)
  146. a etb(en) WendyDankers, Edgar M.Colin, Jan Pietvan Hamburg et ErikLubberts, « Vitamin D in Autoimmunity: Molecular Mechanisms and Therapeutic Potential »,Frontiers in Immunology,vol. 7,‎(ISSN 1664-3224,PMID 28163705,PMCID PMC5247472,DOI 10.3389/fimmu.2016.00697,lire en ligne, consulté le).
  147. (en) Merlino LA, Curtis J, Mikuls TR, Cerhan JR, Criswell LA, Saag KG; Iowa Women's Health Study, « Vitamin D intake is inversely associated with rheumatoid arthritis: results from the Iowa Women's Health Study »,Arthritis Rheum. (en),vol. 50,no 1,‎,p. 72-77(PMID 14730601) modifier.
  148. (en) Nielen MM, van Schaardenburg D, Lems WF, van de Stadt RJ, de Koning MH, Reesink HW, Habibuw MR, van der Horst-Bruinsma IE, Twisk JW, Dijkmans BA, « Vitamin D deficiency does not increase the risk of rheumatoid arthritis: comment on the article by Merlinoet al. »,Arthritis Rheum. (en),vol. 54,no 11,‎,p. 3719-3720(PMID 17075887,lire en ligne) modifier.
  149. (en) Tian-Tian Wang, Dabbas B, Laperriere Det al.« Direct and Indirect Induction by 1,25-Dihydroxyvitamin D3 of the NOD2/CARD15-Defensin β2 Innate Immune Pathway Defective in Crohn Disease »,J Biol Chem, 2010;285:2227-2231.
  150. (en) A.N. Ananthakrishnanet al., « Higher predicted vitamin D status is associated with reduced risk of Crohn's disease »,Gastroenterol,vol. 142,no 3,‎,p. 482-489(PMID 22155183,lire en ligne, consulté le) modifier.
  151. (en) Elias S. Sotirchos, Pavan Bhargava, Christopher Eckstein, Keith Van Haren, Moira Baynes, Achilles Ntranos, Anne Gocke, Lawrence Steinman, Ellen M. Mowry et Peter A. Calabresi, « Safety and immunologic effects of high- vs low-dose cholecalciferol in multiple sclerosis »,Neurology,vol. 86,no 4,‎(DOI 10.1212/WNL.0000000000002316,lire en ligne).
  152. (en) F. Wepner, R. Scheuer, B. Schuetz-Wieser, P. Machacek, E. Pieler-Bruha, H.S. Cross, J. Hahne et M. Friedrich, « Effects of vitamin D on patients with fibromyalgia syndrome: a randomized placebo-controlled trial »,Pain (en),vol. 155,no 2,‎,p. 261-268(DOI 10.1016/j.pain.2013.10.002,lire en ligne).
  153. (en) Cedric Annweiler, Spyridon N. Karras, Panagiotis Anagnostis et Olivier Beauchet, « Vitamin D supplements: a novel therapeutic approach for Alzheimer patients »,Frontiers in Pharmacology,‎(DOI 10.3389/fphar.2014.00006,lire en ligne).
  154. (en) Cédric Annweiler, Yves Rolland, Anne M Schott, Hubert Blain, Bruno Vellas, François R. Herrmann et Olivier Beauchet, « Higher Vitamin D Dietary Intake Is Associated With Lower Risk of Alzheimer’s Disease: A 7-Year Follow-up »,The Journals of Gerontology: Series A,vol. 67,no 11,‎,p. 1205–1211(DOI 10.1093/gerona/gls107,lire en ligne).
  155. (en) S.Pilz, S.Frisch, H.Koertke, J.Kuhn, J.Dreier, B.Obermayer-Pietsch, E.Wehr et A.Zittermann, « Effect of vitamin D supplementation on testosterone levels in men »,Horm Metab Res,vol. 43,no 3,‎,p. 223-225(PMID 21154195,DOI 10.1055/s-0030-1269854).
  156. (en) Amestejani M, Salehi BS, Vasigh M, Sobhkhiz A, Karami M, Alinia H, Kamrava SK, Shamspour N, Ghalehbaghi B, Behzadi AH, « Vitamin D supplementation in the treatment of atopic dermatitis: a clinical trial study »,J Drugs Dermatol.,vol. 11,no 3,‎,p. 327-330(PMID 22395583) modifier.
  157. (en) Roider E, Ruzicka T, Schauber J, « Vitamin d, the cutaneous barrier, antimicrobial peptides and allergies: is there a link? »,Allergy Asthma Immunol Res.,vol. 5,no 3,‎,p. 119-128(PMID 23638309,PMCID PMC3636445,DOI 10.4168/aair.2013.5.3.119,lire en ligne) modifier.
  158. AlbinaNowak, LukasBoesch, ErikAndres et EdouardBattegay, « Effect of vitamin D3 on self-perceived fatigue »,Medicine,vol. 95,no 52,‎, e5353(ISSN 0025-7974,PMID 28033244,PMCID 5207540,DOI 10.1097/MD.0000000000005353,lire en ligne, consulté le).
  159. (en) J. N. Hathcock, A. Shao, R. Vieth et R. Heaney, « Risk assessment for vitamin D »,The American Journal of Clinical Nutrition,vol. 85,no 1,‎,p. 6-18(lire en ligne).
  160. (en) Roth DE, Al Mahmud A, Raqib R, Akhtar E, Perumal N, Pezzack Bet al., « Randomized placebo-controlled trial of high-dose prenatal third-trimester vitamin D3 supplementation in Bangladesh: the AViDD trial. »,Nutr J (en),vol. 12,no 1,‎,p. 47(PMID 23587190,PMCID PMC3641012,DOI 10.1186/1475-2891-12-47,lire en ligne).
  161. ValentinaMaggini, GiadaCrescioli, IlariaIppoliti et EugeniaGallo, « Safety Profile of Vitamin D in Italy: An Analysis of Spontaneous Reports of Adverse Reactions Related to Drugs and Food Supplements »,Journal of Clinical Medicine,vol. 12,no 14,‎,p. 4726(ISSN 2077-0383,PMID 37510843,PMCID PMC10381134,DOI 10.3390/jcm12144726,lire en ligne, consulté le)
  162. (en-us)« Am I getting too much vitamin D? », surVitamin D Council(version du surInternet Archive).
  163. Claude-Laurent Benhamou, Jean-Claude Souberbielle, Bernard Cortet, Patrice Fardellone, Jean-Bernard Gauvain, Thierry Thomas, pour le Groupe de recherche et d’information sur les ostéoporoses (GRIO), « La vitamine D chez l'adulte : recommandations du GRIO »,La Presse médicale,vol. 40,nos 7-8,‎,p. 473-482(lire en ligne).

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Liposolubles
A
D
E
K
Hydrosolubles
B
C
v ·m
Glycérides
(acylglycérols)
Phosphoglycérides
(phosphoacylglycérols)
Lysophospholipides
Sphingolipides
Stérols etStéroïdes
Prénols
Polycétides
Glycolipides
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Vitamine_D&oldid=223792548 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp