Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant lesréférences utiles à savérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Il a notamment présenté, de1998 à2000 puis de2005 à2020, l'émissionStop ou encore surRTL, les samedis et dimanches matins. Depuis 2021, il anime la tranche de la pré-matinale du week-end surRTL.
Son père Marcel Perrot (1913-1976), maire deConfolens, décède alors que Vincent est âgé de 10 ans et demi. Sa mère Marina décide alors de déménager àLimoges.
Il réalise sa première interview d'une célébrité à l'âge de 16 ans pour le compte deFR3-Limoges en interviewant pendant trois heuresArletty[1]. Vincent Perrot écouteRadio France Limoges, station oùJean-Marie Masse anime une émission sur lecinéma et écrit à ce dernier chaque semaine pour dire qu'il ne partage pas ses avis sur les films qu'il présente. Jean-Marie Masse finit par l’inviter à son émission, ce qui marque ses débuts dans l’audiovisuel à 17 ans surFR3[2]. Par la suite, il présente l'émissionJeans et basket sur FR3 Limoges.
Vincent Perrot accède réellement à la notoriété à la fin des années 1980, en remplaçantJean Rochefort à la présentation duDisney Channel surFR3 et en animant les après-midi estivales de la même chaîne dans40° à l'ombre. Le reste de l'année, il présente successivementOn va gagner[3], avec Cerise,Vincent à l'heure ouZapper n'est pas jouer, qui lui confèrent une image de gendre idéal. En 1989, toujours surFR3, il coanime avecÉvelyne Pagès et Agnès Vincent l'émission de divertissement pour adoC'est pas juste[4].
À l'été 1997, il rejointTF1 pour présenter le jeuMokshû Patamû, dont le succès ne passe pas l'été. Dès lors, il lui faut quelques années pour retrouver le succès à la télévision : en 1999 avecL'émission des records, puis à nouveau surFrance 3 en 2005 avecUn contre tous (adaptation éphémère du jeu belgeSeptante et un et ancienne version éphémère du jeu1 contre 100) où il cherchait à casser son image un peu trop lisse, etTac-O-Tac Gagnant à vie.
À la radio, il est l'un des animateurs deRTL, où il animeVendredi c'est VIP,le Cékoidon, réalisée par Bernard Gick, puis depuis 1998 l'émission de RTLStop ou encore. Il participe aussi à l'émissionLes Grosses Têtes dePhilippe Bouvard sur RTL de 1994 à 2014. En 1996, il est poursuivi[5] puis condamné pour injure à caractère raciste pour des propos tenus dans cette émission[6],[7].
Le, Vincent Perrot produit, présente et réalise l'émission mensuelleVincent Limites sur la chaîneMotors TV, émission mécanique dédiée à l'extrême sous toutes ses formes[réf. nécessaire].
À partir de l'été 2010, en accord et avec la collaboration active deJean-Paul Belmondo, il coproduit avecJeff Domenech et réalise le premier documentaire officiel sur la vie et la carrière de l'acteur. Ce documentaire a été diffusé en prime-time surFrance 2 le et en sélection Cannes Classics duFestival de Cannes 2011[réf. nécessaire].
En, il succède àAndré Torrent et présente les samedis et dimanchesVincent de 5 à 7 surRTL[10] jusqu'en 2020.
Durant la saison 2020-2021, il anime l'émissionRTL Pop Ciné le dimanche après-midi sur RTL consacrée aucinéma[réf. nécessaire].
En, il reprend l'animation de la pré-matinale du week-end surRTL de 4h30 à 6h du matin[11].
Synthèse de ses activités médiatiques et artistiques
Ciné-Hit, FR3 (avecCaroline Tresca, en fin des mercredis après-midi, jour de sortie des films en France, vers 17 h, une émission en studio d'environ 20 / 30 minutes sur les nouvelles sorties de films et sur le box-office / classement des meilleures entrées depuis le mercredi précédent, avec des extraits et bandes-annonces voire des invitésacteurs de ces films et un génériquemaison au refrain chanté « Ciné Hit, ciné Hit, cinéma vite vite »)
↑Pierre Monnier,Arletty, Éditions du Rocher, 1998, p.133 : "Mon ami Lucien Elie me demande si elle(Arletty) accepterait de recevoir un producteur deFR3-Limoges. Il aimerait bien l'entendre parler de sa carrière. Cela serait banal, si le producteur en question n'était pas un gamin de seize ans qui voudrait se faire une place à la télé tout en préparant son bac. (...) C'est un spectacle touchant et drôle, celui du jeune Vincent Perrot avec son petit magnétophone sur les genoux, posant des questions et tripotant les papiers où il avait tracé les grandes lignes de la carrière d'Arlette. Pendant trois heures elle s'est autant amusé que nous."