Villeneuve-la-Garenne se situe à l'extrême nord-est du département des Hauts-de-Seine, à la limite de laSeine-Saint-Denis. La commune est bordée par la rive gauche de laSeine, face àl'Île-Saint-Denis.
Au, Villeneuve-la-Garenne est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
La ville a connu un accroissement rapide de sa population à la suite des constructions massives de logements sociaux sur de grandes parcelles privées à la suite de l'appel de l'abbé Pierre en1954 et au retour desrapatriés d'Algérie en1962[14] et en raison de présence debidonvilles dans les années 1960[15],[16].
Le taux delogements sociaux s'élève à 54,5 %, maisil faut ajouter les logements non conventionnés[pourquoi ?] de l'OGIF (Caravelle) et de la SEM de Villeneuve-la-Garenne (quartier Jean-Moulin) ce qui correspond donc à un taux de 72 %.
La Caravelle[17], quartier comptant 6 000 habitants pour 1 850 logements. Un immeuble a eu la réputation d'être « la plus grande barre d'Europe » (ce qui était faux), mais la réhabilitation entreprise parRoland Castro a introduit des coupures urbaines à travers le quartier.
La Seine-Sablière, quartier comptant 4 400 habitants pour 1 660 logements. Il fait l'objet actuellement d'une réhabilitation, entreprise dans le cadre duGrand projet de ville. Depuis 2015, il est réuni avec La Caravelle dans ungrand quartier prioritaire dénommé « Aire 2029 »[18].
Ces deux quartiers concentrent la moitié de la population villéno-garennoise.
Le nouveau quartierVillerenne a permis d'accueillir 3 000 nouveaux habitants.
LaBanane ouRésidence Coopération et Famille, bâtie en 1958 située dans un quartier des années 1960 en réhabilitation[19].
En 1903, un nouveau pont plus large (où il est interdit de trotter), remplace le pont suspendu. Cette modernisation contribue au développement du hameau.
Le canotage, les guinguettes, cafés-restaurants et autres débits de boissons se multiplient (les 100 Kilos, la Belle Gabrielle, la Tête d’argent, la Tête d’or, le Cadran solaire, au picolo d’Auvergne...). En 1920, il y en a une trentaine environ. Les habitations du hameau sont, pour l’essentiel, concentrées le long des quais et de l’avenue de Gennevilliers (avenue de Verdun actuelle) où de superbes maisons sont construites.
À l'exception d'une petite école privée installée en 1853, avant 1888, les écoles sont situées à 3 km, àGennevilliers dont Villeneuve fait partie. Mais cette année-là, un groupe scolaire public voit le jour (dans l'actuelle rue des Anciennes-Écoles). La population augmentant, en 1910, le groupe scolaire s'agrandit et une école de garçons est construite. Dans lesannées 1950, les bâtiments du groupe scolaire sont aménagés et surélevés pour devenir l'actuel groupe scolaire Édouard-Manet. D'autres établissements d'enseignement primaire et secondaire sont créés au fil du temps.
Après laPremière Guerre mondiale, le hameau souhaite devenir autonome. L’éloignement du centre deGennevilliers est de plus en plus gênant. La vie économique et sociale s’organise, la population augmente, des entreprises nouvelles s’installent, créant des emplois et l’ouverture de plusieurs commerces. Au moment de la séparation en 1927, on recense 3 boulangeries, 3 boucheries, 1 charcuterie, 1 poissonnerie, 3 laitiers éleveurs, 12 épiciers, des horticulteurs, etc.
Le premier maire de Villeneuve est M. Homère Robert.
Les premiers chantiers navals sont les établissements Rasschaert fondés en1880.
1881, l'usine « Homberger et Allard », fabricant des articles pour meunerie, s'installe rue de la Fabrique (rue Dupont-du-Chambon). Elle a ses bureaux et son magasin àParis, 27-29 rue de Viarmes où l’on peut trouver tout le nécessaire pour laminoterie.
1891, le laboratoire de produits chimiques et pharmaceutiques « Pointet » s’installe rue de la Fabrique (rue Dupont-du-Chambon).
1893, l’usine Pointet est agrandie et transférée à l’angle de l’avenue deGennevilliers (avenue deVerdun) et du chemin des Reniers (avenueJean-Jaurès) et devient Pointet-Girard. Cette usine fabriquait des sels d'iode et de bismuth quinine. Au même endroit s'est implantée plus tard l’entrepriseRhône-Poulenc.
1903, la construction automobile est en plein essor ;Charles Petiet alors jeune ingénieur, crée la société desautomobiles Ariès, nommée ainsi en raison de la force et de l’agilité du bélier. Son usine est située quai d’Argenteuil (quai Sisley). Dès1906, les usines fournissent desautobus londoniens à étage, destaxis à New York, des véhicules pour l’aéronautiquerusse, des automotrices pour les chemins de fer. Elles alimentent des compagnies de transports dans le monde entier, sans oublier l’armée française.Charles Petiet participe à de nombreux concours automobiles. Plutôt que de s’affirmer dans le domaine sportif,Charles Petiet impose sesmodèles par leur qualité et leur robustesse et se spécialise dans les véhicules utilitaires avec des carrosseries adaptées à différentes activités (transport de voyageurs, livraison, armée, etc.). En1913, l’Ariès R6 mis à l’épreuve d’endurance est primé, il servira lors de laGrande Guerre. Après laguerre, Ariès s'installe àCourbevoie où il subsiste jusqu’en 1938. Le "lycée de l'automobile", installé à Villeneuve-la-Garenne depuis 1972 (il était auparavant à Puteaux, sous le nom de "collège de la carrosserie"), prend le nom delycée Charles-Petiet en 1994.
1919, c'est Walter Van Praet qui s'établit pour le compte des Chantiers navals franco-belges. En 1923, il acquiert un nouvel atelier situé quai d’Argenteuil (quaiSisley).
1926, les établissements « Georges Losfeld » (successeur depuis 1921 de la société franco-américaine de literie) sis boulevard d’Asnières (boulevardGallieni) mettent au point un matelas enkapok, duvet végétal léger qui sert à remplir les coussins et brassières de sauvetage. Ces matelas font l’objet de tests originaux sur l’eau.
La ville n'était membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre jusqu'en 2016.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le, lamétropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[30].
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Lors du second tour desélections municipales de 2020, où le maire sortant Alain Bortolameolli (LR) — qui avait remplacé en cours de mandat Alain-Bernard Boulanger, maire depuis 20 ans — ne se représentait pas, la liste conduite par Pascal Pelain (UDI-LREM soutenue par le maire sortant a obtenu 49,11 % des suffrages exprimés, devançant largement les listes menées par Abdel Ait-Omar (SE, 38,56 %) et par Gabriel Massou (PCF, 12,32 %)[32].
Plusieurs membres de la liste « Villeneuve ville d'avenir » dirigée par Abdel Aït Omar (SE) forment un recours contre ces résultats, alléguant des manœuvres et pressions visant à altérer l'issue et la sincérité du scrutin. Letribunal administratif de Cergy a rejeté ces griefs le, confirmant les résultats des municipales 2020[33].
Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 20 000 et 30 000, lenombre de membres du conseil municipal est de 35 conseillers dont le maire, conformément à la législation en vigueur[34],[35].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1931. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[51],[Note 4].
En 2022, la commune comptait 25 566 habitants[Note 5], en évolution de +5,44 % par rapport à 2016 (Hauts-de-Seine : +2,75 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 41,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 18,1 % la même année, alors qu'il est de 20,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 11 644 hommes pour 12 379 femmes, soit un taux de 51,53 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[53]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
0,7
4,2
75-89 ans
5,8
12,2
60-74 ans
12,8
18,7
45-59 ans
18,0
20,8
30-44 ans
22,4
18,2
15-29 ans
18,4
25,5
0-14 ans
21,8
Pyramide des âges du département desHauts-de-Seine en 2021 en pourcentage[54]
Jusqu'en 1966, Villeneuve-la-Garenne dépendait dudiocèse de Paris. Elle est ensuite rattachée audiocèse de Nanterre lors de la création de ce dernier.
Depuis, la commune de Villeneuve-la-Garenne fait partie du doyenné de la Boucle-Nord, l'un des neufdoyennés dudiocèse de Nanterre[60].
Au sein de ce doyenné, le lieu de culte catholique est l'église Saint-Joseph[61] qui relève de laparoisse Saint-Joseph[62]. Cette dernière est fondée le 2 avril 1930 par le cardinalJean Verdier archevêque de Paris.
L'association d'unification islamique de Villeneuve-la-Garenne administre unemosquée[63], il existe par ailleurs une autre mosquée à Villeneuve-la-Garenne[64].
La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France (8 maisons, un jardin, le lotissement concerté dit Impasse Legendre, l'église paroissiale Saint-Joseph, l'école primaire et maternelle dite groupe scolaire Gallieni actuellement groupe scolaire Édouard-Manet, un immeuble, leparc des Chanteraines, un jardin en terrasse, l'usine de produits pharmaceutiques dite laboratoires Mouneyrat, un lotissement concerté, l'usine de produits chimiques dite laboratoires Pointet puis Pointet-Girard puis Rhône-Poulenc, la promenade des Chanteraines, l'usine de construction navale dite chantiers navals Vandenbossche et Rachaert, le pont routier dit pont de l'Ile-Saint-Denis, un groupe de maisons et immeubles)[66].
Actuelle École de Musique, construite auXIXe siècle.
Bar des 100 Kilos : Le café-hôtel-restaurant des 100 Kilos était situé sur l’avenue deGennevilliers (actuellement avenue deVerdun) et rue Dupont-du-Chambon. C’était le nom d’une association créée en1885 par le propriétaire du café monsieur Bernard Judas. L’adhésion à l’association était réservée aux personnes pesant un minimum de 100 kilogrammes. Il existe encore un café portant le même nom mais situé sur le trottoir opposé (placeAndré-Malraux).
Alfred Sisley (1829-1899), peintre britannique du mouvement impressionniste, a séjourné plusieurs fois à Villeneuve.
Élisabeth Dupont du Chambon (?-1909), artiste lyrique, militante pour une commune indépendante. La maison qu'elle habitait sera la première mairie de Villeneuve.
Les armes peuvent seblasonner ainsi : D'azur à la barque à l'antique d'argent naviguant sur une rivière du même mouvant de la pointe, au chef cousu degueules chargé d'une arbalète en pal, accostée de deux dauphins, celui de dextre contourné, le tout d'argent.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Jean-Marc Herald, « Villeneuve-la-Garenne a quadruplé sa population en neuf ans, mais attend des transports : Aux quarante maisons de 1764 ont succédé des immeubles de sept à quinze étages, des équipements sportifs sociaux et culturels. Aujourd'hui, la population s'élève à plus de 27 000 habitants. Au cours des neuf dernières années elle a quadruplé (7 200 en 1959) »,Le Monde,(lire en ligne).
↑O. B., « Municipales à Villeneuve-la-Garenne : Pascal Pelain transforme l’essai : Arrivé en tête le 15 mars, le candidat UDI-LREM a nettement devancé ses deux concurrents au second tour, ce dimanche, avec 49,11 % des voix. Deuxième, Abdel Ait-Omar ne renonce pas, cependant »,Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,(lire en ligne, consulté le).
↑D. L., « Municipales à Villeneuve-la-Garenne : l’élection de Pascal Pelain confirmée : Le tribunal administratif a rejeté le recours porté par 18 membres de la liste « Villeneuve ville d’avenir » »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le).
↑Jean-Pierre Bourcier, « Les chausse-trappes de la prime au sortant »,Les Échos,(lire en ligne).
↑Olivier Bureau, « Alain-Bernard Boulanger, le maire de Villeneuve-la-Garenne, démissionne : Après 20 ans à la tête de la ville, Alain-Bernard Boulanger (LR) a annoncé qu’il quittait la mairie ce mardi soir à l’occasion de sa cérémonie des vœux aux personnalités »,Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,(lire en ligne, consulté le)« À 75 ans, il met ainsi un point final à 48 années de mandats municipal et départemental, dont vingt à la tête de la commune (...) La suite est réglée comme du papier à musique. Il adressera sa lettre de démission au préfet le 31 janvier. Si aucun imprévu ne vient gripper la procédure, un conseil municipal se tiendra le 21 février (...) Alain-Bernard Boulanger n’a pas intronisé de dauphin surprise. Ce sera donc son premier adjoint (LR) Alain Bortolameolli. C’est une évolution logique mais aussi une tradition : en 1999, Alain-Bernard Boulanger était le premier adjoint de l’UDF Roger Prévot, lui-même premier adjoint de Lucien Georges avant de devenir maire en 1953 ».
↑Réélu pour le mandat 2014-2020 :Olivier Bureau, « Municipales : à Villeneuve-la-Garenne, Alain-Bernard Boulanger vise encore le premier tour »,Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,(lire en ligne)« Élu depuis 1971, maire depuis 1999, Alain-Bernard Boulanger n’a jamais disputé un second tour lors d’une élection municipale. Expert comptable, « il est un homme calme, poli, cultivé, prudent ». Un maire de droite qui règne pourtant sur une ville de gauche : aux élections nationales le PS y est largement majoritaire et en 2007 puis 2012, Royal puis Hollande y ont très largement devancé Sarkozy ».
↑Olivier Bureau, « Villeneuve-la-Garenne : le nouveau maire s’appelle Alain Bortolameolli : Le premier adjoint d’Alain-Bernard Boulanger, maire (LR) démissionnaire, a été élu avec 19 voix contre 12 à son adversaire, Pascal Pelain (UDI) »,Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,(lire en ligne, consulté le)« Alain-Bernard Boulanger est revenu brièvement sur les raisons médicales qui l’ont obligé à démissionner en cours de mandat. « Mais je reste conseiller municipal, je reste le chef de la majorité et je reste président de la société d’économie mixte », a-t-il prévenu ».
↑Olivier Bureau, « Municipales à Villeneuve-la-Garenne : la défection du maire sème la zizanie : Stupeur à Villeneuve-la-Garenne. Le maire sortant Alain Bortolameolli a annoncé qu’il ne se représente pas. Et en mars, il soutiendra son ancien rival centriste, Pascal Pelain. »,Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,(lire en ligne, consulté le)« A trois jours de la date limite du dépôt des listes, Alain Bortolameolli, maire (LR) de Villeneuve-la-Garenne, a annoncé, ce lundi, en début d'après-midi, qu'il n'était pas candidat aux municipales. Dans la foulée, il a officialisé son soutien à Pascal Pelain (UDI) (...) Le candidat de la gauche, Gabriel Massou (PCF), n'en revient pas. « On est en pleine combinazione!, se scandalise-t-il. Boulanger fait élire Bortolameolli maire contre Pelain, puis le largue et maintenant, Bortolameolli rejoint quelqu'un qui a dit pis que pendre sur son compte pendant un an ».
↑Olivier Bureau et David Livois, « Villeneuve-la-Garenne : un marathonien en mairie : Sans surprise, Pascal Pelain a été élu maire ce dimanche »,Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,(lire en ligne, consulté le)« Actif dans le milieu associatif, encarté à l'UDI, il met un pied puis deux en politique en 2007 quand le maire de l'époque Alain-Bernard Boulanger (UMP) lui propose de rejoindre son équipe. « J'ai accepté. J'avais l'idée de me rendre utile au plus grand nombre, de rendre ce que l'on m'a donné », assure-t-il. Maire adjoint dès son premier mandat, à la vie des quartiers entre 2008 et 2014, il prend du galon et en 2014 récupère le logement, la vie associative et la démocratie locale ».
↑Olivier Bureau et David Livois, « Villeneuve-la-Garenne : un marathonien en mairie : Sans surprise, Pascal Pelain a été élu maire ce dimanche »,Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine,(lire en ligne, consulté le).