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Ville-sur-Yron

49° 07′ 07″ nord, 5° 51′ 58″ est
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Ville-sur-Yron
Ville-sur-Yron
La mairie.
Blason de Ville-sur-Yron
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionGrand Est
DépartementMeurthe-et-Moselle
ArrondissementVal-de-Briey
IntercommunalitéCommunauté de communes Orne Lorraine Confluences
Maire
Mandat
Maud Lorenzi
2020-2026
Code postal54800
Code commune54581
Démographie
GentiléVille-sur-Yronais[1]
Population
municipale
296 hab.(2022en évolution de −0,34 % par rapport à 2016)
Densité26 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 07′ 07″ nord, 5° 51′ 58″ est
AltitudeMin. 190 m
Max. 252 
m
Superficie11,3 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionMetz
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Jarny
LégislativesSixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Ville-sur-Yron
Géolocalisation sur la carte :France
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Ville-sur-Yron
Géolocalisation sur la carte :Meurthe-et-Moselle
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Ville-sur-Yron
Géolocalisation sur la carte :Grand Est
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Ville-sur-Yron
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Ville-sur-Yron est unecommune française située dans ledépartement deMeurthe-et-Moselle enLorraine, dans la région administrativeGrand Est.

Géographie

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Ville-sur-Yron est une commune (dans l'ancienneprovince du Barrois, sur l'Yron) située dans leparc naturel régional de Lorraine enMeurthe-et-Moselle à 30 minutes deMetz et à 8 minutes deJarny.

Communes limitrophes deVille-sur-Yron
Jarny
BrainvilleVille-sur-YronBruville
Hannonville-SuzémontMars-la-Tour

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans lebassin versant du Rhin au sein dubassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Geruville, le ruisseau de la Passee, le ruisseau du Fond de la Cuve et l'Yron[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Ville-sur-Yron[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Lesbassins versants concernés sont celui de laChiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (laCrusnes, laPienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de laFensch, leVeymerange, laKiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[3].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat du Grand Est etClimat de Meurthe-et-Moselle.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[4]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[5]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat semi-continental[6] et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7]. Elle est en outre dans lazone H1b au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[8],[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de9,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec12,4 jours de précipitations en janvier et9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deDoncourt-lès-Conflans à6 km àvol d'oiseau[10], est de10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,3 mm[11],[12]. La température maximale relevée sur cette station est de40,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−16,5 °C, atteinte le[Note 2].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Ville-sur-Yron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (72,3 %), prairies (16,2 %), forêts (6,1 %), zones urbanisées (3,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formesVilla super fluvium Oran (1192) ;Vile-sor-Yron (1252) ;Ville-sus-Yron (XVe siècle) ;Ville-seul-Ron (1437) ;Ville-sur-Ion,Ville-sur-Illon (1505) ;Ville-sur-Yon (1534) ;Villa supra Yronam,Yronnam (1544) ;Ville Suryon (1571) ;Ville-sur-Illon (1756)[18].
Ville : du motvilla ; lesvillasgallo-romaines,mérovingiennes etcarolingiennes gagnant en importance pendant leMoyen Âge, le sens évolue versvillage, car certaines sont devenues desvillages et d'autres desvilles. Le nom a progressivement suivi leur évolution et remplacé lelatinvicus.

L'Yron est unerivièrefrançaise qui coule dans lesdépartementslorrains de laMeuse et deMeurthe-et-Moselle.

Histoire

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La seigneurie de la Ville-sur-Yron fut d'abord la propriété de la famille qui porte ce nom puis celle de laMaison de Gourcy ainsi que des Chamissot et autres nobles familles en vue à la Cour de Lorraine comme les PetitsChevaux de Lorraine[19],[20].

Labataille de Mars-la-Tour, le, se déroula en partie autour de la ferme de Grizières qui est située sur la commune de Ville-sur-Yron[21].

Première Guerre mondiale (1914-1918)

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Après quelques semaines de combats sur les frontières de l’Est, les troupes françaises se replient sur les hauteurs de Meuse et pendant 52 mois, le village sert de village de repos pour les unités allemandes qui se battent autour deVerdun et dans le saillant deSaint-Mihiel[22].

Au moment où la guerre éclate, les jeunes et un peu moins jeunes de 18 à 40 ans ont été mobilisés… 68 jeunes hommes mobilisés en 1914 et parmi eux les seize « Morts pour la France » figurant sur le monument aux morts.

Politique et administration

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Résultats des élections

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Onze sièges de conseillers municipaux sont à pouvoir par scrutin majoritaire[23],[24].

Au premier tour des élections municipales de 2008, Luc Delmas est élu en tête avec 163 suffrages sur 197 votants (77,87 % de participation, 22,13 % d'abstention)[25].

Au premier tour des élections municipales de 2014, Luc Delmas est élu en tête avec 161 suffrages sur 185 votants (81,50 % de participation, 18,50 % d'abstention)[26].

Au premier tour des élections municipales de 2020, Jackie Césaroni est élu en tête avec 134 suffrages sur 149 votants (66,52 % de participation, 33,48 % d'abstention)[27].

Liste des maires

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Sous laRévolution, les maires sont d'abord élus. Puis, de 1800 à 1884, ils sont nommés. C'est le, qu'une loi sur l’organisation municipale est promulguée, qui régit le principe de l'élection du maire et des adjoints par le conseil municipal (mandat de quatre ans, puis six ans à partir d'). En 1940, legouvernement de Vichy décide de nommer les maires, sauf pour les petites communes. En 1945 les femmes sont enfin admises non seulement à voter mais aussi à administrer les municipalités.

À Ville-sur-Yron, le premier maire sous la Révolution est élu le[Note 4]. À partir du, l'élection du maire est faite au suffrage universel masculin[Note 5]. Les maires sont ensuite désignés jusqu'en 1884.

Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Maires avant 1959
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
     
18071810Nicolas Jean Pion Maire de Ville-sur-Yron avant la fusion
18071810Joseph Mangin Maire deVille-aux-Prés avant la fusion[Note 6]
18101831Nicolas Warin  
18311852François Nicolas Eugène Pierrot Propriétaire
18521878Toussaint Clément Vivien Propriétaire rentier
18781880Jean Antoine Pariselle Cordonnier
18801884Christophe Watrin Instituteur
18841888Charles Crépaux Chef de bataillon
Chevalier de la Légion d'Honneur
18881892Jean Antoine Pariselle  
18921896Nicolas Thiébault Warin Cultivateur
18961904Michel Grandidier Cultivateur
19041919Célestin Collin Cultivateur
19191920Félicien Labriet Instituteur
décède en cours de mandat
19201929Célestin Collin  
19291959Emilien Grandidier Cultivateur
 
19591965Léon Paul René Poirot Instituteur
Officier de la Légion d'Honneur
19651967Léon Albert Thouvenin Pilote d'aviation
Démission
19671971Jean Schwartz Agriculteur
19711973Joseph Moras Magasinier
19731973Jean-Pierre Daul Démission
19731977Gilbert Dupuis Ouvrier mineur
1977mars 2008Guilhen DanielDVG 
mars 2008mai 2020Jacques Schwartz  
mai 2020en cours
(au 24 mai 2020)
Maud Lorenzi[28] Professions intermédiaires administratives de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2022, la commune comptait 296 habitants[Note 7], en évolution de −0,34 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118361841186118661872
236142175307369380361356336
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
187618811886189118961901190619111921
338338322325300294297327321
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
192619311936194619541962196819751982
314294278264279258240209259
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
19901999200520062010201520202022-
284293285284301300298296-
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puisInsee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L’école n’a pas toujours existé sous la forme où nous la connaissons, obligatoire, gratuite et laïque. Il a fallu attendre les lois deJules Ferry de 1882-1886 pour que la République, laIIIe, rende possible l’instruction publique pour tous, garçons et filles jusqu’à 13 ans puis 14 ans avec les lois deJean Zay, ministre duFront populaire en 1936. Auparavant, l’école existait sous une autre forme.

Depuis l’Ancien Régime, en particulier en Lorraine, chaque paroisse a son école et beaucoup d'hommes savent écrire leur nom sur les registres ainsi que les conscrits du début duXIXe siècle. Le maître d’école, contractuel de la paroisse a une rétribution variable et il doit ajouter à sa fonction d’écolâtre celle de chantre, de greffier, parfois de fossoyeur. Ses revenus et ses obligations sont définis lors des plaids annuels (assemblées villageoises). En 1808, après la Révolution, le seul contrat retrouvé jusqu’à lors, est signé avec le maire. Il rappelle toutes les tâches de celui qui s’appelle désormais instituteur. Ensuite, auXIXe, les réformes touchent peu à peu, toutes les communes. Elles sont associées à quelques noms,Guizot,Victor Duruy et puis Jules Ferry.

L’école de Ville-sur-Yron

Le premier cadastre[33] oucadastre napoléonien est achevé en 1817. Sur le plan du village, on remarque en bleu l'église et le château qui possède encore son corps central. La mairie et l'école ne sont pas construites.

En 1834, a lieu une enquête du maire d'Hannonville, René Louis Bloquin, commis par la sous-préfecture pour étudier le sujet de l'emprunt de2 500 Fr pour construire une maison d'école. Vingt-deux habitants sont présents, tous d'accord, insistant même sur la nécessité de fixer ainsi un instituteur logé. C'est en 1836 que fut édifié le rez-de-chaussée du bâtiment actuel, à l'origine une école seulement, sans mairie.

Le, construction des lieux d'aisance à l'école, et le, enquête sur la situation matérielle des maisons d’école : la maison d’école est la propriété de la commune qui l’a fait construire à ses frais. L’état extérieur est bon, la salle d’école est très saine ; élevée au-dessus du sol, elle mesure 8,50 m sur 5,55 m sur 2,92 m de haut. Elle dispose de quatre fenêtres d’une surface totale de 6,60 m2. 58 élèves peuvent être accueillis, il faudrait refaire le blanchissage et les peintures, le mobilier devrait être complété ainsi : un poêle en fonte garni de ses buses, renouveler six tables-bancs d’élèves, à l’extérieur une clochette pour appeler les élèves… les latrines sont neuves… le logement de l’instituteur comprend une cuisine, une chambre à coucher ; une autre plus petite… les jardins attenant à la maison font 1 a 5 ca, un second jardin éloigné de la maison est plus grand et plus productif ; sa contenance est de 9 a 50 ca. L’instituteur jouit d’un lot de portion spécial (signéVivien maire).

Le a lieu l'appropriation pour une extension de la maison d'école.

Cinquante francs secours sont alloués le pour des travaux à la maison d'école : blanchir et peindre la salle de classe. En 1913, avec l'ouverture de mines dans la région la population augmente de 10 % et on relance le projet envisagé 26 ans plus tôt d'agrandir l'école et de créer une mairie. En 1913, un devis estimatif, de l’architecte Henri Ménard de Jarny s’accompagne d’un questionnaire, dont voici des extraits :« école mixte population de 327 habitants soit plus 31 entre 1906 et 1911 liée à l'industrie minière dans les environs… les 5 à 13 ans sont 55 ; pas de maternelle ni d’école libre, ni d’école mixte… une classe création légale 18 janvier 1897 ». Le projet répond aux raisons suivantes :

  1. insuffisance de l’ancienne salle de classe qui n’avait que 36 m2 de surface pour 55 élèves ;
  2. nécessité de rendre indépendant le service scolaire du service de la mairie : il n’y à, l’heure présente de local pour la mairie ;
  3. nécessité de donner à l’instituteur un logement suffisant…

D’après le projet on obtient :

En 1922, le maire fournit au préfet deMeurthe-et-Moselle les renseignements suivants au sujet de la demande faite par le ministre des Régions Libérées :« La commune n’a jamais eu de mairie et c’est la salle de classe de l’école primaire qui en a tenu lieu jusqu’ici, ce qui a toujours été une gêne pour l’école d’un côté et pour les services communaux et municipaux de l’autre. La création d’une mairie est donc de première utilité pour la commune. D’autre part, le logement de l’instituteur-directeur de l'école primaire est insuffisant, ne comprenant qu’une cuisine et deux pièces dont une très petite ». Finalement, les dommages de guerre permirent la construction de l'étage en 1922 et du clocher deux ans plus tard. Celui-ci singularise le bâtiment en signalant le deuxième centre spirituel de la commune issu de la séparation de l’Église et de l’État.

En 1933, est aménagée une cour de récréation dans le jardin de l’école et en 1937 est créée une classe enfantine. Un projet de l’établir dans le presbytère est abandonné au profit d’une création à l’étage, moins coûteuse et demandant que l’inspection nomme désormais un couple d’instituteurs.

Les salles d’école sont repeintes en 1946 et 1955 par M. Daumail Jarny.

En 1957 est construit un préau dans la cour de l’école.

Les instituteurs

Les maîtres, régents d’école sont en place dans les villages lorrains depuis longtemps. En retrouver la trace n’est pas commode, et les registres paroissiaux sont à nouveau des outils précieux.

Liste des instituteurs de Ville-sur-Yron de 1704 à 1974
  1. Premièrement ledit sieur Cointret accompagnera le desservant dans toutes les fonctions ecclésiastiques et ne s'absentera pas sans le prévenir.
  2. il enseignera les enfants que tous les habitants indistinctement pourront lui envoyer, selon les principes de : lecture, écriture, calcul décimal et système métrique, les principes de religion et le plain chant à ceux qui en seront capables
  3. il chantera toutes les messes et services religieux, sonnera les traits ordinaires, les angelades le matin, à midi et le soir aux heures accoutumées ;
  4. il blanchira le linge de l'église tout et quantes fois il en sera besoin moyennant 3 f. payables par chaque commune ; il fera deux leçons le matin et soir et une fois le catéchisme.
  5. pour attribution de tout quoi, chaque habitant lui paiera rétribution de 1 franc 50 centimes pour l'année qui commencera à la Saint-Georges de chacune et finira à pareille, pour payable en deux termes moitié à la Toussaint et l'autre moitié au 1er avril suivant, qui seront touchés par le percepteur et remis entre les mains dudit Cointret.
  6. il aura en outre 35 centimes par chaque enfant qui ne feront que lire, par mois, et 45 centimes pour ceux qui écriront et tous ceux qui commenceront le mois le paieront en entier hors le cas de maladie.
  7. pour ses rétributions religieuses il sera payé par le receveur de la fabrique conformément à l'ordonnance, le restant sera pour l'église.

Le présent traité fait et arrêté par les maires susdits et transmis sur le présent registre à charge par ledit Cointret de se faire recevoir par le jury du premier arrondissement à Briey. Ville-sur-Yron les jour mois et an susdits ; ont signé […] ».

Il meurt le, à l’âge de 67 ans et est inhumé à Mars-la-Tour à la demande de ses enfants.

Ensuite les instituteurs sont plus stables et le métier acquiert une position plus respectable dans les villages. Les lois de Jules Ferry, la formation en école normale, une réelle indépendance vis-à-vis de l’église expliquent ce nouveau statut.

  • 1882 : Jean-Pierre Félicien Labriet, âgé de 28 ans. Il est né en 1854 à Thumeréville, marié à Marie Ladine née à Ville-sur-Yron en 1864. Ils ont alors une fille Aline née en 1885 à Ville-sur-Yron. Ils sont présents aux recensements de 1891 et de 1911. Il rédige le rapport sur la géographie, l’histoire et les coutumes de la commune et dresse la fréquentation scolaire pour 1886. Il meurt le alors qu’il vient d’être élu maire de la commune en 1919.
  • 1912 : Paul Idulphe Thouvenin, âgé de 25 ans, présent jusqu’au.
  • Pendant la guerre 1914-1918,« l’école, on la faisait chez Eugénie Trichot, c’était Adeline Sarion qui faisait l’école et un Allemand pour les grands ».

La tentative de germanisation par les occupants passait par l’instruction élémentaire, comme le note la circulaire officielle rédigée dans les deux langues et comme on peut le voir sur une photo avec l’inscription « Schule » sur la façade. L’école continue, mais certains suivront leurs classes dans les villages où ils ont été évacués, à Marvejols et à Saint-Hippolyte-du-Fort. Un extrait du cahier d’écolier de Marcellin Sarion le mardi « feuille de chêne ». Il a alors 15 ans. Son dernier dessin est de, date du retour des évacués au village.

 
 

En 1974, première fermeture de l’école… la population passe de 240 en 1968 à 209. Seuls treize enfants sont scolarisés dans la commune et vingt-cinq à l’extérieur. L’école ouvre à nouveau en 1982, encadrée par des institutrices qui ne résident plus dans la commune.

L’école est définitivement fermée à la rentrée 1992.

Manifestations culturelles et festivités

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Chaque année, au mois de mai, le village se met au rythme du cinéma avec leFestival international du film documentaire sur la ruralité, ouCaméras des champs[34].

Le Festival international du film documentaire sur la ruralité se tient à Ville-sur-Yron à la fin du mois de mai. Il est organisé par la commune et le foyer rural de Ville-sur-Yron, avec le concours du Parc naturel régional de Lorraine. Le festival est soutenu par leConseil régional de Lorraine, leConseil général de Meurthe-et-Moselle, la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Lorraine et la Communauté de Communes du Jarnisy. Depuis 25 ansCaméras des Champs permet de montrer les mutations des mondes ruraux. Aussi, loin d'un regard passéiste sur les campagnes, l'objectif du festival reste le même :

  • susciter un échange sur les évolutions des paysages, sur les pratiques sociales des ruraux et néo-ruraux, sur l'impact des techniques, sur les villages et les habitats,
  • voir comment changent aussi les représentations que chacun peut avoir du monde rural, habitants des villes, artistes, créateurs, décideurs divers et ruraux eux-mêmes.

Ce regard et ces évolutions ne se limitent pas aux horizons proches, aux paysages et modes de vie régionaux. Ils s'étendent bien au-delà des clichés identitaires trop souvent réducteurs. En effet, la diversité des mondes ruraux doit donner l'occasion à chacun de comparer, de remettre en cause, de changer l'échelle de ses propres perceptions. Seule l'image, l'image multiple, permet cet échange, cette vision singulière, cette composition en mosaïque des espaces ruraux. Et la vidéo, support de création souple et accessible à tous, permet aux amateurs comme aux professionnels de saisir et de reproduire une vision plurielle du monde. Un festival est l'occasion d'une rencontre. Il permet par la diffusion d'images autour du thème central, ici le monde rural, de provoquer une réflexion riche en donnant aux spectateurs comme aux créateurs l'occasion de briser la routine du flux ininterrompu d'images télévisuelles trop souvent reçues passivement. Il permet aux créateurs indépendants de trouver dans la compétition organisée une motivation supplémentaire et surtout de rencontrer ensuite le public de manière critique. Il permet aussi d'offrir aux réalisateurs une occasion de voir leur œuvre diffusée et reconnue.

À l'issue de la compétition, trois prix sont attribués par les membres du jury auxquels s’ajoutent le prix des habitants de Ville-sur-Yron et du public et le prix des lycéens.

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Édifices civils

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Édifices religieux

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Église paroissiale Saint-Gorgon.
Chapelle-oratoire à La Ville-aux-Près.
Église paroissiale Saint-Gorgon

Elle se caractérise par sonchœur précédé d'un mur diaphragme datant probablement de la fin duXIIe siècle, par sanef duXVIIIe siècle, et par sonclocher reconstruit en 1835. Le chœur fut restauré et repercé auxXIXe et XXe siècles. L'édifice présente les vestiges d'une porteromane sur sa façade nord, provenant de l'ancienneéglise fortifiée dont il subsistait unemeurtrière auXIXe siècle. Dans le chœur se trouvait jusqu'en 1912 de façon certaine l'épitaphe de François Antoine de Gourcy-Charey.

Église de Ville-sur-Yron

Elle appartenait lors de sa fondation à l'abbaye de Gorze. L'église est faite de pierres de Jaumont jaunes, partiellement en blocs, partiellement en moellons. La construction était crépie au-dehors comme à l'intérieur. Elle se compose d'une salle rectangulaire supportant une tour-clocher intégrée, un chœur rectangulaire assez court et une abside semi-circulaire. Elle se caractérise par une assise de sa tour-clocher intégrée, à l'est de la nef et non pas à l'ouest, comme il est habituel. Entre des piliers et des petits poteaux d'angle surmontés de petits chapiteaux cubiques, se trouvent deux espaces latéraux rectangulaires. Trois arcs permettent d'augmenter les deux espaces latéraux. Partant des deux piliers médians, des arcs se prolongent jusqu'au mur de la nef et entrent sans consoles dans le mur. Ces espaces avaient primitivement un plafond plat ; aujourd'hui, les deux espaces latéraux sont couverts par des voûtes sur une croisée d'ogives de style gothique tardif. Sur l'espace médian s'élève une tour refaite auXVIIIe siècle. Les piliers sont richement décorés : sur un socle repose un pilier avec petites colonnes latérales. Quatre petits chapiteaux cubiques et les piliers portent un renfort plat couvert de décors uniques : plaque, perles, platelet, gorge et petite gorge. En outre, la partie supérieure est décorée avec des ornements entaillés en forme d'étoile et de cercles. Les piliers dans les murs latéraux présentent des rebords profilés : sous les plus élevés, la plaque décorée avec des triangles, on voit une petite pente, un renflement, une plaquette, une gorge et un dernier petit creux. L'accès à la salle se faisait à l'époque romane par le portail nord fermé aujourd'hui. Le tympan montre des arcs gravés. Aujourd'hui, un portail baroque percé dans le mur ouest de la nef reprend l'ancienne fonction du portail nord. L'éclairage original venait des petites fenêtres en plein cintre : un guichet est toujours présent dans le mur sud.

Le joug du chœur est ouvert vers la nef par un arc de même hauteur et largeur que les arcs de l'espace médian sous la tour-clocher. L'abside se ferme en forme de cul-de-four avec deux fenêtres baroques. La fenêtre se trouvant dans l'axe médian a été modifiée avec la niche extérieure. Aujourd'hui, trois grandes fenêtres sur les côtés nord et sud éclairent la nef couverte à plat mise en place à l'époque baroque ; dans le coin nord-est de la nef, les restes de la corniche du toit ont été retrouvés avec l’amorce du pan des combles originaux. En conséquence, la hauteur de la salle originelle se trouve environ un demi-mètre au-dessous du commencement du toit d'aujourd'hui. Les points de repère pour la datation sont les tailloirs des supports centraux et des piliers engagés. Le profil en trois parties domine dans la deuxième moitié duXIIe siècle dans la région lorraine ; dans la première moitié apparaît isolé le profil des tailloirs en quatre parties. Oscillant entre des tailloirs à quatre ou trois parties ils se montrent comparables aux parties orientales de la cathédrale de Verdun. Tous les signes indiquent une époque d'origine située dans le deuxième quart duXIIe siècle[35].

Chapelle-oratoire de La Ville-aux-Près

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Jacques de Ville-sur-Iron.
Article connexe :Armorial des communes de Meurthe-et-Moselle.
Blason de Ville-sur-YronBlason
D'or à trois fasces d'azur à la bande d'argent chargée d'un cœur de gueules entre deux roses de même.
Détails
Il s'agit du blason de la famille de Ville-sur-Yron. Jacques de Ville sur Yron, receveur deSierck, a été anobli en 1580 parCharles III, duc de Lorraine[36].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Ce jourd'hui 14 février 1790, les habitants de la communauté de Ville-sur-Yron et Grihières étant assemblés chez le sieur François François syndic de ladite communauté en conséquence de l'avertissement qu'on nous a donné dans le courant de la présente semaine et de celui qui nous a été donné le dimanche précédent et relu au prône de notre messe pour nous conformer au décret de l'Assemblée Nationale sanctionné par le Roy au mois de décembre dernier portant la formation des municipalités nous avons d'abord élu au scrutin le président de notre assemblée à la pluralité des voix qui a été maître Collin notre curé et ensuite pour secrétaire Alexandre Mabire laboureur à Ville-sur-Yron ; les 3 anciens d'âge, ayant ouvert les billets du scrutin, ensuite nous avons procédé à l'élection de 3 scrutateurs qui ont été René Frochard charron, Louis Didier laboureur au même lieu et Dominique Gandelet tisserand au même lieu qui ont eu la pluralité des voix.
  5. « Ce jourd'hui 10 novembre 1793 an II de la République Française Une et Indivisible, nous maire et officiers municipaux, et élus et autres habitants de Ville-sur-Yron, assemblés au lieu ordinaire des séances, à la requête du procureur de la commune pour renouveler et faire élire une nouvelle municipalité nous avons procédé à l'élection d'un maire et les suffrages ont été en faveur de J.P. Thomas munier [meunier] au moulin dudit Ville-sur-Yron qui a réuni 8 voix entre 13 votants, par conséquent il a eu la majorité absolue des suffrages et a été [élu] maire »
  6. Joseph Mangin (né le fils de Joseph Nicolas Mangin laboureur à laVille-aux-Prés et de Anne Le Marquis) est nommé maire par le préfet, en vertu de l'article 20 de la loi du 28 pluviôse an VIII () et d'après le décret impérial du, sur le renouvellement du maire le préfet du département de la Moselle arrête :M. Joseph Mangin est nommé maire de la commune de la Ville-aux-Prés. Il rentrera en fonction le1er janvier prochain après avoir fait transcrire le présent arrêté sur les registres de la municipalité et prêté entre les mains de son prédécesseur le serment prescrit par lesenatus consulte du 28 floréal an XII et dont il sera dressé un procès-verbal. Fait à Metz en l'hôtel de la préfecture le1er décembre 1807.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. « Réseau hydrographique de Ville-sur-Yron » surGéoportail(consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. « Fiche communale de Ville-sur-Yron », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse(consulté le).
  3. « SAGE Bassin ferrifère », surgesteau.fr(consulté le).
  4. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  5. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  6. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  8. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  9. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  10. « Orthodromie entre Ville-sur-Yron et Doncourt-lès-Conflans », surfr.distance.to(consulté le).
  11. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  12. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  13. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  14. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Ville-sur-Yron ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », surle site de l'Insee(consulté le).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  18. Bouteiller,Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868, Impr. nationale, Paris
  19. Sources : Les registres de catholicité, les dénombrements nominatifs, les Archives de Moselle et M&Moselle
  20. Une chronologie des évènements repérés dans les archives de Metz (St-Julien), Nancy, Bar-le-Duc et dans les archives municipales, est consultableici
  21. la ferme de Grizières sur la commune de Ville-sur-Yron
  22. Ville-sur-Yron 1914-1918,Un village lorrain dans la guerre. Luc Delmas. Mairie de Ville-sur-Yron
  23. Résultats des élections municipales surlinternaute.com
  24. Élections Ville-Sur-Yron : résultats et candidats surlinternaute.com
  25. Résultats des élections municipales 2008 de Ville-sur-Yvon surgouv.fr
  26. Résultats des élections municipales 2014 de Ville-sur-Yvon surgouv.fr
  27. Résultats des élections municipales 2020 de Ville-sur-Yvon surgouv.fr
  28. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », surle portail des données publiques de l'État(consulté le).
  29. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  33. « Plan du cadastre de la ville de Ville-sur-Yron », surlecadastre.com(consulté le).
  34. Ville-sur-Yron
  35. L.D d'après Rainer Slotta. — Romanische Architektur im lothringischen- 1976
  36. Nobiliaire ou Armorial général de la Lorraine d'Ambroise Pelletier,1758, p 821,en ligne
v ·m
Partie ouest :
côtes de Meuse,
plaine deWoëvre,
étangs etforêt de la Reine,
vallées de l'Esch
et duRupt de Mad
Partie est :
Pays des étangs
etSaulnois.
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