Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Vignoble du Languedoc-Roussillon

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vignoble du Languedoc-Roussillon
Image illustrative de l’article Vignoble du Languedoc-Roussillon
Carte desvignobles du Languedoc-Roussillon.

Désignation(s)Vignoble du Languedoc-Roussillon
Appellation(s) principale(s)languedoc,côtes-du-roussillon,muscat de Rivesaltes,pays-d'oc,saint-chinian,etc.
Type d'appellation(s)AOC-AOP etIGP
Reconnue depuis1936 (pour lemuscat de Frontignan) à2007 (pour lemalepère)
PaysDrapeau de la FranceFrance
Région parenteOccitanie,Languedoc,Roussillon
Sous-région(s)coteaux duLanguedoc, plaine duLanguedoc, coteaux de l'Aude etRoussillon
LocalisationAude,Hérault,Pyrénées-Orientales etGard
Climattempéréméditerranéen, légère influencecontinentale dans le centre duRoussillon
SolDiversité des sols : sols argilo-calcaires, schisteux, gréseux, molassiques, alluvionnaires[1]
Cépages dominantscarignan N,cinsault N,mourvèdre N,grenache N,syrah N,bourboulenc B,clairette B,grenache blanc B,grenache gris G,maccabeu B,malvoisie B,roussanne B,marsanne B,muscat blanc à petits grains B[2]
Vins produitsrouges,rosés,blancs,vins doux naturels,vins de liqueur etmousseux
Production11 094 000 hectolitres (en 2023)[3]
Rendement moyen à l'hectaremaximum variant selon l'appellation
modifier 

Levignoble du Languedoc-Roussillon est unerégion viticole française couvrant une partie de la régionOccitanie, soit les départements de l'Aude, duGard, de l'Hérault et desPyrénées-Orientales. Sur ces quatre départements, le vignoble compte228 000 ha de vignes de cuve[4], dont89 000 ha exploités en AOC[5]. On y produit des vins très variés : des rouges, rosés et blancs tranquilles, des vins effervescents, mais aussi des vins doux naturels.

Le vignoble est très ancien et date d'avant la fondation de laGaule narbonnaise, ce qui lui permet de revendiquer le plus ancienvin effervescent au monde : lablanquette de Limoux.

Les vins du Languedoc-Roussillon, longtemps considérés comme des vins de basse qualité, connaissent, dans lesannées 1980, un regain de popularité auprès des consommateurs.

Histoire

[modifier |modifier le code]

Préhistoire et Antiquité

[modifier |modifier le code]

C'est sur le sitepréhistorique de lacaune de l'Arago, qui se trouve àTautavel qu'ont été retrouvés des restes humains et desvestiges lithiques duPaléolithique inférieur. Le dépôt épais d'une dizaine de mètres, couvre la majeure partie duPléistocène moyen et a fait l'objet de nombreuses tentatives dedatations radiométriques parfois contradictoires. Des âges limites d’environ 700 et 350 000 ans ont été obtenus par ladatation à l'uranium-thorium[6],[7],[8].

Article détaillé :Homme de Tautavel.

Entre-10000 et-3500 ans avant notre ère, les vestiges laissés par une communauté implantée sur du site actuel dePort-Leucate sont les témoins de la « révolution néolithique ». Connaissant l'agriculture et pratiquant l'élevage, elle utilisait aussi la poterie[9]. Toute proche, au lieu-ditPla-de-Fitou, une nécropole de l'âge du bronze a été mise au jour, preuve d'une implantation humaine pérenne sur le rivage méditerranéen[9].

Textes et fouilles archéologiques ont confirmé qu'à l'ouest du Rhône, avant que ne soit fondée laGaule Narbonnaise uneviticulture était développée. Les vignes y étaient alors conduites en gobelets, mode cité par Columelle, tout comme dans lesPouilles, région sous influence grecque[10]. Pline le confirme quand il explique :« Dans quelques contrées, la vigne, peu riche en branches, et grosse parce qu'elle est courte, se soutient sans appui. Les vents s'y opposent dans quelques localités : en Afrique, par exemple, et dans quelques cantons de la Narbonnaise[11] ». Mais la colonisation romaine y imposa rapidement la « méthode étrusque » et la vigne fut conduite et taillée de façon arbustive, en treille, en pergola et, bien sûr, en ayant des arbres comme point d'ancrage[12]. Désormais, aux côtés desrumpotins[13],[14], il y eut aussi des vignes ne dépassant pas la hauteur d'un homme, qui, appuyées sur des échalas, formaient des treilles. Et celles qui s'obstinaient à ramper furent conduites de manière à répandre« leur feuillage touffu assez au loin pour ombrager des cours entières »[11].

Moyen Âge

[modifier |modifier le code]

Lors desgrandes invasions, lesvignobles, furent quasiment délaissés et le vin produit à partir des treilles du jardin ou de l'enclos[15]. Et à partir de l'an900, leCartulaire du chapitre cathédral de Nîmes, fait nettement la différence entre les vignes basses et les vignes hautes[16]. Le vignoble de plaine va perdurer jusqu'au début duXIVe siècle où la nécessité d'emblaver les terres riches, propices à l'abondance, repoussa la vigne vers les coteaux plus chiches mais plus qualitatifs[17].

À la fin duXIIIe siècle, les vins du Languedoc commencèrent à être exportés tant par le port de Villeneuve-lès-Maguelonne, que par celui Saint-Gilles et celui d'Aigues-Mortes[18].

Période moderne

[modifier |modifier le code]

Dès le début duXVIe siècle, la culture de la vigne languedocienne étant devenue plus rentable que celle des céréales, les coteaux et les terrasses devinrent insuffisants. Dès1520, les vignobles deFrontignan,Mireval etVic-la-Gardiole redescendirent en plaine[19].Thomas Platter, étudiant la médecine àMontpellier, en1595, précise que parmi ces variétés de « vignes grimpantes », il vit àVendargues, dans le jardin de son logeur Laurent Catalan, des raisins blancs dont« les grains étaient gros et charnus comme des prunes[20] » et qui étaient appeléspanses musquées ouvinhas augibiquieras[N 1]. Ce sont ces variétés qui furent implantées à Frontignan, en1592 d'après les mentions portées sur le registre de compoix[21]. Dès le XVIe siècle, la blanquette de Limoux, vin blanc probablement doux, est un cadeau de prestige offert aux personnages importants du Midi, tel le sieur d'Arques, Jean de Joyeuse[22].

Séchage de grappes au soleil
Fête du centenaire de la société d'agriculture de l'Hérault en 1899

Pour tenter de redonner quelques qualités à ces raisins issus de vignes arbustives, fut appliquée la technique de lapasserille, décrite par les auteurs de l'Antiquité, où les raisins séchaient grappes suspendues au soleil.Olivier de Serres, en1600, indique que ces raisins, despicardans et desmuscats, firent l'objet d'un commerce fructueux en particulier àGigean,Loupian,Mèze,Cournonterral etMontbazin. Ils étaient l'objet d'une préparation spéciale. Après avoir trempé dans une lessive de cendre desarments, ils étaient enduits d'huile d'olive pour les adoucir puis« mis à sécher au soleil, pendus à des perches ». Après deux à trois jours, ils étaient alors« portés au grenier sur des claies ou tables bien propres et y séjournaient quatre à cinq jours »[23]. AuXVIIIe siècle,Montpellier, où le Conseil de Ville n'hésitait pas à louer les murs des remparts à cet usage, était« décorée d'une manière singulière quand on y mettait à sécher le raisin que l'on avait suspendu à de grandes perches et ces espèces de tapisseries ornaient le devant des maisons[20] ».

La période moderne correspond à une extension très importante du vignoble languedocien. Dès la fin duXVIIe siècle, ce fut la « ruée vers la garrigue », c'est-à-dire vers les communs et les vacants. Cette frénésie de planter prit des proportions énormes après le terrible gel de1709. Les jardins furent même utilisés[24].Pierre Joseph Garidel, docteur en médecine formé àMontpellier et professeur d'anatomie àAix-en-Provence, décrit en1715[25], un cépage qu'il nomme le « muscat de panse[N 2] » qu'il a trouvé tant dans le vignoble provençal ou languedocien mais aussi« dans les enclos autour des villes, dans des endroits que l'on appelle vulgairement tones[N 3] ou treilles[26] ». Le comteAlexandre-Pierre Odart, dans sonExposé des divers modes de culture de la vigne, et des différents procédés de vinification dans plusieurs des vignobles les plus renommés[N 4], décrivit à son tour ce muscat blanc conduit en taille longue qui a été identifié comme lemuscat d'Alexandrie[27].

Pendant ce temps, en plaine, les grands domaines appartenant à la noblesse s'étaient orientés vers la viticulture extensive. Ce fut le cas àCandillargues sur les terres labourables appartenant à la famille De La Croix, àMarsillargues avec le marquis deCalvisson. Il y eut surproduction. Et tous ces petits vins issus de vignes arbustives prirent le chemin de la distillerie avec le soutien financier, en particulier, des Bonnier de la Mosson, banquiers à Montpellier[24]. Cet état de fait, organisé ou non, pris une tout autre proportion, dès1780, avec l'arrivée en Languedoc de l'aramon, cépage gros producteur qui mit« fin à bien des velléités de production qualitative[28] ». À la veille de laRévolution française, environ 50 % des terres sont couvertes de vigne autour deBéziers.

Période contemporaine

[modifier |modifier le code]
  • Bi-foudre en gare de Saint-André-de-Sangonis.
    Bi-foudre en gare de Saint-André-de-Sangonis.
  • Les vins en gros Mitjavile[29] en gare de Lattes-Montpellier.
    Les vins en gros Mitjavile[29] en gare de Lattes-Montpellier.
  • Bi-foudre et tonneaux en gare de Lézignan-la-Cèbe.
    Bi-foudre et tonneaux en gare de Lézignan-la-Cèbe.
  • Transport de futs en gare de Lézignan-Corbières.
    Transport de futs en gare de Lézignan-Corbières.

En1853, l'arrivée du chemin de fer en Languedoc permit à sa viticulture d’élargir ses débouchés, notamment le nord et l'est de la France, régions industrielles où une part non négligeable du salaire des ouvriers passait dans l'achat de vin, ainsi que dans les grandes agglomérations françaises (Paris et sa banlieue,Lyon et la région deSaint-Étienne). La viticulture dut alors faire face à plusieurs crises : l'oïdium, qui apparut aux alentours de1850, puis lephylloxéra en1863, et à la fin duXIXe siècle, lemildiou. Alors que partout ailleurs, surtout dans le Nord-Ouest, la surface plantée en vignes fut en régression, dès que les moyens de lutter contre ces parasites furent trouvés, elle augmenta dans les départements de l'Aude, du Gard, de l'Hérault et des Pyrénées-Orientales[30]. À eux quatre, ils purent dès lors fournir 40 % de la production française de vin.

Article détaillé :révolte des vignerons du Languedoc en 1907.

Situation géographique

[modifier |modifier le code]

Climat

[modifier |modifier le code]

Le climat du Languedoc-Roussillon estméditerranéen : il se caractérise par des hivers doux, des étés chauds et secs et des précipitations rares et concentrées sur la période hivernale. Les vents dominants sont latramontane, vent sec et froid qui chasse les nuages, et lemarin, vent humide qui au contraire amène les nuages. Il peut parfois être très violent.

Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour l'année2007 :

MoisJFMAMJJASONDAnnée
Températures moyennes maximales (°C)11111416202526262319141217,6
Températures moyennes minimales (°C)77101114192021181510813,3
Températures moyennes (°C)991213,517222323,521,517121015,6
Précipitations (hauteur moyenne en mm)601051015900310291442172659
Source: MSN météo[31]

Vignoble

[modifier |modifier le code]

Encépagement

[modifier |modifier le code]

Appellations

[modifier |modifier le code]

Le Languedoc-Roussillon est le plus grand producteur devins de table, tous les autres vins étant desIGP et bien sûr desAOC. Il y avait dans le Languedoc un dernierAOVDQS, le « côtes-de-la-malepère », qui est passé AOC sous l'appellationmalepère le.

Coopérative du Sieur d'Arques àLimoux.
Vignoble deSaint-Chinian.
Cabrières, Pic de Vissou.
Le vignoble dePic Saint-Loup vu de La Vieille.
Vignoble deFrontignan.
Vignoble à Argelès.
Vignoble descôtes-du-roussillon-villages, vu depuis l'entrée de la grotte de laCaune de l'Arago, sur la commune deTautavel.
Vignoble producteur demuscat de Rivesaltes àRasiguères.

AOC du Languedoc

[modifier |modifier le code]

Il représente environ39 000 ha. Le rendement moyen enAOC est de 45 hl/ha. Il varie selon les produits. Cevignoble a connu une profonde restructuration avec un développement des cépages méditerranéens comme legrenache, lemourvèdre ou lasyrah, vedette des nouvelles plantations.

Chiffres 2014 :

AppellationVignobleBlancRouge et roséVin effervescentTotalRendement
AOC -VDN -Vin effervescenthectarehectolitrehectolitrehectolitrehectolitrehl / ha
Blanquette de Limoux[33]670------33 49033 79050
Limoux méthode ancestrale[34]156------6 4126 41250
Crémant de Limoux[35]482------25 62225 62250
Limoux[36]1563 4872 925---6 41250
Cabardès[37]383---17 345---17 34550
Corbières[38]13 03410 220549 780---560 00050
Corbières-boutenac[39]1 429---5 117---5 11745
Languedoc[40]513324361110693/79045---21379941
Fitou[41]2 562---93 463---93 46345
Minervois[42]4 2894 000166 000---170 00050
Minervois-la-livinière[43]2 600---7 000---7 00045
Malepère[44]461---19 964---19 96450
Muscat de Frontignan[45]2005 000------5 00030
Muscat de Mireval[46]2886 856------6 85630
Muscat de Saint-Jean-de-Minervois[47]1885 365------5 36530
Muscat de Lunel[48]3578 209------8 20930
Faugères1 90480272 31173 113
Picpoul de Pinet1 35082 00082 00055
Terrasses du Larzac
La Clape
Coteaux-du-languedoc

Cette AOC, à titre dérogatoire, est utilisée jusqu'au, date à laquelle elle est complètement remplacée par l'appellationLanguedoc. Elle regroupe les dénominations suivantes :

Chiffres clés 2013 :

Coteaux-du-languedocVignobleBlancRoséRougeTotalRendement
AOC -rouge -rosé -blanchectarehectolitrehectolitrehectolitrehectolitrehl / ha
Cabrières173---372233007002240.6
Clairette du Languedoc603 6000------3 600---
Faugères1 90480272 311---73 113---
Grés-de-montpellier------------------
La Méjanelle------------------
Montpeyroux------------------
Pézenas------------------
Pic-saint-loup------------------
Quatourze3 1291 365124129---125 494---
Saint-chinian3 1291 365124129---125 494---
Saint-christol------------------
Saint-drézéry------------------
Saint-georges-d'orques------------------
Saint-saturnin------------------
Sommières------------------

AOC du Roussillon

[modifier |modifier le code]

Les appellations, leurs superficies et leurs chiffres de production sont[49] :

Type de vinDénominationSuperfície
(hectares)
Volume
(hectolitres)
Vin de table 1 65793 566
IGPCôtes-catalanes6 833407 557
Côte-vermeille5328
Pyrénées-orientales42524 061
AOCCollioure55818 745
Côtes-du-roussillon5.910231.924
Côtes-du-roussillon Les Aspres561.596
Côtes-du-roussillon villages1.57751.109
Côtes-du-roussillon villages Caramany1174.252
Côtes-du-roussillon villages Lesquerde542.226
Côtes-du-roussillon villages Tautavel26110.219
Côtes-du-roussillon villages Latour-de-France1584.784
VDNBanyuls1.01619.611
Banyuls grand cru2324.001
Grand Roussillon1.12030.622
Maury60812.752
Muscat de Rivesaltes5 936119.830
Rivesaltes4.89196.439

Vins sousIGP

[modifier |modifier le code]

À côté du vignoble AOC, des cépages réputés ont été plantés dans le but de produire des vins de cépages. Les rendements sont souvent supérieurs. Leur production donne des vins fruités et typés, frais et légers.

Ils sont commercialisés sous leur nom de vin de pays de zone (local) ou de département ou régional (pays-d'oc outerres-du-midi).

Les cépages implantés sont ceux de la zone AOC ou des cépages connus venus de régions prestigieuses pour lesvins mono-cépage.

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Ces deux qualificatifs désigent le muscat d'Alexandrie.
  2. Cespanses muscades ouvitis pergulana étaient composées de muscats d'Alexandrie.
  3. L'ancien tone a donné tonnelle
  4. Dans cet ouvrage paru en 1837, le comte Odart explique que « sa saveur musquée est tellement exaltée que l'appétence est à son terme après en avoir mangé quelques grains ».

Références

[modifier |modifier le code]
  1. « Le vignoble du Languedoc », survinsvignesvignerons.com(consulté le)
  2. Le code international d'écriture des cépages mentionne de signaler la couleur du raisin : B = blanc, N = noir, Rs = rose, G = gris.
  3. « Viticulture. Production viticole 2024 : une baisse marquée à 37 millions d’hectolitres », suragreste.agriculture.gouv.fr,.
  4. Surface cultivée en 2010 pour tous vins confondus, source : FranceAgriMer (page 13)
  5. Surface cultivée en 2010 éligible et revendiquée en AOC, source : FranceAgriMer (page 6)
  6. H. de Lumley, M.-A. de Lumley, J.L. Bada et K.K. Turekian, « The dating of the Pre-Neandertal remains at Caune de l'Arago, Tautavel, Pyrénées-Orientales, France »,Journal of Human Evolution,no 6,‎, p.223-224.
  7. H. de Lumley, A. Fournier, Y.C. Park, Y. Yokohama et A. Demouy, « Stratigraphie du remplissage pléistocène moyen de la Caune de l'Arago à Tautavel - Étude de huit carrotages effectués de 1981 à 1983 »,L'Anthropologie,vol. 88,no 1,‎, p.5-18.
  8. S. Lebel, « Mobilité des hominidés et système technique d'exploitation des ressources au Paléolithique ancien : la Caune de l'Arago (France) »,Canadian Journal of Archaeology,vol. 16,‎, p.48-69.
  9. a etb« Préhistoire et Antiquité du terroir de Fitou sur le site de l'Ifremer »
  10. Laborieux 1997,p. 32.
  11. a etbPline l'Ancien,Histoire Naturelle, t. IX, p. 187.
  12. Laborieux 1997,p. 33.
  13. Pline l'Ancien,Histoire Naturelle, t. IX,p. 185.
  14. Lerumpotinum de Columelle, texte latin
  15. Laborieux 1997,p. 58.
  16. Laborieux 1997,p. 60.
  17. Laborieux 1997,p. 78.
  18. Marcel Lachiver,Vins, vignes et vignerons. Histoire du vignoble français, Paris, Fayard, 1988,p. 81.
  19. Laborieux 1997,p. 109.
  20. a etbLaborieux 1997,p. 113.
  21. Laborieux 1997,p. 137-138.
  22. AD 11 - 23C2 Extrait des comptes du clavaire de Limoux, 1544
  23. Laborieux 1997,p. 112.
  24. a etbLaborieux 1997,p. 144.
  25. Pierre Joseph Garidel,Histoire des plantes qui naissent aux environs d'Aix-en-Provence et dans plusieurs autres endroits de la Provence.
  26. Laborieux 1997,p. 36.
  27. Laborieux 1997,p. 42.
  28. Laborieux 1997,p. 146.
  29. Portrait de la famille Mitjavile, vers 1900, publié le par Laurent Fonquernie, sur le siteinstitutdugrenat.com (consulté le).
  30. Emmanuel Le Roy Ladurie,1907, le millésime de la colère. L’Histoireno 320, mai 2007,p. 64
  31. MSN météo Température mensuelle moyenne à Béziers (Languedoc).
  32. L. turetti, G. Chaluleau,Histoire d'un vignoble Limoux, Villemur-sur-Tarn,Loubatières,, 160p.(ISBN 978-2-86266-766-9)
  33. L'AOC Blanquette de Limoux sur le site de l'INAO
  34. L'AOC Limoux méthode ancestrale sur le site de l'INAO
  35. L'AOC Crémant de Limoux sur le site de l'INAO
  36. L'AOC Limoux sur le site de l'INAO
  37. L'AOC Cabardès sur le site de l'INAO
  38. L'AOC Corbières sur le site de l'INAO
  39. L'AOC Corbières-boutenac sur le site du Comité Interprofessionnel des vins du Languedoc
  40. L'AOC Coteaux du Languedoc sur le site de l'INAO
  41. L'AOC Fitou sur le site de l'INAO
  42. L'AOC Minervois sur le site de l'INAO
  43. AOC Minervois-la-livinière sur le site du Comité Interprofessionnel des vins du Languedoc
  44. L'AOC Malepère sur le site de l'INAO
  45. Muscat de Frontignan sur le site de l'INAO
  46. Muscat de Mireval sur le site de l'INAO
  47. Muscat de Saint-Jean-de-Minervois sur le site de l'INAO
  48. Muscat de Lunel sur le site de l'INAO
  49. Données économiques de 2004 du CIVR, Conseil interprofessional des vins du Roussillon(fr)[doc]

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Plaine et coteaux duLanguedoc
(l'Hérault et une petite partie de l'Aude et duGard)
Coteaux de l'Aude
(la majeure partie de l'Aude)
Roussillon
(lesPyrénées-Orientales)
v ·m
VinsAOC
Eaux-de-vie (AOC)
Vins de liqueurs (AOC)
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Vignoble_du_Languedoc-Roussillon&oldid=229215069 ».
Catégorie :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp