Au, Viarmes est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11].Elle appartient à l'unité urbaine de Viarmes[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle estville-centre[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].
Viarmes est desservie par deux routes : la RD 909z dans un sens nord-sud, et laRD 922z dans un sens est-ouest. La première vient deChantilly etGouvieux, dans l'Oise, et se dirige vers lelieu-dit la Croix Verte à côté deMontsoult, où elle se raccorde à laRD 301 ainsi qu'à laFrancilienne. Quant à la RD 922z, elle vient de l'ancienneRN 17, actuelle RD 317 (raccordement avec l'autoroute A1 àSaint-Witz), deFosses etLuzarches et se dirige versAsnières-sur-Oise etBeaumont-sur-Oise. La RD 922z dispose d'un nouveau tracé appelé RD 922, qui contourne l'agglomération par le nord et par l'est. Au sud de Viarmes, un raccordement avec la RD 909z est établi, appelé RD 909. La combinaison des deux nouveaux tracés permet un contournement de Viarmes pour les flux entre Beaumont et Montsoult, représentant toutefois un important détour car cet itinéraire passe autour deSeugy.
Lesentier de grande randonnéeGR1 traverse le territoire de la commune entre Asnières-sur-Oise et Seugy d'une part et fait une incursion au sud-est entre Seugy et Luzarches d'autre part.
Le square Halbout, rond-point sur l'avenue Georges-Clemenceau, avec le clocher de l'église en arrière-plan.
La place Pierre-Salvi (selon l'ancien sénateur et maire de Viarmes), près du château et au nord de l'église. C'est ici que se tiennent les marchés hebdomadaires.
L'Office du Tourisme, rue de Paris, au nord du bourg.
Le carrefour Charles-de-Gaulle au nord de la ville, où aboutissent six rues. Les lignes de bus s'arrêtent également ici.
L'entrée nord de Viarmes, avenue de Royaumont (D 909z) en provenance de laD 922.
Elle faisait partie depuis 1793 à 1967 ducanton de Luzarches de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle devient en 1967 lechef-lieu ducanton de Viarmes[21]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Au premier tour desélections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP menée par le maire sortant William Rouyer remporte lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 247 voix (56,12 %, 23 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largement celle SE menée par Pierre Fulchir, qui a obtenu 975 voix (43,87 %, 6 consillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin, 37,47 % des électeurs se sont abstenus[25].
Au second tour desélections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste DVD menée par Olivier Dupont remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 152 voix (73,37 %, 26 conseillers municipaux élus, dont 5 communautaires), devançant très largement celle menée par Mme Laurence Bernhardt (DVC, 418 voix, 26,62 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin marque par la crise de lapandémie de Covid-19 en France, 58,52 % des électeurs se sont abstenus[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2022, la commune comptait 5 509 habitants[Note 5], en évolution de +6,19 % par rapport à 2016 (Val-d'Oise : +4 %,France horsMayotte : +2,11 %).
L'école élémentaireLouis-Pergaud, 3 rue Noire, à l'angle avec la rue de l'Étang. La maison qui comporte les logements de la ville, donnant sur la rue Noire, est remarquable pour son architecture influencée par l'Art nouveau.Cette école comporte[Quand ?] 14 classes pour environ 370 élèves.
LecollègeBlaise-Pascal est, comme partout en France, un établissement qui a pour mission d'assurer le premier niveau de l'enseignement secondaire, entre l'école primaire et le lycée.Il reçoit plus de six cents élèves de la sixième à la troisième, accueillis par environ 60 adultes[Quand ?]. Ces élèves proviennent en majorité des communes de Viarmes,Asnières-sur-Oise,Noisy-sur-Oise,Seugy etSaint-Martin-du-Tertre aux portes de la forêt de Carnelle (voir liens externes pour le site)[39].
Construit en 1758 à la demande deJean-Baptiste de Pontcarré de Viarmes,seigneur de Viarmes, à l'emplacement d'un ancien château fort[41]. Ce château de style classique sur un plan en U renversé, avec des façades en pierres de taille blondes de la région et desmoellons couvertes d'enduit, comporte un étage et un toità la Mansart. La façade principale sur la place Pierre Salvi est dotée d'un corps central en légère saillie, large de trois fenêtres et surmontée d'unfronton triangulaire orné par unbas-relief sur le thème du blason du premier propriétaire. Ici se situe l'entrée principale, encadrée par quatre colonnesdoriques simplifiées d'un étage de hauteur, portant un toit plat pour protéger le perron. Ce dernier est accessible par un escalier d'honneur dont la largeur diminue du bas vers le haut, et il est doté debalustrades. Sur l'arrière du château, les deux ailes nord et sud sont surmontées de frontons en arc de cercle, portant eux aussi des bas-reliefs avec deux lions encadrant un blason. Dans son ensemble, le château est sobre, mais d'un style recherché et élégant, avec une recherche de symétrie s'exprimant à travers des quatre façades. La ville a racheté le château en 1857 pour en faire sa mairie et l'école.
Aujourd'hui, le bâtiment n'abrite plus d'école, mais toujours la mairie, ainsi que le musée d'histoire locale. À l'intérieur, subsistent deux pièces aux boiseries en styleRocaille. Ceslambris, les portes et les miroirs font l'objet de l'inscription au titre des Monuments historiques. Le parc du château ne subsiste plus depuis qu'il a été vendu par lots en 1847[42].
Le musée Pierre Salvi sur l'histoire de la commune est plus une exposition permanente qu'un musée.
Depuis 2005, il contient des reconstitutions de scènes de la vie locale des années 1900-1950, réalisées avec des pièces originales : classe d’école, salon de coiffure, menuiserie, cuisine, chambre d’enfant, chambre d’adulte, etc. Le musée raconte également l'histoire de la commune avec des documents d'époque, de sa création à aujourd'hui. On peut voir, par exemple, ce qui s'est passé lors des inondations d', où l'eau est montée à plus de 1,5 m dans la rue de Paris[43].
L'église, depuis le château. On aperçoit la première baie gothique du bas-côté nord.
Porte de l'église, sur la façade ouest complètement reconstruite en 1885.
Le chevet de l'église : partie la plus ancienne de l'église.
Vue de l'église Saint-Pierre-et-Paul depuis le sud. Le clocher date de 1885.
L'église est ouverte à la visite les dimanches et fêtes et lors des brocantes(trois fois par an). L'accès au clocher (près de 60 mètres) est possible uniquement pendant lesjournées du Patrimoine. De cette hauteur, on peut voir toute la ville, ainsi que les proches alentours.
Vue extérieure de l'enclos entourant la fontaine aux Moines, avec la porte d'entrée.
Le bâtiment de la fontaine aux Moines, de 1228, année quand débuta la construction de l'abbaye de Royaumont.
L'intérieur du bâtiment de la fontaine aux Moines, abritant un bassin de décantation.
Tunnel de la fontaine aux Moines, canalisation permettant l'acheminement de l'eau vers l'abbaye.
Le premier regard de la galerie souterraine, après la fontaine aux Moines. Classé également M.H.
Contemporaine de l'abbaye de Royaumont construite vers 1228, elle représente un héritage des moinescisterciens conservé dans un état très proche de celui d'origine. L'eau est captée dans un bassin souterrain, dans la colline de Viarmes, est acheminée vers cette « fontaine » par une galerie également souterraine.
Cette « fontaine » n'en est pas une, car non destinée à fournir directement de l'eau aux habitants. Il s'agit d'un petit édifice rectangulaire avec un toit de pierre à forte pente, construit en pierre blonde de la région (tout comme le château de Viarmes). À l'intérieur, se trouve un bassin, qui renvoie l'eau au prochainregard un peu en aval, possédant également un bassin dedécantation. Le bâtiment de la fontaine est entouré de murs de deux mètres de haut environ, formant un enclos destiné à le protéger. Cet ensemble est classé Monuments historiques, tandis que deux autres regards, situées rue de la Mascrée et chemin rural n° 5 dit d'Asnières à Giez, sont inscrits au titre des Monuments historiques[48]. La « fontaine aux Moines » n'est ouverte à la visite que pendant les journées du Patrimoine.
Les capteurs de source et regards destinés à distribuer l'eau aux habitants de la ville par les fontaines publiques
En tenant compte de ceux appartenant au système hydraulique de la « fontaine aux Moines », Viarmes en possède encore six, dont un au centre-ville dans la rue du Douaire[49]. Ce capteur alimente trois lavoirs (rue des Auges et ruelle Saint-Ladre) et, entre autres, la fontaine rue des Auges, à côté du lavoir. Riche en sources, Viarmes conserve aujourd'hui un patrimoine hydraulique exceptionnel, dont font partie les fontaines publiques et les lavoirs.
Capteur de source ou regard rue du Douaire (près de la rue du Montcel), appelé également source du Montcel.
Fontaine de 1883, rue du Montcel, à côté du lavoir, face à la rue des Panilliers.
Fontaine publique de 1862, rue Kleinpeter. Comme souvent sur les fontaines de l'époque, l'eau est crachée par une tête de lion en fonte.
Fontaine, à l'angle nord de la rue de la Gare et de la rue du Montcel.
La fontaine de 1868 au milieu de la rue de la Gare.
Les quatre fontaines publiques fonctionnant toujours
Datant des années 1860-1880, elles sont toutes d'un type différent, mais les trois fontaines rue de la Gare, rue du Montcel et rue Kleinpeter sont stylistiquement proches. L'architecture allie labrique rouge, avec quelques éléments taillés, et l'eau est crachée par une tête d'animal et déversée dans uneauge. Sur les fontaines des rues de la Gare et Kleinpeter, c'est une tête de lion qui dispense l'eau ; sur la fontaine de la rue du Montcel, c'est une tête de poisson. La quatrième fontaine se situe à l'angle des rues de la Gare et du Montcel. Cette fontaine ne présente pas d'éléments en briques, et l'eau est dispensée par une grandeapplique murale enfonte, qui préfigure les bornes-fontaines apparaissant vers la fin duXIXe siècle.
Une cinquième fontaine publique est conservée au nord-ouest du carrefour Charles-de-Gaulle, mais elle a été transformée en pot à fleurs. La tête de lion paraît une nouvelle fois, mais elle est montée sur une haute colonne qui laisse supposer une origine plus ancienne de cette fontaine. L'auge en béton cerclé de fer n'est plus celle d'origine.
Le lavoir du Montcel, le plus ancien de la commune, dans la rue du même nom. Il a été construit en 1827.
Le lavoir des Panilliers, au sud de la ruelle Saint-Ladre. Il est alimenté par un ruisseau issu de la source du Montcel. C'est le plus petit des lavoirs de Viarmes, non couvert.
Le lavoir Saint-Ladre, au nord de la ruelle du même nom. Il est alimenté par le même ruisseau que le lavoir des Panilliers en amont.
Le lavoir du Présier de 1855, ruelle du Présier, accessible depuis la rue du Gaudron près d'Asnières-sur-Oise.
Les quatre lavoirs de Viarmes
Rue des Auges, de 1827 ; ruelle Saint-Ladre (un lavoir ouvert au sud, et un lavoir couvert au nord) ; et ruelle du Présier, près de la limite de la commune avec Asnières-sur-Oise, de1855 et agrandi en1896[50]. La source du Montcel alimente les trois premiers lavoirs, tandis que le quatrième dispose d'une source à lui seul. Ces sources sont toujours abandAntes. Autrefois, les lavoirs étaient encore plus nombreux, et leur densité était exceptionnelle. Ainsi, le lavoir du Panillier n'est éloigné que de cent mètres du lavoir rue des Auges, et le lavoir Saint-Ladre est à une bonne centaine de mètres du lavoir des Panilliers. La commune a restauré l'ensemble des lavoirs, mais ils sont malheureusement souvent l'objet de vandalisme (taggage).
Le puits du Clos Huchon, rue de la Gare
Cet ancien puits public est peu commun pour Viarmes, bien que correspondant à un type jadis très répandu. En effet, les nombreuses sources sur la commune permettaient d'aménager des fontaines à de multiples endroits de la ville, dispensant donc les habitants du percement de puits.
La mare, rue de l'Etang et route de Saint-Martin-du-Tertre.
Le monument Georges Clemenceau sur le square Halbout, rue de Paris.
Le calvaire en haut de la rue de la Gare, montrant une Vierge à l'enfant.
Le centre culturel municipal « le Hêtre Pourpre », rue Kleinpeter.
Le monument aux morts des deux Guerres mondiales, au cimetière ancien, avenue de Royaumont.
La mare, rue de l'Étang
Provenant du parc du château disparu vers le milieu duXIXe siècle, la mare était ensuite le lieu de vie de nombreusesoies, faisant que l'on désignait jadis la ville commeViarmes-les-Oies[51]. La mare servait également de réservoir d'eau pour la lutte contre les incendies. Un petit jardin public a été aménagé à côté, et de deux côtés, la pièce d'eau est bordée d'allées ombragées.
Bloc de granite rose avec un médaillon debronze montrant son effigie de profil, et portant l'inscription suivante :« À la mémoire de Georges Clemenceau 1841 - 1929. Le citoyen Georges Clemenceau président du Conseil des ministres a bien mérité de la patrie ».
Le calvaire en haut de la rue de la Gare
Petit sanctuaire en pierres de taille, dans laquelle une niche est pratiquée, abritant une statuette polychrome de laVierge à l'Enfant.
LeHêtre Pourpre, rue Kleinpeter
Ancien hôtel particulier d'une famille bourgeoise, transformé en centre culturel par la Ville de Viarmes. Derrière la maison, se situe un vaste jardin avec des arbres centenaires et un petit étang.
Le monument aux morts, au cimetière, avenue de Royaumont
Édifié initialement pour rendre hommage aux soldats tombés sur le champ d'honneur lors de laPremière Guerre mondiale, il a été modifié ultérieurement pour commémorer également les déportés et victimes civiles de laDeuxième Guerre mondiale. La liste des noms des victimes est longue : cinquante-deux soldats pour la période 1914-1918, et dix-neuf personnes pour la période 1939-1945. Le monument est orné par les armes de Viarmes en haut, et par deuxglaive verticalement disposés de droite et de gauche, associés à descouronnes de laurier et des feuilles de chêne[52].
D'azur à l'étoile d'or accompagnée de trois croissants d'argent.
Devise
« in medio stat virtus » - « c'est au milieu que se trouve la vertu » (c'est-à-dire qu'avec du recul et des informations différentes, les choix, décisions, ou jugements seront les plus sages, donc les plus vertueuses)[53].
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Viarmes comprend quatre villes-centres (Asnières-sur-Oise,Chaumontel,Luzarches, Viarmes) et une commune de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Cf« Viarmes (95270) », surHabitants.fr - Nom des habitants des communes françaises(consulté le).
↑Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25 000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site« Geoportail »(consulté le). Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Maxime Laffiac, « Val-d'Oise. Olivier Dupont élu haut la main à Viarmes : À Viarmes (Val-d'Oise), Olivier Dupont est arrivé largement en tête avec 73,37% de voix, devançant largement Laurence Bernhardt lors du second tour des élections municipales »,La Gazette du Val-d'Oise,(lire en ligne, consulté le).
↑« Décès de Pierre Salvi sénateur centriste du Val-d'Oise »,Le Monde,(lire en ligne, consulté le)« Âgé de soixante-deux ans (il était né le 2 avril 1926), Pierre Salvi avait grimpé en quelque vingt ans les différents échelons d'une carrière élective : du mandat de conseiller municipal de Viarmes, petit village rural du Val-d'Oise, en 1957, jusqu'à celui de sénateur en 1977, reconduit en 1986 (...) Maire de Viarmes en 1958, il était élu conseiller général du canton en 1967 et président de l'assemblée départementale en 1976, succédant à ce poste à M. Adolphe Chauvin, alors sénateur centriste, dont il avait été le dauphin ».
↑Alexandre Porcu, « Viarmes : Daniel Desse passe la main à un adjoint »,VO News,(lire en ligne)« Daniel Desse est entré au conseil municipal de Viarmes en mars 1983, sollicité par Pierre Salvi alors maire. Durant six années, il a exercé une fonction d’adjoint chargé du milieu associatif. Quelques mois après le décès de Pierre Salvi, en janvier 1989, il est élu premier magistrat de la commune ».
↑Fabrice Cahen, « Val-d'Oise. Municipales : Le maire de Viarmes ne se représente pas : William Rouyer mettra un terme, en mars, à 43 ans de mandats municipaux, à Ézanville, Saint-Martin-du-Tertre, Chelles (Seine-et-Marne) et Viarmes (Val-d'Oise) »,La Gazette du al-d'Oise,(lire en ligne, consulté le)« Engagé dans l’action municipale en 1977, à Ézanville, passé par Saint-Martin-du-Tertre, en 1983, puis Chelles (Seine-et-Marne) et enfin Viarmes, où il a été élu maire (Ump) en 2008, William Rouyer, 74 ans, s’apprête à déposer son écharpe d’élu ».
↑PierreAutin, DanielBaduel, YvesBreton et M.Johnson, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Viarmes »,Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions,vol. II,,p. 977(ISBN2-84234-056-6).
↑MathieuLours, « Viarmes - Saint-Pierre-et-Saint-Paul »,Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,,p. 284-285(ISBN9782953155402).