Very Nice, Very Nice est uncourt métrage d'avant-garde réalisé en 1961 parArthur Lipsett
La grande ville moderne. Agitée. Étouffante. Sous l'empire d'une folie permanente... que le citadin ne perçoit que confusément. La foule qui déambule dans tous les sens... et pourtant la solitude.Une cacophonie de sons et d'images... décousues qui s'agrègent, paradoxalement en un concerto inédit.
La bande sonore de ce film expérimental est composée d'une série de sons tirés de séquences filmées trouvées dans les chutiers de l'ONF et de sons enregistrés par Lipsett avec une enregistreuse Stellavox Candid entre le 11 et le[1],[2]. Lipsett crée un collage cinématographique en associant à la bande sonore diverses images, dont des photographies prises lors de voyages à New York, Paris et Londres[3],[4].
Le,Stanley Kubrick écrit au cinéaste pour lui faire part de son admiration :Very Nice, Very Nice est « une des utilisations de l’écran et de la bande sonore les plus imaginative et les plus intelligente que j’aie jamais vue ». Cette lettre fait partie du Fonds d’archives d’Arthur Lipsett déposé à laCinémathèque québécoise[5],[6],[4].