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Vertébrés

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Vertebrata

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Cet article concerne le sous-phylum en zoologie. Pour le genre d'algues rouges, voirVertebrata (algue).

Vertebrata
Description de cette image, également commentée ci-après
Exemple de vertébrés : unEsturgeon noir d'Amérique (Osteichthyes), unÉléphant de savane d'Afrique (Tetrapoda), unRequin tigre (Chondrichthyes) et desLamproie de rivière (Agnatha).
Classification ITIS
RègneAnimalia
Sous-règneBilateria
Super-phylumDeuterostomia
PhylumChordata

Sous-phylum

Vertebrata
Lamarck,1801[1]

Infra-phylums de rang inférieur

Synonymes

LesVertébrés (Vertebrata) forment unsous-phylum très diversifié d'animauxchordés appartenant auclade desOlfactoriens et ayant pour particularité principale de posséder unsquelette interne composé notamment d'uncrâne et d'unecolonne vertébrale.

Les Vertébrés représentent l'écrasante majorité duphylum desChordés, avec plus de 70 000 espèces décrites en 2020[a]. On inclut aujourd'hui lesMyxines (despoissons sans mâchoire) bien qu'elles n'aient pas de véritable colonne[3],[4].

La forte diminution de leurs populations entre la fin duXXe siècle et le début duXXIe, constatée indépendamment par l'ONU et leWWF, est, selon ce dernier, principalement due à des activités humaines. Entre 1970 et 2020, l'indice planète vivante, qui suit les populations de 4 000 espèces de vertébrés dans le monde, a diminué de près de 70 %[5],[6]. Plus de500 espèces de vertébrés ont disparu des terres émergées auXXe siècle (autant qu'en 10 000 ans, horsgrandes extinctions)[7].

Caractéristiques

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Chez cettemurène, les sacs nasaux s'ouvrent par deux narines.

Comme les autresChordés, les Vertébrés ont unenotochorde, uncordon nerveux creux le long du dos (en), une queue post-anale, unendostyle (en) (généralement transformé enthyroïde) et desbranchies pharyngiennes disposées par paires ; ces caractères sont parfois vestigiaux (seulement présents dans l'embryon)[8].

Les Vertébrés se distinguent de tous les autres animaux, dont les autres Chordés, par de multiplessynapomorphies : unecolonne vertébrale, uncrâneosseux oucartilagineux, uncerveau volumineux divisé en trois sections ou plus, uncœur musculeux à plusieurs chambres, uneoreille interne avec descanaux semi-circulaires, des organes sensoriels comprenant lesyeux, lesoreilles et lenez, et des organes digestifs comprenant lesintestins, lefoie, lepancréas et l'estomac[9].

La caractéristique la plus intuitive des Vertébrés est qu'ils possèdent unsqueletteosseux oucartilagineux interne, qui comporte en particulier unecolonne vertébrale, composée devertèbres qui protègent la partie troncale dusystème nerveux central. D'autres caractères partagés et exclusifs sont :

Les plus anciensfossiles connus sont datés duCambrien, il y a 530 millions d'années : les plus anciens fossiles seraientHaikouichthys ercaicunensis[10] etMyllokunmingia, chronologiquement précédés par descéphalochordés (Chordés non vertébrés) commePikaia gracilens[11]. AuCambrien moyen, un organisme de transition commeMetaspriggina est emblématique de l'espèce avec un pré-pharynx, sans doute à l'origine des mâchoires. La répartition actuelle est mondiale et concerne tous les habitats ; le groupe contient plus de 70 000 espèces[a], de taille extrêmement variée, allant de la gigantesquebaleine bleue (30 m, pour un poids avoisinant les 190 tonnes), jusqu'à la minuscule grenouillePaedophryne amauensis (taille moyenne de 7 mm, poids de 0,02 gramme), les groupes les plus importants (en nombre) étant lesactinoptérygiens (poissons à nageoires rayonnées, 23 000 espèces) et lessauropsides (« reptiles » et oiseaux, 17 000 espèces).

Anatomie

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Cette section a besoin d'êtrerecyclée (février 2023).
Motif : Tri à faire : certains éléments présentés comme caractéristiques de l'ensemble des vertébrés ne le sont pas. Les sacs nasaux (choanes), par exemple, sont uncaractère dérivé destétrapodomorphes..Améliorez-la oudiscutez des points à améliorer.

Les Vertébrés ont un corps fondamentalement divisé en trois parties :tête (abritant les organes sensoriels olfactifs —sacs nasaux, optiques —yeux, stato-acoustiques —oreilles internes, et lesrécepteurs gustatifs dans la muqueuse buccale et pharyngienne),tronc (renfermant lecœlome et lesviscères) etqueue (cette partie postérieure, essentiellement musculeuse, commence à partir ducloaque, ce dernier étant cloisonné en deux compartiments chez la majorité des mammifères, une partie uro-génitale et une partie rectale)[13].

Ils sont caractérisés par uncrâne (structure cartilagineuse ou osseuse plus ou moins fermée) entourant lecerveau et comprenant des capsules qui logent des organes sensoriels (capsules nasales, optiques,otiques).

Les capsules nasales sont des ébauches embryonnaires dont le développement donne lacavité nasale dans laquelle deschimiorécepteurs assurent le sens de l'odorat ouolfaction. Les vertébrés aquatiques tels que les poissons sont dotés d'une ou de deux paires de narines, chaque narine étant divisée par un pont cutané en une ouverture pour l'entrée de l'eau et une autre ouverture pour la sortie de celle-ci. L'eau traverse ainsi les narines, soit durant la nage, soit par pompage actif, et parvient à des sacs nasaux généralement fermés (ouverts vers une narine interne, lechoane, chez lesOsteolepiformes et lesPorolepiformes,sarcoptérygiens sans doute munis de poumons qui favorisent laterrestrialisation)[14]. Chez lestétrapodes, vertébrés terrestres comprenant les amphibiens et lesamniotes (reptiles, oiseaux et mammifères), les capsules nasales ne participent plus seulement à la conduction de l'eau vers des sacs nasaux mais aussi à la conduction de l'air vers les poumons[15]. Lepalais, qui forme la voûte de la cavité buccale, sépare la cavité buccale des fosses nasales, ce qui permet la respiration et la mastication simultanées[16].

Histoire évolutive

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Articles détaillés :Histoire évolutive des poissons,Histoire évolutive des mammifères,Histoire évolutive des dinosaures etHistoire évolutive des oiseaux.
Labiodiversité mondiale estimée à partir de larichesse spécifique envertébrés terrestres (lesbiorégions les plus riches sont en rouge, les moins riches en vert).
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Avec plus de 70 000 espèces[a], les vertébrés sont moinsdiversifiés et moins nombreux que lesinsectes mais ils rivalisent avec eux dans leurs caractères despécialisation, traduisant desadaptations à desmodes de vie très variés[17].

Lesétudes génétiques montrent[18] qu'unancêtre commun des Vertébrés a subi uneduplication de songénome[b], suivie chez lesCyclostomes (les Vertébrés sansmâchoire) d'unetriplication[c] et chez lesGnathostomes (les Vertébrés à mâchoire) d'une seconde duplication[d].

Classification

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Taxonomie

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Les Vertébrés sont le concept zoologique d'animaux àvertèbres imposé parGeorges Cuvier (Leçons d'anatomie comparée en 1805) etJean-Baptiste de Lamarck (Discours[19] d'ouverture du cours des animaux sans vertèbres en 1806)[20].
LesMyxines, qui sont despoissons sans machoires (Agnatha), étaient traditionnellement, du fait de leur absence de colonne vertébrale, exclues de ce groupe[21],[22]. Mais les études génétiques ont confirmé leur proximité avec leslamproies et le fait qu'elles seraient donc des vertébrés ayant perdu des caractères ancestraux[23],[24]. Cette nouvelle classification des Myxines fait du taxonCraniataLankester, 1877 un synonyme de VertebrataLamarck, 1801.

Classes actuelles

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Le taxon classique desOstéichthyens regroupant les poissons osseux étantparaphylétique au regard desTétrapodes, il n'est pas présent en tant que tel dans lesclassifications cladistes mais est toujours présent dans lesclassifications évolutionnistes. Ce terme est cependant parfois utilisé dans un contexte cladiste pour désigner l'ensemble des Tétrapodes et des Ostéichtyens classiques[25], toutefois de nombreux systématiciens lui préfèrent le synonymeEuteleostomi dont la définition n'est jamais ambigüe.

Liste des classes actuelles selonITIS[26] :


SelonWorld Register of Marine Species[27] :

Phylogénie

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Phylogénie des grands groupes actuels des Vertébrés d'après Betancur-Ret al. (2017)[28] et Heimberget al. (2010)[29] :

 Vertebrata 
 Cyclostomata 

 Cephalaspidomorphi (les lamproies)



 Myxiniformes (les myxines)



 Gnathostomata 

 Chondrichthyes  (les poissons cartilagineux)



 Euteleostomi/Osteichthyes 

 Actinopterygii (les poissons à nageoires rayonnées)



 Sarcopterygii 
 Actinistia 

 Coelacanthi (les cœlacanthes)


 Dipnotetrapodomorpha 
 Dipnomorpha 

 Dipnoi (les dipneustes)


 Tetrapodomorpha 

 Tetrapoda (les tétrapodes)










Évolution des vertébrés selon un diagramme axial représentant les cinq grandesclasses (poissons[30], amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères). La largeur des axes indique le nombre defamilles dans chaque classe (lestéléostéens, poissons à squelette complètement osseux et ànageoires rayonnantes, représentent 99,8 % desespèces de poissons, et près de la moitié des espèces de vertébrés). Enclassification phylogénétique, seuls[31] les oiseaux et les mammifères sont des groupesmonophylétiques[32].

État des populations, pressions, réponses

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Selon l'ONU[33], de nombreuses populationssauvages de Vertébrés sont menacées (ou ont récemment disparu).

  • En moyenne, les populations de Vertébrés sauvages ont chuté d’un tiers (−31 %) dans le monde de 1970 à 2006[33] ;
  • En termes de dynamique des populations, les déclins contemporains les plus sévères touchent surtout lesécosystèmes tropicaux (59 %) mais aussi de manière générale les écosystèmes d’eau douce (−41 %)[33] ;
  • En termes de taille de population, depuis 1970, la taille des populations « tempérées » a plutôt légèrement augmenté[33]. Ceci n'a pas empêché un déclin continu ou accéléré dans le monde, pour la presque totalité des espèces durant la même période, car la taille des populations tropicales s'est fortement réduite durant cette période. Mais, une observation faite sur plusieurs siècles donnerait une vision plus juste, montrant que les populations deszones tempérées ont en fait régressé autant et peut-être même plus que celles des zones tropicales[33].

Par exemple, dans le monde, pour 1 200 populations d’oiseaux d’eau étudiées pour leurstendances démographiques, 44 % déclinent[33]. 42 % des populations d'amphibiens (toutes espèces confondues) et de 40 % des espèces d’oiseaux sont en régression[33].
En Europe, les oiseaux des champs ont perdu 50 % de leurs effectifs de 1980 à 2006. Pour les oiseaux des prairiesd’Amérique du Nord la régression a approché 40 % de 1968 à 2003 (avec semble-t-il une légère récupération de 2003 à 2010[33]) ; les populations d'oiseaux deszones arides nord-américaines ont perdu presque 30 % de leurs effectifs en 50 ans (de 1960 à 2010)[33].

Selon l'indice planète vivante, qui se base sur une étude concernant 16 700 populations, pour 4 000 espèces différentes, les populations de vertébrés sauvages ont chuté de 68 % entre 1970 et 2016. La perte d’abondance est plus particulièrement marquée dans les milieux d’eau douce (zones humides, lacs ou rivières) et atteint 94 % en zones tropicales des Amériques. Les activités humaines en sont la cause principale, notamment la destruction des écosystèmes à des fins agricoles. Les autres causes de disparition sont la surexploitation des espèces, lespollutions (plastique et pesticides), les espèces invasives disséminées par les êtres humains et le changement climatique[34]. Cette extinction de masse touche cinq grands groupes : oiseaux, mammifères, amphibiens, coraux et cycadales[35].

Mi-2020, on estime qu'auXXe siècle, plus de 500 espèces de vertébrés ont disparu des terres émergées, rythme attendu pour environ 10 000 ans dans la nature en temps normal)[7]. Et 500 autres vertébrés pourraient encore disparaitre dans les prochaines décennies[36] alors que l'anthropisation du monde accroit le rythme des extinctions« vers un point critique de basculement »[7].Environ 2 % de plus de 29 000 espèces de vertébrés terrestres sont endanger critique d'extinction rappelle leNew York Times[37], alors que chacun remplit des fonctions écosystémiques, parfois irremplaçable (commeprédateur,proie,fouisseur,nécrophage,pollinisateur, etc.) et/ou utiles pour la conservation de l'eau potable, lapollinisation de nombreuses cultures, le maintien d'équilibres écologiques et laprévention de maladies[7]. De plus, la disparition des espèces entraine la prolifération deszoonoses, à savoir les maladies transmises de l'animal à l'homme[34].

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. ab etcEn 2020 le nombre d'espèces de vertébrés est estimé à 72 906[12].
  2. Cette duplication est présente chez tous les Vertébrés, mais absente chez les autresChordés.
  3. Cette triplication est présente chez tous lesCyclostomes, mais absente chez lesGnathostomes.
  4. Cette seconde duplication est présente chez tous lesGnathostomes, mais absente chez lesCyclostomes.

Références

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  2. Nielsen, C., « The authorship of higher chordate taxa »,Zoologica Scripta,vol. 41,no 4,‎,p. 435–436(DOI 10.1111/j.1463-6409.2012.00536.x,S2CID 83266247)
  3. (en) ThomasCavalier-Smith, « A revised six-kingdom system of life »,Biological reviews,vol. 73,no 3,‎,p. 203-266(DOI 10.1111/j.1469-185X.1998.tb00030.x).
  4. (en) AlyshaM. Heimberg, RichardCowper-Sal•lari, MarieSémon, PhilipC. J. Donoghue et KevinJ. Peterson, « MicroRNAs reveal the interrelationships of hagfish, lampreys and gnathostomes and the nature of the ancestral vertebrate »,Proceedings of the National Academy of Sciences,vol. 107,no 45,‎,p. 19379-19383(DOI 10.1073/pnas.1010350107).
  5. « Rapport Planète Vivante 2022 | WWF France », surwww.wwf.fr
  6. « Les populations d’oiseaux, de poissons, de mammifères, d’amphibiens et de reptiles ont décliné de 69 % en moins de 50 ans »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne)
  7. abc etdJane C.Hu, « Graduate programs drop GRE after online version raises concerns about fairness »,Science,‎(ISSN 0036-8075 et1095-9203,DOI 10.1126/science.caredit.abd4989,lire en ligne, consulté le)
  8. (en) Michelle Freeborn,The fishes of New Zealand,vol. 2,Te Papa Press,, 6 p.(ISBN 978-0-9941041-6-8).
  9. (en) Stacy Farina, « Vertebrate Phylogeny »,Université Howard,.
  10. (en) D.-G. Shu, S. Conway Morris, J. Han, Z.-F. Zhang, K. Yasui, P. Janvier, L. Chen, X.-L. Zhang, J.-N. Liu, Y. Li, & H.-Q. Liu, « Head and backbone of the Early Cambrian vertebrate Haikouichthys »,Nature,vol. 421,no 6922,‎,p. 526-529(DOI 10.1038/nature01264)
  11. (en)Simon Conway Morris etJean-Bernard Caron, « Pikaia gracilens Walcott, a stem-group chordate from the Middle Cambrian of British Columbia »,Biological Reviews,vol. 87,‎,p. 480–512(DOI 10.1111/j.1469-185X.2012.00220.x)
  12. (en) « Summary Statistics (table 1a) », surIUCN(consulté le).
  13. Encyclopaedia universalis,vol. 23, éd. Encyclopaedia Universalis,,p. 493
  14. Georges Vandebroek,Évolution des vertébrés : de leur origine à l'homme, Masson,,p. 204.
  15. Paul Pirlot,Morphologie évolutive des Chordés, Les Presses de l'Université de Montréal,,p. 206.
  16. Lauralee Sherwood,Physiologie humaine, De Boeck Superieur,,p. 443.
  17. (en) Eldra Solomon, Linda Berg, Diana W. Martin,Biology, Cengage Learning,(présentation en ligne),p. 582
  18. Hervé Le Guyader, « Le double effet du génome de la myxine »,Pour la science,no 559,‎,p. 92-94(présentation en ligne,lire en ligneAccès libre[PDF], consulté le).
  19. Discours prononcé auMuséum national d'histoire naturelle, à Paris, en mars 1806.
  20. Alain Rey,Dictionnaire historique de la langue française,Nathan,,p. 4045.
  21. Guillaume Lecointre etHervé Le Guyader,Classification phylogénétique du vivant,Éditions Belin, Paris,3e édition, 2006.(ISBN 2-7011-4273-3)
  22. B. Chanet, « Organisation & Diversité du Monde Animal : Numéro 1 »,Cahiers d'Anatomie Comparée,NS°1(1), 2010, p.6-8.
  23. (en)Thomas Cavalier-Smith, 1998.A revised six-kingdom system of life. Biol. Rev. 73: 203-266.
  24. (en) Alysha M. Heimberg, Richard Cowper-Sal•lari, Marie Sémon, Philip C. J. Donoghue et Kevin J. Peterson, « MicroRNAs reveal the interrelationships of hagfish, lampreys and gnathostomes and the nature of the ancestral vertebrate »,Proc. Natl. Acad. Sci.,vol. 107,no 45,‎(lire en ligne[PDF])
  25. Ricardo Betancur-R, Edward O. Wiley, Gloria Arratia, Arturo Acero, Nicolas Bailly, Masaki Miya, Guillaume Lecointre et Guillermo Ortí, « Phylogenetic classification of bony fishes »,BMC Evolutionary Biology,vol. 17,no 1,‎,p. 162(PMID 28683774,PMCID 5501477,DOI 10.1186/s12862-017-0958-3)
  26. Integrated Taxonomic Information System (ITIS), www.itis.gov, CC0https://doi.org/10.5066/F7KH0KBK, consulté le 26 avril 2019.
  27. World Register of Marine Species, consulté le 26 avril 2019.
  28. Ricardo Betancur-R, Edward O. Wiley, Gloria Arratia, Arturo Acero, Nicolas Bailly, Masaki Miya, Guillaume Lecointre et Guillermo Ortí, « Phylogenetic classification of bony fishes »,BMC Evolutionary Biology,vol. 17,no 1,‎,p. 162(PMID 28683774,PMCID 5501477,DOI 10.1186/s12862-017-0958-3)
  29. (en) Alysha M. Heimberg, Richard Cowper-Sal·lari, Marie Sémon, Philip C. J. Donoghue et Kevin J. Peterson, « MicroRNAs reveal the interrelationships of hagfish, lampreys and gnathostomes and the nature of the ancestral vertebrate »,Proc. Natl. Acad. Sci.,vol. 107,no 45,‎(lire en ligne[PDF])
  30. Avec plusieursclades :Agnathes (lamproies),Chondrichthyens (requins,raies),Placodermes (fossiles),Acanthodiens (fossiles),Osteichthyens (poissons osseux).
  31. Les poissons, amphibiens et reptiles sont des groupesparaphylétiques.
  32. « Systématique : ordonner la diversité du vivant », Rapport sur la Science et la technologie N°11, Académie des sciences, Lavoisier, 2010, p. 65
  33. abcdefgh etiSecrétariat de laconvention sur la diversité biologique (2010)3e édition des Perspectives mondiales de la diversité biologique. Montréal, 94 pages. Voir notamment p24/94 chapitre :Les populations d’espèces et les risques d’extinction
  34. a etbRapport Planète Vivante 2020 : Infléchir la courbe de la perte de biodiversité (synthèse),, 48 p.(lire en ligne).
  35. « La Terre a perdu 60 % de ses animaux sauvages en 44 ans »,L'Obs,‎(lire en ligne).
  36. (en) GerardoCeballos, Paul R.Ehrlich et Peter H.Raven, « Vertebrates on the brink as indicators of biological annihilation and the sixth mass extinction »,Proceedings of the National Academy of Sciences,vol. 117,no 24,‎,p. 13596–13602(ISSN 0027-8424 et1091-6490,DOI 10.1073/pnas.1922686117,lire en ligne, consulté le)
  37. (en-US) RachelNuwer, « Mass Extinctions Are Accelerating, Scientists Report »,The New York Times,‎1er juin 2020(ISSN 0362-4331,lire en ligne, consulté le)
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