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Verseau

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Pour l’article ayant un titre homophone, voirVerso.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirVerseau (homonymie),Aquarius etAqr.

Verseau
Image illustrative de l'article Verseau
Vue de la constellation.
Désignation
Nom latinAquarius
GénitifAquarii
AbréviationAqr
Observation
(ÉpoqueJ2000.0)
Ascension droiteEntre 308° et 357,5°
DéclinaisonEntre -25,5° et 2,75°
Taille observable980deg2 (10e)
VisibilitéEntre 65° N et 90° S
Méridien10 octobre, 21h00
Étoiles
Brillantes (m≤3,0)2 (β,α)
À l’œil nu179
Bayer /Flamsteed90
Proches (d≤16 al)2
La plus brillanteβ Aqr (2,90)
La plus procheEZ Aquarii (11,3al)
Objets
Objets de Messier3 (M2,M72,M73)
Essaims météoritiquesAquarides de mars
Êta aquarides
Delta aquarides
Iota aquarides
Constellations limitrophesAigle
Baleine
Capricorne
Dauphin
Pégase
Petit Cheval
Poisson austral
Poissons
Sculpteur
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LeVerseau, ouPorteur d’eau, est uneconstellation duzodiaque traversée par leSoleil du au. Dans l'ordre du zodiaque, la constellation se situe entre leCapricorne à l'ouest et lesPoissons à l'est. Verseau était l’une des48 constellations identifiées parPtolémée.

Elle est parmi lesconstellations les plus vieilles du ciel et se trouve dans une zone souvent appelée la « Mer », à cause de son abondance de constellations aquatiques telles laBaleine, lesPoissons,Éridan, etc. Parfois, le fleuveÉridan est dessiné provenant du pot du Verseau.

Enastrologie, leVerseau est également unsigne duzodiaque correspondant au secteur de 30° de l'écliptique traversé par leSoleil du au. C'est dans ce sens qu'il y sert au repérage des déplacements planétaires.

Nomenclature, histoire & mythologie

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En Mésopotamie

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Nous avons, au départ, mul.GU.LA =Rabû, soit l’étoile du « Grand personnage » pourAlpha Aquarii / α Aqr dans les Listes deNippur, datées de 2112-2004 av. è. c[1]. On lit dans laSérie MUL.APIN, qui est le premier traité d'astronomie mésopotamienne, découvert à Ninive dans la bibliothèque d'Assurbanipal et datant au plus tard de 627 av. è. c. : DIŠ mul.GULA d.é-a mul.NUN.ki d.é-a, ce qui signifie que « l’étoile GULA est celle du dieu Ea », sachant qu’ENKI = Ea est le seigneur de la Sagesse et des Eaux. Mais nous possédons déjà, sur un sceau cylindrique daté vers 2300 av. è. c., l’image de ce dieu tenant deux urnes versant chacune un courant d’eau[2].

ENKI = Ea sur un sceau-cylindre daté vers 2300 av. è. c.

Par la suite, c’est-à-dire au début du1er millénaire è.c., le ciel est organisé en constellations, c’est-à-dire que les étoiles sont désormais nommées par leur situation dans les figures célestes, les éphémérides, qui couvrent les événements astronomiques pratiquement sur le millénaire avant notre ère, ne retiennent aucune étoile-repère dans cette constellation, mais l'image traditionnelle du dieu ENKI = Ea s'impose comme figure de l'ancêtre d'Aquarius[3].

En Grèce et à Rome

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La figure d'Aquarius dans l’édition de 1482 duPoeticon astronomicon d’Hyginus, Venise.

Les Grecs font de cette constellationὙδροχόος, littéralement le « Verseur d’eau », attesté chez Eudoxe[4], mais ils ne manquent pas de l’adapter à leur propre goût mythologique. Ainsi, pourÉratosthène, certains soutiennent qu’il s’agit deGanymède, l’échanson deZeus, le flot qu’il déverse ressemblant au nectar dont il abreuve l'Olympe[5].

Les Latins ont le plus souvent rendu le nom grec de la constellation parAquarius, et ce à partir deCicéron dans sesAratea, c’est-à-dire sa version latine desΦαινόμενα d’Aratos. Mais ils ont aussi, plus rarement, employéHydrochoos, soit sa transcription, et diverses autre appellations, parmi lesquellesUrna etAmphora[6], qui se ressentent d’une influence orientale, sachant la constellation se dit en araméen דולאDawla, « le Vase », influence probablement venue par ce qu’à côté de laSphaera graecana, le philosopheNigidius Figulus, ami deCicéron, nommait laSpheara barbarica, et dont les riches matériaux furent constamment renouvelés par des apports réguliers de sources syriennes et mésopotamiennes[7].

Chez les Arabes

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Chez les Arabes, il faut distinguer le ciel traditionnel qui comprend lesmanāzil al-qamar ou « stations lunaires », et ciel gréco-arabe, c’est-à-dire celui que les astronomes classiques ont repris des Grecs auIXe siècle de notre ère.

Le ciel arabe traditionnel compte sur l’espace correspondant auVerseau quatre des dix astérismes de la série nommée السعودal-Suᶜūd, « les Propices », dont les levers héliaques s’étalaient de la mi-janvier au début mars, soit la période des pluies[8]. Or trois de ces quatre astérismes correspondent à desmanāzil al-qamar ou « stations lunaires » : ce sont, dans l’ordre des levers héliaques : سعد البلع Saᶜd Bulaᶜ, « la Propice de Bulaᶜ », pour le groupeεμν Aqr (23estation), سعد السعودSaᶜd al-Suᶜūd, « la Propice des Propices », pour le coupleβξ Aqr (24estation), سعد الأخبيةSaᶜd al-Aḫbiyya, « la Propice des Caches », pour le groupeγζηπ Aqr (25estation). Seul l’astérisme سعد الملكSaᶜd al-Malik, « la Propice du Roi », pour le coupleαο Aqr, ne correspond pas à une station. Il faut noter que toutes ces étoiles ont fourni des noms empruntés aux Arabes dans les catalogues contemporains.

La figure de الدلوal-Dalw, « le Dalou, le Seau du puits », dans une copie du traité deᶜAbd al-Raḥmān al-Ṣūfī, 1606, Saint-Pétersbourg.
Le milieu de la série السعودal-Suᶜūd, « les Propices » dans le ciel arabe (Dessin de Roland Laffitte, 2012).

Quand les Arabes reprirent les constellations grecques, ils rendirentὙδροχόος par ساكب الماء Sākib al-Mā’, « le Verseur d’eau ». Mais ils utilisaient déjà pour11e signe du zodiaque, attesté dans l’horoscope de fondation de la ville de Baghdad en 762, ainsi que nous rapporte l’érudit persanal-Bīrūnī[9], le nom arabe الدلوal-Dalw, « le Dalou », qui est, chez les Arabes, le seau de cuir qui sert à puiser l’eau du puits, nom venu de Babylone par l’araméenDawla, qui est le même mot que l’akkadiendālu, de semblable signification, bien que le nom n’apparaisse pas dans des documents astronomiques ou astrologiques. Si bien que nous rencontrons ces deux noms concurremment dans le ciel des astronomes arabes hérité des Grecs.

Les catalogues contemporains fournissent aussi des noms d’étoiles empruntés aux Arabes dans le cadre du ciel gréco-arabe.

En Europe

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Au Moyen Âge, les clercs latins connaissaient le nomAquarius par les encyclopédies et les quelques manuscrits desAratea, c’est-à-dire les versions latines desΦαινόμενα d’Aratos, à leur disposition, mais ils connurent dès l’an mil le nom arabe de cette figure. Nous lisons ainsi, chez Gérard de Crémone (ca. 1175) : Stallatio Idrudurus… & est Aquarius'[10], qui reprendIsḥāq b. Ḥunayn, lequel écrit : كوكب اذروذوروس وهو الدلوkawkab Iḏrūḏūrūs … wa huwwa al-Dalw[11]. À son époque, on ne lit pas encore le nom grec dans le texte, ce qui n’adviendra qu’à la Renaissance. Et l’on trouve par exemple, dans l’Uranometria deJohann Bayer (1603), une liste de noms connus dans les différentes langues, selon l’usage de l’époque : non seulementὙδροχόος, mais encore en particulierArabibus Edeleu, soit la transcription de l’arabe الدلوal-Dalw, soit le nom de cette figure dans le ciel arabe traditionnel[12]. Ces noms figurent encore dans plusieurs catalogues jusqu’à ce que la nomenclature approuvée en 1930 par l’Union astronomique internationale (UAI) ne chasse définitivement les appellations autres queAquarius, à l’exception du grecὙδροχόος.

La figure d’Aquarius d'après l’Uranographia de Johan Elert Bode, Berlin, 1801.
La figure d’Aquarius dans l’Urania's Mirror, Londres, 1824.

Bibliographie / Nomenclature

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  • Hermann Hunger,Astral science in Mesopotamia, Leiden / Boston (Mass.) / Köln : Brill, 1999,, 303 p.(ISBN 90-04-10127-6).
  • Paul Kunitzsch,Untersuchungen zur Sternnomenklatur der Araber, Wiesbaden : O. Harrassowitz, 1961 p.,, 125.
  • Roland Laffitte,Le ciel des Arabes. Apport de l’uranographie arabe, Geuthner,, 296 p.(ISBN 978-2-7053-3865-7).
  • André Le Bœuffle,Les Noms latins d'astres et de constellations, Paris: Les Belles lettres,, 292+cartes(ISBN 978-2-251-32882-9,ISSN 1151-826X).
  • Otto Neugebauer & Richard A. Parker,Egyptian astronomical texts... 3. Decans, planets, constellations and zodiacs, 2 vol., Providence, R. I. : Brown university press / London : L. Humphries, 1969.
  • Sun Xiachun Sun & Jacob Kistemarker =,The Chinese Sky During the Han, Leiden Köln : Brill,, 240 p.(ISBN 90-04-10737-1).

« Ère du Verseau »

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La constellation a été immortalisée dansl’ère du Verseau (Age of Aquarius dans la comédie musicaleHair desannées 1960). Cependant, il semble qu’il n’y ait aucune définition standard pour les « ères astrologiques », censées correspondre à l'entrée dupoint vernal dans laconstellation correspondante. L’ère du Verseau pourrait commencer soit en2150, soit en2660, en fonction de la définition préférée.

Présentation

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Constellation du Verseau.
Visibilité nocturne de la constellation.

Repérage de la constellation

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L'axe principal du Verseau se situe dans la diagonale Nord-Est / Sud-Ouest dugrand carré de Pégase, côté Sud. La constellation s'étend sur cet axe depuis les pieds de Pégase jusqu'à la tête duCapricorne, marquée par une paire d'étoiles assez brillantes (les cornes du Capricorne,α2 etβ Cap).

Le Verseau peut également se repérer dans l'axe des ailes duCygne, axe qui passe par les pieds dePégase et aboutit côté Sud surFomalhaut duPoisson austral.

Le reste de la constellation s'étend dans l'axe marqué par le côté Ouest du grand carré de Pégase et qui se prolonge vers le Sud jusqu'àFomalhaut, duPoisson austral. On y rencontre successivementλ,τ (plus faible) etδ Aqr (plus brillante).

Description de la constellation

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Le Verseau est une constellation assez grande (il s’agit de la10e du ciel), mais ne présentant finalement que des étoiles moyennement lumineuses. On y découvre cependant deuxnébuleuses planétaires assez remarquables.

Sa partie la plus visible est la « diagonale » marquée par ses étoiles les plus brillantes,α Arq (Sadalmeilk) etβ Aqr (Sadalsuud). C'est cette diagonale qui prolonge legrand carré de Pégase et pointe sur les deux cornes duCapricorne. L'essentiel de la constellation s'étend au Sud-Est de cet axe.

Si les conditions de visibilité sont suffisantes (mag 5), on peut identifier devant la tête du Verseau (α Aqr) unastérisme appelé l’« Urne », qui serait la jarre d’où la constellation verse ses eaux. Cet astérisme a sensiblement la forme d'un triangle équilatéral formé par lesétoilesγ Aqr (Sadalachbiah, à l'Ouest, la plus brillante du groupe),η Aqr (à l'Est), etπ Aqr (au Nord, la plus faible), le triangle étant ponctué parζ Aqr au centre.

Dans l'axePégase -Fomalhaut, quelques petits groupes épars et peu visibles marquent les « gouttes d'eau » répandues par le Verseau.

Grands alignements

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Malgré son peu d'éclat, le Verseau est au carrefour de deux alignements majeurs :

Étoiles principales

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Article détaillé :Liste d'étoiles du Verseau.

Sadalsuud (β Aquarii)

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L’étoile la plus brillante de la constellation du Verseau est Sadalsuud (β Aquarii), avec seulement unemagnitude apparente de 2,9. C’est unesupergéante rouge et sa faible brillance relative provient de son éloignement, 612 années-lumière.

Son nom provient d’une expressionarabe Al Sa'd al Su'ud, signifiant littéralement « la plus chanceuse parmi les chanceuses ». Cette désignation d’étoiles « chanceuses » est partagée par deux autres étoiles de la constellation,Sadalmelik etSadalachbiah.

Autres étoiles

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Voici quelques autresétoiles principales du Verseau :

R Aquarii est uneétoile variable de type Mira, évoluant sur385 jours entre les magnitudes 5,4 et 9,59. C’est également uneétoile symbiotique, son compagnon est unenaine blanche qui arrache peu à peu des pans entiers de son enveloppe.

Objets célestes

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La nébuleuse planétaire NGC 7293, dite de l'Hélice, par letélescope spatial Hubble.

La constellation du Verseau abrite diversobjets du ciel profond notables, à commencer par 3 objets ducatalogue Messier : M2, M72 et M73.

M2 etM72 sont tous deux desamas globulaires, le plus brillant étant M2 d'unemagnitude apparente de 6,5, distinguable avec une paire dejumelles comme une étoile floue. La magnitude apparente de M72 dépasse 9 et il peut être observé dans un petit télescope. Le troisième objet Messier,M73, est en fait unastérisme constitué d'étoiles n'ayant aucun lien physique. Il fut pendant longtemps considéré à tort comme unamas ouvert.

Deux autres objets célestes notables se trouvent dans la constellation: lesnébuleuses planétaires NGC 7009, dite lanébuleuse Saturne, et NGC 7293, dite lanébuleuse de l'Hélice ou de l'œil de Dieu. La nébuleuse Saturne doit son nom à son apparence particulière qui rappelle celle de laplanète du même nom. La nébuleuse de l'Hélice, elle, est l'une des nébuleuses planétaires les plus proches de nous. Leurs magnitudes apparentes sont respectivement de 8 et 7,6 et sont donc aisément distinguables dans un petit télescope.

Le Verseau abrite également de nombreusesgalaxies lointaines. Parmi les plus brillantes, on peut citerNGC 7727 etNGC 7606 (magnitudes respectives de 10,6 et 10,8). La première est issue d'unefusion de galaxies, tout commeNGC 7252 (surnommée les Atomes pour la paix) située dans la même constellation. Notons également la présence de deuxgalaxies naines dugroupe local : lagalaxie naine du Verseau et lagalaxie naine du Verseau 2.

Essaims météoritiques

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Plusieursessaims météoritiques possèdent unradiant situé de la région du Verseau :

Références

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  1. Roland Laffitte, « Les listes de Nippur, IIIe dynastie d’Ur, 2112-2004 av. J.-C. », sur URANOS, le site astronomique de la Selefa. ».
  2. British Museum, sceau-cylindre BM 89115, voir image ci-dessous.
  3. Roland Laffitte, « Précisions sur l’origine des noms des signes du zodiaque », inBulletin de la SELEFA n° 7, 1er sem. 2006, pp. 8-9. »
  4. Roland Laffitte,, « L’héritage mésopotamien des Grecs en matière de noms astraux (planètes, étoiles et constellations, signes du zodiaque) », inLettre SELEFA n° 10 (décembre 2021), pp. 24-25. »
  5. Ératosthène,Le Ciel, mythes et histoires des constellations, Pascal Charvet (dir.), Paris : Nil Éditions, 1998, p. 125.
  6. André Le Bœuffle,Les Noms latins d’astres et de constellations, éd. Paris : Les Belles Lettres, 1977, pp. 178-180.
  7. Roland Laffitte, « Les Noms sémitiques des signes du zodiaque, de Babylone à Baghdad », Comptes Rendus du GLECS (Groupe Linguistique d’Études Chamito-Sémitiques), t. XXXIV, 2003, pp. 114-117.
  8. Roland Laffitte,Le ciel des Arabes. Apport de l’uranographie arabe, Paris : Geuthner, 2012, p. 104.
  9. Roland Laffitte,Héritages arabes. Des noms arabes pour les étoiles, Paris : Geuthner, 2005, p. 46.
  10. Gérard de Crémone,Almagestum Cl. Ptolemei Pheludiensis Alexandrini astronomorum principis…, Venise : ex. Officina Petri Liechtenstein, 1515, fol. 84v.
  11. Claudius Ptolemäus, Der Sternkatalog des Almagest. I. Die arabischen Übersetzungen, éd. par Paul Kunitzsch, Wiesbaden : Otto Harrassowitz, 1986, p. 241.
  12. (la) Johann Bayer,Uranometria, omnium asterismorum continens schemata, nova methodo delineata…, Augusta Vindelicorum : C. Mangus, 1603, fol. 32r.

Voir aussi

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