Deshaches de bronze datant de ont été retrouvées sur le site de la commune.La reineFrédégonde (547-597), épouse deChilpéricIer, demanda au seigneur Badon d'assassinerGontran, roi deBourgogne mais il est pris et enchaîné.
En 2021, la commune comptait 419 habitants. Depuis 2004, les enquêtes derecensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2005, 2010, 2015, etc. pour Vaubadon[11]) et les chiffres depopulation municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].Vaubadon a compté jusqu'à 756 habitants en1836.
Lechâteau de Vaubadon est bâti en1778 sur entreprise des parents[16] de Pierre Jean Le Tellier (7 juin 1768-1844), conseiller de la deuxième chambre des requêtes du parlement de Normandie en 1784[17], qui le cédera en 1810. Il échoit par la suite au général de Préval en 1814. Il appartient aucomte Antoine Raoul Le Bègue de Germiny († 1818), administrateur des hospices civils de Rouen, puis à ses héritiers jusqu'en janvier 1842 et fait alors l'objet de transaction de vente[18] au profit de Louis Florimond Gustave marquis d'Auvet (époux d'Anne-Henriette de Loyauté en 1840). Racheté, il est agrandi en1869 par le prince Raymond de Broglie (1826-1914). Il fait l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le[19].
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Propriétaires du château de Vaubadon
Famille Le Tellier de Vaubadon
Portait :De gueules à la fasce d'argent accompagnée de 3 mains dextres de même, 2 et 1"'
Portait :Écartelé : aux 1 et 4, d’azur, au poisson d’argent en fasce ; aux 2 et 3, d’azur, à l'écusson d’argent ; et sur le tout, d'argent à l'aigle de sable
↑Célestin Hippeau,Dictionnaire topographique du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et moderne, Impr. nationale (Paris,(lire en ligne),p. 292.
↑ François-Alexandre Aubert de La Chenaye des Bois, page 597 duDictionnaire généalogique, héraldique, chronologique et historique, contenant l'origine et l'état actuel des premières maisons de France, des maisons souveraines et principales de l'Europe ; les noms des provinces, villes, terres, … érigées en principautés, duchés, marquisats, comtés, vicomtés et baronneries ; les maisons éteintes qui les ont possédées, celles qui par héritage, alliance ou achat ou donation du souverain les possèdent aujourd'hui, les familles nobles du royaume et les noms et les armes dont les généalogies n'ont pas été publiés.
↑État des cours de l'Europe et des provinces de France: pour l'année M.DCC.LXXXV, p. 126[2].
↑ Contrat de mariage objet de dispute judiciaire en 1854 dont traite la Gazette des Tribunaux[3].