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Cet article concerne une université française. Pour l'université slovène, voirUniversité du Littoral (Slovénie).
| Fondation |
|---|
| Type | Université |
|---|---|
| Forme juridique | Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel(d) |
| Nom officiel | |
| Président | Edmond Abi-Aad |
| Membre de | l'Alliance A2U (regroupant l'Université d'Artois, l'UPJV et l'ULCO) |
| Site web |
| Étudiants | environ 10 000 |
|---|---|
| Enseignants | 521(2018)[3] |
| Budget | 82 millions d’euros(2017)[2] |
| Pays | |
|---|---|
| Campus |
L'université du Littoral-Côte-d'Opale (abrégée enULCO) est uneuniversité française située dans la région desHauts-de-France. Université multipolaire et inter-départementale, elle est implantée dans quatre villes, àBoulogne-sur-Mer,Calais,Saint-Omer etDunkerque, et dispose dans cette dernière ville de son implantation principale. C’est l'une des six universités de l'académie de Lille[Note 1].
Créé en1991 dans le cadre desuniversités nouvelles à partir d'implantations universitaires plus anciennes, ouvertes à partir de1963, l'établissement intègre lePRESuniversité Lille-Nord-de-France lors de sa création en2009, et passe auxcompétences élargies l'année suivante.
L'établissement dispense des formations dans les domaines des Arts, des Lettres et Langues, du Droit, de l'Économie et la Gestion, des Sciences Humaines et Sociales, des Sciences et Technologies, de la Santé / STAPS à plus de 10 000 étudiants, majoritairement inscrits enpremier cycle.
Ses activités de recherches sont structurées autour de trois pôles de recherche (« Institut des Sciences de la Mer et du Littoral[5] », « Sciences, Technologies et Santé » et « Humanités et TerritoiresIntégrés »[6]) qui coordonnent quatorze laboratoires.

La première délocalisation universitaire de la région a été mise en place par l'université de Lille qui implante en1963 un collège universitaire d'enseignement scientifique àCalais[7]. Un projet de transformer ce collège en université de plein droit est proposé en1971, entre les quartiers de Fort-Nieulay et Blériot, mais reste sans suite à l'époque[8].
La première implantation àCalais est complétée par l'université de Lille 1, l'une des universités ayant succédé à l'université de Lille après sa scission en1970, par l'ouverture d'une formation diplômante deDEUG B en1976. D'autres composantes de cette université délocalisent aussi certains de leurs enseignements, comme l'Institut universitaire de technologie de Béthune qui ouvre un département àCalais en1971, et l'Institut universitaire de technologie de Lille qui ouvre un département àDunkerque. Cette dernière implantation dunkerquoise est complétée en1985 lorsque l'université de Lille I y ouvre une formation deDEUG A. Les différents départements d'IUT sont réunis en1988 en un unique établissement, l'Institut universitaire de technologie du littoral, sous tutelle de l'université Lille-I[7].
Les autres universités lilloises ne commencent à se développer dans la région que pendant la seconde moitié desannées 1980, avec l'ouverture par l'université Lille-III d'unDEUG langues étrangères appliquées en1987 dans les villes deDunkerque et deBoulogne-sur-Mer, et par l'ouverture par l'université Lille-II d'unDEUG en droit en1989 àBoulogne-sur-Mer[7]. L'université Nancy-II et la chambre de commerce de Dunkerque mettent en place l'Institut supérieur du commerce international de Dunkerque[7] en1985[9].

La hausse des effectifs étudiants au milieu desannées 1980 impose aux universités de larégion de revoir leurs dispositifs pour les accueillir, et l’ouverture de nouveaux sites en dehors deLille est étudiée. Un premier rapport est transmis en1988 au recteur de l’académie par les présidents des quatre universités de la région dans le cadre du schéma régional des formations post-baccalauréat, suivi en1990 par une mission conduite par Bordet, Zalta et Garden à la demande deLionel Jospin alors ministre de l'enseignement supérieur[7].
Trois zones sont alors concernées par ces projets, l'une à l'est du département duNord autour de l'université de Valenciennes, et deux autres, dans l'Artois et sur le littoral, qui doivent accueillir deuxuniversités nouvelles[7]. L'établissement qui doit ouvrir sur le littoral est conçu dès le départ autour de quatre pôles d'implantation, certains enseignements étant dupliqués pour être dispensés par différents sites[10]. L'université du Littoral est créée en1991[1], et se met en place à la rentrée1992[7].

L'université doit développer la capacité d’accueil de ses infrastructures lors de ses premières années, et les différents sites d'implantation de l'établissement ne se développent pas à la même vitesse. Les programmes de construction et de réhabilitation de bâtiments s'étalent de1992 à1997[11]. À la rentrée1994, l'université dispose de 49 105 m2 de locaux, dont 35 371 m2 de locaux définitifs. À Boulogne-sur-Mer, 2 257 m2 de locaux définitifs sont disponibles contre 4 889 m2 d'espaces temporaires, à Calais 12 065 m2 de définitifs contre 3 447 m2 de temporaires, à Dunkerque 18 528 m2 de définitifs contre 5 398 m2 de temporaires. SeulSaint-Omer avec ses 2 521 m2 de locaux dispose de tout son espace définitif[12]. Ces surfaces ont ensuite encore augmenté après 1997.
L'établissement développe aussi ses structures d'enseignement :
L'université se joint à d'autres établissements d'enseignement supérieur et de recherche de la région en2009 pour créer lePRESuniversité Lille-Nord-de-France[15]. L'établissement passe aussi aux compétences élargies au[16].
Le président actuel de l'établissement est Edmond Abi-aad, professeur des universités en chimie, ancien vice président recherche. Unique candidat, Edmond Abi-Aad est élu président de l'université le 2 décembre 2024 en ayant recueilli 29 voix sur 33 votants.

Contrairement à l'usage, les activités de l'université ne sont pas organisées sous la forme d'unités de formation et de recherche, mais structurées autour de quatre centres de gestion universitaire (CGU), un par site, et trois pôles de recherche[26]. Par ailleurs, l'établissement comprend un IUT, une école d'ingénieurs et l'Institut supérieur du commerce international de Dunkerque[27]. En 2015, à la demande du Ministère, les départements et les laboratoires sont devenues des composantes à part entière.
L'administration compte seize services, et neuf services communs. Certains de ceux-ci peuvent avoir une activité suffisamment importante en dehors de l'établissement pour avoir une visibilité particulière[28].
L'ULCO dispose d'un institut universitaire de technologie, et de deux écoles qui dispensent enformation initiale etcontinue un enseignement supérieur destiné à préparer aux fonctions d'encadrement technique et professionnel dans certains secteurs de la production, de la recherche appliquée et des services.

Le centre universitaire économie éducation permanente (CUEEP) est le service chargé de laformation continue, de l'apprentissage, et de lavalidation des acquis de l'expérience (VAE). Il est présent sur les sites deBoulogne-sur-Mer, deCalais, et deDunkerque, et est dirigé par Franck Giuliani[32].
Il fonctionne avec une équipe de 56 personnes, et accueille 2 800 stagiaires par an, dont 1 600 adultes à la recherche d'un emploi, 130 jeunes en contrat de professionnalisation dans 31 formations de premier et deuxième cycle universitaire, et 90 étudiants ingénieurs en apprentissage. Un peu plus de 200 personnes ont été diplômées via un VAE entre2002 et2009[33], et à cette date l'établissement délivre une moyenne de 70 VAE par an, dont 80 à 85 % sont des validations totales[34].

Labibliothèque est créée en1991 avec un statut provisoire. Des premiers fonds préexistants sont intégrés aux fonds de la bibliothèque pendant cette période provisoire qui dure jusqu'à la création du service commun de documentation en1999. Pendant cette période sont ouverts les bibliothèques universitaires de Dunkerque en1996, deBoulogne-sur-Mer en1997, et deCalais en1999[35].
La bibliothèque principale de l'université est implantée àDunkerque sur le site du port[13], les fonds étant communs à l’ensemble de l'établissement[35], mais chaque site dispose d'une bibliothèque propre[13]. Ceux-ci comptent en 2015 un total de quelque 139 340 ouvrages, 3 200 documents audiovisuels, et 900 abonnements à des périodiques[36].
La section deBoulogne-sur-Mer dispose de 2 500 m2 et de 280 places assises, ainsi que de collections spécialisées dans lacommunauté européenne, dans l'histoire régionale, et est un relaisINSEE. La section deDunkerque dispose de 3 000 m2 et de 423 places assises, ainsi que de collections spécialisées dans lacartographie, dans labande dessinée, les plats pays, et est un relaisINSEE. La section deCalais dispose de 2 500 m2 et de 200 places assises, ainsi que d'une collection spécialisée dans lascience-fiction. La section deSaint-Omer compte un espace de 280 m2 pour 55 places assises, et dispose d'une collection spécialisée dans la maintenance industrielle[36].
départements duPas-de-Calais et duNord. |
L’université du Littoral est située dans quatre villes différentes de laCôte d'Opale, sur le littoral du Nord de laFrance, au nord et à l'ouest deLille :Dunkerque,Calais,Boulogne-sur-Mer etSaint-Omer.
Le pôle de Saint-Omer comprend plusieurs départements d'IUT, construits en1994[11], ainsi qu'une partie de l'école d'ingénieurs de l'université ouverte en2010 à la suite de l'intégration deEIPC. En 2012, l'Institut supérieur du commerce international de Dunkerque (ISCID) achète l'École supérieure de commerce international du Pas-de-Calais (ESCIP) pour devenir l'Institut supérieur de commerce international de Dunkerque (ISCID-CO), l'école de commerce international de l'ULCO, puis en 2013, l'ESCIP est intégrée officiellement à l'ULCO par un décret ministériel.
Le pôle de Calais est constitué de constructions récentes : l'IUT est inauguré en1987, et l'IUP en1992. Ces derniers se voient rajouter des extensions en1994. La même année, le centre universitaire de la Mi-Voix est inauguré. Les derniers bâtiments de cette phase de construction sont livrés en1997 avec la construction des infrastructures deSTAPS, de l'extension de la Mi-Voix, de la Maison de la Recherche, et de la bibliothèque universitaire[11]. Sur le site de Calais a été implanté le siège de l'Ecole d'Ingénieurs interne à l'ULCO[37].

Le pôle de Boulogne-sur-Mer est étendu sur trois sites :
Ces infrastructures sont complétées par un centre de recherche àWimereux, construit et inauguré en 1998[11], et une salle de sports universitaire dans le quartier Saint-Pierre, inaugurée en 2008[42]. Lepalais impérial de Boulogne-sur-Mer a accueilli la maison de la recherche en sciences humaines de 1998 jusqu'à son déplacement en 2014 dans le centre Saint-Louis. La maison de l'étudiant, située à l'origine rue des Carreaux (bâtiment inauguré fin 1995), a également déménagé à Saint-Louis la même année.
Mi-2018, l'ULCO est associé via une convention à l'ANSES et à son nouveau laboratoire installé sur leport de Boulogne-sur-Mer pour accueillir à la fois des experts et agents de l'ANSES et des scientifiques de l'« Unité de biochimie des produits aquatiques » (unité sous contrat créé en2014 dans l'Anses avec l'ULCO[44]. Le projet« Recherches marines et littorales en Côte d’Opale : des milieux aux ressources, aux usages et à la qualité des produits aquatiques » y associe plus de 20 personnes travaillant à la détection, caractérisation et quantification de polluants, agents pathogènes (micro-organismes et parasites) et de contaminants chimiques (amines biogènes (histamine en particulier), micro- etnanoplastiques,perturbateurs endocriniens, etc. dans la chair des animaux marinsmis sur le marché pour la consommation humaine, en lien avec l'ULCO, via l'unité sous contrat (USC) et en lien avec les autres unités de l'Anses[44].

Le centre universitaire de la Citadelle est construit au début desannées 1990[11] sur le site de la Citadelle de Dunkerque, dans le cadre du programme « Neptune » de réhabilitation de ce quartier de la ville[45]. Les principaux bâtiments sont livrés en1990,1994 et1997. Le centre universitaire Lamartine est construit en deux tranches livrées en1992 et1993. L'année suivante, la Maison de la Recherche en Sciences de l'Homme (MRSH) prend place dans un bâtiment réhabilité sur le quai de la Citadelle[6]. En1996, la Maison de la Recherche en Environnement Industriel (MREI), ainsi que le bâtiment de la présidence et des services administratifs centraux de l’université sont achevés, suivis en1997 par la bibliothèque universitaire, ces deux derniers bâtiments étant des constructions neuves[11].
L'Institut supérieur du commerce international de Dunkerque (ISCID) occupait depuis2010 le bâtiment de l'ancien entrepôt des tabacs de la ville[46] et est ainsi incorporé au centre universitaire de la Citadelle. En 2012, l’Institut supérieur du commerce international de Dunkerque (ISCID) achète l'École supérieure de commerce international du Pas-de-Calais (ESCIP) - située sur le Pôle de Saint-Omer - pour devenir l’Institut supérieur de commerce international de Dunkerque et Côte d'Opale (ISCID-CO[47]). Il s'est déplacé en 2022 dans le centre de Dunkerque au lieu dit "centre Lamartine" sur la place du Général de Gaulle. Les bâtiments, entièrement rénovés en 2021 dans le cadre du plan France Relance[40]
L’université du Littoral propose à la rentrée 2015 un total de 13 mentions delicence[48], 20 mentions de licences professionnelles[49] et 29 mentions de master[50].
Lalicence générale est délivrée dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités. De la même façon, lemaster est délivré dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités et éventuellement en parcours.
Selon une enquête menée en2015 par leministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, 95 % des diplômés de2012 en Droit, Economie et Gestion et 93 % des diplômés en Sciences et Technologies, Santé occupaient un emploi 30 mois après l'obtention de leur diplôme[51].
L’université est partie prenante dans des programmes d’échanges généraux tels qu’Erasmus ouCREPUQ, et est aussi liée à des universités étrangères par des conventions bilatérales. La politique de l’établissement pour la mise en place de ces programmes est de privilégier les relations avec des établissements d’enseignement supérieur présentant des situations géographiques ou socio-économiques similaires. Ces échanges ont concerné 129 étudiants locaux partis en mobilité, et 83 étudiants internationaux accueillis pour l'année2015-2016[34]. L’université entretient en2010 un total de 70 partenariats avec des établissements étrangers[52].
L’université accueille aussi des étudiants étrangers permanents qui visent l’obtention de diplômes français. Pour l'année2015-2016, le nombre de ces étudiants s’élevait à 1 151.
Les activités de recherches de l’université sont effectuées dans quatorze unités de recherche propre, ou dépendant d’autres établissements d’enseignement supérieur de la région. Douze de ces laboratoires sont des équipes d'accueil, et une autre uneunité mixte de recherche liée auCNRS[53]. Ils sont regroupés dans trois principaux axes de recherches : l’axe « Environnement, milieux littoraux et marins », l’axe « Sciences et technologies, santé », et l’axe « Sciences humaines et sociales ». 262 enseignants-chercheurs y travaillent[54].
Laformation doctorale était réalisée dans l’une des sixécoles doctorales ducollège doctoral européen de Lille. En2006, 40 thèses ont été soutenues, et 138 doctorants sont inscrits, dont un peu plus de 40 % d'étrangers, venant majoritairement d’Afrique et d’Asie[55]. Depuis 2019, les doctorants de l'ULCO sont inscrits dans les 2 Ecoles Doctorales co-accréditée pour l’université de Picardie Jules Verne, l’université du Littoral Côte d’Opale et l’université d’Artois (ED 585 STS, ED 586 SHS) dont le périmètre est le périmètre de la coordination territoriale A2U alliant l’université de Picardie Jules Verne (UPJV), l’université du Littoral Côte d’Opale (ULCO) et l’université d’Artois (UA)[56]. En 2023, le nombre de thésards tourne dépasse les 200 étudiants inscrits, dont environ un tiers (71) en Sciences Humaines et Sociales. Par ailleurs, en particulier du fait des accords de collaboration doctorale et du développement des cotutelles avec des universités étrangères (Maroc, Liban, Belgique, Grèce, etc.), moitié des doctorants sont de nationalité étrangère.
L’établissement compte 29 associations étudiantes présentes sur ses différents sites en 2015 et deux maisons de l'étudiant àBoulogne-sur-Mer et àDunkerque. Celles-ci sont principalement des associations structurées autour de filières ou de diplômes[57].
L’université a mis en place un bureau de la vie étudiante en2006, chargé de favoriser les activités de ces associations, et une maison de l’étudiant a été mise en place àBoulogne-sur-Mer, issue d’un accord entre laCommunauté d'agglomération du Boulonnais et l’université. L'établissement finance aussi chaque année depuis2005 une quarantaine de projets portés par ces associations[58].
La participation des étudiants à des activités sportives en dehors de leurs cursus se situe entre 20 et 30 %. Les quatre sites de l’université sont concernés par ces pratiques, et l’établissement concours à ces activités en favorisant les échanges entre le service responsable de sport, le SUAPS, et le département chargé de l’enseignement académique du sport, notamment en mutualisant les équipements et les heures de service des 31 postes affectés[58].
La vie culturelle de l’université est portée par un service dédié, « La Piscine », qui organise chaque année une quarantaine événements. Les activités de ce service sont principalement concentrées sur le site deDunkerque. Il est financé à hauteur de 290 000 € et compte 4,5 postes. L’université compte aussi cinq associations étudiantes opérant sur ce champ, comptant une soixantaine de bénévoles, et opérant sur les sites deDunkerque et deBoulogne-sur-Mer[58].
| 1993 | 1994 | 1995 | 2000 | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 4 804[59] | 6 016[59] | 6 906[59] | 10 833[60] | 11 034[61] | 10 732[62] | 10 930[63] | 11 543[64] | 11 235[65] |
| 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 11 012[66] | 10 196[67] | 9 903[68] | 10 777[69] | 10 848[70] | 10 145[71] | 10 292[72] | 10 071[73] | 9 669[74] |
| 2015 | 2018 | - | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 8 370[75] | 8 848[76] | - | - | - | - | - | - | - |
L'établissement publie en français deux fois par an un journal externe à l’université, « L’Esprit de la Côte ». Il est tiré à 5 000 exemplaires et destiné aux institutions de la région, ainsi qu’aux partenaires académiques de l’université[77]. À l’intérieur de ses locaux, l’établissement utilise « ÉKO » depuis2009, un réseau d’information via des écrans installés dans différents bâtiments, et dont le contenu est publié par le service communication et par des correspondants locaux dans chaque site[78].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
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