Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Union chrétienne-démocrate d'Allemagne

52° 16′ 09″ N, 10° 31′ 16″ E
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirParti chrétien-démocrate etCDU.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour le parti actif en République démocratique allemande, voirUnion chrétienne-démocrate d'Allemagne (RDA).

Union chrétienne-démocrate d'Allemagne
Christlich Demokratische Union Deutschlands
Image illustrative de l’article Union chrétienne-démocrate d'Allemagne
Logotype officiel.
Présentation
PrésidentFriedrich Merz
Fondation
SiègeKonrad Adenauer-Haus
Klingelhöferstraße 8
10785Berlin
Secrétaire généralCarsten Linnemann
Vice-présidentsSilvia Breher (en)
Andreas Jung (en)
Michael Kretschmer
Carsten Linnemann
Karin Prien (en)
Trésorier fédéralJulia Klöckner
Coordinateur fédéralChristoph Hoppe (de)
PositionnementCentre droit[1] àdroite[2]
IdéologieLibéral-conservatisme[3]
Démocratie chrétienne[4]
Affiliation européenneParti populaire européen
Affiliation internationaleInternationale démocrate centriste
Union démocrate internationale
Adhérents371 986(février 2023)[5]
CouleursNoir
Site webcdu.de
Présidents de groupe
BundestagFriedrich Merz(CDU/CSU)
Parlement européenManfred Weber(PPE)
Représentation
Députés
164  / 630
Sénateurs
17  / 69
Députés européens
23  / 96
Ministres-présidents
6  / 16
Députés régionaux
520  / 1893
modifier 

L'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne (enallemand :Christlich Demokratische Union Deutschlands,CDU) est unparti politiqueallemand,démocrate-chrétien,libéral-conservateur et pro-européen fondé en1945.

Se référant aux valeurs de la construction européenne, de la démocratie chrétienne et à l'alliance avec les États-Unis, la CDU est la principale force decentre droit enAllemagne. Elle n'est pas présente sur le territoire de l'État libre de Bavière, où la tendance démocrate-chrétienne est représentée par l'Union chrétienne-sociale (CSU). Au niveau fédéral, on parle donc de laCDU/CSU (enallemand :Unionsparteien).

Au pouvoir entre1949 et1969 avecKonrad Adenauer,Ludwig Erhard etKurt Georg Kiesinger, de1982 à1998 avecHelmut Kohl et de2005 à 2021 avecAngela Merkel, la CDU détient le record de longévité à la direction dugouvernement fédéral. Au niveau fédéral, elle n'a été devancée par les sociaux-démocrates uniquement à trois reprises depuis 1949.

Elle gouverne actuellement lesLänder deBerlin,Hesse,Rhénanie-du-Nord-Westphalie,Saxe,Saxe-Anhalt,Schleswig-Holstein,Thuringe et participe au gouvernement deBade-Wurtemberg avecAlliance 90/Les Verts.

Histoire

[modifier |modifier le code]

Fondation comme parti multiconfessionnel

[modifier |modifier le code]

Fondée en1945 àBerlin et enRhénanie, à la suite de la chute duTroisième Reich, elle s'est organisée entre 1945 et 1949 dans lesLänder deszones d'occupation occidentales. Elle s'est unie au niveau fédéral en 1950. Une partie importante de ses membres (Konrad Adenauer, entre autres) est originaire duZentrum (« Parti du centre »), d'inspirationcatholique, qui continue cependant d'exister. Toutefois, à la différence de celui-ci, elle réunit catholiques etprotestants.

Parti dominant de l'Allemagne de l'Ouest

[modifier |modifier le code]

Préconisant une troisième voie entrecapitalisme etsocialisme inspirée de l'humanisme chrétien, laCDU/CSU remporte lesélections fédérales du 14 août 1949 avec 31 %, soit deux points d'avance sur leParti social-démocrate d'Allemagne (SPD).Konrad Adenauer, président de la CDU, forge alors unecoalition de droite avec leParti libéral-démocrate (FDP) et leParti allemand (DP) majoritaire avec 208 députés sur 402. Le libéralFranz Blücher estvice-chancelier.

Lesélections fédérales du 6 septembre 1953 marquent le triomphe des chrétiens-démocrates et les imposent comme principale force politique ouest-allemande. Adenauer élargit alors sa coalition auBloc des réfugiés (BHE) et accroît son assise parlementaire. Candidat à un troisième mandat lors desélections fédérales du 15 septembre 1957, le chancelier sortant réalise une performance unique dans l'histoire de l'Allemagne fédérale, en remportant 50,2 % des suffrages. Le, le DP est absorbé et laCDU/CSU gouverne seule pendant un an. Auxélections fédérales du 17 septembre 1961, la configuration politique des vingt-cinq prochaines années se met en place : laCDU/CSU recule à 45 % des voix et fonde une « coalition noire-jaune » avec le FDP.

Adenauer contribue à la réinsertion de l'Allemagne sur la scène internationale et notamment européenne, en participant à la création de laCommunauté européenne du charbon et de l'acier puis de laCommunauté économique européenne. Il préside aussi au miracle économique des années 1950 et 1960.

De la grande coalition à l'opposition

[modifier |modifier le code]

Adenauer est contraint à la démission en 1963 et doit céder le pouvoir auministre fédéral de l'ÉconomieLudwig Erhard. Vainqueur desélections fédérales du 19 septembre 1965, il reconduit la coalition avec le FDP. Celle-ci est rompue par les libéraux en, poussant les chrétiens-démocrates à s'associer avec leParti social-démocrate d'Allemagne (SPD). Pour prendre la tête de cette « grande coalition », legroupe parlementaire investit leministre-président du Bade-WurtembergKurt Georg Kiesinger, au détriment de son présidentRainer Barzel et duministre fédéral des Affaires étrangèresGerhard Schröder.

Lors desélections fédérales du 28 septembre 1969, Kiesinger se présente à sa succession. Malgré un bon résultat de 46,1 % des voix, laCDU/CSU est renvoyée dans l'opposition par l'alliance formée entre le SPD et le FDP, appelée « coalition sociale-libérale ». En 1971, Barzel prend la présidence du parti et tente, en 1972, de renverser le gouvernement au moyen d'unemotion de censure constructive. Son échec met en évidence la fragilité de la majorité au pouvoir. Le chancelierWilly Brandt organise la dissolution duBundestag et triomphe auxélections fédérales anticipées du 19 novembre 1972, les sociaux-démocrates passant pour la première fois devant les chrétiens-démocrates.

Exemples d’affiches électorales

[modifier |modifier le code]
  • « Avec Adenauer pour la paix la liberté et l'unité » 1949.
    « Avec Adenauer pour la paix la liberté et l'unité » 1949.
  • « Tous les chemins du marxisme mènent à Moscou ! » 1953.
    « Tous les chemins du marxisme mènent à Moscou ! » 1953.
  • « Restez vigilant ! » 1953.
    « Restez vigilant ! » 1953.
  • « Gardez le cap ! » 1961.
    « Gardez le cap ! » 1961.

Ère Kohl

[modifier |modifier le code]
Siège de la CDU, Berlin.

La double défaite deRainer Barzel l'amène à démissionner de toutes ses fonctions. La présidence du groupe est reprise parKarl Carstens, tandis que leministre-président de la Rhénanie-PalatinatHelmut Kohl est élu président de la CDU. Avec son secrétaire généralKurt Biedenkopf, il entame une profonde réorganisation du parti. Auxélections fédérales du 3 octobre 1976, la CDU réalise le meilleur score de son histoire, mais échoue à revenir au pouvoir du fait du maintien de la coalition SPD-FDP. Trois ans plus tard, Kohl promeut la candidature du nouveauministre-président de la Basse-SaxeErnst Albrecht à la chancellerie, mais le groupe parlementaire lui préfère le président de la CSU etministre-président de la BavièreFranz Josef Strauss.

L'échec de ce dernier auxélections fédérales du 5 octobre 1980 conforte Kohl dans sa stratégie de ramener le parti libéral aucentre droit et renforce sa domination sur le mouvement chrétien-démocrate. Sa tactique fonctionne et le, comme Barzel dix ans auparavant, il présente unemotion de censure constructive, approuvée par leBundestag.

La CDU infléchit alors sa politique dans un sens plus libéral, promouvant une « adaptation du modèle rhénan » à la nouvelle donne économique mondiale. Le chancelier Kohl bénéficie de l'aura que lui apporte la réunification, c’est-à-dire l'intégration de laRépublique démocratique allemande dans le giron fédéral, à la suite de la chute duMur de Berlin en 1989. Néanmoins, le gouvernement doit faire face au coût économique de la réunification et à la montée du chômage. La CDU fusionne en 1990 avecson équivalent est-allemand. En 1990 et 1994, la CDU remporte les élections législatives et Helmut Kohl demeure au poste de chancelier.

Retour dans l'opposition

[modifier |modifier le code]

Mais la CDU est désormais rattrapée par les révélations successives sur l'affaire des caisses noires[6]. Battue en 1998, elle retourne dans l'opposition. Elle accepte de soutenir le président de la CSUEdmund Stoiber pour la course à la chancellerie en 2002, mais il échoue de justesse : leSPD conserve le pouvoir grâce à son alliance avec leparti vert.

Angela Merkel, première chancelière (2005-2021)

[modifier |modifier le code]

Dès lors, la présidente de la CDUAngela Merkel conduit lacampagne de 2005. Mais le tournant qu'elle préconise est jugé trop libéral par nombre de dirigeants du parti. La victoire qui s'annonçait triomphale est finalement plus limitée. La CDU et son alliée la CSU n'arrivent en tête que de justesse, et sont contraintes de conclure une seconde grande coalition avec le SPD pour gouverner et porter Angela Merkel à la chancellerie.

L'alliance va jusqu'au bout de la législature de quatre ans, puis, après lesélections de 2009, cède la place à unecoalition noire-jaune plus classique, toujours conduite par Merkel, secondée par le libéralGuido Westerwelle. Six mois après sa formation, la coalition perd lesélections régionales de 2010 en Rhénanie-du-Nord-Westphalie et sa majorité auConseil fédéral. En 2011,Stefan Mappus,ministre-président duBade-Wurtemberg,Land dirigé par la CDU depuis 1953, est battu par une coalition menée par l'écologisteWinfried Kretschmann.

Lesélections fédérales de 2013 sont un succès pour le parti d'Angela Merkel, qui obtient 41,5 % des voix contre 25,7 % à son principal rival, le SPD. Bien que la CDU/CSU n'obtienne pas la majorité absolue de cinq sièges, elle est en position de force pour constituer le prochain gouvernement[7].

En 2016, les résultats desélections régionales de 2016 en Mecklembourg-Poméranie-Occidentale sont très mauvais pour le parti qui est relégué en troisième position, son pire résultat en Mecklembourg-Poméranie-Occidentale depuis la réunification[8]. Cette défaite du parti au pouvoir est analysée comme un rejet de la « politique d'immigration porte ouverte » d'Angela Merkel[9]. La contestation vis-à-vis de la politique migratoire grandit également au sein du parti à mesure que les contre-performances électorales se poursuivent[10].

La CDU se trouve fortement divisée début 2020 quant à l'attitude à adopter à l'égard de la formation d’extrême droiteAlternative pour l'Allemagne (AfD). EnThuringe, la branche régionale de la CDU s'allie à l'AfD afin de l'emporter face à la gauche, en dépit des directives de la direction nationale du parti, provoquant une controverse dans le pays. Alors qu'Angela Merkel qualifie d'« impardonnable » le comportement de la fédération locale, certains représentants de l'aile droite de la CDU se montrent tentés par une coopération avec l’extrême droite[11].

Dans l'opposition (depuis 2021)

[modifier |modifier le code]

Angela Merkel ne se représente pas lors desélections fédérales de 2021. La CDU/CSU n'obtient que 24 % des voix et n'est plus en mesure de former un gouvernement, par conséquent, le chef du partiArmin Laschet démissionne. Pour la première fois dans l'histoire du parti, les adhérents sont autorisés à voter pour désigner un nouveau chef. Leur choix se porte surFriedrich Merz, tenant d'une ligne "ultralibérale" et conservatrice, qui faisait autrefois figure d'opposant interne à la ligne centriste d'Angela Merkel. Il aura la tâche de diriger l'opposition conservatrice au gouvernement d'Olaf Scholz, qui s’inscrit dans une forme de continuité avec Angela Merkel, dont il fut le ministre des Finances[12].

En février 2025, la CDU collabore avec l'AfD au Bundestag pour faire adopter une motion non contraignante sur la rétention des étrangers sans papiers aux frontières. Il s'agit de la première fois depuis 1945 que le « cordon sanitaire » est rompu en Allemagne. Cet événement provoque d'importantes manifestations à travers l'Allemagne, rassemblant entre 160 000 et 250 000 personnes à Berlin le 2 février, ainsi que plus de 220 000 manifestants la veille dans plusieurs grandes villes du pays[13],[14].

Positionnement politique et idéologie

[modifier |modifier le code]

Christianisme et CDU

[modifier |modifier le code]

Depuis sa fondation, la CDU se réclame du christianisme. Selon leprogramme de Neheim-Hüsten (de) de 1946, la« haute conception du christianisme de la dignité humaine, de la valeur de chaque être humain devait servir de base et de guide (...) dans la vie politique, économique et culturelle », ce qui devait se traduire entre autres par le « droit à la liberté politique et religieuse », la « sécurité juridique pour chacun », la libre activité des femmes et la protection des minorités[15]. Même selon le préambule duprogramme politique de 2007 (de), la CDU s'oriente« vers l'image chrétienne de l'homme et de sa dignité inviolable et, à partir de là, vers les valeurs fondamentales de liberté, de solidarité et de justice »[16].

Politique libérale et pro-américaine

[modifier |modifier le code]

Les grands axes idéologiques de la CDU s'articulent autour dulibéralisme économique, de ladémocratie chrétienne et du soutien auxÉtats-Unis sur les questions de politique extérieure. La pratique du pouvoir par la CDU se caractérise cependant par une certaine élasticité. Le gouvernementMerkel a ainsi aboli leservice militaire, ouvert la voie à la reconnaissance dumariage homosexuel (rejetée par les deux tiers des députés CDU mais approuvée par les élus de gauche et du centre) et entrepris unesortie du nucléaire ; des mesures qui n'ont jamais figuré dans le programme électoral du parti. Intraitable avec laGrèce lors de lacrise de la dette et exigeant d'elle de sévères mesures d'austérité, le gouvernement conservateur a accordé l'asile à des centaines de milliers de réfugiés lors de lacrise migratoire en 2015. Le parti a défendu pendant des décennies une vision conservatrice de la famille et de la société — les femmes devant se tenir à l'écart de la vie politique — avant de porter une femme à la chancellerie en 2005[17].

Position sociale

[modifier |modifier le code]

Pierre Baudry décrit ainsi les évolutions plus récentes de la CDU/CSU :« Les deux partis démocrates-chrétiens, la Christlich-demokratische Union (CDU) et la Christlich-soziale Union (CSU), puisent en effet leur inspiration dans les principes idéologiques de la doctrine sociale de l’Église catholique malgré leur caractère biconfessionnel. Héritière du catholicisme politique apparu dès leXIXe siècle et de l’expérience œcuménique de rapprochement entre protestants et catholiques pendant l’entre-deux-guerres, la CDU/CSU s’est très tôt imposée sur le Zentrum qui fut refondé dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Or, ce qui est saillant pour tout observateur de l’Allemagne des années 2000, ce sont les transformations sociétales importantes qui ont marqué la politique familiale sous Angela Merkel sous l’impulsion de sa ministre de la Famille, Ursula von der Leyen. La question qu’il convient alors de soulever est celle de la mobilisation du référent chrétien et surtout catholique dans un discours et une pratique politique caractérisés par une volonté d’ouverture à de nouveaux modèles familiaux éloignés des schémas conservateurs de l’après-guerre[18]. »

Profil des adhérents et électeurs

[modifier |modifier le code]

Le nombre d'adhérents baisse régulièrement depuis les années 1990, passant de 790 000 en 1990 à 400 000 en 2021[17].

Les adhérents sontcatholiques pour 52% d'entre eux,protestants pour 38%, d'une autre religion pour 1% etathées pour 10%. La CDU est traditionnellement le parti le plus apprécié par lepatronat, lesagriculteurs et lesprofessions libérales[17].

Le parti bénéficie du vieillissement de la population et de la plus grande participation aux élections des personnes âgées. Plus de la moitié de ses adhérents ont plus de 60 ans. Le parti gagne progressivement du terrain auprès des électeurs issus de l’immigration (notamment ceuxoriginaires de Turquie) : en 2018, une étude indiquait que 40% d'entre eux préféraient la CDU-CSU[17].

Au Parlement, la CDU reste peu ouverte aux femmes et aux personnes présentant des origines étrangères. Les femmes ne représentent que 22% de ses députés, contre plus de la moitié pourDie Linke etLes Verts et 44% pour leSPD. Par ailleurs, seuls 3 % de ses députés ont un héritage migratoire, la plus faible représentation de tous groupes politiques au Parlement[17].

Dirigeants et rôle politique

[modifier |modifier le code]

Gouvernements fédéraux avec participation de la CDU

[modifier |modifier le code]

Présidents du parti

[modifier |modifier le code]
NomMandatRemarques
Konrad AdenauerKonrad Adenauer
(20 ans et 22 jours)
Chancelier fédéral(1949-1963)
Ludwig ErhardLudwig Erhard
(1 an et 2 mois)
Ministre fédéral de l'Économie(1949-1963)
Chancelier fédéral(1963-1966)
Kurt Georg KiesingerKurt Georg Kiesinger
(4 ans, 4 mois et 11 jours)
Ministre-président du Bade-Wurtemberg(1958-1966)
Chancelier fédéral(1966-1969)
Rainer BarzelRainer Barzel
(1 an, 8 mois et 8 jours)
Ministre fédéral des Questions pan-allemandes(1962-1963)
Président du groupe CDU/CSU au Bundestag(1964-1973)
Ministre fédéral des Relations intra-allemandes(1982-1983)
Président du Bundestag(1983-1984)
Helmut KohlHelmut Kohl
(25 ans, 4 mois et 26 jours)
Ministre-président de Rhénanie-Palatinat(1969-1976)
Président du groupe CDU/CSU au Bundestag(1976-1982)
Chancelier fédéral(1982-1998)
Wolfgang Schäuble en 2004Wolfgang Schäuble
(1 an, 5 mois et 3 jours)
Directeur de la chancellerie fédérale(1984-1989)
Ministre fédéral de l'Intérieur(1989-1991)
Président du groupe CDU/CSU au Bundestag(1991-2000)
Ministre fédéral de l'Intérieur(2005-2009)
Ministre fédéral des Finances(2009-2017)
Président du Bundestag(2017-2021)
Angela Merkel chancellière d'Allemagne. Photo prise la veille du jour ou elle a reçu le Prix international Charlemagne d'Aix-la-Chapelle.Angela Merkel
(18 ans, 7 mois et 27 jours)
Ministre fédérale des Femmes et de la Jeunesse(1991-1994)
Ministre fédérale de l'Environnement(1994-1998)
Secrétaire générale de la CDU(1998-2000)
Présidente du groupe CDU/CSU au Bundestag(2002-2005)
Chancelière fédérale(2005-2021)
Annegret Kramp-Karrenbauer en 2017Annegret Kramp-Karrenbauer
(2 ans, 1 mois et 9 jours)
Ministre-présidente de Sarre(2011-2018)
Secrétaire générale de la CDU(2018)
Ministre fédérale de la Défense(2019-2021)
Armin Laschet en 2018Armin Laschet
(1 an et 6 jours)
Ministre-président de Rhénanie-du-Nord-Westphalie(2017-2021)
Friedrich Merz en 2019Friedrich MerzDepuis le
(3 ans, 10 mois et 5 jours)
Président du groupe CDU/CSU au Bundestag(2000-2002, 2022-2025)
Chancelier fédéral(2025-)

Secrétaires généraux

[modifier |modifier le code]
NomPrésidentMandatRemarques
Bruno Heck en 1971Bruno HeckKurt Georg Kiesinger
(4 ans, 4 mois et 12 jours)
Ministre fédéral de la Famille(1962-1968)
Konrad Kraske en 1972Konrad Kraske (de)Rainer Barzel
(1 an, 8 mois et 7 jours)
Député fédéral(1965-1980)
Kurt Biedenkopf en 1989Kurt BiedenkopfHelmut Kohl
(3 ans, 8 mois et 23 jours)
Ministre-président de la Saxe(1990-2002)
Heiner Geißler en 1987Heiner Geissler
(12 ans, 6 mois et 4 jours)
Ministre des Affaires sociales de la Rhénanie-Palatinat(1967-1977)
Ministre fédéral de la Famille(1982-1985)
Volker RüheVolker Rühe
(2 ans, 8 mois et 2 jours)
Ministre fédéral de la Défense(1992-1998)
Peter HintzePeter Hintze
(6 ans, 5 mois et 25 jours)
Secrétaire d'État au ministère fédéral des Femmes(1991-1992)
Secrétaire d'État au ministère fédéral de l'Économie(2005-2013)
Vice-président du Bundestag(2013-2016)
Angela Merkel en 2008Angela MerkelWolfgang Schäuble
(1 an, 5 mois et 3 jours)
Ministre fédérale des Femmes et de la Jeunesse(1991-1994)
Ministre fédérale de l'Environnement(1994-1998)
Présidente fédéral de la CDU(2000-2018)
Présidente du groupe CDU/CSU au Bundestag(2002-2005)
Chancelière fédérale(2005-2021)
Ruprecht Polenz en 2012Ruprecht Polenz (en)Angela Merkel
(6 mois et 13 jours)
Député fédéral(1994-2013)
Laurenz Meyer en 2009Laurenz Meyer
(4 ans, 1 mois et 2 jours)
Vice-président du Landtag de Rhénanie-du-Nord-Westphalie(2000)
Député fédéral(2000-2009)
Volker Kauder en 2013Volker Kauder
(10 mois et 11 jours)
Président du groupe CDU/CSU au Bundestag(2005-2018)
Ronald Pofalla en 2007Ronald Pofalla
(3 ans, 10 mois et 21 jours)
Directeur de la chancellerie fédérale(2009-2013)
Hermann Gröhe en 2010Hermann Gröhe
(4 ans, 1 mois et 20 jours)
Président fédéral de la Junge Union(1989-1994)
Ministre d'État à la chancellerie fédérale(2008-2009)
Ministre fédéral de la Santé(2013-2018)
Peter TauberPeter Tauber
(4 ans, 2 mois et 10 jours)
Député fédéral(2009-2021)
Annegret Kramp-KarrenbauerAnnegret Kramp-Karrenbauer
(9 mois et 11 jours)
Ministre-présidente de Sarre(2011-2018)
Présidente fédéral de la CDU(2018-2021)
Ministre fédérale de la Défense(2019-2021)
Paul Ziemiak en 2018Paul ZiemiakAnnegret Kramp-Karrenbauer
(3 ans, 1 mois et 14 jours)
Président fédéral de la Junge Union(2014-2018)
Armin Laschet
Mario Czaja en 2017Mario CzajaFriedrich Merz
(1 an, 5 mois et 20 jours)
Député fédéral(depuis 2021)
Carsten Linnemann en 2018Carsten LinnemannDepuis le
(2 ans, 4 mois et 15 jours)
Député fédéral(depuis 2009)

Commissaire européens issus de la CDU

[modifier |modifier le code]
  • Walter Hallstein : Président (1958-1967)
  • Fritz Hellwig : Vice-président, Recherche et énergie nucléaire (1967-1970)
  • Karl-Heinz Narjes (de) : Marché intérieur, Industrie, Union douanière, Environnement, Protection du consommateur et Sécurité nucléaire (1981-1985), Vice-président, Politique industrielle, Recherche et Innovation (1985-1988)
  • Günther Oettinger : Énergie (2010-2014), Économie et société numériques (2014-2017), Budget et Ressources humaines (2017-2019)
  • Ursula von der Leyen : Présidente (depuis 2019)

Résultats électoraux

[modifier |modifier le code]

Bundestag

[modifier |modifier le code]
AnnéeCandidat à la chancellerieVoixMandatsRangGouvernement
1949Konrad Adenauer25,2 %
117  / 410
2eAdenauerI
195336,4 %
191  / 487
1erAdenauerII
195739,7 %
215  / 497
1erAdenauerIII
196135,8 %
192  / 496
2eAdenauerIV(1961-1962) etV(1962-1963),ErhardI(1963-1965)
1965Ludwig Erhard38,0 %
196  / 496
2eErhardII(1965-1966),Kiesinger(1966-1969)
1969Kurt Georg Kiesinger36,6 %
193  / 496
2eOpposition
1972Rainer Barzel35,2 %
177  / 496
2eOpposition
1976Helmut Kohl38,0 %
190  / 496
2eOpposition
1980Franz Josef Strauß34,2 %
174  / 519
2eOpposition(1980-1982),KohlI(1982-1983)
1983Helmut Kohl38,1 %
191  / 520
2eKohlII
198734,4 %
174  / 519
2eKohlIII
199036,7 %
268  / 662
1erKohlIV
199434,2 %
244  / 672
2eKohlV
199828,4 %
198  / 669
2eOpposition
2002Edmund Stoiber29,5 %
190  / 603
2eOpposition
2005Angela Merkel27,8 %
180  / 614
2eMerkelI
200927,3 %
194  / 622
1erMerkelII
201334,1 %
255  / 631
1erMerkelIII
201726,8 %
200  / 709
1erMerkelIV
2021Armin Laschet18,9 %
152  / 736
2eOpposition
2025Friedrich Merz22,6 %
164  / 630
1erMerz

Parlement européen

[modifier |modifier le code]

Ne sont pas ici pris en compte les résultats de la CSU.

Année%SiègesRangGroupeTête de liste
197939,1
34  / 78
2ePPE
198437,5
34  / 78
1erPPE
198929,5
24  / 78
2ePPE
199432,0
39  / 99
2ePPE-DE
199939,3
43  / 99
1erPPE-DE
200436,5
40  / 99
1erPPE-DE
200930,7
34  / 99
1erPPEHans-Gert Pöttering
201430,0
29  / 96
1erPPEDavid McAllister
201922,6
23  / 96
1erPPEManfred Weber
202423,7
23  / 96
1erPPEManfred Weber

Parlements régionaux

[modifier |modifier le code]
Représentation actuelle de la CDU dans les Länder
  • à la tête du gouvernement
  • membre de la coalition gouvernementale
  • dans l'opposition

Bade-Wurtemberg[19]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPositionGouvernement
198053,35
68  / 124
1erSpäthII
198451,87
68  / 126
1erSpäthIII
198849,05
66  / 125
1erSpäthIV(1988-1991),TeufelI(1991-1992)
199239,60
64  / 146
1erTeufelII
199641,27
69  / 155
1erTeufelIII
200144,80
63  / 128
1erTeufelIV(2001-2005),OettingerI(2005-2006)
200644,15
69  / 139
1erOettingerII(2006-2010),Mappus(2010-2011)
201139,01
60  / 138
1erOpposition
201627,00
42  / 143
2eKretschmannII
202124,06
42  / 154
2eKretschmannIII

Basse-Saxe

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPositionGouvernement
198250,7
87  / 171
1erAlbrechtIV
198644,3
69  / 155
1erAlbrechtV
199042,0
67  / 155
2eOpposition
199436,4
67  / 161
2eOpposition
199835,9
62  / 157
2eOpposition
200348,3
91  / 183
1erWulffI
200842,5
68  / 152
1erWulffII(2008-2010),McAllister(2010-2013)
201336,0
54  / 137
1erOpposition
201733,6
50  / 137
2eOpposition
202228,07
47  / 146
2eOpposition

Berlin[20]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
200123,76
35  / 141
2e
200621,35
37  / 149
2e
201123,4
39  / 149
2e
201617,62
31  / 160
2e
202118,06
30  / 147
3e
202328,23
52  / 159
1er

Brandebourg[21]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199029,40
27  / 88
2e
199418,72
18  / 88
2e
199926,55
25  / 89
2e
200419,43
20  / 88
3e
200919,79
19  / 88
3e
201422,97
21  / 88
2e
201915,57
15  / 88
3e

Brême[22]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199130,7
32  / 100
2e
199532,6
37  / 100
2e
199937,1
42  / 100
2e
200329,8
29  / 83
2e
200725,6
23  / 83
2e
201120,4
20  / 83
3e
201522,4
20  / 83
2e
201926,7
24  / 84
1er
202326,2
24  / 87
2e

Hambourg[23]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
200126,2
33  / 121
2e
200447,2
63  / 121
1er
200842,6
56  / 121
1er
201121,9
28  / 121
2e
201515,9
20  / 121
2e
202011,2
15  / 121
3e

Hesse[24]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
200348,8
56  / 110
1er
200836,8
42  / 110
1er
200937,2
46  / 118
1er
201338,3
47  / 110
1er
201827,0
40  / 137
1er
202334,6
52  / 133
1er

Mecklembourg-Poméranie-Occidentale[25]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199038,3
29  / 66
1er
199437,7
30  / 71
1er
199830,2
24  / 71
2e
200231,4
25  / 71
2e
200628,8
22  / 71
2e
201123,0
18  / 71
2e
201619,0
16  / 71
3e
202113,3
12  / 79
3e

Rhénanie-du-Nord-Westphalie[26]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
200037,0
88  / 231
2e
200544,8
89  / 187
1er
201034,6
67  / 181
1er
201226,3
67  / 237
2e
201733,0
72  / 199
1er
202235,71
76  / 195
1er

Rhénanie-Palatinat[27]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199638,7
41  / 101
2e
200135,3
38  / 101
2e
200632,8
38  / 101
2e
201135,2
41  / 101
2e
201631,8
35  / 101
2e
202127,67
31  / 101
2e

Sarre[28]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199945,5
26  / 51
1er
200447,5
27  / 51
1er
200934,5
19  / 51
1er
201235,2
19  / 51
1er
201740,7
24  / 51
1er
202228,55
19  / 51
2e

Saxe[29]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199053,8
92  / 160
1er
199458,1
77  / 120
1er
199956,9
76  / 120
1er
200441,1
55  / 124
1er
200940,2
58  / 132
1er
201439,0
59  / 126
1er
201932,1
45  / 119
1er
202431,9
41  / 120
1er

Saxe-Anhalt[30]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199039,00
48  / 106
1er
199434,39
37  / 99
1er
199822,02
28  / 116
2e
200237,3
48  / 115
1er
200636,2
40  / 97
1er
201132,5
41  / 105
1er
201629,8
30  / 87
1er
202137,12
40  / 97
1er

Schleswig-Holstein[31]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
200035,2
33  / 89
2e
200540,2
30  / 69
1er
200931,5
34  / 95
1er
201230,8
22  / 69
1er
201732,0
25  / 73
1er
202243,39
34  / 69
1er

Thuringe[32]

[modifier |modifier le code]
Année%SiègesPosition
199045,4
44  / 89
1er
199442,6
42  / 88
1er
199951,0
49  / 88
1er
200443,0
45  / 88
1er
200931,2
30  / 88
1er
201433,5
34  / 91
1er
201921,7
21  / 90
3e
202423,6
23  / 88
2e

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. HenrikUterwedde, « Les programmes de la CDU et du SPD : convergences de fond »,Regards sur l'économie allemande. Bulletin économique du CIRAC,no 84,‎1er décembre 2007,p. 5–12(ISSN 1156-8992,DOI 10.4000/rea.529,lire en ligne, consulté le).
  2. Rachel Knaebel, « La CDU, ou la droite allemande élastique »,Le Monde diplomatique,‎(lire en ligne, consulté le).
  3. (en) Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe », surparties-and-elections.eu(consulté le).
  4. Jean-LouisGeorget, « La démocratie-chrétienne au lendemain de son triomphe : les ambiguïtés d’une incontestable victoire »,Allemagne d'aujourd'hui,vol. 206,no 4,‎,p. 88(ISSN 0002-5712 et2551-9409,DOI 10.3917/all.206.0088,lire en ligne, consulté le).
  5. (de) « Herbe Verluste: SPD und CDU sterben die Parteimitglieder weg », surmerkur.de,(consulté le).
  6. Nathalie Versieux, « Les caisses noires de la CDU »,L'Express,no 16 décembre,‎(lire en ligne)
  7. Nicolas Barotte, « Angela Merkel en quête d'une coalition »,Le Figaro,‎,p. 6.
  8. « Allemagne : le parti d'Angela Merkel vaincu par les populistes », surlefigaro.fr,.
  9. (en) « German voters are rejecting open-door immigration policies. When will Angela Merkel start listening? », surtelegraph.co.uk,.
  10. NicolasBarotte, « Migrants : Merkel face à la défiance des électeurs allemands », surLe Figaro,(consulté le).
  11. « Le parti de Merkel dans la tourmente face à l'extrême droite », surOrange Actualités,
  12. « Allemagne : les quatre défis de l’ultralibéral Friedrich Merz à la tête de la CDU »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne)
  13. « A Berlin, plus de 160 000 personnes se sont rassemblées pour dénoncer le rapprochement entre la droite et l’extrême droite »Accès libre, surLe Monde,(consulté le)
  14. « Pourquoi l'alliance entre droite et extrême droite sur l'immigration ouvre une nouvelle ère politique en Allemagne »Accès libre, surFrance Inter,(consulté le)
  15. (de) Comité de zone de la CDU de lazone britannique,Programme de Neheim-Hüsten,vol. 2/201,, 3 p.(lire en ligne[PDF]),chap. 16-1
  16. (de) « Liberté et sécurité. Grundsätze für Deutschland »,
  17. abcd eteRachelKnaebel, « La CDU, ou la droite allemande élastique », surLe Monde diplomatique,
  18. PierreBaudry, « La CDU/CSU sous Merkel, des partis en phase de modernisation ? Les conservateurs allemands, la politique familiale et les enjeux de genre »,Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande,vol. 50,nos 50-1,‎,p. 131–143(ISSN 0035-0974,DOI 10.4000/allemagne.647,lire en ligne, consulté le)
  19. « Wahlergebnisse – Baden-Württemberg (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  20. « Wahlergebnisse – Berlin (Abgeordnetenhauswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  21. « Wahlergebnisse – Brandenburg (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  22. « Wahlergebnisse – Bremen (Bürgerschaftswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  23. « Wahlergebnisse - Hamburg (Bürgerschaftswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  24. « Wahlergebnisse – Hessen (Landtagswahl 2018 und bisherige Landtagswahlen) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  25. « Wahlergebnisse – Mecklenburg-Vorpommern (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  26. « Wahlergebnisse – Nordrhein-Westfalen (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  27. « Wahlergebnisse – Rheinland-Pfalz (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  28. « Wahlergebnisse – Saarland (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  29. « Wahlergebnisse – Sachsen (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  30. « Wahlergebnisse – Sachsen-Anhalt (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  31. « Wahlergebnisse – Schleswig-Holstein (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)
  32. « Wahlergebnisse – Thüringen (Landtagswahl) », surwww.wahlrecht.de(consulté le)

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Partis représentés auBundestag
Autres partis, représentés auParlement européen
Autres partis, représentés au sein d'unLandtag
Autre partis, sans représentation au-delà du niveau local
Politique en Allemagne

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Union_chrétienne-démocrate_d%27Allemagne&oldid=228702659 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp