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Tsarat de Russie

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Pour les articles homonymes, voirRussie (homonymie).

15471721
(174 ans)

Drapeau
Drapeau
Blason
Armoiries
Description de cette image, également commentée ci-après
Le tsarat de Russie (en vert) vers 1700.
Informations générales
StatutMonarchie absolue
CapitaleMoscou (1547-1703)
Saint-Pétersbourg (1703-1721)
Langue(s)Russe
ReligionOrthodoxie russe
MonnaieRouble
Histoire et événements
Couronnement d'Ivan IV
Proclamation de l'Empire parPierreIer
Tsar de Russie
(1er)-Ivan IV
(2e)-FédorIer
(13e)-Pierre Ier

Entités précédentes :

Entités suivantes :

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Letsarat de Russie (enrusse :Царство Русское,Tsarstvo Rousskoïe), outsarat de Moscou (Московское царство,Moskovskoïé tsarstvo), ou encoreroyaume de Russie, fut lerégime politique en vigueur enRussie de 1547 à 1721.

Lagrande-principauté de Moscou et son expansion territoriale auxXIVe et XVe siècles, en prélude au tsarat de Russie.

« Tsarat », « knésat » ou « État » ?

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La terminologierusse emploie pour cette période les dénominations de Русское царство (« Tsarat russe »), Русское князьство (« Knésat russe ») ou Ру́сское госуда́рство (État russe) selon que l'auteur se réfère au titre detsar acquis par lessouverains russes au début duXVIe siècle, à celui deknèze qu'ils avaient antérieurement, ou bien simplement à l'histoire de la Russiemoscovienne avant l'Empire[1],[2]. La montée en puissance de lagrande-principauté de Moscou en train de rassembler sous son sceptre les autresÉtats russes (d'où le titre detsar de toutes les Russies) amena les princes moscovites à se poser en successeurs desempereurs byzantins, leur capitale prenant la suite de la « deuxième Rome »Constantinople pour devenir la « Troisième Rome »[3]. À cet effet,Ivan III avait épouséSophie Paléologue, nièce dudernier empereur byzantin, et la cour de Moscou adopta le cérémonial byzantin, les rituels, les titres et l'aigle bicéphale qui figure à nouveau sur les armoiries de laRussie depuis ladislocation de l'URSS.

Début du règne d'Ivan IVle Terrible

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Ivan IV devintgrand-prince de Moscou en 1533 à l'âge de3 ans. Lesfamilles Chouiski et deBelski étaient rivales pour le contrôle de larégence jusqu'à l'accession au trône d'Ivan IV en 1547. Il fut couronnétsar (« césar ») selon un rituel inspiré par celui desempereurs byzantins. Avec l'aide deboyards (nobles), il commença son règne, dans lesannées 1550, par la promulgation d'un nouveau code juridique, et une réorganisation de l'armée et de l'administration locale. Puis il œuvra pour que lepatriarcat œcuménique de Constantinople reconnaissecelui de Moscou comme « patriarcatautocéphale de toutes les Russies », en s'appuyant sur l'argumentation dePhilothée de Pskov qui avait fait valoir que depuis lachute de Constantinople aux mains de l'Empire ottoman en 1453 et la soumission desprincipautés danubiennes dont leshospodars durent payertribut ausultan turc, le tsar de Russie restait le seul monarqueorthodoxe souverain, et le seul défenseur légitime deschrétiens orthodoxes.

Ivan IV fut surnomméle Terrible : bien qu'intelligent et énergique, il souffrait de crises de paranoïa et de dépressions, et son règne fut ponctué par des actes de violence. Mais il acquit ainsi un statut international pour son État, désormais reconnu comme « Tsarat » et puissance à part entière, même si des commentateurs occidentaux le classaient encore parmi les « États grecs »[4].

La politique étrangère d'Ivan IVle Terrible

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La Russie était une société peu connue enEurope occidentale jusqu'à ce que le baronSigismond de Herberstein publie, en 1549, sesRerum Moscoviticarum Commentarii (littéralementNotes sur les affaires moscovites). Dans lesannées 1630, le tsarat russe fut visité parAdam Olearius, dont les écrits furent traduits et diffusés dans toutes les principales langues d'Europe.

De plus amples informations sur la Russie furent diffusées par des marchands anglais et néerlandais. L'un d'entre eux,Richard Chancellor, navigua enmer Blanche en 1553 et par voie de terre continua jusqu'àMoscou. À son retour enAngleterre en 1554, laCompagnie de Moscovie fut formée par unecharte de franchises signée par le roiPhilippe II et la reineMarieIre. Ivan IV utilisa ces marchands pour échanger des lettres avecÉlisabethIre.

Trône d'ivoire d'Ivan IV.

Malgré les troubles intérieurs de 1530 à 1540, la Russie continua son expansion militaire. Ivan vainquit et annexa lekhanat de Kazan en 1552 et un peu plus tard, lekhanat d'Astrakhan. Ces victoires transformèrent la Russie en un État pluri-ethnique et multi-confessionnel. Le pays s'étendait alors tout le long de laVolga avec un accès facilité à laSibérie et à l'Asie centrale.

L'expansion vers lamer Baltique s'avérait beaucoup plus difficile car cette région était aux mains d'états prospères, bien armés et puissants :Union polono-lituanienne,Suède etDanemark. En 1558, Ivan envahit laLivonie par laguerre de Livonie qui dura vingt-cinq ans. En dépit de succès occasionnels, l'armée d'Ivan fut repoussée ce qui ne lui permit pas d'avoir une position stable sur la mer Baltique.

Dans l'espoir de tirer profit des difficultés de laguerre de Livonie, lekhan tatar deCrimée,DevletIer Giray, envahit le Tsarat de Russie avec pas moins de 120 000 cavaliers, s'aventurant jusque dans la région deMoscou. À labataille de Molodi il subit une défaite qui mit un terme à ses incursions vers le nord, mais pendant des décennies, laHorde Nogaï et lekhanat de Crimée menèrent des raids et des pillages sur la Russie, pour leurcommerce d'esclaves.

L'opritchnina

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Article détaillé :Opritchnina.

Ivan développa une hostilité à l'égard de ses conseillers, du gouvernement, et desboyards. En 1565, la Russie fut divisée en deux parties : son domaine privé (l'opritchnina) et leziemchtchina, les régions qui conservent leurs anciennes administrations. Pour son domaine privé, Ivan choisit quelques-uns des plus prospères et des importants districts de la Russie, en essayant de réduire l'influence des boyards dans ces zones. Des commerçants, et des gens communs furent exécutés ou eurent leurs terres et leurs biens confisqués. Cette décennie de terreur aboutit en 1570 aumassacre de Novgorod.

À la suite de la politique de l'opritchnina, Ivan avait brisé le pouvoir économique et politique des principales familles de boyards, ce qui avait réduit le nombre de personnes capables de gérer et d'organiser le tsarat. Le commerce déclina, et les paysans, confrontés à d'importantes taxes et à des menaces de violence, quittèrent la Russie. La mobilité des paysans fut réduite en les liant à leurs terres par le biais duservage. En 1572, Ivan abandonna finalement la politique d'opritchnina.

Les temps des troubles

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Article détaillé :Temps des troubles (Russie).
Carte du tsarat de Russie des années 1590.

Ivan IV eut pour successeur son filsFédorIer, qui était mentalement déficient. Le boyardBoris Godounov dirigea le pays à sa place, il est notamment connu pour avoir supprimé la possibilité pour les serfs de changer de propriétaires et de terres, pendant deux semaines à la fin novembre. L'événement le plus important du règne de Fédor Ier fut la proclamation dupatriarcat de Moscou en 1589. La création du patriarcat marque le point culminant de l'évolution distincte et indépendante de l'Église orthodoxe russe.

En 1598, Fédor mourut sans héritier, mettant fin à la dynastie desRiourikides. Boris Godounov convoqua alors uneZemski sobor, une assemblée de boyards, de représentants de l'église et de roturiers, qui le proclamatsar. Des mauvaises récoltes à grande échelle entraînèrent unefamine entre 1601 et 1603 et créèrent un mécontentement qui favorisa l'arrivée au pouvoir de l'usurpateurDimitri II, qui prétendait être le fils d'Ivan IV, mort en 1591. Il gagna le soutien de la Pologne et marcha vers Moscou, en récupérant un certain nombre de boyards à ses côtés durant cette marche. Dimitri II fut couronné tsar en 1605, à la suite de l'assassinat du tsarFédor II, fils deBoris Godounov.

Après uneguerre civile et l'intervention des puissances régionales de la Pologne et de la Suède, et à la suite d'un soulèvement populaire mené parIvan Bolotnikov, Dimitri II et sa garnison polonaise furent renversés parVassili IV Chouiski, qui fut proclamé tsar en 1606. Pour conserver le trône, Vassili IV s'allia avec les Suédois durant laguerre d'Ingrie. Unsecond faux Dimitri, allié aux Polonais, parut et marcha vers Moscou avant de s'installer dans la localité deTouchino.

En 1609, la Pologne intervint dans les affaires de la Russie, capturaVassili IV Chouiski et occupa leKremlin de Moscou. Un groupe de boyards de Russie signèrent en 1610 un traité de paix, en reconnaissantLadislas IV Vasa, fils du roiSigismond III de Pologne, comme le tsar de Russie. En 1611, un nouvel usurpateur,Dimitri III, apparut sur le territoire russe occupé par les Suédois mais fut rapidement arrêté et exécuté. La présence polonaise conduisit à un renouveau patriotique parmi les Russes, et une armée de volontaires financée par lafamille Stroganoff fut formée àNijni Novgorod et commandée par le princeDmitri Pojarski etKouzma Minine. Cette armée chassa les Polonais hors du Kremlin, et en 1613, uneZemski sobor proclama tsar le boyardMichelIer de Russie, ce qui marqua le début de la dynastie desRomanov.

Pendant le temps des troubles, 80 % des terres autour deMoscou et deNovgorod sont désertes ou en friches. Les serviteurs de l’État profitent de ces désertions pour accroître leurs propriétés et surtout transformer le domaine viager (votchina) en fief héréditaire (pomestie), s’efforçant de faire tomber les tenanciers en servage.

Les Romanov

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Le tsarMichel Ier à la session deDouma.

La nouvelle dynastie avait pour principale préoccupation de rétablir l'ordre et la sécurité militaire du pays. Ses principaux ennemis, larépublique des Deux Nations et laSuède, étant en conflit, la Russie profita de l'occasion pour signer une paix avec la Suède en 1617. Laguerre polono-russe (1605-1618) prit fin, elle, par letraité de Deulino en 1618, qui reconnaissait à la république des Deux Nations le contrôle deSmolensk et deTchernihiv qu'avait perdu legrand-duché de Lituanie en 1509.

Le début de ladynastie des Romanov est marqué par une relative faiblesse de ses dirigeants. Sous le règne deMichelIer de Russie, les affaires furent prises en main par son père :Fédor Romanov, devenu en 1619 lepatriarche de Moscou. Plus tard, le fils de MichelIerAlexisIer de Russie s'appuya sur un boyard,Boris Morozov, pour l'aider à gouverner, mais provoqua par une trop forte pression fiscale laRévolte du Sel.

Après une tentative infructueuse pour reprendreSmolensk à la Pologne en 1632, la Russie fit la paix avec celle-ci en 1634. Le roi de PologneLadislas IV Vasa, dont le père et le prédécesseurSigismond III de Pologne avait été élutsar par les boyards, durant leTemps des troubles, renonça par ce traité à toute prétention sur ce titre.

Le code de 1649

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AuXVIIe siècle, la bureaucratie moscovite s'élargit considérablement. Le nombre deministères passa de vingt-deux en 1613 à quatre-vingts au milieu du siècle. Bien que les ministères avaient souvent des chevauchements de compétence, le gouvernement central, à travers lesgouverneurs de province, fut en mesure de contrôler et de réglementer tous les groupes sociaux, ainsi que le commerce, l'artisanat, et même de l'Église orthodoxe.

LeSobornoye Ulozheniye, un code juridique détaillé mis en place en 1649, illustrait l'ampleur du contrôle de l'État sur la société russe. À cette époque, les boyards s'étaient largement transformés enofficiers de l'État, pour former une nouvelle noblesse, ladvoryanstvo. Depuis plus d'un siècle, l'État avait progressivement réduit les droits des paysans qui leur permettaient de changer de propriétaire, et leSobornoye Ulozheniye officialisa ce statut deserf pour toute une partie de la paysannerie.

De nouvelles lois sanctionnèrent les serfs qui fuyaient leurboyard, qui avait un pouvoir absolu sur ses paysans. Ceux qui vivaient sur les terres de l'État ou des monastères n'étaient cependant pas considérés comme des serfs : ils étaientorganisés en communes, qui étaient responsables des impôts et d'autres obligations. Comme des serfs, cependant, les paysans d'État étaient attachés à la terre qu'ils cultivaient. Les petitscommerçants et lesartisans avaient aussi une interdiction de changer de résidence. Tous les segments de la société étaient aussi soumis à des cotisations militaires et à des impôts à merci. En obligeant une grande partie de la population russe à ne pas changer de domicile, le code légal de 1649 restreignit leur mobilité pour les obliger à se soumettre à l'autorité de l'État.

Une ambassade russe à Londres, 1662.

Ce code par l'augmentation des impôts de l'État et ces obligations exacerba le mécontentement qui couvait depuis leTemps des troubles. Dans les années 1650 et 1660, le nombre d'évasions de paysans augmenta de façon spectaculaire, notamment vers leDon où étaient situés lescosaques du Don. Un soulèvement se produisit dans la région de laVolga en 1670 et en 1671.Stenka Razine, un cosaque qui était originaire de la région du Don, mena une révolte aidé de Cosaques et de serfs échappés. Le soulèvement toucha la vallée de laVolga et menaça mêmeMoscou. Les troupes tsaristes finirent par défaire la rébellion.

Extension en Ukraine

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La Russie continua son expansion territoriale auXVIIe siècle, notamment dans l'est de l'Ukraine (terme signifiant « marche frontalière »), auparavant contrôlé par larépublique des Deux Nations. LesZaporogues, des cosaques organisés en formations militaires, vivaient dans cette zone frontière entre laPologne, lekhanat de Crimée et la Russie. Bien qu'ils aient servi dans l'armée polonaise en tant que mercenaires, ces Cosaques zaporogues étaient restés autonomes et s'étaient rebellés un certain nombre de fois contre lanoblesse polonaise. En 1648, des paysans d'Ukraine rejoignirent les Cosaques durant lesoulèvement de Khmelnitski, essentiellement à cause de l'oppression sociale et religieuse polonaise. LesUkrainiens s'étaient alliés auxTatars de Crimée pour les aider contre la république des Deux Nations, cependant les Polonais réussirent à convaincre les Tatars de se joindre à eux, ce qui poussa les cosaques ukrainiens à demander une aide extérieure.

En 1654, sous le règne d'AlexisIer de Russie, le chef ukrainienBogdan Khmelnitski, fit passer l'Ukraine centrale sous protectorat russe par letraité de Pereïaslav, ce qui conduisit à unelongue guerre entre la Pologne et la Russie. Latrêve d'Androussovo mit fin au conflit en 1667 et divisa l'Ukraine en deux le long duDniepr, larive droite restant dans la république des Deux Nations et larive gauche passant sous le contrôle de l'Hetmanat cosaque sous suzeraineté du tsarat de Russie.

Le Raskol

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Article détaillé :Raskol.

L'expansion vers le sud-ouest de la Russie, en particulier avec l'incorporation de l'Est de l'Ukraine, avait eu pour conséquences l'introduction de courants intellectuelshumanistes. Grâce à l'Académie de Kiev, la Russie fut influencée par la Pologne et influença à son tour le reste du monde orthodoxe. Cela stimula la créativité dans de nombreux domaines, tout en transformant les pratiques religieuses traditionnelles de Russie, ainsi que sa culture. L'Église orthodoxe russe découvrit que son éloignement par rapport àConstantinople avait entraîné des variations entre leurs pratiques religieuses.

Le patriarche orthodoxe russe,Nikôn de Moscou était déterminé à mettre les textes et les pratiques russes en conformité avec les textes et pratiques grecs, mais aussi avec les sciences, notamment dans le domaine ducalendrier. Cependant, Nikôn se heurta à une ferme opposition religieuse et sociale qui prit ces corrections pour une entorse inadmissible aux traditions et à la foi orthodoxe russe. En1667, quand les réformes de Nikon furent promulguées, unschisme se produisit : ceux qui n'acceptaient pas ces réformes furent désignés comme « vieux croyants ». Les autorités ecclésiastiques déclarèrent ce courant « hérétique » : il fut violemment persécuté par l'Église et l'État, en commençant par son porte-parole, l'archiprêtreAvvakoum qui fut mis au bûcher en1682. Mais le schisme perdura, les vieux-croyants persécutés étant, en outre, adeptes de la simplicité, de la modestie et de la sobriété (православна вера,pravoslavna véra), et accordant lessacrements gratuitement, contrairement auxpopes réguliers[5].

La conquête de la Sibérie

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Article détaillé :Conquête de la Sibérie.
La conquête de la Sibérie par Yermak, parVassili Sourikov (1895).

L'expansion de la Russie vers l'est rencontra une résistance relativement faible. En 1581, la famille de marchandsStroganov s'intéressa au commerce desfourrures et embaucha uncosaque,Ermak Timofeïévitch, pour mener une expédition dans laSibérie occidentale. Ermak défit lekhanat de Sibir et réclama les territoires à l'ouest des rivièresOb etIrtych pour la Russie.

À partir de bases telles que celle deMangazeïa, les commerçants et les explorateurs allèrent à l'est de l'Ob et duIenisseï, jusqu'à laLéna et vers la côte de l'océan Pacifique. En 1648, le cosaqueSimon Dejnev ouvrit un passage entre l'Amérique et l'Asie. Vers le milieu duXVIIe siècle, les Russes avaient même atteint la rivièreAmour (fleuve).

Après unepériode de conflit avec la dynastie desQing maître de l'empire chinois, la Russie fit la paix avec la Chine en 1689. Par leTraité de Nertchinsk, la Russie renonça à laMandchourie et à la basse vallée de l'Amour tandis que la Chine renonçait à la région à l'est dulac Baïkal (dite « Transbaïkalie » par les Russes) et ouvrit aux Russes une route commerciale versPékin.

Notes et références

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(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé« Tsardom of Russia »(voir la liste des auteurs).
  1. Большая Российская Энциклопедия
  2. [1]
  3. Georges Florovsky,Les Voies de la théologie russe, Paris 1937, en français par J.C. Roberti, Desclée de Brouwer Eds., Paris 1991, p. 150.
  4. EncyclopédieUniversalis : « Principautés russes » -[2]
  5. Léon Poliakov,L'Épopée des vieux croyants, Éditions Perrin, 1991(ISBN 226200598-2)

Voir aussi

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Bibliographie

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Liens externes

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Époque moderne
XXe siècle
Époque contemporaineFédération de Russie (depuis 1992)
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