| Treuzy-Levelay | |||||
La mairie. | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Île-de-France | ||||
| Département | Seine-et-Marne | ||||
| Arrondissement | Fontainebleau | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes Moret Seine et Loing | ||||
| Maire Mandat | Patricia Pillot 2020-2026 | ||||
| Code postal | 77710 | ||||
| Code commune | 77473 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Velytreuziens | ||||
| Population municipale | 440 hab.(2022 | ||||
| Densité | 31 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 48° 16′ 20″ nord, 2° 48′ 52″ est | ||||
| Altitude | Min. 64 m Max. 120 m | ||||
| Superficie | 14,10 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Nemours | ||||
| Législatives | Deuxième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte :Île-de-France | |||||
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Treuzy-Levelay est unecommune française située dans ledépartement deSeine-et-Marne enrégionÎle-de-France.
Elle fait partie de lacommunauté de communes Moret Seine et Loing.

La commune de Treuzy-Levelay, de caractère rural fortement marqué[Note 1], se situe au sud du département deSeine-et-Marne. Elle appartient à l'arrondissement de Fontainebleau, est rattachée aucanton de Nemours (9 km) et s'inscrit dans la limite de la régionÎle-de-France. Elle fait partie de l'ensemble géographique duBassin parisien et de l'ensemble naturel de la vallée duLunain qu'on appelle lebocagegâtinais.
Les communes limitrophes sontNonville,Nanteau-sur-Lunain,Villemer,Poligny,Darvault,Villemaréchal.
| Nonville | Villemer | Villemer |
| Darvault | Villemaréchal | |
| Poligny | Poligny | Nanteau-sur-Lunain |
La commune est boisée sur plus de la moitié de son territoire. Son altitude varie de 64 mètres à 120 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 98 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].


Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinqcours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,73 km[9].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de Seine-et-Marne.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[12] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 706 mm, avec10,6 jours de précipitations en janvier et7,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deNemours à9 km àvol d'oiseau[16], est de12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,3 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de−13,4 °C, atteinte le[Note 2].
Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[19],[20].
Laréserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de150 544 ha, est un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématiqueforêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[21],[22],[23].

Leréseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué deZones spéciales de conservation (ZSC) et deZones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[25],[Carte 1] :
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Treuzy-Levelay comprend deux ZNIEFF detype 1[Note 3],[28],[Carte 2], les « Bois de Darvault et forêt de Nanteau » (1 456,27 ha), couvrant 4 communes du département[29] et la « vallée du Lunain entre Nonville et Nanteau sur Lunain » (93,66 ha), couvrant 3 communes du département[30].et une ZNIEFF detype 2[Note 4],[28], la « vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » (1 224,01 ha), couvrant 9 communes du département[31].
Au, Treuzy-Levelay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[32].Elle est située hors unité urbaine[33]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[33]. Cette aire regroupe 1 929 communes[34],[35].
La commune compte84lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[36] (source : le fichierFantoir) dontTreuzy,Launoy,Bezanleu.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6% ),terres arables (42,2% ), zones agricoles hétérogènes (7,6% ), prairies (3,3% ), zones urbanisées (2,2 %)[37].
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[38],[39],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Laloi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[40].
La commune disposait en 2019 d'unplan local d'urbanisme approuvé[41]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 230, dont 97,8 % de maisons et 0,9 % d’appartements.
Parmi ces logements, 83,3 % étaient des résidences principales, 11,6 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants.
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 85 % contre 10,7 % de locataires[42],[Note 7], dont 0,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et 4,3 % logés gratuitement.
Treuzy-Levelay est proche de l'autoroute A6, à 9,4 km àNemours.On accède à la commune par :
La route qui relie Treuzy à Nanteau est une ancienne voiegallo-romaine. La route d'origine est créée auXVIIe siècle.
La commune est desservie par la ligne 18C (Saint-Pierre-lès-Nemours –Varennes-sur-Seine) duréseau de bus Vallée du Loing - Nemours.
Formes anciennes de Treuzy:Sanctus Martinus a Truciaco en 876 ,Altare Sancti Martini de Truisi en 1173,Ecclesia de Troisiaco en 1178,Truissi vers 1201,Truisy en 1212,Truisiacum auXIIIe siècle,Truysi en 1340,Truysy en 1385,Trusy en 1563 et 1575,Treusy en 1757[43].
Treuzy : « trou, vallée »[44].
Le nom de Treuzy-Levelay a été substitué à celui de Treuzy par décret du[43]. Levelay est un hameau de Treuzy-Levelay[44].
Formes anciennes de Levelay:Le fief de Levelay en 1597[45] ;Leveslay en 1607[46] ;Levelet en 1684[47] ;Le Velay en 1757 (Cassini)[48] ;Nevelay en 1847[49].
Levelay : « mont de bois »[44].
Les habitantssont appelés lesVelytreuziens etVelytreuziennes[50].
LesCeltes utilisent leminerai de fer, des champs de la région, pour fabriquer des armes.
Treuzy-Levelay apparaît dans les textes dès 876. Au Moyen Âge, Treuzy appartient à plusieurs seigneuries, dont l'abbaye de La Joye, qui demeure maîtresse des lieux sous l'Ancien Régime. L'existence d'une tuilerie est attestée à Bezanleu depuis leXVIIe siècle. Dans cette paroisse agricole, où l'on cultive notamment la vigne auxXVIIIe et XIXe siècles, l'artisanat devient assez vivace après la Révolution[51].
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
| ? | ? | Gustave Moufrond | ||
| ? | ? | René Moufrond | ||
| 1971 | 1987 | Georges Dumas | ||
| 1987 | 1989 | Danièle Perrin | ||
| 1989 | 2001 | Gilles Caupin | ||
| 2001 | 2014 | Gérard Pattyn | ||
| mars 2014 | 2020 | Gilles Caupin[52] | ingénieur retraité | |
| mars 2020 | en cours | Patricia Pillot | ||
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[53],[54].
En 2020, la commune de Treuzy-Levelay ne dispose pas d'assainissement collectif[55],[56].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[57]. La commune assure leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[55],[58].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[55],[59],[60].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Lechangement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[61].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[63].
En 2022, la commune comptait 440 habitants[Note 9], en évolution de +1,15 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 163 | 187 | 177 | 215 | 250 | 297 | 319 | 324 | 317 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 293 | 316 | 317 | 318 | 309 | 304 | 310 | 324 | 343 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 315 | 334 | 303 | 254 | 263 | 261 | 246 | 208 | 266 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 222 | 221 | 287 | 348 | 432 | 431 | 444 | 446 | 454 |
| 2017 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 425 | 440 | - | - | - | - | - | - | - |

En 2018, le nombre deménagesfiscaux de la commune était de 190, représentant 458 personnes et lamédiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 580 euros[66].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 66, occupant 214 actifs résidants.Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,5 % contre un taux de chômage de 3,3 %.Les 18,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,6 % de retraités ou préretraités et 1,5 % pour les autres inactifs[67].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de28 dont6 dans la construction,5 dans lecommerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,3 dans l’Information et communication,1 dans les activités financières et d'assurance,1 dans lesactivités immobilières,6 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien,3 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et3 étaient relatifs aux autres activités de services[68].
En 2020,2entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.
Au, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[69].
Il existe unetuilerie-briqueterie construite en1836 et unemenuiserie semi-industrielle de 30 personnes.
Treuzy-Levelay a accueilli sur son territoire une partie du parc d'attractions « Fami Parc » implanté dans le parc duchâteau de Nonville. Fermé à la suite d'un différend juridique avec les deux communes d'implantation, ce parc a fonctionné de 1997 à 2012, accueillant à chaque saison estivale de 50 000 à 157 000 visiteurs et fournissant chaque année un emploi saisonnier à plus de 70 personnes, notamment des jeunes en recherche d'un « job d'été »[70],[71].
Treuzy-Levelay est dans lapetite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant lePays de Bière et laforêt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[72].
Si la productivité agricole de laSeine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de2 000 ha par an dans lesannées 1980, moins dans lesannées 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans lesannées 2010[73]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 8 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de64 ha en 1988 à83 ha en 2010[72].Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Treuzy-Levelay, observées sur une période de 22 ans :
| 1988 | 2000 | 2010 | |
|---|---|---|---|
| Dimension économique[72],[Note 11] | |||
| Nombre d’exploitations (u) | 8 | 3 | 2 |
| Travail (UTA) | 13 | 10 | 6 |
| Surface agricole utilisée (ha) | 512 | 323 | 166 |
| Cultures[74] | |||
| Terres labourables (ha) | 501 | 312 | s |
| Céréales (ha) | 417 | s | s |
| dontblé tendre (ha) | 197 | s | s |
| dontmaïs-grain et maïs-semence (ha) | 70 | s | s |
| Tournesol (ha) | 45 | s | |
| Colza etnavette (ha) | s | s | s |
| Élevage[72] | |||
| Cheptel (UGBTA[Note 12]) | 12 | 1 | 0 |
À la différence de beaucoup d'autres, le lavoir (photo) est entouré de murs, que vient percer une porte d'accès sur l'un des côtés. Ces murs constituent en premier lieu une protection contre le vent mais ont également une fonction esthétique. Le linge était autrefois mis à sécher sur les berges avoisinantes ou sur les poutres de l'auvent[51].
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