Connue d'abord sous le nom de « Bordj » ou « village de Tizi Ouzou » — région rurale modeste — elle devient une petite ville colonialefrançaise dans la2de moitié duXIXe siècle. Son processus d'urbanisation est relativement récent.
La ville a vécu unehistoire assez riche en événements et en personnages. C'est une région réputée farouche à toute incursion étrangère et avec l'indépendance du pays, en 1962, elle retrouve un grand rôle culturel. En effet, parmi les grandes villes berbérophones, elle devient le plus grand foyer de la revendication identitaireberbère.
Avec ses 135 088 habitants au dernier recensement de 2008, Tizi Ouzou est la deuxième plus grande ville de Kabylie aprèsBéjaïa. Elle est aussi, grâce à sa situation géographique, parmi les plus importants pôles commerciaux de la région.
Le nom de la localité est constitué de la base kabyleTizi signifiant « col (de montagne) » et du second composantOuzou (du berbèreAzzu) signifiant « genêts ». Le nom complet de la localité signifie donc « le col des genêts »[8].
La « ville des genêts » ou la « capitale duDjurdjura » sont deux surnoms communément donnés à la ville.
La ville de Tizi-Ouzou bénéficie d'un réseau routier très dense. Unpériphérique, contourne la ville en 2x2 voies sauf sur la RN72 (rocade Nord) à flanc de montagne en 2x1 voies. Seule la partie sud (diterocade sud) permet de contourner par le sud Tizi Ouzou deBoukhalfa à Tazmalt n'El Kaf.
Les sorties de la rocade sud (dans le sens Alger-Béjaïa) sont :
sortie 1 : Tizi-sud ouest/Tala Allam/Bouira/Boghni/Draa El Mizan. Cette sortie est également le point de chute de la pénétrante autoroutière devant relier Tizi-Ouzou à l'autoroute Est-Ouest.
La partie nord de la rocade (en direction deTigzirt/Makouda/Ouaguenoun) est le début de la RN72. Elle commence au niveau du Pont de Bougie en 2x1 voies pour continuer en 2x2 voies jusqu’à Boukhalfa avec la RN12 (Route d’Alger). Elle contourne la ville par le nord, au-delà du massif deSidi Belloua, depuis Tazmalt n'El Kaf jusqu'à Vouaid. Plusieurs bretelles d'entrée et de sortie y sont prévues vers différents quartiers de Tizi Ouzou (tels la Haute-Ville, Boukhalfa…) ainsi que vers les villes et villages avoisinants (Sidi Naâmane,Timizar Loghbar,Makouda, etc.).
La ville est reliée àBéjaia,Alger,Blida,Oran,Bouira et plusieurs localités kabyles par un important réseau routier. La ville de Tizi Ouzou possède une gare routière. Une ligne de bus relie Tizi-Ouzou, quatre fois par semaine, aux villes du grand sud algérien, notamment :Hassi Messaoud,Ouargla,Ghardaia,Laghouat,Djelfa etBou Saada.
Tizi-Ouzou possède unegare ferroviaire. La ligne Tizi Ouzou-Alger a été interrompue à la suite des différents attentats ayant ciblé la région dans lesannées 1990et 2000. La ligne a été remise en service en après15 ans d’arrêt, dans un premier temps elle effectue une rotation aller-retour par jour entre Tizi-Ouzou etAlger.
Un projet de train de banlieue a vu le jour dans lesannées 2000. Cette nouvelle ligne relie Tizi Ouzou à sa proche banlieue (la région deOued Aïssi), le but étant de désengorger le réseau existant et de désenclaver l'est du département. La ligne a été inaugurée le, elle effectue une quinzaine d'aller-retours par jour entreDraâ Ben Khedda, Tizi-Ouzou et la zone industrielleAïssat Idir deOued Aissi. Un projet d'extension de la ligne jusqu'àAzazga est prévue (en passant par le pôle universitaire deTamda).
Au milieu des années 2010, la ligne est suspendue pour cause de travaux de modernisation et d’électrification des voies. Dans la foulée, afin d’accompagner l’électrification de la ligne, laSNTF a équipé la ligne de banlieue Alger - Thénia - Tizi-Ouzou des rames électriques de la banlieue algéroiseStadler Flirt permettant depuis 2017 de faire la liaison Tizi Ouzou - Alger en une heure. Une correspondance de ce train avec la future ligne de téléphérique est prévue à la gare multimodale de Bouhinoune. Le, la ligne ferroviaire électrifiée Alger-Tizi Ouzou est inaugurée.
En dépit de son importance démographique, Tizi Ouzou n'a pas d'aéroport. Ses habitants doivent se reporter sur les aéroports d’Alger et deBéjaïa. Auparavant, il existait deux aérodromes militaires, l'un àFreha et l'autre à Oued-Aissi. Ils ont disparu au profit, respectivement, d'une caserne et de la zone industrielleAïssat Idir.
Outre son chef-lieu Tizi Ouzou-ville, la commune de Tizi Ouzou comporte les localités suivantes : Boukhalfa, Tala Alam, Irdjaouen (Redjaouna) n'El Bor, Irdjaouen (Redjaouna) n'Techt,Bouhinoun, Tala Manssour, Sidi Agad, Azib n'Ahmed, Taazibt, Taddart Tamokrante, Aït Mansour, Aït Hessane, Oumadene,Tassadort,Aïn Meziab, Ikemmouden(kemmouda) Zerkoun (fraction de Tizi Ouzou), Biamrane,Taddart oufella,Imezdaten (Mezdatta), Taarkoubt, Ighil Ouberouak, Tighilt Ouhamza,Timizar Loghbar,Tala Athmane, Sikh Oumeddour, Irehalen (Rehahlia), Tazmalt n'El Kaf, Tazmalt, Abid n'Chamlal et Kef Lahmar[19].
Actuellement, la commune est composée de Tizi-Ouzou, agglomération chef-lieu, et des agglomérations secondaires de Irdjaouen (Redjaouna),Tala Athmane,Tassadort, Abid n'Chemlal, Irehalen (Rehahlia), Bouhinoun-Azaghar, Sikh Oumeddour et Aït Hassene, et des agglomérations en zone éparse de Bouhinoun, Azib n'Ahmed,Timizar Loghbar,Ighil Ouberouak,Mezdatta, Tadart Tamokrante etIkemouden[20].
Redjaouna (Sidhi-Velloua), sur les hauteurs nord de la ville. Il fut l'un des premiersvillages de Kabylie à être électrifié. Son emplacement représentait un point stratégique pour l'armée française.
Boukhalfa (Autrefois Aït-Boukhalfa),aujourd'hui[Quand ?] totalement intégré à l'espace urbain, en un quartier à part entière. Il regroupe d'importantes infrastructures telles la Faculté de Droit, de nombreuses résidences universitaires, lycées, écoles, gare ferroviaire et accueillera sur son territoire le nouveau complexe olympique de la ville, de même qu'y seront implantés une gare routière, l'opéra, le nouveauCHU de Tizi Ouzou (Centre Hospitalier Universitaire).
Tala Athmane (Tala Σetman), troisième grand village, après ceux de Boukhlafa et Rdjaouna[21].
Oued Aïssi est le nom donné à la partie de la vallée duSebaou traversée par Asif Aït Âisi (du nom de la rivière des Aït Aisi). À quelque dix kilomètres de la ville de Tizi Ouzou, abrite la zone industrielle dite Idir Aïssat et le premier centre universitaire deKabylie, à Irhallen, d'où est partie la revendication identitaire et politique berbère enAlgérie[réf. nécessaire]. En plus de ces infrastructures, ce lieu-dit abrite une cité universitaire, un hôpital psychiatrique (HôpitalDr Hanafi Fernane) non loin du barrage deTaksebt. Dans une célèbre chansonMatoub Lounes rendait hommage à ce bastion de la revendication amazighe.
Sikh Oumeddour, est unlieu-dit à environ dix kilomètres à l'est de la ville.
Abid-n-chamlal (Abid-Chamlal) au croisement des RN 15 et 12 à proximité de la zone industrielle et de l'HôpitalDr Hanafi Fernane.
Irahallen sur la route des Gorges de Takhoukht
Tazmalt n'El Kaf, lieu de jonction des rocades sud et nord avec la voie express RN 12.
Timizar Loghbar, situé sur la route nationale reliant Tizi Ouzou à Ath Ouaguenoune, juste après le pont de Bougie.
Rue Lamali Ahmed au centre ville de Tizi Ouzou.LaBougie de Tizi Ouzou : Un monument dédié aux morts de la guerre d'Algérie.Rue Lamali Ahmed, Les GenetsLa rue Larbi Ben M'HidiBoulevard Stiti Ali, à Tizi Ouzou.
La Haute-Ville ou Dechra : désigne tout ce qui se trouve au-delà du boulevard du Nord. Il s’agit de la partie la plus ancienne de la ville. Ces quartiers datent de la période d'avant l'occupation coloniale. Les rues y sont très étroites et les habitations traditionnellement basses.Dechra renferme encore bon nombre de vestiges datant de la période ottomane avec notamment des maisons kabyles typiques, des mosquées (Lalla Saida, Lalla Dmaniya) des écoles coraniques, la résidences des Aît-Kaci (sorte de palais résidentiel des maitres de la région à cette époque.[réf. nécessaire]. La Haute-Ville se décompose elle-même en plusieurs quartiers dont Zellal, Ain-Halouf, Ain-Soltane, Thazougart, Tabenalit, Bordj Hmar et Ihammouthen.
Le centre-ville : il concentre l'essentiel de l'activité culturelle (maison de la culture, cinémas, théâtre et maison de l'artisanat), éducatives (nombreux lycées, et centres de formation, académie régionale, école paramédicale) commerciale, financière, bancaire, hôtelière, administrative (mairie, siège de la daira, siège de la wilaya et le tribunal). De même que l'essentiel des infrastructures de santé s'y trouve : l'Hôpital Nedir Mohamed (regroupe l'essentiel des services duCHU de Tizi Ouzou), la Clinique Tassadat Sbihi de Gynécologie-Obstétrique, la Clinique dentaire, le centre d'appareillage pour personnes handicapées et la Caisse d'assurance maladie. Le centre-ville est réparti sur différents quartiers tels que Les Genêts, Naiglène, Les Bâtiments Bleus, , Le Djurdjura, La Cité du et Les Eucalyptus. Le centre-ville s'est développé autour ou dans le prolongement de l'avenue Abane Ramdane dite « la Grande Rue », qui est la principale artère marchande de la ville.
En périphérie du centre-ville : Les Cadis, la Cité Million, la Cité des Fonctionnaires, Bekkar, Berchiche, la Cité du, les Tours-Villas, Bouaziz, Jolie-Vue,
Tala Allam, à l'origine un village devenu quartier résidentiel auquel se sont ajoutées diverses infrastructures telles la piscine olympique, nombreux lycées et centres de formation, l'École hôtelière, un centre universitaire, l'hôtel Amraoua et en contrebas sur la route d'Alger une zone d'activité.
Mdouha, qui abrite la cité universitaire de jeunes filles, le musée de la révolution, le monument aux morts de la lutte de libération nationale, lecimetière des martyrs.
La Nouvelle-Ville : se trouve au sud de la ville. C'est une excroissance[Quoi ?] composée de plusieurs cités dont la Cité Salah Louanchi, Cité Med Boudiaf, Cité Djurdjura et autres lotissements tels Amirouche, Amyoud, Bouzar… À l’origine, cette nouvelle partie de la ville, construite dès la fin desannées 1970, devait supplanter, du point de vue de l’activité commerciale, le centre-ville. Mais quarante ans après, le Centre-Ville demeure le cœur de toute l’activité marchande de la ville de Tizi Ouzou. La Nouvelle-Ville est surtout une zone d'habitation malgré l'apparition de nouveaux boulevards marchands tels Bd Begaz, Bd Frères Belhadj, Bd Belkacem Krim, et l'installation de nombreuses infrastructures (cliniques, directions et antennes administratives). C’est dans la Nouvelle-Ville que se trouve l'essentiel de l'infrastructure de l’Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou.
Les lotissements du sud-ouest et du nord-est : Tizi-Ouzou s’est beaucoup agrandi dans ces deux directions. De nombreux lotissements de villas ont été construits, tels que les lotissements Salhi, Hamoutène, Malouli, Sud-Ouest et Veuve Amirouche.
L’histoire de Tizi-Ouzou est indissociable de celle de laKabylie et du reste de l’Algérie, mais elle demeure encore une cité relativement récente. À l'époque de laRégence d'Alger, la ville n'était qu'un simple village limité au nord par le massif deSidi Beloua et au sud par un bordj (fort) qui abritait une garnison deJanissaires. À cette époque, c'estDellys[Quoi ?]
Ce n'est qu'avec l’arrivée desFrançais que le petit hameau d'antan est devenu village colonial puis petite ville coloniale peu de temps après, notamment après installation de quelques services publics telle la juridiction, les lieux de culte (l’égliseSaint-Eustache à côté des deux mosquées traditionnelles :Lalla D’Mamiya et Lalla Saida), une école de filles et une autre pour garçons, un hôtel, un bureau de poste. L’ouverture de la voie de chemin de ferAlger-Tizi-Ouzou vers1888 précipita le développement de la ville.
Mais l’occupation française fut aussi synonyme de conflits armés, d’insurrections réprimées, de politique de la terre brûlée… Ce qui contribua à un exode rural massif des populations desvillages de Kabylie vers la ville de Tizi-Ouzou.
Après l’indépendance de l’Algérie en1962, le pays connut un essor démographique très important. Tizi-Ouzou ne fut pas en reste. Sa population est passée de 15 000 habitants en 1960 à presque 100 000 habitants en 1998.
Par ailleurs, la ville de Tizi-Ouzou a été lethéâtre de nombreux évènements politiques. La plupart d’entre eux sont en rapport avec les revendications culturelles et identitaires portées depuis longtemps par la Kabylie. En effet, cette région berbérophone de l’Algérie a très mal vécu les politiques d’arabisation forcées imposées par legouvernement algérien. Parmi les événements les plus marquants de la période récente :
les émeutes du printemps 1980 ;
la vague de manifestations violentes ayant suivi l’assassinat du chanteurLounès Matoub;
la tragédie duPrintemps noir qui a fait126 victimes et des milliers de blessés, handicapés à vie ;
de nombreux assassinats commis par des groupes armés islamistes au milieu desannées 1990 : l'universitaire et militant Rabah Stambouli ainsi que des religieux : Pères blancs en 1994, etc.
La daïra de Tizi-Ouzou comprend une seule et unique commune. Il s’agit de la commune de Tizi-Ouzou. Les deux structures administratives partagent donc la même superficie (102,36 km2) et le même nombre d’habitants (135 088 en 2008).
Tizi-Ouzou dispose de nombreux lycées, tels que : le lycéeRamdane Abane, le lycéeLalla Fatma N'Soumer (du nom de l'héroïne de la résistance Kabyle de 1851-1857), le plus ancien lycée de la ville, le lycée Colonel Amirouche Ait-Hamouda (dit Lycée Polyvalent), le Technicum de la Nouvelle-Ville, le lycée Rabah Stambouli ex-Hamlat, le lycée Al Khansa, le lycée Boukhalfa, le lycée (souq), le lycée Hemki Idir qui a ouvert ses portes en 2015, ainsi que de nombreux lycées privés, notamment à la Nouvelle-Ville.
Tizi-Ouzou est une des principales villes universitaires du pays. L'université de la ville,Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou (UMMTO), compte de nombreuses facultés réparties sur plusieurs pôles : Bastos, Hessnaoua (Nouvelle-Ville),Boukhalfa,Oued Aïssi et Tamda. Elle accueille près de 50 000 étudiants dont plus de 8 000 sur le nouveau site de Tamda qui en comptera à sa livraison finale plus de 25 000.
La ville des genêts est dotée duCHU de Tizi Ouzou créé en, qui relève de la Direction de la Santé et de la Population de la Wilaya de Tizi Ouzou, constitué de deux unités principales d’une capacité de900 lits comptant 3 487 employés dont 981 constituent l’effectif médical, 1 067 paramédicaux et psychologues, ainsi que 1 439 éléments du personnel administratif et autres répartis en42 services implantés à l’Hôpital Nedir Mohamed et l'Hôpital Sidi Belloua.
Tizi Ouzou accueille leFestival Culturel du Film Amazigh algérien.
La maison de la culture de la ville organise divers événements culturels, tels queYennayer le nouvel an berbère, mais d'autres festivales et célébrations y ont aussi lieu, comme leFestival international du fromage de Tizi-Ouzou (FIFTO) qui accueille chaque année de nombreux participants, venant d'Algérie et de l'International.
À l’est de la ville de Tizi-Ouzou (à 40 km du centre-vill2e) se trouve la forêt deYakouren. C'est un massif forestier très connu qui attirede nombreux visiteurs venant de tous le pays et de nombreux immigrants pendant la période estivale[évasif]. Le lieu est très dépaysant du fait de sessplendides végétations[non neutre], sources thermales et du fait de la présence de singes magot[34] et amusent les touristes. On y trouve également des chacals, porcs-épics et lièvres.
La chaîne de montagnes duDjurdjura fait l'objet de plusieurs centaines de visites par an[35]. Elle est considérée comme la plus longue chaîne de montagnes de Kabylie (250 km)[35]. Le Djurdjura est composé de plusieurs massifs montagneux, dontLalla Khadija qui est le plus haut sommet (2 308 m)[36] etTikjda qui abrite l'une des seules stations de ski d'Algérie ; elle est dotée de circuits pour tous les sports de montagne (escalade, alpinisme, course d'orientation..)[37].
Site archéologique des ruines romaines àTigzirt : Ces ruines chargées d'histoire font maintenant partie intégrante du décor de la commune de Tigzirt, commune de la ville de Tizi-Ouzou[38].
LaJeunesse sportive de Kabylie (JSK) est le club de la ville de Tizi-Ouzou (ensuite adopté par laKabylie entière à la suite de ses nombreux succès sur la scène internationale), c’est le club le plus titré du football algérien avec un total de 28 titres au total et l'un des clubs les plus titrés du football africain avec sept titres continentaux. La Jeunesse Sportive de Kabylie, est le club emblématique de la grande Kabylie. Avec un budget pour lesannées 2007/2008 de250 millions de dinars, environ2 millions d’euros, la JSK reste l’un des clubs les plus riches d'Afrique.
C'est en 1946, que des jeunes Kabyles ont décidé de créer « la Jeunesse sportive de Kabylie ». À cette époque, la grande Kabylie avait déjà un club, l’Olympique Tizi Ouzou, un club colonial soutenu par l’administration française. En 1956, La Jeunesse Sportive de Kabylie (JSK) au même titre que tous les autres clubs algériens, cesse toute activité à la suite de l'appel du FLN. Elle ne reprendra du service qu’à partir de 1962, une fois l’Algérie indépendante. C'est le contre le MC Alger que la JSK joue son premier match en Algérie lors du tournoi de Tizi-Ouzou.
Rabah Stambouli, universitaire, militant démocrate, assassiné en 1994 ;
Youcef Dris, né le à Aïn Hallouf, Haute Ville Tizi-Ouzou, écrivain et ancien journaliste, a écrit de nombreux ouvrages dontLes Amants de Padovani,Les Massacres d', de nombreux contes pour enfants et une biographie de Hadj Guerouabi ;