Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio Spurs de San Antonio
Ayant commencé tardivement le basket-ball, il éprouve quelques difficultés à exprimer son potentiel mais finit par devenir le joueur dominant de son lycée, le St. Dunstan’s Episcopal High School, concluant son année senior avec 25 points de moyenne. Dès lors, plusieurs universités, dont Providence, Hartford ou Delaware, tentent de le recruter, mais c'est pour l'entraîneur de Wake Forest,Dave Odom, que Tim Duncan décide de jouer.
Duncan rejoint une équipe de l'élite duchampionnat universitaire américain, lesDemon Deacons de Wake Forest, puisque celle-ci a atteint leSweet Sixteen (demi-finale régionale, l'équivalent d'un huitième de finale), lors du tournoi final NCAA 1993. Cependant c'est aussi une équipe en reconstruction puisque son meilleur joueur,Rodney Rogers, vient de quitter l'équipe pour s'inscrire à laDraft 1993 de la NBA.
Lors de sa première année, 1993-1994, Duncan et son coéquipierRandolph Childress mènent l'équipe à un bilan médiocre de 20 victoires pour 11 défaites. Si Duncan commence à imposer son jeu poste bas et ses tirs à mi-distance, c'est surtout ses grandes qualités défensives, notamment au contre et au rebond, qui le font remarquer. Il finit ainsi sa première année avec des statistiques de 9,8 points (55 % d'adresse générale et 75 % aux lancers-francs) 9,6 rebonds et 3,76 contres. Il est alors sélectionné pour représenter les États-Unis auxGoodwill Games de 1994.
Lors de son annéesophomore (2e année), il passe un cap et conduit son équipe en finale du tournoi de la prestigieuseAtlantic Coast Conference (ACC) contre lesTar Heels de la Caroline du Nord. Lors de ce match, il musèle la star des Tar HeelsRasheed Wallace tandis queRandolph Childress offre le titre à Wake Forest sur un panier dans les ultimes secondes de la prolongation. LesDemon Deacons se présentent donc confiants au tournoi final NCAA, mais une fois encore leur parcours se conclut au stade duSweet Sixteen après une défaite, 66-71, contre l'équipe desCowboys d'Oklahoma State deBryant "Big Country" Reeves. La saison n'en demeure pas moins positive tant d'un point de vue collectif avec le titre de l'ACC que d'un point de vue personnel puisque Duncan est éluDéfensive Player of the Year, joueur défensif de l'année. Il est également élu dans laAll-ACC First Team, le 5 majeur idéal de sa conférence, récompense qu'il obtient également lors de ses 2 dernières années universitaires grâce à des statistiques en forte hausse : 16,8 points (59 % d'adresse générale et 74 % aux lancers-francs) 12,5 rebonds 2,1 passes décisives et 4,2 contres.
En terminant son cursus universitaire, il est à contre-courant de la tendance de la fin desannées 1990, où la plupart des joueurs s'inscrivent à laDraft de la NBA après un an ou deux à l'université, voire directement après le lycée. Tim Duncan devient à la fin de sa carrière universitaire le deuxième meilleur contreur de l'histoire de laNCAA et l'un des dix joueurs à avoir compilé plus de 2 000 points et 1 500 rebonds en carrière.
Durant lasaison 1999 raccourcie à 50 matches à cause dulock-out (mise à pied collective des joueurs à la suite du litige concernant la limitation des salaires), les Spurs malgré un départ médiocre finissent fort pour remporter leur division. Duncan, fer de lance de l'équipe, récolte les récompenses individuelles. Il est élu dans laAll-NBA First Team (le 5 idéal) et laNBA All-Defensive Team (la meilleure équipe défensive) et finit3e à l'élection duNBA Most Valuable Player (meilleur joueur) de la saison régulière. L'homogénéité du 5 majeur (Avery Johnson,Sean Elliott,Mario Elie et les "tours jumelles") écrase la concurrence en playoffs. Reposant sur une défense de fer et la domination du duo d'intérieurs Duncan-Robinson, les Spurs dominent leur conférence (3-1 contre lesTimberwolves du Minnesota, 4-0 contre les Lakers de Los Angeles et 4-0 contre les Trail Blazers de Portland) avant d'achever les Knicks de New York en finale (4-1). San Antonio obtient le premier titre de son histoire et Duncan est éluMVP des Finales (27,4 points, 14 rebonds et 2,2 contres).
Devant se passer de leur ailier Sean Elliott, qui souffre de graves problèmes rénaux et doit subir une transplantation, les Spurs ne dominent pas comme prévu la ligue et finissent même seulement seconds de leur division (53 victoires, 29 défaites). Duncan lui tient parfaitement son rang (23,2 points, 12,4 rebonds, 3,2 passes, 2,2 contres) et se retrouve à nouveau sélectionné dans laAll-NBA First Team et laAll-Defensive First Team. Il est bien sûr aussi convié auAll-Star Game où il obtient, en compagnie de Shaquille O'Neal, le titre deMVP. Malheureusement à 5 matches de la fin de la saison régulière, Duncan se blesse et doit déclarer forfait pour les play-offs. Sans son joueur majeur, et malgré le retour d'Elliott et le talent de Robinson, San Antonio ne peut passer l'obstacle Phoenix (3-1) au premier tour.
Au complet pour lasaison 2000-2001, les Spurs remportent leur division (58 victoires, 24 défaites) en palliant le vieillissement de leur cinq majeur, par l'intégration progressive de jeunes joueurs commeAntonio Daniels,Derek Anderson ouMalik Rose. Pour la troisième fois en quatre ans, Duncan mène la ligue au nombre dedouble-doubles (au moins 10 unités dans deux catégories statistiques) avec 66 et dispute leAll-Star Game. Mais, en play-offs, après avoir sorti Minnesota (3-1) et Dallas (4-1), les Spurs subissent la domination du champion sortant, lesLakers de Los Angeles, 4-0.
Lasaison 2001-2002 marque le sommet de la dépendance des Spurs envers son ailier fort. En effet à côté de lui, les joueurs apparaissent soit en fin de parcours (David Robinson, Steve Smith,Terry Porter,Danny Ferry), soit trop inexpérimentés (Tony Parker, Antonio Daniels,Stephen Jackson). Dream Tim réalise une bonne saison (25,5 points, 12,7 rebonds, 3,7 passes, 2,5 contres) et obtient une nouvelle sélection auAll-Star Game, dans laAll-NBA First Team et laAll-Defensive First Team, et le titre de MVP de la saison. Il devient aussi le cinquième joueur de l'histoire à se classer dans le top 5 aux points, rebonds et contres (aprèsKareem Abdul-Jabbar,Patrick Ewing,Hakeem Olajuwon etShaquille O'Neal) et demeure le premier au classement desdouble-doubles (67). San Antonio en profite pour conserver son titre de division (58-24), mais tombe encore sur les Lakers (4-1) en demi-finale de conférence après un succès au premier tour sur lesSuperSonics de Seattle (3-2).
Pour lasaison 2002-2003, ce qu'on appellera à partir de la saison 2004-2005 leBig Three, l'association de Tony Parker,Manu Ginóbili et Tim Duncan voit le jour. Cette année apparaît d'autant plus charnière qu'elle est la dernière du pivot mythique de l'équipeDavid Robinson. Duncan, toujours aussi dominateur, remporte son deuxième titre de MVP[3], et mène les siens à un nouveau titre de division (60-22). Manquant encore de régularité, notamment dans l'adresse extérieure, l'équipe est soumise à de fortes sautes d'humeur, mais parvient enfin à battre les Lakers. En effet après un succès initial sur lesSuns (4-2), les triples champions en titre tombent en 6 manches en demi-finale de conférence. Les Spurs atteignent la finale après un dernier succès surDallas (4-2) et remportent leur2e titre en venant à bout desNets du New Jersey deJason Kidd (4-2). Lors de la sixième manche, Duncan est tout proche duquadruple-double avec 21 points, 20 rebonds, 10 passes décisives et 8 contres[4]. MVP des Finales, Tim Duncan réalise 32 contres sur cette série, un record toujours valide en 2015[4].
Tim Duncan qui remporte un troisième titre NBA en2005est élu par les journalistes, cette même année, joueur le plus efficace parmi les quatre grands sports américains (basket-ball,baseball,football américain ethockey sur glace).[réf. souhaitée] Une fois retiré des parquets, il cite ce titre de 2005, remporté lors de la septième manche, comme son préféré :« On était à -15 à un moment donné. On prenait conscience qu’on était arrivé si loin [pour échouer si près du but] (...) Ce match 7 face à Rasheed, McDyess et Ben Wallace, et tous ces grands athlétiques et qui ne vont rien lâcher. Sachant qu’on courait après le score, qu’on se faisait brasser, et puis on a commencé un run, et ça s’est terminé en apothéose. C’est un souvenir marquant pour moi »[5].
À cause d'une blessure au pied, Duncan livre une saison2005-2006 assez décevante et les Spurs se font éliminer en demi-finales de conférence par lesMavericks de Dallas.
Lors de la saison2006-2007, Tim Duncan emmène San Antonio à la troisième place de laconférence Ouest avec 58 victoires et 24 défaites. « Dream Tim » termine la saison avec une moyenne de 20,0 points, 10,6 rebonds et 3,4 passes décisives. Il est élu dans l’équipe type défensive de la saison 2006-2007. Il est accompagné parBruce Bowen qui termine avec le plus de votes. Lesplayoffs NBA 2007 sont synonymes de succès, les Spurs éliminent lesNuggets sur le score de 4-1. San Antonio avait perdu la première rencontre, mais l’expérience, la défense et les qualités athlétiques des joueurs de l'équipe prévalent et les Spurs gagnent les quatre matches suivants. La demi-finale se joue contre Phoenix. Duncan est à nouveau champion NBA avec les Spurs en réalisant unsweep (4-0) face auxCavaliers deLeBron James. Par contre, pour la première fois il n'est pas désigné MVP de la finale puisque c'estTony Parker qui remporte la prestigieuse distinction.
Avec Duncan en bonne santé, San Antonio finit lasaison régulière 2007-2008 avec un bilan de 56 victoires et 26 défaites, terminant derrière lesLakers de Los Angeles et lesHornets de la Nouvelle-Orléans dans la Conférence Ouest. En playoffs, les Spurs affrontent au premier tour lesSuns de Phoenix. Les Suns, vaincus par les Spurs dans trois des quatre dernières saisons de playoffs, comptent dans leur effectifShaquille O'Neal, le pivot dominateur des années 2000. Dans le premier match, Duncan marque 40 points avec un rare trois points qui envoie le match en prolongation. Les Spurs éliminent les Suns en cinq matchs. Dans le premier match du tour suivant contre les Hornets deChris Paul, San Antonio est sèchement battu 101-82 tandis que Duncan a joué l'un de ses pires matchs de playoffs en carrière, avec seulement 5 points et 3 rebonds. Les Spurs perdent le match suivant également, mais reviennent dans les matchs 3 et 4. Duncan marque 20 points et prend 15 rebonds dans le match 6, et les Spurs remportent la série dans le septième match. Toutefois, les Lakers, leurs grands rivaux, les battent en finale de conférence, et les Spurs une fois de plus échouent dans leur quête d'un deuxième titre consécutif.
Duncan commence lasaison 2008-2009 avec de bonnes performances en points et en rebonds par match. Mais, une tendinite au genou lui est diagnostiquée et Ginóbili se blesse, étant indisponible pour la plupart de la saison. San Antonio se qualifie toutefois pour les playoffs avec la troisième place de sa conférence avec un bilan de 54 victoires pour 28 défaites. Ayant un effectif vieillissant en sortie de banc (Bowen,Michael Finley etKurt Thomas), les Spurs sont battus 4-1 par lesMavericks de Dallas, et les Spurs ont été éliminés au premier tour des séries éliminatoires pour la première fois depuis 2000.
Les Spurs cherchent à offrir une distribution plus solide dans la raquette pour lasaison 2009-2010, ils recrutentRichard Jefferson,Theo Ratliff,Antonio McDyess,Keith Bogans etdraftentDeJuan Blair. Duncan est nommé « joueur de la semaine pour la Conférence Ouest » pour la dernière semaine de novembre. Même à 34 ans, il est resté une constante menace, étant un des trois seuls joueurs de la ligue à la mi-saison avec des moyennes d'au moins 20 points et 10 rebonds par match. Le, Duncan est nommé pivot titulaire pour leNBA All-Star Game 2010. Après avoir réalisé une autre saison à plus de 50 victoires, les Spurs sont qualifiés pour les playoffs, et défont Dallas 4-2 avant de perdre 4-0 face à Phoenix lors du prochain tour.
Après onze matchs dans lasaison 2010-2011, Duncan devient le Spurs ayant marqué le plus de points et ayant joué le plus de matchs de l'histoire de la franchise. En déplacement, les Spurs réalisent une série de 12 victoires consécutives pour avoir un bilan de 13-2 après 15 matchs. Le, Duncan enregistre son troisièmetriple-double en carrière contre lesGolden State Warriors. 12 jours plus tard, dans un match contre lesPortland Trail Blazers, Duncan devient le94e joueur de l'histoire de la NBA à jouer 1 000 matchs . Depuis son premier match, ses résultats avec les Spurs ont été de 707 victoires et 293 défaites, seulScottie Pippen (715-285) a un meilleur bilan avec son équipe à travers ses 1000 premiers matchs. Les Spurs ont un bilan de 29-4 après 33 matchs, ce qui est l'un des dix meilleurs démarrages de l'histoire de la NBA et mènent la ligue avec un bilan de 35-6 à mi-saison. Bien que Duncan produit son plus bas total de points et rebonds par match en carrière, les Spurs terminent la saison régulière en tête de la conférence Ouest pour lesplayoffs NBA 2011, et terminent deuxième dans la ligue (derrière lesBulls de Chicago). Malgré un bilan de 61-21, les Spurs sont battus 4-2 par lesGrizzlies de Memphis dès le premier tour.
Les Spurs terminent lasaison 2011-2012 avec le meilleur bilan (50-16) de la conférence Ouest, à égalité avec les Bulls. Le trio Duncan-Parker-Ginóbili commence lesplayoffs NBA 2012 bien reposé et en bonne santé. Les Spurs balayent leJazz de l'Utah et lesClippers de Los Angeles 4-0 dans les deux premiers tours. Le, dans le troisième match de la finale de la conférence Ouest contre leThunder d'Oklahoma City, Duncan établit un record de contres en carrière en séries éliminatoires dépassantKareem Abdul-Jabbar mais le Thunder bat les Spurs 4-2.
Le, Duncan accepte de re-signer avec les Spurs sur un contrat de trois ans.
Durant lesplayoffs 2013, les Spurs rencontrent les Lakers de Los Angeles au premier tour. Privés deKobe Bryant, les Lakers sont battus 4-0. Les Spurs affrontent les Warriors du Golden State menés parStephen Curry dans la série suivante. Les Spurs parviennent à l'emporter 4-2, grâce à un bon Tony Parker et un excellent Tim Duncan. En finale de la conférence ouest, les Spurs affrontent lesGrizzlies de Memphis, qui sont dépassés par un très bon collectif des Texans. San Antonio devient une nouvelle fois champion de sa conférence[6]. Le, lors de l'ouverture des finales NBA à Miami,Tony Parker inscrit, dans les dernières secondes, un panier très difficile[7] qui donne la victoire aux siens face auHeat de Miami. À la fin du match 6, alors que les Spurs mènent 3-2 dans ces finales, ils prennent un avantage de 5 points dans les 40 dernières secondes. Le titre leur semble acquis, maisLeBron James tout d'abord, puisRay Allen (après un lancer franc deKawhi Leonard) ramènent Miami dans le match grâce à 2 paniers à 3 points. Les Spurs s'inclinent en prolongation 103-100. Lors du7e et dernier match, les Spurs courent au score pendant tout le match. A 50 secondes du terme, Tim Duncan rate un panier crucial en pénétration, puisqu'il aurait permis à San Antonio de revenir à 90-90. Au bout de la possession suivante,LeBron James se charge de creuser un écart décisif (92-88). Le Heat s'impose sur son parquet 95-88. LeBron James est élu MVP des finales pour la deuxième année consécutive. Tim Duncan dit, après le match, que ce tir raté le hantera jusqu'à la fin de sa carrière.
En, Duncan devient avec Tony Parker et Manu Ginóbili le trio de joueurs ayant remporté ensemble le plus de rencontres de playoffs, devançant le trio des Lakers formé parMagic Johnson,Michael Cooper etKareem Abdul-Jabbar (cependant, le trio des Lakers a établi ce précédent record de 110 victoires à une époque où les séries de playoffs comptaient moins de rencontres)[8]. Lors du quatrième match desFinales face au Heat de LeBron James, Tim Duncan bat les records NBA dedouble-doubles (158) et de minutes jouées en play-offs (8 869) détenus jusque-là parMagic Johnson etKareem Abdul-Jabbar[9]. Les Spurs remportent la finale 4-1, et Tim Duncan obtient son cinquième titre[10].
À la poursuite du sixième titre et fin de carrière (2014-2016)
En, Duncan dépasse les 14 000 rebonds et les 25 000 points en carrière[11],[12]. Alors que les Spurs sont en difficulté de par de nombreuses blessures et méformes que ses joueurs ont rencontré avec 36 victoires pour 23 défaites et seulement la septième place de la conférence Ouest, Tim Duncan garde son calme :« Quand on perd des matchs, trois ou quatre d’affilée comme nous l’avons fait, les gens commencent à paniquer et veulent changer certaines choses, voire tout. Il faut rester droit et comprendre que c’est un travail en cours de progression, que nous ne sommes pas dans une si mauvaise position qu’il ne le semble. »[13]. Il porte son équipe dans une série vingt succès en vingt-trois matchs pour retrouver la troisième place quelques jours avant la fin de la saison régulière avec 29 points, 10 rebonds et 3 contres, dont un décisif sur la dernière action de la rencontre surJames Harden pour l'emporter face auxRockets de Houston[14].
Le, il prolonge de deux années chez les Spurs en divisant son salaire par deux, soit cinq millions de dollars par saison[15].
En, les Spurs annoncent que Tim Duncan devient un des adjoints de Gregg Popovich, son entraîneur pendant toute sa carrière professionnelle[25]. En novembre 2020, Duncan quitte son poste d'entraîneur adjoint, qu'il n'aura donc assumé qu'une saison[26].
Bien que né aux Îles Vierges, Duncan obtient la nationalité américaine et est membre de l'équipe nationale des États-Unis lors du tournoi qualificatif pour lesJeux olympiques de Sydney en2000. Mais une blessure au genou l'empêche de participer aux Jeux olympiques.
Quatre ans plus tard, il participe de nouveau au tournoi qualificatif pour lesJeux olympiques de 2004, et participe cette fois au tournoi olympique où les États-Unis ne ramènent que le bronze.
Il est l'un des seuls grands joueurs à ne pas avoir décliné l'invitation à ces jeux, quand d'autres joueurs ont évoqué des raisons de sécurité (la peur des attentats), ou de santé, souvent prétextes pour masquer leur manque d'intérêt pour un titre olympique[réf. nécessaire].
Après la défaite des Jeux de 2004, Duncan déclare qu'il est « à 95 % sûr que sa carrièreFIBA est terminée » et que « la FIBA craint » au micro d'un journaliste[30]
Joueur ayant réalisé le plus de contres de l'histoire des playoffs avec 568 contres.
Plus grand nombre de rebonds défensifs de l'histoire des playoffs avec 2 081 prises.
Plus grand nombre de double-double de l'histoire des playoffs avec 164, devant Magic Johnson (157).
Deuxième plus grand nombre de minutes jouées en playoffs de l'histoire avec 8 902 minutes, derrière les 12 062 de Lebron James et devantKareem Abdul-Jabbar[32].
Plus grand nombre de rebonds défensifs lors d'une campagne de playoffs avec 273 prises en 2003.
Joueur ayant réalisé le plus de contres dans une série de 6 matches de playoffs avec 32 contres lors de laFinales NBA opposant les Spurs auxNets du New Jersey en2003 (double record NBA, record de playoffs et des Finales NBA).
Plus grand nombre de rebonds défensifs en un match de playoffs avec 20 rebonds défensifs le et autant le (détient ce record avecKevin Garnett lui aussi ayant réalisé cette performance à deux reprises).