Thoury-Ferrottes redirige ici.
| Thoury-Férottes | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Île-de-France | ||||
| Département | Seine-et-Marne | ||||
| Arrondissement | Provins | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Montereau | ||||
| Maire Mandat | Yves Roy 2020-2026 | ||||
| Code postal | 77940 | ||||
| Code commune | 77465 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Ferrotois | ||||
| Population municipale | 653 hab.(2022 | ||||
| Densité | 40 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 48° 17′ 31″ nord, 2° 56′ 38″ est | ||||
| Altitude | Min. 72 m Max. 152 m | ||||
| Superficie | 16,49 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Nemours | ||||
| Législatives | Deuxième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte :Île-de-France | |||||
| Liens | |||||
| Site web | thoury-ferrottes.fr | ||||
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Thoury-Férottes (écrit localementThoury-Ferrottes) est unecommune française située dans ledépartement deSeine-et-Marne, enrégionÎle-de-France.
Thoury-Férottes est un petitvillage dans le sud du département deSeine-et-Marne. La ville la plus proche,Montereau-Fault-Yonne est à 10 km.

| Flagy | Noisy-Rudignon Esmans | Montmachoux |
| Villemaréchal | Chevry-en-Sereine Lorrez-le-Bocage-Préaux | Voulx |
L'altitude de la commune varie de 72 mètres à 152 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 83 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinqcours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,52 km[8].
Deux moulins à aubes fonctionnaient autrefois sur le cours de l'Orvanne, le Moulin Neuf[9] et le moulin des cailloux.
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de Seine-et-Marne.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[12] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec11,2 jours de précipitations en janvier et7,6 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deLa Brosse-Montceaux à8 km àvol d'oiseau[16], est de12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,9 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de42,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−20,5 °C, atteinte le[Note 1].
Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[19],[20].
Deux espaces protégés sont présents dans la commune :
Au, Thoury-Férottes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].Elle est située hors unité urbaine[25]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[25]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].
La commune compte112lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[28] (source : le fichierFantoir) dontThoury,Bichereau,les Marais.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (61,1% ), forêts (29,8% ), prairies (3,5% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3% ), zones urbanisées (2,1% ), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[29].
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[30],[31],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Laloi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[32].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'unplan local d'urbanisme[33].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de319 dont 97,8 % de maisons et 2,2 % d'appartements[Note 4].
Parmi ces logements, 84,3 % étaient des résidences principales, 5,3 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants.
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,1 % contre 13 % de locataires et 1,9 % logés gratuitement[34].
La commune est desservie par la ligne d’autocarsNo 9D duréseau de bus Vallée du Loing - Nemours.
Elle est aussi desservie par la ligne N° 3319 (ancienne ligne 19) duréseau de bus du pays de Montereau[35]
Lacommune est instituée en 1793 sous la dénomination deTourry Ferolles, puis est nommée en 1801Toury-et-Ferotte, et prend ultérieurement son nom actuel deThoury-Férottes[36],[37].
Le lieu est occupé dès leNéolithique[38].
Le village se développe dès leIVe siècle av. J.-C.[38].
Situé à la frontière duGâtinais et de laChampagne, le village possède une forteresse construite sur unemotte féodale, transformée ensuite en ferme fortifiée[38].
AuXVIIe siècle, laparoisse accueille une branche aînée très appauvrie de la famille de Bernard, seigneurs de Champigny (-sur-Yonne). Elle est titrée « sieur de La Motte de Champigny »,conservant dans cette titulature son aînesse sur la paroisse de ses origines[C'est-à-dire ?] auXVe siècle. Claude de Poysson, veuve de Louis de Bernard, décédé entre 1639 et 1655, liquidera son patrimoine dans l'espoir d'établir son aîné au sein desÉcuries du Roi[C'est-à-dire ?] (1669)[réf. nécessaire].
La commune a été desservie de 1889 à 1959 par laligne de Montereau à Château-Landon, unchemin de fer secondaire àvoie métrique exploité parCFD Réseau de Seine-et-Marne.
La commune se trouve dans le département deSeine-et-Marne.
Lors de sa création par laRévolution française, elle était rattachée à l'arrondissement de Fontainebleau, puis en 1926 à celui deMelun, et à nouveau, en 1988, à celui de Fontainebleau[36]. Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles desintercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Provins[39].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de ladeuxième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1801 ducanton de Lorrez-le-Bocage-Préaux[36]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre lecanton de Nemours.
La commune a adhéré en 2012 à la petitecommunauté de communes du Bocage Gâtinais.
Dans le cadre des dispositions de laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), cette intercommunalité éclate, et certaines de ses communes, dont Blennes, sont rattachées le à lacommunauté de communes des Deux Fleuves (CC2F)[40], qui prend, lors de cette extension, la dénomination decommunauté de communes du Pays de Montereau, dont est membre la commune.
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
| 1897 | 1904 | Auguste Huet | Cultivateur | |
| 1904 | 1910 | Marie Dupre | ||
| 1910 | 1912 | Auguste Berry | Instituteur | |
| 1912 | 1919 | Léon Dumas | Instituteur | |
| 1919 | 1925 | Emile Limosin | Cultivateur | |
| 1925 | 1929 | Henry Charles Henry Truchy | propriétaire | |
| 1929 | 1935 | Emile Limosin | Cultivateur | |
| 1937 | 1947 | Bridoux | ||
| 1947 | 1965 | Anatole Pacaud | ||
| 1965 | 1977 | Marcel Depresles | ||
| 1977 | 1989 | Francis Lemirre | Agriculteur | |
| mars 1989 | avril 2014 | François Crapard | SE | Directeur de société |
| avril 2014[41] | en cours | Yves Roy | SE | Sapeur Pompier |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[42],[43].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Thoury-Férottes est assurée par lacommunauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le[44],[45],[46].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[47]. Lacommunauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à laSAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[44],[48].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEP de la Vallée de l'Orvanne qui en a délégué la gestion à laSAUR, dont le contrat expire le[44],[49],[50].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Lechangement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[51].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].
En 2022, la commune comptait 653 habitants[Note 5], en évolution de −3,12 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 521 | 558 | 542 | 568 | 590 | 623 | 636 | 656 | 667 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 643 | 603 | 577 | 569 | 583 | 564 | 571 | 525 | 523 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 510 | 504 | 502 | 409 | 406 | 464 | 442 | 448 | 451 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 474 | 418 | 404 | 407 | 480 | 609 | 594 | 600 | 668 |
| 2015 | 2020 | 2022 | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 677 | 646 | 653 | - | - | - | - | - | - |

Les enfants de la commune sont scolarisés, en 2014, par unregroupement pédagogique intercommunal (RPI) dont les écoles sont à Flagy (maternelle), Thoury-Férottes (CP à CE2) et Dormelles (CM1 et CM2)[55].
La communauté de communes du bocage gâtinais (CCBG) a implanté dans la commune des installations d'entraînement de rue, en anglais :street workout, en 2016[56].
En 2018, le nombre deménagesfiscaux de la commune était de 276, représentant 659 personnes et lamédiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 250 euros[57].
En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 61, occupant 325 actifs résidants.Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,5 % contre un taux de chômage de 4,5 %. Les 22 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8 % de retraités ou préretraités et 6,1 % pour les autres inactifs[58].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de47 dont5 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres,7 dans la construction,12 dans lecommerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,2 dans l’Information et communication,2 dans les activités financières et d'assurance,2 dans lesactivités immobilières,8 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien,5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et4 étaient relatifs aux autres activités de services[59].
En 2020,8 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont4individuelles.
Au, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[60].
Thoury-Férottes est dans lapetite région agricole dénommée la « Bocage gâtinais », à l'extrême sud du département[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture decéréales et d'oléoprotéagineux (COP)[61].
Si la productivité agricole de laSeine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de2 000 ha par an dans lesannées 1980, moins dans lesannées 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans lesannées 2010[62]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 12 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de61 ha en 1988 à70 ha en 2010[61].Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Thoury-Férottes, observées sur une période de 22 ans :
| 1988 | 2000 | 2010 | |
|---|---|---|---|
| Dimension économique[61],[Note 7] | |||
| Nombre d’exploitations (u) | 12 | 13 | 9 |
| Travail (UTA) | 22 | 13 | 7 |
| Surface agricole utilisée (ha) | 727 | 782 | 627 |
| Cultures[63] | |||
| Terres labourables (ha) | 676 | 728 | 596 |
| Céréales (ha) | 442 | 480 | 426 |
| dontblé tendre (ha) | 244 | 232 | 189 |
| dontmaïs-grain et maïs-semence (ha) | 74 | s | s |
| Tournesol (ha) | 131 | 69 | 38 |
| Colza etnavette (ha) | 19 | s | 61 |
| Élevage[61] | |||
| Cheptel (UGBTA[Note 8]) | 253 | 47 | 18 |

| Blason | De gueules au taureau d'argent surmonté de deux roues de moulin du même; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or et soutenu d'une divise ondée du même[74]. | |
|---|---|---|
| Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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