| Sortie | |
|---|---|
| Enregistré | Roughwood Studio, Buckinghamshire |
| Durée | 55:51 |
| Genre | Rock progressif,new age,musique planante,electronica |
| Producteur | Mike Oldfield |
| Label | Warner |
Albums deMike Oldfield
Tubular Bells II
(1992)Voyager
(1996)
Singles
The Songs of Distant Earth est le seizième album studio dumusicienbritanniqueMike Oldfield, paru en1994. Il s'inspire du romanChants de la Terre lointaine (Songs of Distant Earth) d'Arthur C. Clarke, paru en1986.
L'album correspond à la phase oùMike Oldfield se focalise de nouveau sur la musique instrumentale. Par rapport à ses albums précédents,The Songs of Distant Earth se caractérise par la forte présence dessynthétiseurs et la relative rareté de laguitare électrique (combinée avec une nouvelle texture sonore, adoucie, du son de sa guitare). Par ailleurs, les arrangements se font plus légers, contrairement aux œuvres plus anciennes où Mike Oldfield empilait beaucoup de mélodies et d'arrangements très fins.
L'album a été accueilli de façon mitigée par les fans de l'artiste, certains lui reprochant de verser dans le registrenew age, courant musical dont Oldfield s'était toujours ouvertement démarqué et qu'il critiquait. Il a retrouvé des faveurs dans la communauté des fans avec le recul, mais aussi parce que cet album a lui-même attiré un nouveau public vers sa musique.
Sorti dans les années qui ont suivi le premier album d'Enigma (MCMXC a.D. en1990), deDeep Forest (Deep Forest en1992) et la même année que le premier album deStone Age (Stone Age),The Songs of Distant Earth épouse les canons duconcept-album : introduction éthérée avec voix narratrice, deuxième titre enjoué et plus commercial, alternance savante de passages rythmés ou plus paisibles. S'il n'a pas inventé ce genre (alors qu'on le crédite de l'invention de laworld music par exemple[réf. nécessaire]), Mike Oldfield l'aborde avec une grande sensibilité qui fait que cet album résiste peut-être mieux au temps que les albums contemporains cités plus hauts.
The Songs of Distant Earth était le premier CD contenant une piste CD-ROM avec un jeu et un vidéo-clip.
Directement inspiré de lanouvelle éponyme écrite parArthur C. Clarke, l'album raconte la fin de la terre détruite par leSoleil alors que celui-ci se transforme ensupernova, puis l'arrivée du dernier vaisseau de survivants sur une planète-océan.
Par son caractère essentiellement électronique, cet album occupe une place rare dans la discographie deMike Oldfield mais il peut néanmoins être rapproché de l'albumLight + Shade, paru onze ans plus tard, qui sera également un album électronique, quoique doté d'arrangements très différents.
| No | Titre | Durée |
|---|---|---|
| 1. | In the Beginning | 1:24 |
| 2. | Let There Be Light | 4:57 |
| 3. | Supernova | 3:23 |
| 4. | Magellan | 4:40 |
| 5. | First Landing | 1:16 |
| 6. | Oceania | 3:19 |
| 7. | Only Time Will Tell | 4:26 |
| 8. | Prayer for the Earth | 2:09 |
| 9. | Lament for Atlantis | 2:43 |
| 10. | The Chamber | 1:48 |
| 11. | Hibernaculum | 3:32 |
| 12. | Tubular World | 3:22 |
| 13. | The Shining Ones | 2:59 |
| 14. | Crystal Clear | 5:42 |
| 15. | The Sunken Forest | 2:37 |
| 16. | Ascension | 5:49 |
| 17. | A New Beginning | 1:37 |
Music
Excerpts:
| Albums studio |
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|---|---|
| Albums en concert | Exposed |
| Bandes originales | The Killing Fields (BO du filmLa Déchirure) |
| Compilations |
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| Chansons | |
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| Voir aussi | Discographie |