Ses principaux concurrents sont de fait les versions anglaises de grands quotidiens enjaponais.
Il possède également une station de radio,InterFM, ainsi qu'une agence de voyages.Toshiaki Ogasawara est directeur duJapan Times depuis 1983. SirHugh Cortazzi(en) contribue régulièrement à sa rédaction.
Yukiko Ogasawara, vice-présidente deThe Japan Times, avec son père, Toshiaki Ogasawara, l'éditeur et le président du journal et de sa société mère, Nifco, en novembre 2007.
Avec son statut semi-officiel, il joue un rôle important de propagande et de diffusion à l’étranger des idées politiques japonaises en particulier en ce qui concerne l'expansion en Corée[2].
Le journal est dirigé parToshiaki Ogasawara jusqu'en 2016, lorsque sa fille,Yukiko Ogasawara, lui succède. LeJapan Times est décrit par le journaliste françaisJean-Claude Courdy comme« un journal respectable pour honorables étrangers »[3].
En, le journal est vendu à News2u Holdings, Inc.[4].
En, une polémique éclate à propos du traitement médiatiques desfemmes de réconfort. Dans le passé, le Japan Times décrivait les travailleurs coréens comme des« travailleurs forcés » et les femmes de réconfort comme celles qui étaient« forcées de fournir des services sexuels aux troupes japonaises avant et pendant la Seconde Guerre mondiale ». Mais une note publiée le indique que le journal se référerait aux travailleurs coréens simplement comme des« travailleurs en temps de guerre ». Le journal a également déclaré qu’en raison des expériences variées des femmes de réconfort, il les décrirait comme« des femmes qui ont travaillé dans des bordels en temps de guerre, y compris celles qui l’ont fait contre leur volonté ». Cette polémique éclate dans un contexte de tensions latentes. La Cour suprême de Corée du Sud a statué en octobre que les entreprises japonaises devaient indemniser les Sud-Coréens forcés de travailler pendant la guerre[5],[6].