Thannenkirch, un petit village de montagne, est situé sur une hauteur en forme de replat culminant à 630 mètres (Melkerhof) au pied du massif duTaennchel. La mairie se trouve à 480 mètres. Le village est arrosé par le Bergenbach qui prend sa source depuis les forts du massif duTaennchel. Le village se trouve aussi non loin du château duHaut-Koenigsbourg ; une route les relie.
Au, Thannenkirch est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,2 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), zones urbanisées (10,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le nom de la localité est attesté sous les formesDie vrowe von Tannekilche (1308) ;Ze Tanneklich (1344) ;Tannenkilch (1370) ;Tannenkyrch (1441) ;Annakirch (1644)[17].
Depuis 1958, nous avons retrouvé la forme ancienne, originelle du nom sur un panneau, érigé à l’entrée sud du village, offert par le sculpteur André Bosshardt, « Ste Annekerich » de 1682.
En conclusion, nous pouvons affirmer que « Thannenkirch » vient de l’Alsacien « d’Annenkirch » (l’église d’Anne) qui résulte de la contraction « D’Sankt Anne, Kerich » (l’Église de Sainte Anne). De ce fait, « Die Tanne » (le sapin), n’a rien à voir avec l’origine du nom du village.
D'après la légende, le village de Thannenkirch trouve ses origines grâce à un ancienermitage qui aurait existé à partir duVIIIe siècle au pied duTaennchel à côté de lasource Sainte-Anne. Vers leXe siècle, un oratoire dédié àsainte Anne à proximité de majestueuxsapins est construit à proximité de l'ermitage. L'oratoire était connu sous le nom latin deCapella Sancte Anna in Silva. Un peu plus tard, cet ermitage sera remplacé par une petite demeure où logèrent quelques religieux désireux de se soustraire de la mondanité et de la cupidité des hommes. Le nom du village a changé plusieurs fois au cours des siècles. En1205, date de sa première apparition dans lesarchives, on trouve le nom du village sous la dénomination de Thankilch jusqu'en1280. Puis entre1320 et1626, il est orthographié successivement Tannenkilch, Dannenkilch, Dannekilch, Annakilch, Sankt-Annakirch et finalement Thannenkirch.
Le village est d'abord occupé par des bûcherons et des charbonnierslorrains qui s'y installent peu à peu. AuXIIIe siècle, le village est aux mains des nobles deRathsamhausen, puis à partir de1470, il passe aux sires deRibeaupierre et reste en leur possession jusqu'à laRévolution. Cependant les sires de Ribeaupierre cèdent le village enfief à partir de1520 à Guillaume de Walbach, qui doit rétrocéder en échange une partie desdîmes et redevances diverses. À la mort de ce dernier, Thannenkirch passe de nouveau entièrement sous la dépendance desRibeaupierre. Vers1585, les habitants de Thannenkirch doivent jurer fidélité au nouveau seigneur des lieux : Egenolf de Ribeaupierre. À la mort de ce dernier, le fils d'Egenolf, encore mineur, est contraint de céder le village enfief, pour la somme de 1 400 florins, à un certain Michel Theurer deStrasbourg.
Vue sur le village de Thannenkirch depuis la sortie sud.Ancienne maison de 1779 à Thannenkirch aujourd'hui transformée en restaurant.
1588 est l'année où des cas de sorcellerie sont signalés. Presque tous les villages de la région sont en proie à des cas de sorcellerie. Entre1583 et1630 quarante quatre femmes sont accusées de sorcellerie àBergheim le village d'à côté. Elles seront condamnées à mort et mises sur un bûcher.
Les habitants de Thannenkirch (St. Annakerich) ne furent jamais mêlés à ces procès. Cependant, le prévôt du lieu, un certain Hans von Rumelsberg eut la malencontreuse idée d'être trempé dans une affaire de sorcellerie. Une femme de Rorschwyr (Rorschwihr) dont le nom est Barbara se rendra dans une forêt proche de Thannenkirch, à un moment où de gros nuages s'amoncelèrent au-dessus du massif duTaennchel. Poussés par le vent, ces nuages se dirigèrent tout droit vers le village deRorschwihr, ce qui provoqua un ouragan d'une rare violence. Ce phénomène somme toute assez naturel, déclencha une superstition auprès des habitants.
Elle fut tenue responsable d'être à l'origine de cette tempête et accusée de sorcellerie. Le déclenchement de la tempête avait décimé une partie importante de la vigne et fait d'importants dégâts. Sous le cas de la torture elle avoua être envoûtée par le prévôt de Thannenkirch, ce qui la mena à errer dans les bois. Les juges ne prêtèrent cependant pas foi à ces affirmations, elle fut accusée de sorcellerie et brûlée vive. De nombreux habitants du village de l'époque croient dur comme fer aux cas de sorcellerie. Selon certaines légendes qui circulaient, des sorcières hantaient le village à la recherche de proies faciles, dont les noms ont été divulgués et qui sont soigneusement répertoriés dans les archives de l'époque.
En1790 on retrouve par exemple encore dans les archives des lieux-dits prétendus ensorcelés qui sont désignés nommément : imbösen Wald et "in derbösen Matt".
L'entrée du village de Thannenkirch en venant deRibeauvillé.L'hôtel-restaurant Au Touring, à Thannenkirch.
À cette époque le village de Thannenkirch était peuplé de deux groupes linguistiques, l'un roman et l'autre alémanique. Le groupe roman était issu du Val d'Orbey et desVosges et parlait lewelche, l'autre communauté était composée d'une souche alémanique qui parlait l'allemand. On trouve à cette époque le « Schultheiss » Hans von Rumelsperg qui n'est d'autre que Jean deRemiremont qui avait la lourde charge de veiller aux droits du seigneur. On trouve aussi quelques artisans francophones dont les noms sont germanisés : Clauss « uf der Seegmühl » (Nicolas de la scierie), Hans der Koler (le charbonnier), Claus Kleindieterich (Nicolas Petitdidier), Zimmermann (le charpentier), Hans der nagelschmid (le forgeron de clous). Tous ces noms ont disparu dans la tourmente de laguerre de Trente Ans. En1648 un seul nom existait encore : Rumelsperg (1588) qui emprunte alors la forme de Rimelspurger, puis Rimelsbourg. La dernière personne porteuse de ce nom, Élisabeth Rimelsbourg est décédée en 1793 et est aujourd'hui connue sous le nom de Demoulin.
Laguerre de Trente Ans et lapeste décimèrent une grande partie du village entre1618 et1648. À la fin de la guerre de Trente Ans, Thannenkirch ne sera plus peuplé que par six familles. LesRibeaupierre encouragèrent alors la venue d'habitants des autres vallées. À partir de1650, on voit arriver une vague d'immigrants lorrains, suivie par desSuisses vers1685 qui repeuplèrent le village.
En1776, le village de Thannenkirch est peuplé de 365 habitants. La même année, les propriétaires des houillères deBergheim obtinrent l'autorisation de faire des sondages dans le ban de Thannenkirch. Après laRévolution, en l'an XII de laRépublique, Thannenkirch compte déjà 554 habitants qui, auXVIIIe siècle s'adonnaient essentiellement à l'agriculture, tout en travaillant pour lestissages deSainte-Marie-aux-Mines. À partir duXXe siècle, Thannenkirch verra s'élever du sol une série de confortableshôtels et de sanatoriums répondant aux besoins de plus en plus larges d'une partie de lapopulation citadine à la recherche de l'air pur desmontagnes.
AuXIXe siècle, à la suite de l'essor dutextile dans leval de Lièpvre, de nombreux habitants de Thannenkirch commencent à se rendre dans les industries de la vallée voisine, abandonnant peu à peu les travaux issus de la montagne : bois, charbon, élevage qui était le lot quotidien des habitants de ce village de moyenne montagne. Letissage à bras à domicile se développe ainsi dans le village. Un tissage construit par les frères Blech deSainte-Marie-aux-Mines est installé à Thannenkirch et fonctionne de1924 à1961.
Sculpture en bois de sainte Annekerich à l'entrée du village.
Tous les ans, une procession a lieu le jour de la Sainte-Anne. Cette coutume est assez ancienne puisqu'elle existait depuis des temps immémoriaux. La sourceSainte-Anne (St Annabrunnen) existe toujours en contrebas de la rueSainte-Anne, à proximité de l'auberge de la Meunière. On y venait à pied de très loin, notamment duVal d'Orbey, duVal de Lièpvre par le sentier des tisserands, et d'ailleurs. La sourceSainte-Anne était censée guérir toutes sortes de maux. D'après la légende, les épouses stériles venaient boire copieusement l'eau de cette fontaine qui devait les guérir et les rendre à nouveau fertiles[20].
En1940, l'occupant allemand installe la Kommandantur à l'hôtel Au Touring. Il impose l'ordre nazi avec la germanisation des esprits et l'enrôlement des Malgré-Nous[21]. L'administration allemande change le nom de Thannenkirch qui sonne trop français. Elle supprime le H qui devint Tannenkirch. Ce changement de nom causa bien des soucis pour l'acheminement du courrier, puisqu'une confusion était perceptible entre le village badois qui porte le même nom et le village alsacien. Depuis1958, l'orthographe du nom du village a repris son ancien nom d'origine : Thannenkirch.
Lesarmes de Thannenkirch seblasonnent ainsi : « parti : au premier d'argent au sapin de sinople, futé et arraché de sable, au second de gueules au portail d'église d'or, ouvert et ajouré du champ, sur une terrasse de sinople. »
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2022, la commune comptait 457 habitants[Note 4], en évolution de +1,33 % par rapport à 2016 (Haut-Rhin : +0,66 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Ancien calvaire duXIXe siècle à la sortie du village de Thannenkirch.
Après la reconstruction du château duHaut-Koenigsbourg et l'avènement du tourisme de masse, le village de Thannenkirch commence à faire parler de lui comme un endroit où il fait bon vivre. Le village est alors réputé pour sa cure d'air et de repos. L'avènement du tourisme entre les deux guerres est le prélude à un développement du village. Aujourd'hui Thannenkirch est un lieu de repos et de villégiature fort prisés par les amoureux de la nature attirés par la proximité du massif duTaennchel classé zone de tranquillité. Depuis le village de Thannenkirch on peut entamer de nombreux circuits variés en se rendant soit au massif duTaennchel dont le point le plus haut culmine à 992 mètres, mais aussi aux trois châteaux desRibeaupierre (leHaut-Ribeaupierre, leGirsberg et leSaint-Ulrich). Thannenkirch a une autre particularité bien ancrée dans la tradition: chaque début du mois de juillet on y fête joyeusement lacerise par un défilé de chars et de fanfares avec de nombreuses attractions[29].
En1924 deux frères Jacques et Henri Bernheim créent la « Vosges Fox-Farm », un élevage derenards argentés. Jacques est industriel àStrasbourg et Henri, qui avait émigré auxÉtats-Unis, possédait déjà unerenardière. Les richesbourgeoises des années folles sont à cette époque de grandes consommatrices de bellesfourrures. Celles des renards argentés sont très recherchées, a tel point qu'elles atteignent des prix faramineux jusqu'à 15 000 francs la pièce alors que lesalaire moyen dépassait péniblement à l'époque 100 francs par semaine. Arrive alors la crise de1929. Le cours des peaux s'effondrent et après sept années d'existence à peine, la Renardière est liquidée, les habitations vendues. Les cages à renards, sont achetées par les habitants de Thannenkirch et transformées enpoulaillers[30],[31].
LouisXIII,Anne d'Autriche et le dauphin Louis faisant des offrandes à la Vierge Marie (extrait).
Unechapelle dédiée àsainte Catherine existait déjà en1343 et dépendait alors de l'église paroissiale deBergheim. Elle s'élevait d'après la légende en pleine forêt. On raconte qu'un chevalier poursuivit une belle et noble demoiselle qui se réfugia dans cette chapelle. Mais loin de respecter le lieu, lechevalier, la rage au cœur, fut éconduit par notre belle demoiselle qui adressa un appel au Seigneur. Soudain, les murs de la chapelle se rétrécirent et se transformèrent rapidement en un sapin géant, qui enferma dans son tronc la jeune fille jusqu'à ce que son persécuteur se fut éloigné. Quelque temps plus tard, on édifia une nouvelle église à l'emplacement du sapin géant et c'est ainsi que naquit le village de Thannenkirch. En ces temps anciens, le patron de l'église deBergheim, Frédéric d'Usenberg, autorisa les frères Jean et Jacques de Ratsamhouse (Rathsamhausen) à disposer du poste de curé de Thannenkirch suivant son bon plaisir, à condition toutefois de ne point causer aucun tort au curé de Bergheim. Entre1470 et1681, la paroisse est administrée par des prêtres qui sont dépêchés, mais la plupart de temps c'est le recteur de Bergheim qui vient officier.
En1683, Thannenkirch devint une paroisse indépendante avec son propre curé et son presbytère[32]. En1697, le presbytère et l'église sont détruits par un incendie. Une nouvelle église est alors construite en1769 et agrandie[33]. Une tour y est ajoutée en1898. La pose de la première pierre de l'égliseSainte-Catherine remonte donc au. L'église est agrandie un siècle plus tard, en1898 par une entreprise deRibeauvillé, afin d'accueillir un nombre toujours plus important de fidèles. La nef est agrandie de 8 mètres et le clocher est démoli pour faire place à une nouvelle tour. Une nouvelle sacristie est construite à côté du chœur. L'église est restaurée en1981, comportant de nouvelles boiseries sculptées par un artisan local, André Bosshardt[34].
L'orgue d'origine, qui a été transformé, avait été construit par Claude Ignace Callinet en 1836[35],[36].
Petit oratoire de Notre-Dame-des-bois niché dans un arbre à Thannenkirch.
Situé près de l'ancienne maison forestière Wurzel, l'oratoire Notre-Dame-des-Bois est creusé dans un chêne ; il est l'œuvre d'un artiste de Thannenkirch, André Bosshardt[41],[42]. Bénie le jour de l'Ascension en1952, l'image de la Vierge fait l'objet chaque année d'une vénérable piété. Chaque année, le, une procession vers ce chêne a lieu en souvenir d'un vœu que fitLouis XIII (1601-1643) consacrant le royaume deFrance à laSainte-Vierge.
La croix du gibet de Thannenkirch située autrefois au Galgenacker ou Galgenrain exposée aujourd'hui dans le hall de la mairie.
Située autrefois sur le Galgenacker ou Galgenrain dont le millésime porte l'année1759. Elle a été renversée et abîmée à la libération en1944. Par la suite, la croix a été restaurée puis installée en2007 dans le hall de la mairie de Thannenkirch[43]. À cet endroit auMoyen Âge, la justice deRibeauvillé a fait exécuter des scélérats condamnés à mort et pendus à la potence. L'inscription « Stat Crux Dum Volvitur Orbis » signifiela croix demeure stable tandis que le monde change[44].
Attraction majeure, principale de Thannenkirch : l'exceptionnel massif duTaennchel, lieu naturel et sauvage[48].
accès pédestre entretenu et balisé par le Club Vosgien : passage des sentiers de grande randonnée « GR5 » (balisé du rectangle rouge) et du « GR532 » (balisé du rectangle jaune).
environnement végétal très riche et sauvage, préservé : fougères, myrtilles sauvages, herbes coupantes d'altitude (Irrkaut), sorbiers, sapins nordiques pectinés, pins sylvestres, hêtraies d'altitude, etc.
altitude très élevée pour le secteur (moyenne établie tournant autour des 950 mètres) ; point culminant du massif : 990 mètres.
vestiges d'un étrange et énigmatique « Mur Païen », dont l'explication et l'origine restent à ce jour, encore très incertaines.
succession remarquable de formations rocheuses (granit dur avec conglomérat et poudingue).
noms évocateurs portés par ces rochers : Cordonniers, Géants, Reptiles, Crocodile, Trois Grandes Tables, Rammelfels, La Paix d'Udine, Spitzigfels, Schuetzfels, Wachtfels, Wasserfels, Langfels, Kleinfels...
panoramas très variés : vues respectivement, sur la forteresse duHaut-Koenigsbourg et le village de Thannenkirch à l'est (avec au fond, la Plaine d'Alsace) ; sur la vallée de laLièpvrette et ses villages au nord (La Vancelle,Lièpvre,Sainte-Croix, etc.).
(fr)Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel duministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑« Fiche communale de Thannenkirch », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse(consulté le).
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Georges Stoffel,Dictionnaire topographique de la France : Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin, Paris, Imprimerie impériale,,p. 193.
↑Roger Brunet,Trésor du terroir. Les noms de lieux de la France : À distance : pièges et énigmes de la toponymie, CNRS Éditions,,p. 470.