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Terbium

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Ne doit pas être confondu avecytterbium.

Terbium
Image illustrative de l’article Terbium
Échantillon de terbium.
GadoliniumTerbiumDysprosium
 Structure cristalline hexagonale compacte
 
65
Tb
 
        
        
                  
                  
                                
                                
  
                      
Tb
Bk
Tableau completTableau étendu
Position dans letableau périodique
SymboleTb
NomTerbium
Numéro atomique65
Groupe
Période6e période
BlocBloc f
Famille d'élémentsLanthanide
Configuration électronique[Xe] 4f9 6s2
Électrons parniveau d’énergie2, 8, 18, 27, 8, 2
Propriétés atomiques de l'élément
Masse atomique158,925 34 ± 0,000 02 u[1]
Rayon atomique(calc)175 pm (225 pm)
Rayon de covalence194 ± 5 pm[2]
État d’oxydation3
Électronégativité(Pauling)1,20
Oxydebase
Énergies d’ionisation[3]
1re :5,863 8 eV2e :11,52 eV
3e :21,91 eV4e :39,79 eV
Isotopes les plus stables
IsoANPériodeMDEdPD
MeV
157Tb{syn.}71 ansε0.060157Gd
158Tb{syn.}180 ansε
β-
1,220
0,937
158Gd
158Dy
159Tb100 %stable avec 94neutrons
Propriétés physiques ducorps simple
État ordinairesolide
Masse volumique8,230 g·cm-3[1]
Système cristallinHexagonal compact
Couleurblanc argenté
Point de fusion1 356 °C[1]
Point d’ébullition3 230 °C[1]
Enthalpie de fusion10,8 kJ·mol-1
Enthalpie de vaporisation330,9 kJ·mol-1
Volume molaire19,3×10-6 m3·mol-1
Chaleur massique180 J·kg-1·K-1
Conductivité électrique0,889×106 S·m-1
Conductivité thermique11,1 W·m-1·K-1
Divers
No CAS7440-27-9[4]
No ECHA100.028.306
Précautions
SGH[5]
SGH02 : Inflammable
Danger
H228 etP210
H228 : Matière solide inflammable
P210 : Tenir à l’écart de la chaleur/des étincelles/des flammes nues/des surfaces chaudes. — Ne pas fumer.

Unités duSI &CNTP, sauf indication contraire.
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Leterbium est unélément chimique, de symboleTb et denuméro atomique 65. C'est unmétal gris argenté de lafamille deslanthanides appartenant au groupe desterres rares.

L'appellation terbium, provient de l'endroit,Ytterby près deStockholm enSuède, où l'on a découvert le minerai dans lequel ont également été identifiées plusieurs autres terres rares. Les éléments chimiquesyttrium,erbium etytterbium partagent la même étymologie.

On extrait aujourd'hui le terbium du sable demonazite (teneur d'environ 0,03 %) comme beaucoup d'autres lanthanides.

Le terbium est uneressource non renouvelable. Une publication duCentre national de la recherche scientifique français avait même prévu son épuisement pour 2012[6].

Histoire

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Première découverte

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Carl Gustav Mosander
(1797-1858).
Découvertes des terres rares.
Yttrium (1794)

Yttrium



Terbium (1843)



Erbium (1843)
Erbium

Erbium



Thulium (1879)



Holmium (1879)

Holmium



Dysprosium (1886)






Ytterbium (1878)

Ytterbium

Ytterbium



Lutécium (1907)




Scandium (1879)








Cérium (1803)

Cérium


Lanthane (1839)

Lanthane


Didyme (1839)
Didyme

Néodyme (1885)



Praséodyme (1885)



Samarium (1879)

Samarium

Samarium



Europium (1901)





Gadolinium (1880)







Prométhium (1947)


Diagrammes des découvertes des terres rares. Les dates entre parenthèses sont les dates d'annonces des découvertes[7]. Les branches représentent les séparations des éléments à partir d'un ancien (l'un des nouveaux éléments conservant le nom de l'ancien, sauf pour le didyme).

En 1789, le chimiste finlandaisJohan Gadolin identifie un nouveloxyde (ou « terre ») dans un échantillon d'ytterbite (rebaptisée plus tard « gadolinite » en son honneur). Cette nouvelle roche avait été découverte deux ans auparavant par le lieutenantCarl Axel Arrhenius près du village d'Ytterby enSuède. Ces travaux sont confirmés en 1797 parAnders Gustaf Ekeberg qui baptise le nouvel oxydeyttria[8].

Près d'un demi-siècle plus tard, le SuédoisCarl Gustav Mosander parvient à isoler plusieursterres rares (cérium,lanthane etdidyme) grâce à de nouveaux procédés decristallisation fractionnée[9]. Convaincu que l'yttria extraite de la gadolinite est également un mélange, il décide d'y chercher certains de ces nouveaux composés. À l'automne 1842, il parvient à isoler deux oxydes, l'un blanc (donnant des sels incolores), qu'il considère comme le véritable yttrium, et l'autre jaune (donnant des sels roses), qu'il décide de nommer « odinium » en l'honneur du dieuOdin de lamythologie nordique. Avant de publier les résultats de ces recherches en 1843, Mosander achève une étape supplémentaire de fractionnement desoxalates de ces composés et découvre un troisième oxyde. Il décide de conserver le termeyttria pour la fraction incolore (oxyde d'yttrium pur) et nomme la fraction jaune « erbine » et la fraction rose « terbine », toujours en rappel du village d'Ytterby[10].

Controverses et confusions

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Durant les décennies qui suivent, les découvertes de Mosander sont remises en question. En 1860, son compatrioteNils Johan Berlin reprend l'étude de l'yttria brute et parvient à en isoler deux oxydes. Il en considère un comme étant de l'oxyde d'yttrium pur et identifie l'autre comme l'erbine de Mosander, malgré le fait qu'il donne des sels colorés en rose. Il ne trouve par contre aucune trace de la terbine[11]. Ces expériences sont répétées en 1864 àGöttingen par Friedrich Otto Popp et àGenève parMarc Delafontaine, avec des conclusions opposées : le premier ne trouve aucun autre élément que l'yttrium et prétend que les autres composés sont des oxydes déjà connus (ducérium et dudidyme)[12], alors que le second soutient l'existence à la fois de l'erbine et de la terbine[13]. Puis en 1866, c'est au tour deRobert Bunsen et de son assistantJohan Bahr de l'Université d’Heidelberg de réitérer le processus de séparation. Ils reconnaissent que les sels d'yttrium sont incolores et que leurs solutions ne présentent pas de bandes d'absorption, alors que les sels d'erbium ont une belle coloration rose et que leurs solutions donnent un spectre d'absorption tout à fait différent de celui dudidyme. Mais ils ne trouvent aucun autre composé[14].

Ainsi, la confusion s'installe et les noms choisis par Mosander sont intervertis. Delafontaine a beau rétorquer que l'erbine de Berlin et de Bahr et Bunsen n'est autre que la terbine de Mosander, et qu'il détient les preuves de l'existence de la vraie erbine (celle de Mosander), il n'est pas entendu. Pendant plusieurs années, le terbium disparaît de la liste des éléments connus et se trouve ainsi absent de la première version dutableau périodique des éléments deDmitri Mendeleïev en 1869[9]. Les SuédoisPer Teodor Cleve etOtto Magnus Höglund (de) tentent de vérifier en 1872 l'hypothèse de Delafontaine, mais échouent une fois de plus à isoler autre chose que l'erbium (au sens de Bahr et Bunsen)[15]. L'existence de ce dernier fait bientôt l'unanimité au sein de lacommunauté scientifique, grâce à sa détection dans lespectre solaire par l'astronome américainCharles Augustus Young la même année[16].

Confirmations

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C'est finalement dans un autre minerai, lasamarskite, que Delafontaine finit par retrouver la trace de l'erbine jaune de Mosander. Il pense un temps la renommer « mosandrium » en l'honneur du chimiste suédois, puis s'accorde avec son compatrioteJean Charles Galissard de Marignac pour conserver le nom de terbine :

« Dans une note antérieure, j'ai proposé d'appliquer au radical de cette terre jaune, le nom de Mosandrium, quoique ce soit le vrai erbium de Mosander ; ce changement me semblait justifié par la notoriété qu'ont les travaux de M. Bunsen et de M. Cléve et qui rend impossible d'enlever à leur terre rose son nom impropre d'erbine, sans créer une confusion regrettable. M. Marignac pense qu'il serait préférable de ne pas créer un nouveau nom et qu'il vaut mieux compléter l'interversion des noms en appelant terbine la terre jaune (erbine Mosander non Bunsen), et erbine la terre rose (terbine de Mosander). Je me rangerai volontiers à cet avis [...] »

— Marc Delafontaine[17]

En 1878, ses travaux sont confirmés par Marignac, qui isole lui-même le terbium de lagadolinite. Parallèlement, l'AméricainJohn Lawrence Smith publie la découverte d'une nouvelle terre jaune dans la samarskite, à laquelle il choisit de donner le nom de « mosandrum »[18]. Marignac l'analyse et déclare qu'elle n'est rien d'autre que la terbine dont Delafontaine et lui-même viennent de prouver l'existence[19], ce qui donne lieu à une vive dispute entre les trois scientifiques[20]. Ces découvertes sont définitivement ratifiées par la publication en 1882 des 194 lignes du spectre du terbium par le chimiste britanniqueHenry Enfield Roscoe[16].

Caractéristiques

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Propriétés physiques

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Le terbium est unmétal d'aspect gris argenté. Comme les autres membres de la famille deslanthanides, il est malléable, ductile et assez mou pour être coupé avec un couteau. Il est assez stable dans l'air, et existe sous deux formesallotropiques, avec un changement dephase à1 289 °C[21].

Structure cristalline du terbium.

Comme toutes lesterres rares lourdes, le terbium présente unestructure cristalline enempilement compact hexagonal. En dessous de sonpoint de Curie (−54,15 °C), il montre un agencementferromagnétique simple avec lesmoments alignés selon l'axe b du plan basal. Au-dessus de Tc, l'élément ne devient pas immédiatementparamagnétique, mais atteint plutôt un étatantiferromagnétique particulier qui persiste jusqu'à satempérature de Néel (−43,15 °C). Cet agencement, connu sous le nom d'antiferromagnétisme hélicoïdal, est caractérisé par le fait que tous les moments magnétiques d'une même couche sont parallèles et orientés selon un angle fixe par rapport aux moments des couches adjacentes. Ils tournent ainsi autour de l'axe c à la manière d'une vis ou d'une hélice. Ledysprosium partage ces caractéristiques particulières pour d'autres températures[22]. Ces deux éléments présentent de plus unemagnétostriction élevée[10].

Lecation terbium(III) exhibe une importantefluorescence de couleur verte. Elle implique une transition5D47F5 dont labande d'émission principale est située à 545 nm, avec un temps de vie de 0,1 à 2 ms[23].

Propriétés chimiques et composés

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Lavalence la plus commune dans les composés solides est de III. Un valence de IV est connue pour le métal dans sondioxyde (TbO2) et sontétrafluorure (TbF4). Le terbium forme également plusieursoxydesnon stœchiométriques de composition approximative Tb4O7. En solution, le métal existe seulement à l'étattrivalent : [Tb(H2O)n]3+.

Le terbium forme un certain nombre decomposés binaires avec des éléments comme l'oxygène (TbO2, Tb2O3, Tb7O12, Tb11O20), l'hydrogène (TbH2, TbH3), leshalogènes (TbF3, TbF4, TbI3), l'azote (TbN), lephosphore (TbP), lesoufre (TbS), lesélénium (TbSe) et letellure (TbTe), ainsi qu'avec lecarbone, lesilicium, lebore, l'arsenic et l'antimoine[24].

Isotopes

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À l'état naturel, le terbium ne possède qu'un seulisotope stable :159Tb. C'est donc un élémentmononucléidique etmonoisotopique.

Trente-sixradioisotopes synthétiques ont été caractérisés, du terbium 135 au terbium 171. Les plus stables sont le terbium 158, avec unedemi-vie de 180 ans, et le terbium 157, avec une demi-vie de 71 ans. Les deuxmodes de désintégration principaux sont lacapture électronique, qui se traduit par la production d'isotopes dugadolinium, et ladésintégration bêta moins, résultant en isotopes dudysprosium[25].

L'élément possède également 27isomères nucléaires, dont le plus stable,156mTb, a une demi-vie de 24,4 heures[25].

Abondance naturelle et production

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Xénotime deNorvège.

Le terbium est présent en combinaisons avec d'autresterres rares dans plusieursminéraux, comme lexénotime (1 % d'oxyde de terbium), l'euxénite (1,3 %), ou encore lacérite, lamonazite et lagadolinite. L'élément a également été détecté dans la matière stellaire. Son abondance dans lacroûte terrestre est estimée à 1,2 mg/kg[24], il est donc deux fois plus commun que l'argent[8].

En2018, les principales ressources minières sont situées enChine, auxÉtats-Unis, auBrésil, enInde, auSri Lanka et enAustralie. Les réserves en terbium étaient estimées à 300 000 tonnes et la production mondiale est d'environ 10 tonnes par an (donnée2001)[8], mais en avril dans la revueNature des chercheurs japonais estiment que les gisements nouveaux détectés et explorés à l'Est du Japon depuis quelques années représentent sur 2 500 km2 environ 16 millions de tonnes deterres rares, situées dans lesédiment marin, à plus de 5 000 mètres de profondeur ; sur 2 499 km2, le fond contiendrait là plus de 16 millions de tonnes d'oxydes de terres rares, soit 420 ans d'approvisionnement mondial de terbium (et aussi 620 ans d'approvisionnement mondial d'Europium, 780 ans de réserve d'yttrium, 730 ans pourdysprosium, selon une publication d'avril 2018 dansScientific Reports[26] ; cette ressource ne pourrait toutefois pas être exploitée avant 2023 étant donné les coûts et difficultés d'accès[27].

Terbium dans l'univers

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Si rare sur la terre, le terbium est un élément qui se trouve dans les objets célestes.

Du terbium a été détecté dans le Soleil parspectroscopie[28], depuisCharles Augustus Young (au-dessus).

En 2023, du terbium une fois ionisé (TbII en notation spectroscopique, Tb+ en notation chimique) a été détecté, sous forme gazeuse, dans l'atmosphère deKELT-9 b, uneexoplanète de typeJupiter ultra-chaud dont la température atteint4 000 °C. Il semble que l'analyse de cette existence puisse contribuer à déterminer l'âge et l'origine de cette planète particulière[29].

Extraction

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Échantillon de terbium métallique.
Terbium métallique.

Les procédés d'extraction du terbium sont similaires à ceux des autres lanthanides. L'élément est séparé des autres terres rares par des méthodes basées sur l'échange d'ions, qui sont relativement faciles et plus rapides que les techniques decristallisation fractionnée. Le métal est obtenu à partir de son trifluorure (TbF3) ou de son trichlorure (TbCl3) anhydres par réduction thermique avec lecalcium métallique dans uncreuset entantale. Il peut ensuite être purifié par refusion sous vide[24].

Le prix d'un gramme de terbium pur à 99,9 % était d'environ 40dollars américains en 2015[21].

Utilisations

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Propriétés optiques

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Les composés desionstrivalents de plusieurslanthanides fluorescent après stimulation par desrayons UV ou une décharge électrique. Cette particularité en fait des composants de choix pour la conception desluminophores. Ainsi, la fluorescence verte du terbium connaît trois principales applications industrielles :tubes cathodiques destéléviseurs et des écrans d'ordinateurs,tubes fluorescentstrichromatiques pour l'éclairage etradiographie médicale (transformation desrayons X en lumière visible)[30].

Fluorescence du sulfate de terbium.
Exemples de matériaux optiques dopés au terbium
LuminophoreExcitationApplication
Gd2O2S:Tb3+Rayons XÉcrans renforçateurs de rayons X
Rayon cathodiqueTubes cathodiques (vert)
ZnS:Tb3+ÉlectronsPanneaux électroluminescents
LaPO4:Ce,TbRayons UVComposante verte destubes fluorescentstrichromatiques
(Ce,Tb)MgAl11O19
(Gd,Ce,Tb)MgB5O10

À plus petite échelle, les propriétés optiques du terbium sont également utilisés enbiochimie. Ainsi, une méthodespectrophotométrique de détection dessporesbactériennes a été proposée. Elle repose sur l'addition dechlorure de terbium à unlysat d'endospores. L'acide dipicolinique, qui est un marqueur chimique unique des spores,chélate l'ion terbium(III) et forme un complexe qui montre une fluorescence intense dans lespectre visible[31].

Enfin, de manière plus anecdotique, la fluorescence verte du terbium est utilisée comme moyen de protection contre lacontrefaçon des billets de lamonnaie européenne[32].

Propriétés magnétiques

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LeTerfenol-D est unalliage defer et deterres rares de formule Tb0,3Dy0,7Fe1,9 très fortementmagnétostrictif.

Autres

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Notes et références

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  1. abc etd(en) David R. Lide,CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC Press Inc,,90e éd., 2804 p., Relié(ISBN 978-1-420-09084-0)
  2. (en)Beatriz Cordero, Verónica Gómez, Ana E. Platero-Prats, Marc Revés, Jorge Echeverría, Eduard Cremades, Flavia Barragán et Santiago Alvarez, « Covalent radii revisited »,Dalton Transactions,‎,p. 2832 - 2838(DOI 10.1039/b801115j)
  3. (en) David R. Lide,CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC,,89e éd.,p. 10-203
  4. Base de données Chemical Abstracts interrogée via SciFinder Web le 15 décembre 2009 (résultats de la recherche)
  5. SIGMA-ALDRICH
  6. Épuisement des ressources naturelles sur eco-info.org et références en fin d'article.
  7. (en)Episodes from the History of the Rare Earth Elements, Springer Netherlands,coll. « Chemists and Chemistry »,1er janvier 1996(ISBN 9789401066143 et9789400902879,DOI 10.1007/978-94-009-0287-9), xxi.
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  14. (de) JohanBahr et RobertBunsen, « Ueber Erbinerde Und Yttererde »,Annalen der Chemie und Pharmacie,vol. 61,‎,p. 1-34(lire en ligne).
  15. Per TeodorCleve et Otto MagnusHöglund, « Sur les combinaisons de l'yttrium et de l'erbium »,Bulletin de la Société chimique de Paris,t. 18,‎,p. 193-201(lire en ligne).
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  20. MarcDelafontaine, « Sur le Mosandrum, de M. Lawrence Smith »,Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences,t. 87,‎,p. 600-602,lire en ligne surGallica
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  28. Observatoire du Mont Wilson,Contribution from the Mount Wilson Observatory, p. 372, Carnegie Institution of Washington, 1929[lire en ligne]
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Voir aussi

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Liens externes

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 12               3456789101112131415161718
1  H   He
2  Li Be  B C N O F Ne
3  Na Mg  Al Si P S Cl Ar
4  K Ca  Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
5  Rb Sr  Y Zr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
6  Cs Ba  La Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Dy Ho Er Tm Yb Lu Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
7  Fr Ra  Ac Th Pa U Np Pu Am Cm Bk Cf Es Fm Md No Lr Rf Db Sg Bh Hs Mt Ds Rg Cn Nh Fl Mc Lv Ts Og
8  119 120*  
 * 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 


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