Entre 1945 et 1954, 2500 prisonniers y ont vécu dans des conditions terribles de manque de nourriture et d'hygiène, de violence systématique de la part des gardes, de pression psychologique extrême et de propagande[1].
En 2014, il s'est tenu sur le site du camp une conférence conjointe de laFondation Konrad Adenauer et de l'Institut d'études sur les crimes et les conséquences du communisme (Instituti i Studimeve për Krimet dhe Pasojat e Komunizmit, ISKK)[2].