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Tarnos

43° 32′ 28″ nord, 1° 27′ 36″ ouest
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Tarnos
Tarnos
L'église Notre-Dame-des-Forges.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementLandes
ArrondissementDax
IntercommunalitéCommunauté de communes du Seignanx
Maire
Mandat
Marc Mabillet (PCF)
2024-2026
Code postal40220
Code commune40312
Démographie
GentiléTarnosien(ne)
Population
municipale
12 900 hab.(2022en évolution de +4,34 % par rapport à 2016)
Densité491 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 32′ 28″ nord, 1° 27′ 36″ ouest
AltitudeMin. 0 m
Max. 53 
m
Superficie26,26 km2
TypeCeinture urbaine
Unité urbaineBayonne (partie française)
(banlieue)
Aire d'attractionBayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton du Seignanx
LégislativesDeuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Tarnos
Géolocalisation sur la carte :France
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Tarnos
Géolocalisation sur la carte :Landes
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Tarnos
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
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Tarnos
Liens
Site webhttps://www.ville-tarnos.fr/
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Tarnos[taʁnɔs]Écouter est unecommune française située dans le sud dudépartement desLandes enrégionNouvelle-Aquitaine, dans lecanton deSeignanx, aux portes duPays basque.

Ses habitants sont appelés Tarnosiennes et Tarnosiens[1]. C’est la cinquième commune du département en termes de population, aprèsMont-de-Marsan,Dax,Biscarrosse etSaint-Paul-lès-Dax.

Géographie

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Localisation et accès

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Commune de l'aire d'attraction de Bayonne située dans sonunité urbaine sur laCôte d'Argent dans lesLandes de Gascogne, elle est limitrophe desPyrénées-Atlantiques.

Quatrième ville des Landes, située à l'extrême sud-ouest du département[2], Tarnos est une ville de tradition industrielle qui a su préserver un cadre de vie de qualité.

D'une superficie de2 700 hectares, le territoire communal est composé à 75 % de zones naturelles et agricoles le reste constituant la zone urbaine.

La commune de Tarnos est desservie par des infrastructures majeures :RD 810,RD 817, leport de Bayonne et l'aéroport de Biarritz-Pays basque à 15 km.

Ceport industriel est également le point d'arrivée des 106 km de plage landaise.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontAnglet,Bayonne,Boucau,Lahonce,Ondres etSaint-Martin-de-Seignanx.

Carte
Les limites communales de Tarnos et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deTarnos[3]
Océan AtlantiqueOndres
Boucau
(Pyrénées-Atlantiques)
TarnosSaint-Martin-de-Seignanx
Anglet
(Pyrénées-Atlantiques)
Bayonne
(Pyrénées-Atlantiques)
Lahonce
(Pyrénées-Atlantiques)


  • Représentations cartographiques de la commune
  • Carte OpenStreetMap.
    Carte OpenStreetMap.
  • Carte topographique.
    Carte topographique.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat des Landes.

Historiquement, la commune est exposée à unmicro climat océanique basque[4]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat océanique et leclimat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de13,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 430 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Anglet à 8 km àvol d'oiseau[7], est de14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 473,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Tarnos est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11].Elle appartient à l'unité urbaine de Bayonne (partie française)[Note 1], une agglomération internationale regroupant30 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du, diteloi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique dulittoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si leplan local d’urbanisme le prévoit[17].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,4 %), zones urbanisées (21,2 %),terres arables (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,7 %), zones humides côtières (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %), prairies (1 %), eaux continentales[Note 4] (0,7 %), eaux maritimes (0,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieudits et hameaux

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Quatre quartiers composent la commune de Tarnos[19] :

  • Tarnos ;
  • le Boucaud ;
  • Castillon ;
  • la Humère.

Voies de communication et transports

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Voies

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297odonymes recensés à Tarnos
au
AlléeAvenueBldCheminClosImpasseMontéePassagePlacePontRouteRueSquareVenelleAutresTotal
6710[N 1]1[N 2]30057001009107[N 3]2[N 4]1[N 5]3[N 6]297
Notes « N »
  1. DontAvenue du1er-Mai.
  2. Boulevard Jacques Duclos.
  3. DontRue du 19-Mars-1962,Rue du 8-Mai-1945 etRue du 11-Novembre-1918.
  4. Square Albert Mora etSquare des Forges.
  5. Venelle de Suste.
  6. Autres voies non identifiées en relation avec desécarts,lieux-dits,hameaux,zones industrielles,lotissements,résidences,quartiers, etc.
Sources :rue-ville.info &OpenStreetMap

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Tarnos est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deuxrisques technologiques, letransport de matières dangereuses et lerisque industriel[20]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels

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La commune fait partie duterritoire à risques importants d'inondation (TRI) Côtier basque, un des18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur lebassin Adour-Garonne[22]. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue detemps de retour de10 ans à30 ans), moyen (temps de retour de100 ans à300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23]. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1988, 1992, 1995, 1999, 2009, 2014 et 2018 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013, 2014 et 2020[24],[20].

Tarnos est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le, les départements de laGironde, desLandes et deLot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[25],[26].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont un recul du trait de côte et de falaises et des tassements différentiels[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tarnos.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 30,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 911 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 063 sont en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[28],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999, 2014, 2018 et 2020[20].

Risques technologiques

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La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à ladirective européenne SEVESO, classée seuil haut[29] : Alkion Terminals [Ex LBC Bayonne] (notamment pour le stockage de produits liquides inflammables, de divers acides et de soude caustique et de produits de toxicité aiguë)[30].

Le risque detransport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

Toponymie

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Son nomoccitangascon estTarnòs[32]. Son nombasque est quant à luiTarnose[33].

Son nom proviendrait de l’association deTarinus et du suffixe-os.Tarinus serait le nom d'un homme de l'époque gallo-romaine, propriétaire terrien et se retrouve dansTarnac. Le suffixe-os signifie domaine, surface, territoire en ibère.Tarnos signifierait ainsi « domaine de Tarinus ».

Histoire

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Moyen Âge

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Les origines de Tarnos sont méconnues. Ses premières mentions remontent auXIIe et auXIIIe siècle. De plus, le Livre d'Or de la cathédrale de Bayonne datant duXIIIe siècle témoigne à plusieurs reprises de l'existence de la paroisse Saint Vincent de Tarnos.

Jusqu'auXVIIIe siècle, Tarnos est une paroisse à l'habitat dispersé sur plusieurs hameaux et grands domaines : Ordozon, Garros, Romatet, Estiey, Boucau,... Son économie est principalement tournée vers l'agriculture et repose sur la culture et l'élevage traditionnels.

AuXIXe siècle, Tarnos amorce son entrée dans l'ère industrielle et devient au début duXXe siècle le premier pôle du monde ouvrier landais.

Hospitaliers

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L'église fortifiée du centre-ville est une ancienne commanderie-hôpital desHospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Édifiée auXIIe siècle, elle servait principalement à l'accueil des pèlerins de Saint Jacques de Compostelle qui suivaient le chemin du littoral.

Détournement de l'embouchure de l'Adour

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Jusqu'auXVIe siècle, l’Adour traversait Tarnos du sud au nord pour se jeter à Vieux Boucau.Louis de Foix décide de détourner le fleuve et de couper son orientation au nord en construisant une digue et ainsi l’obliger à se jeter dans l’Océan tout proche. La nouvelle embouchure est ouverte le.

Arrivée du chemin de fer et détachement de Boucau

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En 1855, le tracé de la voie qui traverse tout le territoire de Tarnos entraîne la création d’une gare au quartier du Boucau. L’accès maritime et la voie ferrée vont donner un nouvel élan économique. C’est Napoléon III qui décide en 1857 de détacher de la commune de Tarnos, deux sections cadastrales de Boucau et de Romatet pour créer la ville de Boucau, avant port de Bayonne.

Implantation de l'usine sidérurgique des forges de l'Adour

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L’amélioration des accès maritimes, la desserte ferroviaire, la proximité de l’Espagne avec ses gisements de minerai de fer de Biscaye vont conduire à l’implantation de l’usine desForges de l'Adour en 1881, spécialisée dans la production de rails et accessoires des voies ferrées.

Cette industrialisation subite mais remarquable va entraîner une expansion économique et une poussée démographique sans précédent sur la commune.

Époque contemporaine

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Pendant laSeconde Guerre mondiale, l'armée allemande construit différentes casemate duMur de l'Atlantique[34].

Après la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre d'un accord avec la Commission centrale de l’enfance auprès de l'Union des juifs pour la résistance et l'entraide (UJRE), Tarnos accueille chaque année jusqu'en 1973 une colonie de vacances d'enfants juifs orphelins de parents morts en déportation ou fusillés[35],[36].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2020 dans les Landes.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
av. le Joseph Destremaut  
Charles Lalanne  
Pierre Castillon  
Bernard Duboscq  
Joseph Mege  
Salvat Lalanne  
Paul Adoue  
Pierre Lacouture  
Jean Séverin-Rouy  
Joseph Bernettes  
Charles de Lalande  
Jean-Baptiste Devert  
Maurice Labrouche  
François GracietPCFMilitant socialiste
Pierre DufourcetPCF 
Adolphe Pomade  
Pierre DufourcetPCFDestitué[37]
Jean-Baptiste SanglanPCFAdjoint faisant fonction de maire
Alexandre PereyreSFIO 
Jean BébéPCFOuvrier puis petit exploitant agricole[38]
Joseph BiarrottePCFOuvrier aux Forges de l'Adour
Charles DurrotyPCFAncien ouvrier des Forges
Déporté àSachsenhausen en 1943, mort en déportation
Joseph BiarrottePCFAncien ouvrier
Déchu de ses fonctions par leGouvernement de Vichy
Maurice Daugareil Président de la délégation spéciale
Nommé par le préfet et maintenu par le régime de Vichy
Albert CastetsPCFOuvrier aux Forges de l'Adour puis représentant de commerce[39]
Joseph BiarrottePCFAncien ouvrier, ancien déporté àBuchenwald[40]
André MayePCFAjusteur-traceur,1er adjoint au maire(1965 → 1971)
Conseiller général de Saint-Martin-de-Seignanx(1964 → 1988)
Démissionnaire
Pierrette FontenasPCFÉducatrice, adjointe au maire(1977 → 1991)
Conseillère générale de Saint-Martin-de-Seignanx(1988 → 2008)
Présidente de laCC du Seignanx(1993 → 2008)
Démissionnaire
Jean-Marc LespadePCFFonctionnaire territorial
Conseiller départemental du Seignanx(2015 → )
Vice-président de laCC du Seignanx(? → 2014 et 2020 → )
Démissionnaire[41]
[42]En coursMarc MabilletPCFContrôleur principal des douanes, adjoint au maire(2020 → 2024)
Conseiller départemental suppléant

Politique environnementale

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Article connexe :Liste des villes et villages fleuris des Landes.

Dans son palmarès 2024, leConseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[43].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[44],[Note 5].

En 2022, la commune comptait 12 900 habitants[Note 6], en évolution de +4,34 % par rapport à 2016 (Landes : +5,78 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 3151 3271 5552 0022 3242 5142 6512 7602 937
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
3 1121 6571 7381 7881 7391 7962 5302 6453 071
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
3 6173 6303 7743 9024 0874 2504 0123 9114 255
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
4 8135 0546 9598 2199 09910 07611 41312 00712 363
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
12 92012 900-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puisInsee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

La densité de population de Tarnos est passée de 192,5 à 449,3 habitants par kilomètre carré de 1968 à 2009.

Année196819751982199019992009
Densité de population192,5265,0313,0346,5383,6449,3

Économie

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Avant l’arrivée du chemin de fer au milieu duXIXe siècle, l’activité économique de Tarnos se concentre autour des produits de la pêche (la baleine…) et de la polyculture issue des métairies (céréales, vigne, vergers, maraîchage). Quelques moulins à eau fonctionnaient sur les ruisseaux rejoignant l’Adour, l’exploitation des pins fournissait résine et térébenthine ainsi que des goudrons à la Marine Royale. Plusieurs tuileries fabriquaient tuiles et brises.

Avec le recul de l'activité agricole et la diversification économique auXXe siècle, de nouvelles activités se sont alors développées sur le territoire communal. En ce début deXXIe siècle, on y trouve de nombreuses activités commerciales et industrielles modernes, notamment :

Tourisme

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La commune possède 6 km de littoral Atlantique, dont les plages du Métro et de la Digue (entretenues, surveillées en été). Les baigneurs préfèrent majoritairement la plage du Métro car elle propose de nombreux services (restaurant de plage, écoles de surf, location de vélos, parking, desserte de bus...), ainsi qu'une antenne de l'Office de tourisme du Seignanx. Les promeneurs préfèrent la seconde car la digue — un mur de béton d'un kilomètre de long qui plonge droit dans l'océan — offre un panorama exceptionnel sur les côtes basque et landaise.

Hôtels, villages vacances, campings, chambres d'hôtes permettent d'y séjourner toute l'année.

Bus de l'agglomération de Bayonne

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Les lignes 2, 30, 40, 42 et 48 du réseau de busChronoplus, géré parTransdev agglomération de Bayonne, desservent Tarnos en la reliant aux autres communes de l'agglomération :Anglet,Bayonne,Biarritz,Bidart,Boucau etSaint-Pierre-d'Irube[47]. Des lignes complémentaires ouvrent en été, pour rejoindre la plage du Métro. Un trambus inauguré en 2020 permet d'optimiser les déplacements du centre ville vers Bayonne.

Personnalités liées à la commune

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Lieux et monuments

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Voies dédiées pédestres et cyclables

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Voie verte

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La Voie verte du littoral Atlantique aboutit à Tarnos-Plages[48].

Chemin de Compostelle

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Chemin vers plage du Métro

LeChemin de Compostelle passe par Tarnos-Plages où les pèlerins peuvent faire étape en village de vacances.

Plage du Métro à marée montante, au loin les Pyrénées

Édifices et sites

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Événements

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  • Fête de Tarnos la semaine de l'Ascension
  • Teknival à Tarnos (1995). L'un des premiers recensés en France
  • Festival « Les Océaniques » (2002 à 2014)
  • Festival « Jazz en Mars » (depuis 2005)
  • Fête des pins, début juillet

Jumelages

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bayonne (partie française), il y a deux villes-centres (Anglet etBayonne) et28 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. « Le nom des habitants du 40 », surhabitants.fr(consulté le).
  2. « http://www.ville-tarnos.fr/tarnos/page.asp?PAGE=Localisation »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  3. Carte IGN sousGéoportail
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. »[PDF], surhaute-vienne.chambre-agriculture.fr,(consulté le),p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  7. « Orthodromie entre Tarnos et Anglet », surfr.distance.to(consulté le).
  8. « Station Météo-France « Biarritz-Pays-Basque » (commune d'Anglet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  9. « Station Météo-France « Biarritz-Pays-Basque » (commune d'Anglet) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  11. « La grille communale de densité », surinsee,fr,(consulté le).
  12. « Unité urbaine 2020 de Bayonne (partie française) », surinsee.fr(consulté le).
  13. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Tarnos ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bayonne (partie française) », surinsee.fr(consulté le).
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