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TDF

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TDF
logo de TDF
Logo de Télédiffusion de France depuis 2016.

Création
Dates clés1987 : immatriculation de la société actuelle
1991 : entrée dans le groupe France Télécom
2004 : changement de dénomination : Télédiffusion de France devient TDF
FondateursÉtat français
Personnages clésOlivier Huart (2010-2025)
Forme juridiqueSociété par actions simplifiée (SAS)
Slogan« Relier partout, plus vite »
Siège socialMontrouge
Drapeau de la France France
DirectionKarim El Naggar[1]
ActionnairesBrookfield Infrastructure Group : 45 %
APG Asset Management N.V., PSP Investment et Arcus, Infrastructure Partners : 45 %
Crédit Agricole Assurances : 10 %
ActivitéTélécommunications sans fil
ProduitsDiffusion audiovisuelle
Services aux opérateurs télécoms
Déploiement d'infrastructures de fibre optique
Prestations multimédias, distribution de contenus vidéo, audio et données.
FilialesCognac Jay Image (20%) et MMD (Monaco)
Effectif1 700 (2025)
SIREN342 404 399
Site webtdf.fr

Detteen diminution 2 220 millions d'€ (2024)
Chiffre d'affairesen augmentation 799,1 millions d'€ (2024)
777,2 millions d'€ (2023)
Résultat net
242,9 millions d'€ (2024)

Société précédenteORTF
modifier -modifier le code -voir Wikidata 

TDF ouTélédiffusion de France, est un opérateur privé d'infrastructure et une entreprise du secteurnumérique etaudiovisuel. L'opérateur est principalement connu pour détenir et exploiter des sites deradiodiffusion et detélédiffusion. L'entreprise exploite particulièrement laradiodiffusion comme laFM ou leDAB+, latélévision numérique terrestre, les réseaux terrestres privés professionnels comme lesfaisceaux hertziens, la couverturetrès haut débit mobile et le déploiement de lafibre optique. En 2002, l'entreprise devient privée et ne fait plus partie du service public français.

Historique

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Télédiffusion de France (1975-1987)

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En1975[2], l'Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF) est divisé d'une part, en quatre sociétés nationales de programmes comprenantRadio France,TF1,Antenne 2 etFR3 et d'autre part, troisétablissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) comprenant laSociété française de production (SFP) chargée de la production et de la création audiovisuelle, l'Institut national de l'audiovisuel (INA), chargée de la recherche et de la sauvegarde audiovisuelle et Télédiffusion de France (TDF), opérateur chargé de la gestion des émetteurs et de la diffusion.

Formé à partir du regroupement de la régie de diffusion et de la direction de l'action technique de l'ancien office, l'organisme chargé de la diffusion prend le nom deTélédiffusion de France et appelé couramment TDF, doté à sa naissance d'un réseau de liaisonshertziennes comprenant 38 000 km et un important parc immobilier et de sites de retransmission partout sur le territoire français métropolitain et outremer.

Dès le, Télédiffusion de France hérite du principal chantier en cours des services techniques de l'ancien organisme ORTF, l'achèvement de l'installation du réseau TV-3 (FR3). À la fin de l'année 1975, TDF lance le chantier du nouveau réseau TV-1 en 625 lignesSECAM (TF1 Couleur) sur la bandeUHF ayant coûté 400 millions de francs français. Enradiodiffusion, Télédiffusion de France termine l'installation des émetteursFM deRadio France, tout en intervenant à partir de1977, contre l'apparition et la croissance des nouvellesradiospirates. En application de la loi définissant le principe d'unmonopole d'État contourné par lesradios ditespériphériques émettant hors du territoire national, Télédiffusion de France est notamment chargée dubrouillage et du contrôle du spectre hertzien de lamodulation de fréquence sur le territoire français.

Au cours du mois de, legouvernement décide que le passage à la couleur de la première chaîneTF1 doit être effectué par duplication du premier et plus ancien réseau noir et blanc dans la bande UHF. Les pouvoirs publics approuvent le projet comprenant l'échelonnement des mises en service entre fin et jusqu'à. Le programme des réalisations de façon peut avancer substantiellement la date d'achèvement de ce réseau dès l'année 1978. Le projet d'accélération est aux Autorités de tutelle. Le montant des engagements prévus dans le projet de budget pour 1978, s'élève à 85,65 millions de francs et en 1977, sont inscrits 78,43 millions de francs. En 1977, la politique menée par l'Établissement public de diffusion et projetée en 1978 marque une certaine continuité dans la réalisation des objectifs décidés antérieurement, comme l'achèvement en 1977 du programme de mise en service de nouveaux émetteurs pour le troisième réseau de télévisionFrance Régions 3 (FR3), la poursuite de la progressive résorption des zones d'ombre, la suite de la transition vers la télédiffusion en couleur de TF1, l'amélioration des conditions de réception radio en modulation d'amplitude dans le Sud-Est et la Corse ainsi que la poursuite des de l'extension des réseaux radiophoniques en modulation de fréquence des stations publiques (bande FM).

Au début de l'année, huit émetteurs sont mis en service sur le réseau 1 BisTF1

Durant l'année, neuf émetteurs sont mis en service sur le réseauFR3 :

Pour les réseaux radio en modulation de fréquence sur la bande FM, de nouveaux émetteurs sont installés àVerdun,Mende etVittel.

Emetteur Ondes Longues et Ondes Moyennes

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Dans le but d'améliorer et de compléter la desserte de l'émetteur ondes longues d'Allouis dans le Sud-Est et en Corse où la réception s'est dégradée depuis la mise en service, àRoumoules (Alpes-de-Haute-Provence), trois grandes opérations d'équipement sont menées par Télédiffusion de France. Deux opérations sont mises en œuvre, l'une concernant la mise en place d'un nouvel émetteur onde moyenne de 600 kilowatts (deux fois 300 kilowatts couplés) auRéaltor, près de Marseille, représentant le premier émetteur de 300 kilowatts mis en exploitation en. L'autre pour la réalisation du programme d'équipement de laCorse en ondes Moyennes entre 1976 et 1979, comportant la réalisation deux émetteurs de 20 kilowatts et 40 kilowatts à Ajaccio et deux émetteurs de 20 kilowatts pour la ville de Bastia et des régions de Porto-Vecchio et d'Aléria mais toutefois, ces deux derniers sites ne vont jamais être activés. Ces deux émetteurs diffusent les programmes deFrance Inter etFrance Culture. Fin 1976, des émetteurs de 20 kilowatts àAjaccio et àBastia sont installés en remplacement des émetteurs de 8 kilowatts. En 1978, TDF prévoit la mise en service des deuxièmes émetteurs de 40 kW d'Ajaccio et de 20 kilowatts de Bastia.

Libéralisation de la bande FM et abandon de l'ancien réseau TV

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Avec l'arrivée de la gauche au pouvoir en mai 1981, la situation devient favorable à la multiplication des « radios libres ». La première loi (Radio Libre) du (no 81-994)[3],[4] proclame cette liberté de diffusion indépendante du monopole d'État. La deuxième loi concernant la bande FM datée du (no 82-652)[5],[6] proclame cette « liberté audiovisuelle » et tente de l'encadrer et de la contrôler du fait de la quantité limitée de fréquences disponibles. Ces changements sont accompagnés de la création du FSER (Fonds de soutien à l'expression radiophonique).

À la même période, le gouvernementMauroy décide la reconversion de l'ancien Réseau TV-1819 lignes sur la bandeVHF que TDF est chargé de transformer enRéseau TV-4 à lanorme L en625 lignes pour la télédiffusion d'une nouvelle chaîne de télévision privée nationale, attribué sur décision deFrançois Mitterrand au bénéfice du groupeHavas, pour la création deCanal+, le.

Édifiée de 1982 à 1986 sur la commune des Lilas pour prendre le relais desButtes-Chaumont, latour de Romainville constitue, sur le plan de son architecture comme sur celui de nombreuses l'un des symboles de l'expertise de TDF. En complément, TDF se dote d’un nouveau centre de recherche dans le domaine de la radiodiffusion. Il permet de compléter les moyens de recherche dont dispose l’établissement public, avec le Centre d’études et de recherche d’Issy-les-Moulineaux (Cerim) et celui partagé avec le CNET au CCETT, àRennes. Après avoir envisagé plusieurs sites, la ville de Metz est choisie par TDF en, pour implanter le nouveau centre, intituléCentre d'études et de recherche de Lorraine (Cerlor). Étroitement associée auPlan Câble lancé en, TDF intervient dans le domaine des études préalables et de la construction de têtes de réseau.

En, Télédiffusion de France opère la retransmission des quatre stations périphériquesRTL,Europe 1,RMC etSud Radio sur ses propres émetteurs dans la bande FM ainsi que ceux des deux nouvelles chaînes que le gouvernement Fabius vient d'attribuer àLa Cinq et à la première chaîne musicale nationale françaiseTV6, laquelle va cependant être suppprimée par le gouvernement Chirac en 1987, au profit de la chaîne généraliste privéeM6.

TDF SA (1987-2004) vers la privatisation

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En, Télédiffusion deFrance change de statut et devient unesociété anonyme[2] afin notamment de supprimer le financement de TDF par une partie deredevance audiovisuelle et permettre à la société de s'ouvrir à des investisseurs privés. Cette rupture succède à l'adoption d'une démarche commerciale vers 1983-1984 mais est consolidée par laloi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, dite « loiLéotard », aboutissant notamment au remplacement des autorités successives de laCNCL puis à la création duCSA. En1991, le groupeFrance Télécom détient 100 % du capital de Télédiffusion de France SA et associe à partir de 1996 ses activités avec celle deGlobecast au sein de la Division des entreprises audiovisuelles.

En 1993, l'inauguration de la1re antenneAlliss avec le1er système avec émetteur intégré baptisé « Volga » pourRFI est effectué. Plus économique en exploitation et pouvant être adapté à différents besoins de radiodiffusion, le nouveau système conçu et réalisé par l'industriel françaisThomson, adopté par société de radiodiffusion internationale d'ÉtatRFI et exploité par l'opérateur de réseau TDF pour répondre à une mission considérée comme d'intérêt général. L'objectif consiste à développer la présence radiophonique internationale de la France. Ces dispositifs améliorent la réception et apportent à la retransmission en ondes courtes le confort de la puissance d'émission ainsi qu'une certaine souplesse d'exploitation. Le programme Alliss est achevé en 1997, avec la réalisation de 12 antennes géantes.

Le, TDF lance la première expérimentation en taille réelle de télévision numérique terrestre à Rennes. Le signal de lancement est donné depuis Paris, par la Ministre de la Culture et de la communicationCatherine Trautmann, le secrétaire d'État à l'Industrie et le PDG de TDF, Bruno Chetaille. Le, TF1 signe un protocole afin de mener des expérimentations sur cette plateforme. Le multiplex retransmis comprend les cinq chaînes TF1, TF1 16/9, LCI, Odyssée et Shopping Avenue. Le 1999, France 2 et France 3 signent deux protocoles d'accord pour des expérimentations sur le deuxième multiplex, les opérations devant débuter courant avril 1999, après l'obtention des autorisations administratives. Outre les programmes deFrance 2 etFrance 3 Sat, ce multiplex diffuse France 2.2 proposant certains programmes de France 2 à des heures décalées ainsi qu'une compilation des programmes régionaux de France 3. Il sert également à expérimenterTeleweb, le service de vidéo à la demande de la chaîne publiqueFrance 3. Le, le CSA accorde à TDF, un prolongement pour 9 mois de l'autorisation de diffusion du premier multiplex sur laplateforme Bretagne. Le, leCSA accorde à TDF l'autorisation de retransmettre un deuxième multiplex sur laplateforme Bretagne. TF1 etFrance Télévision occupent dès lors pour une durée de trois mois, un multiplex chacun. Le, TDF commence la retransmission du multiplex de TF1 sur laplateforme Bretagne avec les chaînes en clairTF1, TF116/9es,Odyssée etLCI. LeArte/La Cinquième signe avec TDF le protocole d'expérimentation pour la même plateforme. Arte/La Cinquième vont exploiter leur propre multiplex, à partir de et peuvent ainsi tester leurs programmes et services à la norme numériqueDVB-T. Le, TDF démarre en clair, la diffusion du multiplex occupé par le groupe publicFrance Télévision, avec la chaîne nationale France 2,France 3 dans son édition régionale destinée à Rennes, le programme « France 3 Ouest » et plus tard, le serviceFrance 2.2.

Privatisation puis développements (depuis 2002)

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En2002,France Télécom cède Télédiffusion de France SA à un consortium privé, à la suite des déboires de France Télécom dans le rachat de la société anglaiseOrange, et sur injonction directe des autorités de la concurrence de la Commission Européenne. L'actionnariat de TDF est alors composé deCDC Equity Capital[7] etCharterhouse, de laCaisse des dépôts et consignations (France) et deFrance Télécom[8]. En 2004, TDF perd le monopole sur la radiodiffusion et la télédiffusion privée depuis 1986[9], ainsi que la radiodiffusion et la télédiffusion analogique publique. Le[10],France Télécom cède l'intégralité de sa participation résiduelle dans Télédiffusion de France SA aux autres actionnaires privés. La même année, la dénomination juridique de l'entreprise devientTDF. En 2005, TDF perd sonmonopole d'opérateur du service public, pour permettre une concurrence loyale de TDF envers ses adversaires, comme la filiale de NRJ,TowerCast. À la suite de l'appel d'offres lancé parRadio France pour une partie de sesfréquences FM et sous l'impulsion de la tutelle de l'État, souhaitant démontrer que la concurrence est réelle sur ce marché, une importante proportion des sites est attribuée à Towercast deNRJ Group, principal concurrent de TDF en France. En 2006, profitant de la vente parApax Partners d'un bloc de contrôle, TDF rachète la société Antalis-TV[11] créée parXavier Gouyou-Beauchamps, troisième société de diffusion en France de laTNT, après TDF et Towercast. En, TDF annonce une recomposition importante de son capital, avec l'arrivée du fonds d'investissement américainTexas Pacific Group dans l'actionnariat avec 42 % du capital[12],[13]. À l'automne 2007, TDF rachèteAntenna Hungaria (l'organisme de télédiffusionhongrois)[14], ancienne filiale deSwisscom etT-Systems Media & Broadcast, filiale du géant allemand des télécomsDeutsche Telekom. Ces deux acquisitions renforcent TDF dans sa position en Europe occidentale. La même année TDF rachète 24 tours audiovisuelles de l'opérateur néerlandaisKPN, exploitées par une filiale nommée Alticom. Durant l'été 2008, TDF rachète le diffuseur Emettel, spécialiste de la retransmission des chaînes de télévision locales[15].

En, trois des quatre principales organisations syndicales de TDF ont signé un accord portant sur la mise en œuvre prioritaire d'un plan de départs volontaires de 650 emplois car TDF croule sous les dettes[16]. À la suite de ces évènements, Olivier Huart devient le PDG de TDF France en février, secondé temporairement parPatrick Puy comme DG[16]. Olivier Huart conduit une restructuration en profondeur à la suite du passage de la télévision analogique à la télédiffusion numérique. Durant l'année et au terme d'un appel d'offres lancé par lamairie de Paris pour le renouvellement de l'exploitation du sommet de latour Eiffel, TDF se voit renouveler son contrat d'occupation, au détriment de son concurrentTowercast pour cette position stratégique de la région parisienne[17]. Le, le groupe TDF lance son projet TDF 3.0 « Transcending Digital Frontiers » dont le but consiste à transformer et de développer la nature des offres dédiées à l'audiovisuel, au multimédia et aux télécommunications, via des solutions réseaux plus innovantes. Le groupe prévoit un investissement de 2 milliards d'euros pour les dix années suivantes, dont 500 millions pour 2011 et 2012[18]. Le, le groupe TDF cède Alticom à Infracapital, fonds d'investissement deM&G Investments[19],[20]. En 2012, TDF etFrance Télévisions lancent une nouvelle offre nomméeSalto destinée aux possesseurs de récepteursad hoc pour accéder à des services de vidéo à la demande, télévision de rattrapage ou encore transmission d’événements en relief3D[21]. Le, TDF annonce le rachat d'Itas TIM[22] opérateur de sites de télédiffusion, éliminant ainsi l'un de ses derniers concurrents sur le marché français reconstituant dès lors, un quasi-monopole sur ce marché ; cet achat est finalisé le.Towercast filiale deNRJ Group devient l'unique concurrent de TDF dans la télédiffusion en métropole[23].

Tour hertzienne (TDF) de la commune de Saint-Christophe-du-Ligneron (85 Vendée).

En, TDF compte 2 300 clients, qui sont essentiellement les chaînes de télévision, les éditeurs de services multimédias, les stations de radio, les opérateurs de télécommunication, les réseaux ferrés, certaines collectivités locales et quelques acteurs institutionnels.

Activités

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Tour TDF
Tour TDF deScy-Chazelles enMoselle.

Sites et exploitation

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Parmi ses nombreux sites de diffusion s'élevant à 11 850 dans le monde, TDF exploite les principaux points hauts de France comme notamment latour Eiffel, lepic du Midi, l'aiguille du Midi ou lePuy de Dôme. Parmi les autres sites principaux on peut noter le centre d'Allouis, pour les émetteurs et pylônes deFrance Inter en ondes longues jusqu'au, sur la fréquence 1 852 mètres grandes ondes, dont seule la radiodiffusion du signal horaire continue d'être émise sur le pylône de 350 m plus haut que latour Eiffel et le site d'Issoudun pour la retransmission deRadio France internationale en ondes décamétriques. D'autres nombreux relais sont installés sur tout le territoire métropolitain (Tour hertzienne du Vigenetc.).

Satellites européens de télévision directe

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TDF 1 et 2 sont deuxsatellites de télécommunications géostationnaires destinés à la télédiffusion de la télévision analogique à la normeD2 Mac et la haute définitionHD Mac, développés parAerospatiale devenue depuisThales Alenia Space ; lancés les et. Ces satellites sont revendus par la suite àEutelsat.

Identité graphique

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  • Logo de Télédiffusion de France de 1975 au 7 juin 1987.
    Logo de Télédiffusion de France de 1975 au.
  • Logo de Télédiffusion de France du 8 juin 1987 à janvier 2001.
    Logo de Télédiffusion de France du à.
  • Logo de la TDF de janvier 2001 au 24 octobre 2016.
    Logo de la TDF de au.
  • Logo de TDF depuis le 25 octobre 2016.
    Logo de TDF depuis le.

Direction

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PDG de TDF
 

Notes et références

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  1. Thomas Pontiroli, « Après avoir revendu sa fibre optique, TDF change de tête »Accès payant, surlesechos.fr,(consulté le)
  2. a etbTélédiffusion de France et la diffusion des chaines de télévision et de radio
  3. « Loi portant dérogation au monopole d’État de la radiodiffusion », surSénat,(consulté le).
  4. Loino 81-994 du 9 novembre 1981 portant dérogation au monopole d’État de la radiodiffusion (radios privées locales), surLégifrance (consulté le).
  5. « Contrôle de l'application de la loi sur la communication audiovisuelle », surSénat,(consulté le).
  6. Loino 82-652 du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle, surLégifrance (consulté le).
  7. « France Télécom entame son désengagement de TDF en ouvrant son capital », surLes Échos,(consulté le).
  8. Estelle Dumout, « France Télécom sort définitivement du capital de TDF », surZDNet France,(consulté le).
  9. « Le Conseil de la concurrence déclare « caduc » le monopole de TDF », surLes Échos,(consulté le).
  10. Estelle Dumout, « France Télécom sort définitivement du capital de TDF », surZDNet France,(consulté le).
  11. « TDF rachète Antalis », surLe Monde.fr,(consulté le).
  12. « TPG entre au capital de TDF, valorisé 4,85 milliards d'euros », surLes Échos,(consulté le).
  13. « Texas Pacific Group et Axa Private Equity entrent au capital de TDF », surLa Tribune(consulté le).
  14. « TDF rachète Antenna Hungaria », surlemonde.fr,(consulté le).
  15. « Le CSA veut, lui aussi, durcir la régulation de TDF », surlatribune.fr(consulté le).
  16. a etbGrégoire Silly, « Patrick Puy, DG adjoint de TDF : spécialiste des cas désespérés », surcapital.fr,(consulté le)
  17. « TDF remporte l'appel d'offre pour la concession du site de la Tour Eiffel », surlemediaplus.com,(consulté le).
  18. « TDF 3.0 : un plan de développement ambitieux pour TDF », surtelesatellite.com(consulté le).
  19. (en) « Infracapital acquires 100% of Dutch broadcast and telecommunication infrastructure company, Alticom Holdings BV », surInfracapital.co.uk,.
  20. (en) « Prudential's infrastructure fund buys Dutch telecom towers », surReuters.com,.
  21. « TV de ratrappage [sic] : France Télévisions innove et lance « Salto » avec TDF », surtelesatellite.com(consulté le)
  22. Brulhatour, « TDF rachète ITAS TIm », surLa Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio(consulté le)
  23. « TDF rachète son concurrent Itas dans la télédiffusion »,(consulté le)

Liens externes

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TDF
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ORTF
Diffuseur audiovisuel français (depuis1975)
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