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T. S. Eliot

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Pour les articles homonymes, voirEliot.

T. S. Eliot
T. S. Eliot en 1934 par LadyOttoline Morrell.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Church of Saint Michael(en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Thomas Stearns Eliot
Nationalités
américaine(jusqu'en)
britannique(à partir de)
britanniqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Domiciles
Missouri,Saint-Louis, Ash Street(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Période d'activité
À partir deVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Henry Ware Eliot(en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Charlotte Champe Stearns(en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Ada Eliot Sheffield(d)
Margaret Dawes Eliot(d)
Charlotte Eliot(d)
Marian Cushing Eliot(d)
Henry Ware Eliot(d)
Theodora Sterling Eliot(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Vivienne Haigh-Wood Eliot(de à)
Valerie Eliot(en)(de à)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Mouvement
Genre artistique
Poetry and Fiction
Influencé par
Distinction
Archives conservées par
Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits (YCAL MSS 523)
Bibliothèque nationale du pays de Galles (GBR/0272/HB)[1],[2]
Bibliothèques de l'université du Maryland(en) (0066-LIT)
Harry Ransom Center(en) (MS-01300)[3]
University of Victoria Special Collections and University Archives(d) (SC041)[4]
Bibliothèque Bodléienne (CMD ID 12459)[5]Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
signature de T. S. Eliot
Signature

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

T. S. Eliot, de son nom completThomas Stearns Eliot, né le àSaint-Louis (Missouri) et mort le àLondres est unpoète,dramaturge etcritique littéraireaméricain naturalisébritannique[6]. Il a reçu leprix Nobel de littérature en1948[7].

Il est d'abord proche de lamodernité poétique américaine et du groupe formé autour d'Ezra Pound, qui publie dans sa revue le poème d'EliotLa Chanson d'amour de J. Alfred Prufrock (1917), et à qui est dédiéLa Terre vaine (1922). Après sa conversion à l'anglicanisme et sa naturalisation britannique, il se tourne vers une écriture centrée sur la spiritualité, représentée notamment parQuatre Quatuors (1939-1942), recueil qui lui vaudra leprix Nobel de littérature en 1948. Il écrit également sept pièces de théâtre et un grand nombre d'essais sur la poésie et sur des auteurs commeWilliam Shakespeare,Dante Alighieri etEzra Pound[8].

Biographie

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Famille et enfance

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T. S. Eliot est né dans une famille aisée deSaint-Louis dans leMissouri. Son père, Henry Ware Eliot, était un homme d'affaires influent et sa mère, Charlotte Champe Stearns, fut enseignante avant d'écrire de la poésie. Thomas était leur dernier enfant ; ses parents avaient 44 ans quand il est venu au monde, ses sœurs avaient de 11 à 18 ans de plus que lui, son frère 8 de plus.

Son grand-père,William Greenleaf Eliot, était un pasteurunitarien qui s'installa à Saint-Louis quand elle n'était encore qu'une ville-frontière et qui participa à l'établissement de plusieurs des institutions municipales, dont l'université Washington de Saint-Louis. L'un de ses lointains cousins était Charles William Eliot, Président de l'université Harvard de1869 à1909, alors qu'un autre, Tom Eliot, était chancelier de l'université de Washington.

Éducation

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De1898 à1905, Eliot est externe à la Smith Academy de St Louis, une classe préparatoire à l'Université Washington, il y étudie les lettres, le latin, le grec, le français et l'allemand. Il fait un an à laMilton Academy (en) dans leMassachusetts, près deBoston, où il fait la connaissance deScofield Thayer qui publie plus tard son poèmeLa Terre vaine (The Waste Land). Il étudie àHarvard de1906 à1909, où il publie ses premiers poèmes dans la revueThe Harvard Advocate et où il se lie d'amitié avecConrad Aiken. En1910, il obtient sonMaster, puis continue ses études à laSorbonne àParis (1910-1911), où il suit notamment les cours deHenri Bergson et d'Alain-Fournier[source insuffisante]. Il se lie alors d'amitié avec un jeune Français étudiant en médecine, féru comme lui de littérature et de poésie,Jean-Jules Verdenal (né en 1890 à Pau, mort en 1915 dans les Dardanelles) avec lequel il correspond lors de son retour aux États-Unis. Il part en effet pour Harvard et il y poursuit des études dephilosophie. Il achève brillamment une thèse sur le philosophe hégélienBradley. Il se passionne pour laphilologie indo-aryenne et lebouddhisme.

En1914, il obtient une bourse pour étudier auMerton College d'Oxford. Il visite l'Allemagne et prévoit de faire un trimestre de philosophie à l'université deMarbourg pendant l'été, mais laPremière Guerre mondiale éclate et il se rend auRoyaume-Uni. Il n'est pas heureux au Merton College et décline une bourse de seconde année.

Il travaille sur sa thèse qu'il envoie à Harvard et qui est acceptée. En revanche n'étant pas présent pour sa soutenance, il n'obtient pas sonPhD.

Durant ses années estudiantines, il côtoyaGeorge Santayana,Irving Babbitt,Henri Bergson,C.R. Lanman,Josiah Royce,Bertrand Russell etHarold Joachim.

Période britannique

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Dessin de Simon Fieldhouse.

Dans une lettre à Conrad Aiken écrite en décembre 1914, Eliot se plaint d'être toujours vierge, ajoutant :« Je suis dépendant des femmes. Je veux dire de la compagnie des femmes. » Quatre mois plus tard, il est présenté à Vivienne Haigh-Wood et ils se marient le. En 1960, Eliot écrivit :« Je me suis convaincu d'être amoureux de Vivienne simplement parce que je voulais rester en Angleterre et me forcer à rester en Angleterre. Et elle s'est convaincue (sous l'influence dePound) qu'elle pourrait sauver un poète en le forçant à rester en Angleterre. Le mariage ne lui a apporté aucun bonheur… À moi, il m'a mis dans un état d'esprit qui aboutira àThe Waste Land. »

Admirateur deCharles Maurras[9], il fut déçu par sa condamnation par Pie XI en 1926 ; elle le détourna du catholicisme comme nombre de partisans de laHigh Church[10]. En 1927, T.S. Eliot devient citoyenbritannique et se convertit à lareligion anglicane.

Eliot se sépare de sa femme en 1933. Elle le poursuit, adhère même auBritish Union of Fascists (union britannique des fascistes) dans l'espoir de regagner les faveurs de son époux qui avait exprimé son admiration pourMussolini et assiste à ses conférences pour lui demander de revenir à la maison. Elle fut internée dans unasile psychiatrique pendant les neuf dernières années de sa vie sans qu'Eliot vienne lui rendre visite.

Son second mariage, bien que presque aussi court, fut heureux. Il épouse Esme Valerie Fletcher, sa secrétaire depuis août1949 et qui est de trente-huit ans sa cadette, le. Valerie passa ses années de veuvage à préserver l'œuvre de son mari ; elle édite et annoteles Lettres de T.S. Eliot ainsi que le fac-simile deThe Waste Land.

Eliot meurt d'unemphysème à sa maison àKensington àLondres, le. Ses cendres sont déposées en l'église de Saint Michael dans le village deEast Coker d'où les ancêtres d'Eliot étaient originaires avant d'émigrer aux États-Unis. Au deuxième anniversaire de sa disparition, une plaque commémorative est apposée auCoin des poètes dans l'abbaye de Westminster.

Son œuvre

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T.S. Eliot a passé sa vie au Royaume-Uni à partir de 1914. Auparavant, en 1910, il a séjourné à Paris dans lequartier du Montparnasse, où il a rencontré d'autres artistes éminents de son temps.Man Ray fera son portrait. Il s'absorbe dans l'étude dusanskrit et des religions orientales. Il est alors étudiant deGeorges Gurdjieff.

Poésie

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En1915,Ezra Pound, alors éditeur international du magazinePoetry, recommande, à sa directrice et fondatriceHarriet Monroe, la publication deLa Chanson d'amour de J. Alfred Prufrock, où le jeune poète de vingt-sept ans a parfaitement réussi à capter les états d'âme d'un homme de quarante ans.

En octobre1922, Eliot publieThe Waste Land (La Terre vaine) dans la revue qu'il a fondée,The Criterion (1922-1939)[11]. Ce poème, écrit au moment où Eliot souffre au niveau personnel et familial (son mariage va à vau-l'eau) entre en résonance avec les peines de l'époque et de lagénération perdue qui revient de laPremière Guerre mondiale ; il devient l'un des modèles de la nouvelle poésie britannique. Avant même sa publication en livre (décembre1922), T.S. Eliot prend ses distances avec le ton du poème qu'il juge par trop sombre :« En ce qui concerneThe Waste Land, c'est une chose du passé et je me sens tourné vers l'avenir et vers une nouvelle forme et un nouveau style », écrit-il àRichard Aldington en novembre de la même année.

En dépit de la forme complexe du poème, des changements brusques de narrateur, de temps, de lieux, en dépit des références nombreuses et élégiaques à d'autres cultures et d'autres religions,The Waste Land est devenu un phare de la littérature moderne dont certaines phrases sont entrées dans l'anglais courant :April is the cruellest month — « Avril est le mois le plus cruel » ;I will show you fear in a handful of dust — « Je vais vous montrer la peur en une poignée de poussières » ; ouShantih shantih shantih.

La période qui suit sa conversion est, assez naturellement, religieuse, mais s'attache aussi à l'héritage britannique et à ses valeurs. En1928, T.S. Eliot résume son sentiment dans la préface de son livreFor Lancelot Andrewes :« Le point de vue général peut être décrit commeclassique dans sa forme,royaliste dans ses idées et anglo-catholique [sic] dans ses convictions. » Cette période voit la publication duMercredi des cendres – Ash Wednesday, duVoyage des mages – The Journey of the Magi et desQuatre Quatuors – Four Quartets, qu'Eliot considérait comme son chef-d'œuvre et qui est basé sur lesquatre éléments et sur quatre aspects du temps : théologique, historique, physique et humain. LesQuatre Quatuors, écrits de 1935 à 1944, le signalent à l'attention des jurés duprix Nobel de littérature, lequel lui sera décerné en1948[12].

Œuvres

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Poésie et essais

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Théâtre

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Les pièces de théâtre écrites par Eliot, la plupart en vers.

Meurtre dans la cathédrale raconte la mort deThomas Becket, Eliot raconte qu'il a été influencé, entre autres, par les œuvres du prêcheur Lancelot Andrewes. Cette œuvre a été créée en France et mise en scène parJean Vilar en 1945 authéâtre du Vieux-Colombier à Paris, puis aufestival d'Avignon. On a aussi pu en voir une version télévisée en 1967 (en noir et blanc), avecAlain Cuny dans le rôle principal.

Autres

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Eliot est choisi pour faire partie du comité pour une nouvelle traduction de laBible enanglais moderne.

En 1930, il publie la traduction anglaise du poème Anabase de Saint John Perse, agrémentée d'une préface (Londres, Faber & Faber Ltd).

En1939, il publie un livre de poésie pour enfants,Old Possum's Book of Practical Cats qui, après sa mort, fut utilisé dans lacomédie musicale à succès,Cats d'Andrew Lloyd Webber.

Eliot est cité dans un épisode (L'Expérience Lazarus) de la série SFDoctor Who : « C'est ainsi que prend fin le monde, pas dans une explosion mais dans un gémissement ».

Eliot est cité dans l'épisode 18 de la saison 5 de la sérieThe Big Bang Theory : « C'est ainsi que prend fin le monde, pas avec une explosion mais avec un neveu».

Eliot est cité au début de la série "Le Fléau" tiré du roman de Stephen King réalisée en 1994 avec Gary Sinise

Dans les filmsA love song for Bobby Long etIO, respectivementJohn Travolta etMargaret Qualley citent T.S. Eliot : « Jamais nous ne cesserons notre exploration et le terme de notre quête sera d'arriver à l'endroit que nous avons quitté et de le percevoir tel qu'il est. »

Le compositeur Igor Stravinsky a écrit en 1965 unIntroitus à la mémoire de T.S. Eliot.

LacompositricerusseSofia Goubaïdoulina a écrit en1987 unHommage à T.S. Eliot pour octuor et soprano.

Le groupe demetal progressif françaisHord rend très largement hommage au poète dans ses concepts albums,The Waste Land (2010) etThe Book of Eliot ().

La lettreencycliqueLumen fidei, du, cite un poème d'Eliot dans lequel lafoi est mise en relation avec l'existence d'une société éduquée :« Avez-vous peut-être besoin qu'on vous dise que même ces modestes succès / qui vous permettent d'être fiers d'une société éduquée / survivront difficilement à la foi à laquelle ils doivent leur signification[13]. »

Lors d'une scène deIt Follows deDavid Robert Mitchell (2014), une professeure de littérature lit à voix haute le poèmeThe Love Song of J. Alfred Prufrock. Le passage cité est une méditation sur la mort imminente, ce qui pourrait faire écho au danger se rapprochant de Jay, l'héroïne du film d'horreur.

Traductions françaises

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  • Poésie, traduit parPierre Leyris, Paris, Le Seuil, 1947, 1950, 1969.
  • Meurtre dans la cathédrale, traduit parHenri Fluchère, Paris, Le Seuil, 1949.
  • Essais Choisis, traduit par Henri Fluchère, Paris, Le Seuil, 1950.
  • La Coktail Party suivi deLa Réunion de famille, traduit parHenri Fluchère, Paris, Le Seuil, 1952.
  • De la poésie et de quelques poètes, traduit par Henri Fluchère, Paris, Le Seuil, 1957.
  • Dante, traduit parBernard Hœpffner, Climats, 1991
  • La Terre gaste, traduit par Michèle Pinson, lithographies deFrançois Righi, Le Tailleur d'images, 1995
  • Ezra Pound, sa métrique et sa poésie, traduit parPhilippe Blanchon,Éditions de la Nerthe, 2015
  • Les hommes creux, cinq poèmes traduits par Aurélien Galateau et François Heusbourg, tirage limité à 19 exemplaires,Éditions Unes, 2015

Récompenses

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Notes et références

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  1. « http://discovery.nationalarchives.gov.uk/details/a/A13530954 »
  2. « http://discovery.nationalarchives.gov.uk/details/r/1c73e900-f220-41d3-88e4-0ab78ee61303 »(consulté le)
  3. « https://norman.hrc.utexas.edu/fasearch/findingAid.cfm?eadid=00478 »(consulté le)
  4. « https://search.archives.uvic.ca/t-s-eliot-collection »(consulté le)
  5. « https://archives.bodleian.ox.ac.uk/repositories/2/resources/8904 »(consulté le)
  6. « T. S. Eliot est mort »,Le Monde,‎(lire en ligne)
  7. « L'écrivain anglais T. S. Eliot Le physicien britannique P. M. S. Blackett Le savant suédois Tiselius »,Le Monde,‎(lire en ligne)
  8. « T. S. Eliot », surRadio France
  9. (en) James Torrens, « Charles Maurras and Eliot’s ‘New Life.’ »,PMLA,vol. 89,no 2,‎,p. 312-322(lire en ligne)
  10. Stéphane Giocanti,Maurras – Le chaos et l'ordre, éd. Flammarion, 2006, p. 330.
  11. T.S. Eliot,L’unité de la culture européenne Causerieno 2 [surThe Criterion], présentation par Pierre Malherbet, Paris :Ent'revues,La Revue des revuesno 43, 2009,p. 3-13.
  12. (en) « TS Eliot on the Nobel prize: ‘I have never in my life sat at so long a table’ », surThe Guardian,
  13. a etb48 « Choruses from The Rock » in The Collected Poems and Plays 1909-1950, New Yorkhttp://w2.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-francesco_20130629_enciclica-lumen-fidei.html

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Helen Gardner :T.S. Eliot. Poésie et théâtre. Seghers. 1975. (Traduction par Claude Guillot de :The Art of T.S. Eliot, 1968).
  • Georges Cattaui :T.S. Eliot, 1966
  • Stéphane Giocanti :T.S. Eliot ou le monde en poussières, Jean-Claude Lattès, 2002
  • Lyndall Gordon :T.S. Eliot, An Imperfect Life, Norton, New-York, 1999
  • Jean-Paul Rosaye :T.S. Eliot poète-philosophe, essai de typologie génétique, Presses Universitaires du Septentrion, 2000
  • Pierre Vinclair :Terre inculte. Penser dans l'illisible : The Waste Land, Hermann, 2018.

Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données et dictionnaires

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