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Systèmes défensifs de l'Afrique romaine

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Limes africain à la fin duIIe siècle début duIIIe siècle.

LesSystèmes défensifs d'Afrique romaine désignent la série d'aménagements défensifs réalisés par lesRomains enAfrique du Nord.

Les Romains organisent leur système de défense au fur et à mesure de leur progression dans le contrôle des territoires annexés enAfrique et enMaurétanie. À chaque avancée, un nouveaulimes enveloppe des territoires et des populations réputés pacifiés et susceptibles d’accepter la civilisation à la romaine, et les distinguent des zones extérieures où laPax Romana n’est pas encore établie. Par sauts successifs, ce limes finit par atteindre et parfois pénétrer les confins arides du domainesaharien depuis l’Océan Atlantique jusqu’aux déserts de laGrande Syrte.

La frontière de l'Afrique romaine n'est pas conçue à l'échelle de l'empire et ses implications politiques et territoriales font sens à l'échelle de laprovince. Les décisions prises par les Romains en la matière sont très pragmatiques[1].

Ces systèmes diffèrent des limes européens appuyés sur des fleuves : le relief montagneux et étiré d'est en ouest impose de construire desroutes de rocade qui permettent la circulation des troupes et aussi celles des commerçants, des points fortifiés qui les jalonnent et exceptionnellement des ouvrages défensifs tels que murs ou fossés. Des voies transversales unissent ce limes aux principales cités, et à la zone côtière[2].

Le secteur de l'Africa

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Villes et camps d'Afrique romaine

Sur la période républicaine, les sources antiques sont rares sur la présence militaire romaine dans la province d’Africa, pourtant nécessaire pour tenir en respect le royaume numide et surveiller l’approvisionnement vers Rome. SelonFrançois Hinard, la protection de ce territoire était assurée par une présence militaire permanente, au moins unelégion probablement basée àUtique.Paul Orose, auteur tardif, indique en-125 une armée d’Afrique de 30 000 soldats. La période des guerres civiles voit l’accroissement des effectifs chargés de la défense de l’Afrique, qui atteignent 4 légions sous letriumvirLépide[3].

Article connexe :Campagnes d'Auguste en Afrique et en Arabie.

Auguste devenu empereur ramène progressivement cet effectif à une seule légion, lalegio III Augusta. À la fin du règne d'Auguste et sousTibère, les Romains montent le dispositif sécurisant laprovince d'Afrique autour de Carthage. Des routes partent de Carthage : une remonte la vallée de laMedjerda et dessertSicca Veneria (Le Kef) etCirta (Constantine); une autre suit l’oued Miliane viaUthina (Oudna),Thuburbo Majus (Henchir Kasbat),Assuras (Zanfour) jusqu’àAmmaedara, où stationne laIIIe légion.

En 22 ap. J.-C., pour lutter contre l'insurrection deTacfarinas, une première rocade est construite entre Cirta et Leptis, probablementLeptis Minor[4]. Cette voie permet les déplacements de laIIIe légion, pour surveiller d'une part lesAurès et la tribu desMusulames, d'autre part la région duDjerid et lesGétules, zones encore insoumises.

Sous lesFlaviens, le dispositif est renforcé vers l’est et le sud :

Points d'appui du limes, au sud de la Tunisie antique

SousTrajan en 104-105 (datation établie d’après lesbornes milliaires[5] dulégat Minicius Natalis), l’investissement des Aurès par le sud est réalisé : une route ouest-est part deCapsa à travers les zones arides et se borde de camps, connus par laTable de Peutinger :Ad Majores (Henchir Besseriani),Ad Speculum (peut-êtreChebika),Ad Turres (Tamerza),Ad Medias,Ad Badias (Badès),Thabudeoas (Thouda),Vescera (Biskra). De Biskra, la route remonte vers le nord parTubunae et Zarai, rejoint Sitifis (Sétif) et cerne les montagnes de l'Aurès.

L’avancée vers l’ouest continue sousHadrien. Aux prises avec les tribus maures très mobiles qui se déplacent dans l’Atlas tellien et les Hauts Plateaux, et qui menacent les cités côtières et même celles deBétique, Hadrien fortifie les accès à la Maurétanie césarienne et installe des unités supplémentaires venues principalement d’Orient et habituées aux conditions arides[6] :

  • la IIecohorte des Sardes construit son camp en 122 àRapidum (Djouab) à 35 km d’Auzia,
  • la VIe cohorte desCommagéniens un autre camp à Zaraï.
  • la Ire cohorte montée syrienne (cohors IaChalcidenorum) s’installe en 131[7] au camp deGemellae (El-Kasbat), dans le désert au sud duHodna, à une trentaine de kilomètres de Biskra,
  • le commandement de la IIIe légion se rapproche de ces unités et est transféré àLambèse en 128
  • probablement à cette époque sont mis en chantier les segments de routes supplémentaires qui relient les stations deRapidum (Djouab),Auzia (Sour El Ghozlane),Zarai,Sitifis, et la liaison avec la côte versCaesarea (Cherchell) etSaldae (Béjaïa) .

Enfin, un impressionnant système se met en place peut-être sous l’impulsion d’Hadrien : leFossatum.

LeFossatum Africae

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LeLimes Africanus (ouLimes de l'Aurès) est une série d’ouvrages de protection des accès à l’ouest de l’Aurès, mentionnée dans un texte de 409[8]. Il est constitué de plusieurs tronçons repérés par les travaux d’archéologie aérienne deJean Baradez[9], grâce à la différence de végétation dans un paysage aride[2] :

Au sol, les vestiges d’un fossé sont visibles, d’une largeur variant de 4 à 10 mètres, la terre dégagée formant un remblai sur un côté du fossé ou les deux, qui peut s’élever encore sur 1 à 1,5 mètre, parfois remplacé par un mur de pierres sèches. Des tours et des fortins en avant ou en arrière du fossé, des enclos pour les bêtes complètent l’obstacle.

La datation duFossatum est incertaine, son ampleur permet de supposer un étalement de sa réalisation sur plusieurs règnes. Les hypothèses avancées sont les règnes d’Hadrien[10] ou d’Antonin le Pieux, par analogie avec leurs grands aménagements en Bretagne et en Germanie, ou plus tardivementGordien III, lestétrarques,ConstantinIer.

Le secteur de la Maurétanie

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L’annexion de la Maurétanie provoquée de façon inopinée en 40 parCaligula survint alors que les aménagements du pays numide et de l’Aurès n’étaient pas terminés. Cette annexion apportait aux Romains la charge malaisée de la surveillance et du maintien de l’ordre face auxtribus maures. L'espace que Rome devait désormais directement administrer était par ailleurs très hétérogène et marqué par unesolution de continuité : les communications non maritimes entre les deux nouvelles provinces, laMaurétanie césarienne à l'est et laMaurétanie tingitane à l'ouest. Ces deux provinces furent dotées en conséquence de systèmes défensifs très différents qui connurent des évolutions dissemblables.

Jérôme Carcopino proposa de voir unlimes continu partant de l’Atlantique et allant jusqu’à la frontière des deux provinces versMaghnia, selon un parcours par les vallées d’oueds et les lignes de crêtes. Cette thèse ne reçut aucune confirmation des explorations aériennes de J. Baradez, et est abandonnée. Pour Eugène Albertini, suivi par Louis Harmand et leurs successeurs, le Maroc oriental échappa à toute occupation romaine, et sépara les deux provinces de Maurétanie[2] .

La Maurétanie Tingitane

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Article détaillé :Maurétanie tingitane.
Les voies de communication en Maurétanie Tingitane.
Reconstitution hypothétique de laTable de Peutinger par Konrad Miller (1887).

Le système militaire romain en Maurétanie tingitane était organisé le long des voies de communication nord-sud qui partaient deTingi en direction deSala d'une part et deVolubilis d'autre part. Les garnisons semblent avoir été placées pour protéger les zones urbanisées, l'armée romaine surveillant surtout dans la province la "zone civique". Le contrôle des espaces où les populations étaient moins urbanisées et moins sédentarisées était moins constant et pouvait être exercé indirectement à travers des accords passés avec les tribus locales comme lesZegrenses autour deBanasa ou lesBaquates au sud de Volubilis. Jusqu'à l'époque tétrarchique le dispositif ne semble pas avoir connu de grande modification.

La Maurétanie Césarienne

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Articles détaillés :Limes Mauretaniae etMaurétanie césarienne.

La province voisine de Maurétanie Césarienne présente une disposition bien différente et une évolution considérable. Dans un premier temps, il n’y eut qu’une route côtière reliant les divers ports, d’est en ouest :Igligili (Jijel, Djidjelli),Saldae (Bougie, -Béjaïa), l’ancienne capitale de Juba IIIol Caesarea (Cherchell),Cartennae (Ténès),Portus Magnus (Arzew),Castrum Puerorum (Les Andalouses),Rusaddir (Melilla). C’est seulement sous lesAntonins que la circulation sur l’arrière-pays est aménagée : une route s’éloigne de la mer par la vallée duChelif, passe parCastellum Tingitanum (Chlef, El Asnam),Tigava (Les Attafs),Rapidum,Auzia (Aumale) et rejoint la Numidie viaSitifis (Sétif) etCuicul (Djemila)[2],[3].

Sous lesSévères vers 201, une rocade, lanova praetentura marque une nouvelle avancée par le sud du massif de l’Ouarsenis, desservant d’est en ouest lesUzinaza (Saneg),Cohors Breucorum (Tagremaret),Ala Miliaria (Beniane),Lucu (Timziouine),Tassacora (-Sig- ex Saint Denis du Sig ) (Sidi Ali Benyoub, ex Chanzy),Altava (Ouled Mimoun),Pomaria (Tlemcen), et se rapproche de la Méditerranée àNumerus Syrorum (Maghnia). Les termes militairesCohors,Ala,Numerus indiquent clairement des postes militaires et le caractère stratégique de cette voie. L'installation de garnison s'est aussi accompagnée de l'implantation de populations civiles comme l'a montré une inscription latine d'Uzinaza. Dans le même temps, mais sous la responsabilité de l'armée de Numidie, en 198 une position très avancée est créée par des détachements de laIIIe Augusta et de laIIIe Gallica, soutenus par les cavaliers de l’Ala Ia Pannoniorum au sud de l’Ouarsenis, àCastellum Dimmidi (l’oasis deMessaad à 60 km au nord-est deLaghouat). Cette position extrême aux confins du Sahara fut renforcée en 226 par d'un détachement d’archers montéspalmyréens, mais finit par être abandonnée sousGordien III vers 238[2],[3].

Les effectifs

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Étant dirigée par un procurateur derang équestre, donc non habilité à commander une légion decitoyens, la Maurétanie Césarienne est défendue uniquement par destroupes auxiliaires. Elles sont connues par l’épigraphie : des inscriptions funéraires et desdiplômes militaires. L’effectif pour la province est estimé à environ 6 000 hommes, selon un diplôme de 107 qui mentionne troisailes de cavalerie et dix cohortes, réparties sur les divers postes. La capitale provinciale Cherchell est elle-même protégée par plusieurs unités, dont la6e cohortedalmate[3].

Lelimes Tripolitanus

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Article détaillé :Limes Tripolitanus.

Ce limes protecteur de la Tripolitaine fut le dernier aménagé, et porta le contrôle romain sur l’Afrique du Nord à sa plus grande extension. Septime Sévère organisa la protection de l'arrière-pays des villes côtières deOea,Sabratha etLeptis Magna et la surveillance des routes caravanières vers leFezzan et le pays desGaramantes en étendant le limes sur le plateau subsaharien : sa pièce maîtresse est une route qui part vers le sud depuis Tacapa puis tourne droit vers l’Est pour rejoindre Leptis Magna. 18castella et des tours de guet jalonnent cette rocade. Une seconde route périphérique greffée sur la première entoure les bassins de oueds Sofeggin et Zemzen et protège une zone propice à l’élevage et à la culture[2]. Des postes très avancés de ce limes sont construits àCydamus (Ghadamès, Sud Tunisien),Gheria el-Gharbia,Gheria es-Scerghian,Bu Njem (Libye actuelle), et occupés en permanence par des détachements de laIIIe légion[11]. Le dispositif fut mis en place à partir du camp deBezereos, déjà occupé sous Commode, et fut sans doute achevé un peu après201 - date d'installation du camp de Bu Njem.

Après la dissolution de la IIIe légion en238, la Tripolitaine est défendue par des auxiliaires et des détachements de soldats (vexillations) et desnumeri. SousPhilippe l'Arabe de nouveaux forts apparaissent, comme lecentenarium de Gasr Duib[12]. Les inscriptions latines montrent qu'à cette période l'organigramme militaire s'est étoffé, si les forces de Tripolitaine restent dépendantes finalement du légat de Numidie, elles sont placées sous les ordres d'unpraepositus limitis (Tripolitanae) qui a donc la responsabilité militaire du limes Tripolitanus. Celimes est lui-même divisé en régions qui portent aussi le nom de limes : ainsi la région de Gasr Duib est lelimes Tentheitanus, elle était placée sous les ordres d'un tribun. Le dispositif militaire romain en Tripolitaine est considérablement réduit et réorganisé entre259 et263 : c'est à ce moment que Bu Njem est évacué en bon ordre. Ce redéploiement a lieu sans qu'il y ait trace d'un changement important dans la situation locale. On considère en général que le dispositif a été réduit pour pouvoir redéployer des troupes dans des régions plus menacées : ainsi en Numidie la reconstitution de la troisième légion Auguste n'a pas empêché le développement de troubles importants après253.

On ne considère plus aujourd'hui que les forces militaires du limes africain se sont vues renforcées sousSévère Alexandre par des soldats agriculteurs, leslimitanei installés dans des fermes fortifiées[13]. Il s'agit là, comme l'a soulignéAndré Chastagnol d'un des anachronismes qui émaillent l’Histoire Auguste, le terme n'apparaissant que plus tardivement, en même temps que d'une présentation inexacte deslimitanei qui ne furent pas des "soldats-paysans"[14].

Les adaptations duIVe siècle

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Diocèse d'Afrique vers 400

Les aménagements défensifs ne suffisent pas auIIIe siècle à assurer la protection contre les attaques des tribus Maures nomades. Les positions les plus avancées Castelli Dimmidi et Bu Njem doivent être évacuées. En 296Maximien Hercule passe d’Espagne en Maurétanie Tingitane, bat lesBaquates dans leRif et l’Atlas, puis lesBavares et les Quinquegentiani dans leHodna. Il réorganise la défense au prix de l’abandon des zones sud des Maurétanies et de la Numidie, la Maurétanie Tingitane, évacuée jusqu’àLixus, est isolée de la Maurétanie Césarienne et est rattachée au diocèse des Espagnes[6].

Au début duIVe siècle,Dioclétien (ouConstantinIer, la question fait débat) réorganise le déploiement des troupes en Afrique comme dans le reste de l’Empire en deux armées[3] :

  • une armée d’intervention, mobile et puissante, cantonnée loin de la frontière, dénombrant trois légions palatines, huit légions (dont toujours la IIIe Augusta) et dix-neuf vexillations ducomitatus. L’effectif d’une légion est plus petit que celui de la légion classique, et ne dépasse pas mille hommes.
  • une armée sédentaire, de recrutement plus médiocre, répartie sur la frontière. On multiple les forts où elle stationne, chacun occupé par un effectif réduit (centenarium, soit une centaine de soldats) : lecomte d’Afrique commandait 16praepositi limites, ledux de Tripolitaine 12 et ledux de Maurétanie Césarienne 8.

Cette réorganisation permit de venir à bout des insurrections des princes mauresFirmus puisGildon auIVe siècle et résista quelque temps à l’invasionvandale, de 429 à 439.

Cette dernière affirmation est triplement inexacte :

  1. la Guerre de Firmus, un notable berbéro-romain qui s'appuya sur des tribus, mais aussi des villes et des soldats romains de la province, ne concerna que la Maurétanie césarienne. Elle fut vaincue par une armée venue de Grande Bretagne par Arles, commandée par le général Théodose (père du futur empereur de même nom), et non par l'armée de la province.
  2. la Guerre de Gildon, frère de Firmus, certes, mais comte d'Afrique, très proche de la famille impériale (sa fille Salvina avait épousé Nebridius,un neveu de l'empereur) est une révolte romaine, concernant la Proconsulaire et fut vaincue par une armée débarquée d'Italie,
  3. La résistance romaine contre les Vandales fut très faible, puisque des Vandales, débarqués dans le nord du Maroc en 429, prirent Hippone en 430 et des combats sont signalés en Proconsulaire en 430. Toute l'Afrique romaine a été traversée d'un trait ! Il s'est agi d'un effondrement.

Notes et références

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  1. StéphanieGuédon,La frontière romaine de l’Africa sous le Haut-Empire, Madrid, Casa de Velázquez,coll. « Bibliothèque de la Casa de Velázquez »,(ISBN 978-84-9096-205-3,lire en ligne).
  2. abcde etfLouis Harmand,L’Occident romain, Gaule, Espagne, Bretagne, Afrique du Nord, Payot, Paris, 1960, réédité 1970,p. 262-289
  3. abcd eteYann Le Bohec,L’armée romaine en Afrique, article du catalogue l’Algérie antique, exposition 2003 au Musée d’Arles
  4. Tacite,Annales, livre III, 74
  5. AE1910, 21,AE1910, 22
  6. a etbPaul Petit,Histoire générale de l’Empire romain, Seuil, 1974,(ISBN 2020026775),p. 213, 395, 530
  7. En 126 ou même avant selon Louis Harmand
  8. Ce texte est inséré dans leCode théodosien, VII, 15, 1
  9. J. Baradez,Fossatum Africae, Recherches aériennes sur l'organisation des confins sahariens à l'époque romaine, Paris, 1949
  10. Louis Harmand etPaul Petit considèrent qu’il s’agit d’une attribution possible mais non certaine ;Paul Petit,La paix romaine,PUF, collection Nouvelle Clio – l’histoire et ses problèmes, Paris, 1967,2e édition 1971,p. 111
  11. Antonino Di Vita, Ginette Di Vita-Evrard, Lidiano Bacchielli,La Libye antique, Éditions Mengès, 1998,(ISBN 2-8562-0400-7),p. 25-26
  12. G. Di Vita Evrard, "Gasr Duib : construit ou reconstruit sous les Philippes", dansL'armée et les affaires militaires".IVe colloque international d'histoire et d'archéologie de l'Afrique du Nord, CTHS, Paris, 1991,p. 427-444
  13. Histoire Auguste, Vie d'Alexandre Sévère, 58
  14. Y. Le Bohec,L'armée romaine sous le Bas-Empire, Picard, Paris, 2006,p. 144 et 146

Annexes

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Bibliographie

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Articles connexes

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