Pour les articles homonymes, voirSuper Rugby (homonymie) etSuper 10.
| Sport | Rugby à XV |
|---|---|
| Création | 1986 |
| Autre(s) nom(s) | South Pacific Championship (1986-1990) Super 6 (1992) Super 10 (1993-1995) Super 12 (1996-2005) Super 14 (2006-2010) Super Rugby (2011-2020) Super Rugby Trans-Tasman (2021) Super Rugby Pacific (depuis 2022) |
| Organisateur(s) | SANZAAR |
| Périodicité | annuelle |
| Nations | Australie Nouvelle-Zélande Fidji |
| Participants | 12franchises |
| Statut des participants | Professionnel |
| Site web officiel | super.rugby/superrugby/ |
| Tenant du titre | |
|---|---|
| Plus titré(s) | |
| Meilleur(s) marqueur(s) | |
| Meilleur(s) réalisateur(s) | |
| Plus d'apparitions |
LeSuper Rugby est une compétition internationale derugby à XV qui oppose actuellement onzefranchisesaustraliennes,néo-zélandaises et fidjiennes. La compétition a connu plusieurs noms et formules dans le passé. Héritière d'une compétition lancée dans les années 1980 entre six équipes du Pacifique, elle devient professionnelle en1996 et prend le nom deSuper 12. Puis en2006, elle passe à quatorze équipes et est renomméeSuper 14. En2011, une quinzième franchise est introduite, la compétition est renommée Super Rugby. En2016, le Super Rugby passe à 18 équipes et accueille pour la première fois des franchises basées auJapon et enArgentine, avant qu'en2018 on revienne à 15 équipes. En2021, le nombre d'équipes est réduit à 10, avec le départ des sud-africains, argentins et japonais, puis la compétition revient à douze équipes en2022 avec l'intégration desFijian Drua etMoana Pasifika. On utilise parfois abusivement, notamment enFrance, le terme deSuper 15 pour faire référence à cette compétition, tous formats confondus.
La compétition se déroule de février à août et comprend une première phase de poules suivie d'une phase finale à élimination directe sur trois tours.
LesCrusaders possèdent le plus grand nombre de titres avec treize victoires dans l'épreuve.
Le Super Rugby connaît, particulièrement depuis lapandémie de Covid-19, un écroulement de l'affluence. De fait les taux de remplissage des stades ne sont plus donnés ; cela, contrairement aux autres sports majeurs australasiens.
Depuis les origines, ce sont les fédérations nationales, et non les franchises à titre individuel, qui gèrent la compétition et signent les contrats avec les joueurs et les télévisions.
L'histoire des compétitions interprovinciales de l'hémisphère sud remonte à1986. C'est cette année-là qu'une initiative néo-zélandaise donna naissance auSouth Pacific Championship (Championnat du Pacifique Sud). Six équipes participèrent à cette première édition: les provinces néo-zélandaises deCanterbury,Auckland etWellington, les sélections australiennes des États deNouvelle Galles du Sud et duQueensland, ainsi que l'équipe nationale desFidji. Cette compétition dominée par Auckland et disputée à chaque fois par les mêmes équipes, perdura jusqu'en 1990. Après une année d'arrêt en1991, la compétition reprit sous le nom deSuper Six en1992, toujours avec les mêmes équipes.
Avec le retour de l'Afrique du Sud sur la scène internationale, le Super 6 devient leSuper 10 en1993 en intégrant des équipes provinciales sud-africaines. Les dix équipes participant en 1993 étaient l'équipe nationale desSamoa, leQueensland,Otago,Auckland et leNatal en poule A,Waikato,North Harbour, leTransvaal, leNorthern Transvaal et laNouvelle Galles du Sud en poule B. Excepté lesSamoa, toutes ces équipes étaient des sélections provinciales, déterminées en fonction du classement dans le championnat national en ce qui concernait les provinces néo-zélandaises et sud-africaines. Pour cette première édition, leTransvaal triompha d'Auckland à l'Ellis Park. En1994, l'Eastern Province remplaça leNorthern Transvaal, et c'est leQueensland qui remporta la compétition en disposant duNatal en finale. Le Natal atteignit la finale grâce à quatre points obtenus sur tapis vert à la suite du refus de l'équipe deNouvelle Galles du Sud de se déplacer àDurban, prétextant une trop grande insécurité. Le Queensland s'imposa également en1995.
1996 vit une révolution : l'arrivée du professionnalisme. Décidé à exploiter le filon, le magnat australien des médiasRupert Murdoch décida de pérenniser cette compétition en incitant les trois fédérations sud-africaine, australienne et néo-zélandaise à s'associer pour former laSANZAR, chargée de l'organisation de la compétition qui devint leSuper 12, en échange de quoi Murdoch diffuserait les rencontres. Le contrat de dix ans signé entre la SANZAR et le groupeNews Corporation se monte à 555 millions de dollars américains. LeSuper 12 comptait cinq équipes néo-zélandaises, quatre sud-africaines et trois australiennes. Les îles du Pacifique (Samoa et Fidji) invitées dans les compétitions antérieures furent laissées de côté. Les Néo-Zélandais alignèrent des franchises regroupant des provinces duNPC (championnat national des provinces), les Australiens les deux sélections traditionnelles duQueensland et deNouvelle-Galles du Sud, transformées enfranchises professionnelles, ainsi qu'une nouvelle franchise représentant leTerritoire de la capitale australienne et ses alentours, créée pour l'occasion, lesACT Brumbies. Enfin les Sud-Africains alignèrent les deux premières années des provinces deCurrie Cup avant de copier le modèle néo-zélandais et de créer des franchises associant plusieurs provinces. En 1996, les équipes alignées étaient :Natal Sharks,Waikato,Western Province,Canterbury,Otago,Queensland,ACT,Transvaal,Wellington,Northern Transvaal,Nouvelle Galles du Sud etAuckland. Ce nouveau Super 12 comportait une poule unique, ce qui occasionnait de nombreux déplacements, particulièrement fatigants pour les équipes sud-africaines partant durant six semaines consécutives en Australie et Nouvelle-Zélande. Sous l'influence du marketing, les noms des équipes se simplifièrent, chaque entité devant être une marque facilement identifiable comme dans les sports américains. Seules les deux équipes australiennes desNew South Wales Waratahs et desQueensland Reds possédaient des surnoms historiques. Dès l'an 2000, chaque équipe était essentiellement identifiée à un simple surnom, presque débarrassé de son origine géographique (on connaît désormais l'équipe du Queensland sous son surnom de Reds, celle de Canberra sous son surnom de Brumbies etc.). Les franchises néo-zélandaises accolèrent des surnoms à leur appellation originale (WaikatoChiefs par exemple) dès leur première saison, mais les équipes sud-africaines ne portèrent que leur nom géographique lors des deux premières saisons. Ainsi est-on passé du Northern Transvaal aux Northern Bulls, puis aux Bulls, le Transvaal est devenu les Gauteng Lions, puis les Cats et enfin les Lions, le Natal est devenu les Coastal Sharks puis lesSharks, et la Western Province s'est nommée Western Stormers, puis Stormers.
En 2005, la SANZAR renouvelle le contrat, arrivé à expiration, avec News Corporation (pour l'Australie, la Nouvelle-Zélande et leRoyaume-Uni etSupersport (pour l'Afrique du Sud), moyennant 323 millions de dollars sur cinq ans, en échange de l'exclusivité sur leSuper 12 et leTri-Nations. Le tournoi s'élargit, le Super 12 devenant leSuper 14, avec l'intégration de deux nouvelles franchises: laWestern Force, basée àPerth enAustralie et préférée à la candidature desMelbourne Rebels, et lesCheetahs, qui jouent àBloemfontein enAfrique du Sud. En2007, une des cinq franchisessud-africaines devait laisser sa place à la nouvelle franchise desSouthern Spears, mais ce processus est annulé. Cette année-là, pour la première fois, deux équipes sud-africaines, lesSharks et lesBulls, terminent aux deux premières places de la phase préliminaire. Elles remportent leur demi-finale avant de s'affronter en finale àDurban dans la première finale 100 % sud-africaine de l'histoire. L'année suivante, lesCrusaders remportent leur septième titre en treize éditions, soit plus d'une victoire tous les deux ans. En 2009, lesBulls accrochent leur deuxième titre en battant les Chiefs 61-17, il s'agit de la plus large victoire en finale depuis le début de la compétition. Ils font le doublé l'année suivante an battant lesStormers en finale[1].
Dès, dans la perspective de la renégociation du contrat entre la SANZAR et les diffuseurs devant prendre effet en 2011,le principe d'une quinzième franchise basée en Australie est acceptée : il s'agira desMelbourne Rebels, qui avaient été recalés en 2006[2]. Un accord d'un montant de 437 millions de dollars portant sur la diffusion de la compétition ainsi que celle du Tri-Nations pour cinq années est signé par la SANZAR avec Supersport (Afrique du Sud), Fox Sports (Australie) et SKY Television, alors propriété à 44 % de News Corp (Nouvelle-Zélande)[3].Les quinze franchises sont groupées en trois conférences séparées (Australie, Nouvelle-Zélande et Afrique du Sud) de cinq équipes chacune. Chaque équipe joue en matchs aller et retour contre les quatre autres équipes de la même conférence et dispute quatre matchs contre quatre des cinq équipes de chacune des deux autres conférences, soit un total de 16 matchs par équipe dont 8 à domicile. Six équipes, au lieu de quatre précédemment, sont qualifiées pour les playoffs : les vainqueurs des trois conférences ainsi que les trois équipes non classées premières qui comptent le plus de points (wildcards teams). Les deux vainqueurs de conférences qui comptent le plus de points sont qualifiés directement pour les demi-finales et affrontent sur leur terrain les deux vainqueurs d'un tour éliminatoire disputé par les quatre autres équipes qualifiées.
Le Super 15 débute lors de la dernière semaine de février et se termine en août, sauf en 2011, le calendrier devant être modifié pour tenir compte de lacoupe du monde.Sur le plan sportif, la période est dominée par quatre franchises jamais titrées jusqu'alors : les Australiens des Reds (2011) et des Waratahs (2014) et les Néo-Zélandais des Chiefs (2012 et 2013) et des Highlanders (2015) et des Hurricanes (2016). Après les trois titres des Bulls entre 2007-2010, les équipes sud-africaines sont en retrait, seuls les Sharks parvenant en finale en 2012. Les Crusaders, franchise la plus titrée de la compétition, connaissent deux finales perdues (2011 et 2014).
En, la SANZAR annonce qu'elle réfléchit à de nouveaux projets d'expansion avec l'ajout de franchises enArgentine, auJapon et auxÉtats-Unis, des marchés potentiellement porteurs, anticipant sur l'expiration du contrat télévisé après 2015. La compétition change effectivement à nouveau de format en 2016 en passant de 15 à 18 équipes. En, la fédération sud-africaine (SARU) a d'abord obtenu la garantie d'une sixième franchise, évitant les déchirements entre ses propres équipes (six candidats pour cinq places) qui marquaient son histoire depuis 2007. Puis en, une candidature japonaise, en battant un projet basé àSingapour[4], et l'Argentine obtiennent chacun une franchise[5]. Pour le Japon, il s'agit d'une avancée décisive car il engagera sonéquipe nationale afin de la rendre compétitive dans la perspective de l'organisation de laCoupe du monde en 2019 et desJeux olympiques en 2020 (lerugby à sept étant devenu discipline olympique) sur son territoire. Pour l'Argentine, qui n'a pas de championnat de clubs ou de provinces professionnel, il s'agit de poursuivre son développement après ses bons résultats enCoupe du monde (régulièrement qualifiée pour les quarts de finale, elle termine troisième en2007) et l'entrée de son équipe nationale dans leTri-Nations (rebaptisé Rugby Championship à cette occasion), en 2014. Lafédération argentine (UAR), qui a négocié l'accord, alignera son équipe nationale et se passera des internationaux jouant enFrance ou dans lesîles Britanniques, obligeant tout joueur souhaitant représenter les Pumas à évoluer au pays. La franchise devrait être basée àBuenos Aires.
L'augmentation du nombre d'équipes entraîne une modification profonde du système du championnat. Quatre poules sont créées : une en Australie (cinq équipes), une en Nouvelle-Zélande (cinq équipes), deux en Afrique du Sud (quatre équipes : trois sud-africaines et la franchise japonaise ou argentine). Entre 2010 et 2015, lesPampas XV, équipe d'espoirs argentins, avait déjà joué enVodacom Cup, compétition sud-africaine des provinces. Pour les besoins de la phase préliminaire, les poules australienne et néo-zélandaises sont placées dans un groupe australasien, et les deux poules sud-africaines dans un groupe sud-africain. Chaque équipe jouera 17 matches préliminaires : deux (aller-retour) contre les équipes de sa poule, un contre les cinq autres équipes du groupe, et un contre quatre équipes de l'autre groupe. Les playoffs se déroulent avec huit équipes, qualifiées pour les quarts de finale, 5 issues du groupe australasien, trois du groupe sud-africain : les vainqueurs des quatre conférences, ainsi que quatre « wildcards », les trois équipes les mieux classées du groupe australasien (en dehors des vainqueurs des conférences australienne et néo-zélandaise) et l'équipe la mieux classée du groupe sud-africain (en dehors des vainqueurs des conférences sud-africaines). Les huit équipes sont ensuite classées pour déterminer les lieux des rencontres : les quatre vainqueurs de conférence reçoivent les quatre détenteurs des wildcards selon leur classement après les matches préliminaires (le meilleur vainqueur de conférence reçoit le dernier qualifié comme wildcard et.). Les demi-finales et la finale se déroulent sur le terrain de l'équipe la mieux classée.
La saison s'étendra du au, date de la finale (142 rencontres au total). Basée àTokyo, l'équipe japonaise jouera néanmoins trois matches àSingapour auSingapore Sports Hub dans le cadre du développement sportif autant qu'économique du rugby enAsie du Sud-Est souhaité par la SANZAAR[Note 1].
En 2018, à la suite de l’évincement desCheetahs et desSouthern Kings et l’exclusion de laWestern Force, la formule repasse à quinze équipes avec trois poules comme en 2011.
À partir de lasaison 2021, le format de la compétition est réorganisé, avec un passage de quinze à dix équipes. En effet, les quatre franchises sud-africaines restantes (Bulls,Lions,Sharks etStormers) quittent le championnat par décision de lafédération, avec le projet de rejoindre lePro14 européen[6]. SelonJohn Dobson (en),entraîneur desStormers, l'expansion des années 2010 a fait que« les gens n'ont plus compris la compétition et ça a marqué la mort du Super Rugby »[7]. Parallèlement, la franchise argentine desJaguares est écartée pour des raisons économiques, et ils rejoignent laSúperliga Americana[8]. Enfin, le départ de la franchise japonaise desSunwolves, prévu depuis 2019, est officialisé[9]. En revanche laWestern Force, écartée en 2017, fait son retour à la compétition afin de porter à nouveau le nombre d'équipe australiennes à cinq, et le total à dix[10].
La compétition se déroule en deux phases. La première consiste en deux sous-championnats nationaux : leSuper Rugby AU et leSuper Rugby Aotearoa. Le premier regroupe les cinq équipes australiennes, et le second les cinq équipes néo-zélandaises. Ces deux compétitions se déroulent parallèlement, lors de dix journées et se terminent par de courtes phases finales. Le Super Rugby Aotearoa s'achève sur une simple finale entre le premier et le deuxième du classement, tandis que le Super Rugby AU voit d'abord s'affronter le deuxième et le troisième du classement dans une finale préliminaire, avant que le vainqueur joue le premier dans la grande finale[11],[12]. À la fin de cette première phase, les dix équipes sont regroupées au sein duSuper Rugby Trans-Tasman (en). Il s'agit d'un championnat en cinq journées, avant une finale entre le premier et le deuxième du classement[13].
Pour la saison 2022, le nom de la compétition change[14] et le format est réorganisé, avec un passage de dix à douze équipes. La première des deux nouvelles franchises est leMoana Pasifika, affiliée à la fédération néo-zélandaise et basée àAuckland, et qui a pour but de représenter les nations du Pacifique, particulièrement les Samoa et Tonga[15],[16]. La seconde est la franchise fidjienne desFijian Drua, qui a auparavant disputé lechampionnat national australien[17].
Les Crusaders remportent l'édition en battant les Blues en finale sur le score de 21 à 7[18].
Le 2 décembre 2022, il est annoncé que le Super Rugby Pacific est maintenu sous ce format jusqu'en 2030[19].
À compter de 2022, la compétition oppose les douzefranchises issues de trois nations. Pour plus de détails sur les zones géographiques concernées par les franchises, australiennes, sud-africaines et néo-zélandaises, voir l'équivalence géographique des franchises du Super 15.
La compétition oppose douzefranchises issues d'Australie, desFidji et deNouvelle-Zélande. Chaque franchise représente uneaire géographique.
| Date | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu | Spectateurs | 1er de la phase régulière |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 19 – 12 | Jade Stadium,Christchurch | 36 500 | ||||
| 20 – 19 | ABSA Stadium,Durban | 54 000 | ||||
| 20 – 12 | AMI Stadium,Christchurch | 26 000 | ||||
| 61 – 17 | Loftus Versfeld Stadium,Pretoria | 55 000 | ||||
| 25 – 17 | Orlando Stadium,Soweto | 40 000 |
| Date | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu | Spectateurs | 1er de la phase régulière |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 18 – 13 | Suncorp Stadium, Brisbane | 52 113 | ||||
| 37 – 6 | Waikato Stadium, Hamilton | 25 100 | ||||
| 27 – 22 | Waikato Stadium, Hamilton | 25 114 | ||||
| 33 – 32 | ANZ Stadium, Sydney | 61 823 | ||||
| 21 – 14 | Westpac Stadium, Wellington | 35 896 |
Les saisons 2020 et 2021 ayant été disputées dans des conditions particulières, elles n'ont pas officiellement décerné de titre.
| Rang | Franchise | Victoires | Finales perdues |
|---|---|---|---|
| 1 | 13 | 4 | |
| 2 | 4 | 2 | |
| 3 | 3 | 0 | |
| 4 | 2 | 4 | |
| 5 | 2 | 3 | |
| 6 | 1 | 2 | |
| - | 1 | 2 | |
| 8 | 1 | 1 | |
| 9 | 1 | 0 | |
| 10 | 0 | 4 | |
| - | 0 | 3 | |
| - | 0 | 1 | |
| - | 0 | 1 |
| Rang | Pays | Victoires | Finales perdues |
|---|---|---|---|
| 1 | 21 | 11 | |
| 2 | 4 | 6 | |
| 3 | 3 | 8 | |
| 4 | 0 | 1 |
Les records référencés par la SANZAAR sont[22] :
Les records référencés par la SANZAAR sont[23] :
| Rang | Joueurs | Club(s) | Période | Matchs |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Crusaders | 2006-2018 | 202 | |
| 9 | Queensland Reds,Brumbies | 2010- | 197 | |
| 2 | Highlanders | 2011-2023 | 185 | |
| 3 | Chiefs | 2006-2018 | 182 | |
| 4 | Crusaders | 2010-2023 | 181 | |
| 5 | Brumbies,Moana Pasifika | 2008-2024 | 180 | |
| 6 | Crusaders,Hurricanes | 2009-2024 | 178 | |
| 7 | Reds,Brumbies | 2003-2017 | 177 | |
| 8 | Blues | 2000-2015 | 175 | |
| 9 | Hurricanes,Blues,Highlanders | 2003-2019 | 174 | |
| 10 | Brumbies,Waratahs | 2007-2023 | 172 |
| Rang | Joueurs | Club(s) | Période | Points |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Crusaders | 2003-2015 | 1708 | |
| 2 | Bulls | 2005-2020 | 1551 | |
| 3 | Hurricanes,Blues | 2011- | 1545 | |
| 4 | Chiefs | 2015- | 1432 | |
| 5 | Crusaders | 2016-2023 | 1227 | |
| 6 | Lions,Stormers | 2011-2020 | 1189 | |
| 6 | Brumbies,Moana Pasifika | 2008- | 1104 | |
| 7 | Waratahs | 2011-2019 | 1095 | |
| 9 | Brumbies,Rebels | 1998-2012 | 1036 | |
| 10 | Crusaders | 1997-2005 | 990 |
| Rang | Joueur | Clubs | Période | Essais |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Crusaders | 2019- | 66 | |
| 2 | Hurricanes | 2012-2024 | 65 | |
| 3 | Hurricanes,Moana Pasifika | 2011- | 63 | |
| 4 | Waratahs | 2013-2019 | 60 | |
| 5 | Highlanders,Hurricanes,Blues | 1997-2007 | 59 | |
| 6 | Chiefs,Blues,Crusaders | 1997-2008 | 58 | |
| 7 | Brumbies | 1996-2004 | 57 | |
| 8 | Hurricanes,Blues,Highlanders | 2003-2019 | 56 | |
| Hurricanes | 1996-2003 | |||
| Bulls,Stormers | 2005-2013 | |||
| Brumbies,Rebels | 1998-2012 |
Sur les autres projets Wikimedia :
| Anciennesfranchises | |
|---|---|
| Éditions | |
| La compétition s'appelleSuper 12 de 1996 à 2005,Super 14 de 2006 à 2010 etSuper Rugby depuis 2011. | |
| Principales compétitions (nations) |
|
|---|---|
| Autres compétitions (nations) |
|
| Principales compétitions (clubs) | |
| Autres compétitions (clubs) | |
| Compétitions disparues (nations) | |
| Compétitions disparues (clubs) | |
| Fédérations |
|
Compétitions majeures de clubs de rugby à XV | |
|---|---|
| Principales compétitions (hémisphère Nord) |
|
| Principales compétitions (hémisphère Sud) |
|
| Compétitions nationales | |