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Stains

48° 57′ 00″ nord, 2° 23′ 00″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirClos Saint-Lazare.

Stains
Stains
La mairie
Blason de Stains
Blason
Image illustrative de l’article Stains
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionÎle-de-France
DépartementSeine-Saint-Denis
ArrondissementSaint-Denis
IntercommunalitéMétropole du Grand Paris
EPT Plaine Commune
Maire
Mandat
Azzédine Taïbi (DVG)
2020-2026
Code postal93240
Code commune93072
Démographie
GentiléStanois, Stanoises
Population
municipale
40 600 hab.(2022en évolution de +2,48 % par rapport à 2016)
Densité7 532 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 57′ 00″ nord, 2° 23′ 00″ est
Altitude46 m
Min. 21 
m
Max. 61 
m
Superficie5,39 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton de Saint-Denis-2 (Seine-Saint-Denis)
Législatives4e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Stains
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Stains
Géolocalisation sur la carte :Seine-Saint-Denis
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Stains
Géolocalisation sur la carte :Île-de-France
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Stains
Liens
Site webhttps://www.stains.fr/
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Stains ([stɛ̃] ;prononciation) est unecommune française, située dans le département de laSeine-Saint-Denis enrégionÎle-de-France.

Ses habitants sontappelés lesStanois et lesStanoises.

Géographie

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Description

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Ancienne borne routière de laRN 301, rue Carnot.

La commune de Stains est située en banlieue nord deParis, entre le centre de la capitale (14 km) et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (16 km) sur laroute nationale 301. Elle est aisément accessible par la sortieSortie 4 de l'autoroute A1. La commune fait partie de laPlaine de France.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes limitrophes de Stains sontSaint-Denis,La Courneuve etDugny (enSeine-Saint-Denis) ainsi queGarges-lès-Gonesse etSarcelles (dans leVal-d'Oise).

Les communes limitrophes sontLa Courneuve,Dugny,Garges-lès-Gonesse,Saint-Denis etSarcelles.

Carte
Le territoire de la commune et ses communes limitrophes[Note 1].
Rose des ventsSarcellesSarcellesGarges-lès-GonesseRose des vents
Pierrefitte-sur-Seine
(Commune déléguée deSaint-Denis)
NDugny
O   Stains   E
S
Saint-DenisSaint-DenisLa Courneuve

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de la Seine-Saint-Denis.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[1]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiqueSud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,9 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 663 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située àBonneuil-en-France à 4 km àvol d'oiseau[3], est de12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records LE BOURGET (95) - alt : 49m, lat : 48°58'02"N, lon : 2°25'39"E
Records établis sur la période du 01-07-1920 au 03-12-2023
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)2,32,14,26,39,81314,914,611,58,85,22,88
Température moyenne (°C)4,95,48,411,214,71820,22016,512,78,15,412,1
Température maximale moyenne (°C)7,58,712,616,119,62325,525,421,516,511,17,916,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,2
17.01.1985
−16,8
14.02.1956
−9,6
07.03.1971
−3,7
01.04.1931
−1,6
06.05.1957
0,9
13.06.1935
3,5
09.07.1929
1,9
01.08.1923
0,1
24.09.1931
−5,6
30.10.1985
−9,5
28.11.1921
−15,1
16.12.1925
−18,2
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
20,8
28.02.1960
25,5
31.03.21
31,9
18.04.1949
35
24.05.1922
36,9
27.06.11
42,1
25.07.19
40,2
12.08.03
35,3
09.09.23
29,4
04.10.1921
21,3
08.11.15
17,2
16.12.1989
42,1
2019
Ensoleillement (h)5747371 2931711 8942032 1322 0641 6161 11363754316 342
Précipitations (mm)46,841,143,943,160,553,856,352,544,656,753,663,4616,3
Source :« Fiche 95088001 », surdonneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au, Stains est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Quartiers

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Trois nouveaux immeubles du Moulin-Neuf en 1959.

Les principaux quartiers sont : le quartier Maxime Gorki (Cité l'Orée du bois, Victor-Renelle,boulevard Maxime-Gorki), le Maroc, le Moulin-Neuf, le Clos Saint-Lazare, Allende, André-Lurcat, le Vieux-Stains, Stains-Village (qui en est le centre historique), les Prévoyants, les Parouzets et la Prêtresse Carnot.

Habitat

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Logements[12]Nombre en 2016% en 2016nombre en 2011% en 2011
Total14 479100 %13 023100 %
Résidences principales13 43992,8 %12 10893,0 %
→ Dont HLM6 33047,1 %6 91157,1 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
240,2 %350,3 %
Logements vacants[Note 5]1 0157 %8806,8 %
Dont :
→ maisons3 90727,0 %3 87329,7 %
→ appartements10 19170,4 %8 74367,1%

Les logements sociaux de Stains sont gérés par 8 différents bailleurs, dont le principal est l’office public de l'habitatSeine-Saint-Denis habitat (SSDH).

Selon le recensement de 2016, la ville compte 13 439 résidences principales, dont 4 082 occupées par leurs propriétaires[13].

Projets d'aménagement

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La ville comprend unezone franche urbaine, dans le secteur du Bois Moussay, et troiszones urbaines sensibles : le Clos Saint-Lazare, Allende et le Moulin-Neuf.

La Municipalité etPlaine Commune ont conventionné avec l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) des projets de rénovation urbaine portant sur la Cité Jardin (53 million d'euros), le Clos Saint-Lazare et Allende (173 millions d'euros) et Moulin neuf (9 millions d'euros). Cette convention succède auGrand projet de ville qui les concernait antérieurement.

La Cité Jardin de Stains a été conçue parGeorges Albenque (1877-1963) et Eugène Gonnot (1879-1944) qui étaient des architectes voyers[pas clair] de la ville de Paris et spécialistes du logement social. La cité Jardin sera construite entre 1921 et 1933 et comporte 1 622 logements dont 472 pavillons[14]. La rénovation de la Cité Jardin s'est effectuée en quatre tranches, de 2005-2015. Ce quartier est un exemple du logement social de l'entre-deux guerres. Stains est d'ailleurs une ville où chaque période historique se raconte dans les logements sociaux[15].

Le Clos Saint-Lazare, vu de l'ouest. Le bâtiment au premier plan a été démoli dans le cadre de la réhabilitation du quartier.

Le Clos Saint-Lazare est la plus grande cité de la ville de Stains, avec ses (2 257 logements abritant 10 000 à 12 000 habitants) répartis dans 28 bâtiments d'habitat collectif, comptant 2 193 logements et 60 pavillons. Le quartier du Clos Saint-Lazare est situé au sud-ouest de la ville, à 5 minutes à pied ducentre-ville. Il occupe une superficie de 29 hectares.

Sous la direction de l'architecte coordinateurClément Tambuté, cegrand ensemble a été réalisé sur desterrains maraîchers entre 1966 et 1970 par l'OPHLM de laSeine qui l'a géré jusqu'en1982. Depuis, l'ensemble de la cité et du foncier est la propriété de l'ODHLM de laSeine-Saint-Denis (OPH de Seine Saint Denis depuis le passage des offices HLM en établissement public à vocation industrielle et commerciale, EPIC, en 2008). Après une première réhabilitation dans les années 1980, la ville de Stains, en partenariat avec l’ODHLM départemental de laSeine-Saint-Denis et l’État, a entrepris depuis1999 de transformer le quartier du Clos Saint-Lazare au moyen d'un ample projet urbain conventionné avec l'ANRU comprenant notamment la réhabilitation de 1 277 logements, la démolition de 524 logements avec construction d'un même nombre de logements et la reconstruction d'un groupe scolaire[16].

Voies de communication et transports

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Desserte routière

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Transports en commun

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La ville est desservie par les bus suivants :

Les gares du RER les plus proches sont :

Mis en service le, le tram-trainT11 relie lagare d'Épinay-sur-Seine à celle duBourget par de nouvelles voies créées le long de laGrande Ceinture. Elle dessert les gares dePierrefitte - Stains et deStains-La Cerisaie.

Laligne 13 du métro de Paris est accessible par les lignes RATP :

Le 252 amène les Stanois vers la stationPorte de la Chapelle ou lagare de Garges - Sarcelles.

Letramway T1 est accessible depuis Stains avec le bus 150 en direction de Porte de la Villette (arrêt « Six Routes »), avec le bus 253 en direction de Stade de France-Saint-Denis RER D (arrêt « Cimetière »), avec le bus 255 en direction de la Porte de Clignancourt (arrêt « Marché de Saint-Denis ») et avec la ligne 11 (arrêt « Marché de Saint-Denis ») et aussi avec le RER D en direction de Paris (gare de Saint-Denis).

Projets

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Cet article ou cette section contient des informations sur unprojet de transport en Île-de-France.

Il se peut que ces informations soient de nature spéculative et que leur teneur change considérablement alors que les événements approchent.

Le prolongement de laligne 13 du métro à Stains a été demandé de longue date par les habitants et leur municipalité. Il s'agissait de prolonger la ligne deSaint-Denis Université à lagare de Stains - La Cerisaie, où il aurait été en correspondance avec leT11, avec une station intermédiaire au Globe. Toutefois, compte tenu de la saturation de la ligne 13, ce projet ne pouvait être réalisé avant que l'une des deux branches de la ligne soit déconnectée, soit en faisant une ligne autonome qui aurait son terminus àSaint-Lazare, soit en la raccordant à laligne 14. Aucune de ses solutions n'a été retenue et depuis 2018, ce projet n'est plus réclamé par le maire de Stains, au profit d'un prolongement de laligne 12[17].

Dans le cadre d'un projet de liaisonTGV entre la Normandie (Cherbourg etCaen) etl'aéroport de Roissy, une gare TGV est envisagée à Stains, sur laGrande Ceinture. Elle ne serait desservie que par quelques trains par jour, qui circuleraient à la vitesse autorisée sur la Grande Ceinture, c'est-à-dire lentement.

Toponymie

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Stains apparaît sous le nom deSetenis auXIIe siècle,Sextanis ouStannis auXVe siècle,Stains en France en 1492. Le nom pourrait provenir deStagna (lieu submergé) ou dePays de Sexlius, du nom du propriétaire auIVe siècle[18].

Histoire

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Moyen Âge

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Sceau de Stains en 1309.

La communauté est érigée enparoisse indépendante parPierre II de la Chapelle,évêque de Paris en février 1213, par distraction de la paroisse de Saint-Léger, par unecharte de l'abbaye de Saint-Denis[19].

En 1315, Stains a uneléproserie. AuXVe siècle, elle est établie enseigneurie. L'église date en partie duXVIe siècle.

En 1480,Louis XI donne la seigneurie à Jacques de Saint-Benoist sonchambellan.

Les terres etseigneuries de Stains, village près deGonesse, sont cédées en janvier 1239, à la commanderie de Gonesse par Gervais de Chaumont, avec le contentement de Guillaume de Flaucourt, pour le prix de 12 livres parisis[20],[21]. Lors de ladévolution des biens de l'ordre du Temple lemembre de Stains passe à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Article détaillé :Commanderie de Gonesse.

Temps modernes

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La seigneurie passe ensuite à divers propriétaires jusqu’en 1752 :

En 1752,Jean-Charles Perrinet d'Orval,fermier général, y fit bâtir le superbe château queJérôme Bonaparte, roi de Westphalie, acheta en 1810.

Révolution française et Empire

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Pendant laRévolution française, lecahier de doléances de la paroisse réclame l'égalité devant l'impôt, la suppression du privilège de la chasse, la gratuité de l'école et des soins pour les indigents.

Époque contemporaine

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Lechâteau de Stains, après les batailles de laguerre franco-prussienne de 1870. La légende du document original indique :« En vain, le quartier général (prussien)essaya-t-il de s'installer au château de Stains, dans cette belle résidence de la famille de Vatry qu'on voit trouée et démolie en partie : force fut aux Prussiens, devant les obus de nosforts, de le transférer àEnghien.
Le
(1871)seulement, l'ennemi réussit à implanter une batterie à laButte-Pinson, sur le flanc de la colline voisine de Stains. C'est de là que commença le bombardement deSaint-Denis. Jusque-là, l'artillerie du Général Bellemare avait pu paralyser le feu de l'ennemi. »

Stains a beaucoup souffert de laguerre de 1870, qui provoque la destruction du château et du parc.

Le, unballon monté dénomméPiperNo 1 (ounon dénomméNo 2), parti de laplace Saint-Pierre àParis,assiégée par les Prussiens, monté par M. Piper et son secrétaire M. Friedman, atterrit à Stains, à la suite d'une erreur de manœuvre, juste avant les lignes ennemies[22].

L'industrialisation de la commune a débuté sous leSecond Empire et s'est fortement développée durant la première moitié duXXe siècle, avant de décroître très fortement à partir des années 1970.

Le site a inspiréMaurice Utrillo.

Anciens transports

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Plan à l'usage des livreurs, début duXXe siècle. On y distingue clairement le réseau hydrographique de la commune, ainsi que le tracé dutramway« SdS » venant deSaint-Denis par le Carrefour du Globe. LaRN 301 passe encore par la rue Carnot.

La ligne Paris -Creil (RER D actuel) dessert lagare de Pierrefitte - Stains depuis la seconde moitié duXIXe siècle. En 1896, cette station était desservie par 13 trains allant sur Paris et 14 trains allant vers Creil, entre 5 heures du matin et minuit et demi.

LaGrande Ceinture est une ligne dechemin de fer qui fait le tour de Paris depuis 1880 environ. Elle a accueilli des voyageurs jusqu'en 1939, et desservait la ville par la gare deStains-Grande ceinture. En 1896, cette gare était desservie par quatre trains par jour dans chaque direction.

Un tramway électrique est exploité à partir du entre Saint-Denis et la Place de Vatry à Stains. La ligne porte le nom de lignesDS desTPDS, puis, après leur fusion dans laSTCRP, l'indice de ligne79.

La ligne est prolongée du Barrage de Saint Denis (actuellePlace du Général-Leclerc) à laporte de la Chapelle le, mais pour une faible durée : le terminus est ramené au barrage de Saint Denis le, avant la suppression complète de la ligne le.

Le prolongement par lesChemins de fer de grande banlieue de cette ligne de tramway a été envisagé dans la convention de concession passée le entre le département deSeine-et-Oise et la compagnie, qui aurait permis d'atteindreGonesse. Ce projet n'a pas été mis en œuvre[23].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Jusqu’à la loi du[24], la commune faisait partie du département de laSeine. Le redécoupage des anciens départements de laSeine et deSeine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à laSeine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif le. Elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Denis. Pour l'élection des députés, elle fait partie de laquatrième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

Stains a fait partie de 1801 à 1893 ducanton de Saint-Denis, année où il rejoint lecanton d'Aubervilliers dudépartement de la Seine. Lors de la création du département de la Seine-Saint-Denis, la commune devient lechef-lieu ducanton de Stains[25]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France la commune intègre lecanton de Saint-Denis-2.

Intercommunalité

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La commune a rejoint lacommunauté d'agglomération Plaine Commune le, suivant l'avis de référendums populaires tenus le.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le1er janvier 2016, lamétropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[26].

Laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, lesétablissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Plaine Commune, qui succède à la communauté d'agglomération éponyme[27].

Articles détaillés :métropole du Grand Paris,établissement public territorial etPlaine Commune.

Tendances politiques et résultats

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Pour les échéances électorales de 2007, Stains fait partie des 82 communes[28] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé lesmachines à voter.

Élections municipales

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Le maire sortantPCF Michel Beaumale, est réélu en 2008 au premier tour avec 53,4 % des suffrages exprimés[29].

En 2014, fait historique, la liste de gauche conduite par le PCFAzzédine Taïbi — Michel Beaumale ne se représentant pas — n'est pas élue dès le premier tour. La droite conduite par l'UMP Julien Mugerin[30] impose un second tour mais la gauche l'emporte avec 50,33 % des voix[31].

Article détaillé :Élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis.

La liste PCF - PS - LFI - EÉLV - G·s - PRG que conduit Azzédine Taïbi aux municipales de 2020[32] remporte l'élection dès le premier tour avec 57,88 % des voix, devançant la liste DVD - LR - UDI - SL - LC - LGM de Julien Mugerin qui obtient 30,19 %[33].

Article détaillé :Élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis.

Élections départementales

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En 2015, le premier tour de l'élection départementale donne les scores suivants à Stains : Silvia Capanema et Azzedine Taibi (Front de gauche) 43,07%, Julien Mugerin et Éveline Nicol (Droite) 21,33%, Céline Le Huu et Ulrich Rougé (FN) 16,87%, Najia Amzal et Corentin Duprey (PS) 11,30%, Habiba M'Ghizou et Slimane Rabahallah (DVG) 3,79%, Mansoria Abbou et Rosan Hurtus (DIV) 2,28%, Yves Gras et Nathalie Labbe (EXG) 1,36%.

Le binôme socialiste arrivé deuxième sur l'ensemble du canton au premier tour ne se maintient pas et permet au maire d'être élu conseiller départemental en binôme avec Silvia Capanema avec un score de 100% sur lecanton de Saint-Denis-2.

Article détaillé :Élections départementales de 2015 dans la Seine-Saint-Denis.
( à droite de la photo) Maire de la commune de Stains .
Michel Fourcade (maire-délégué de Pierrefitte) et, à droite, Azzedine Taibi

Liste des maires

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Liste des maires successifs de Stains[34]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
17891793Jean-Louis Veilly  
17931794François, Gérome Crocquefer  
17941814Antoine Garde  
18141824Louis-Claude Bonnemain  
18241829François Bernanada  
18301846Toussaint Beaudoin  
18471852Alphée De Vatry  
18521857Ferdinant Aubert  
18581860Jean-Baptiste Cayron  
18601865Pierre Bonnemain  
18651878Nicolas Grivot  
18781878Ernest Cerf  
18781888Jean-Pierre Aubert  
18881889Georges Langlois  
18901890Léopold Lecuyer  
18901896François Begue  
18961902Charles Solon  
19021903Auguste Comparois  
19031916François Begue  
19171919Charles Paty  
19191921Marc Disset  
19211929Michel-Léon Brochet  
19291935Henri Remond  
1935octobre 1939Jean Chardavoine[35]PCFManœuvre spécialisé à laCompagnie des chemins de fer du Nord
Conseiller général d'Aubervilliers-Est(1935 → 1939)
Conseiller général de Saint-Denis-Est(1945 → 1953)
Conseil municipal suspendu par legouvernement Daladier[36]
octobre 1939mai 1941Henri Bouveyron Nommé président de ladélégation spéciale par legouvernement Daladier[36]
mai 19411944Edmond Podeur Nommé par lerégime de Vichy[37]
19 août 1944mars 1977Louis Bordes[38],[39],[Note 6]PCFModeleur-mécanicien, résistant
Conseiller général de Stains(1967 → 1976)
Chevalier de lacroix de guerre avec étoile d’argent
Médaillé de la Résistance,chevalier de la Légion d'honneur
Président du comité local de libération, puis président de ladélégation spéciale puis élu maire en 1945
mars 19771996Louis Pierna[40]PCFDéputé de Seine-Saint-Denis (4e circ.)(1988 → 1997)
Démissionnaire
1996[41]2014[42]Michel Beaumale[43]PCFVice-président dePlaine Commune(2003 → 2014)
avril 2014[44]en cours
(au jeudi 2 juin 2022)
Azzédine TaïbiPCF puisDVGConseiller général de Stains(2001 → 2015)
Conseiller départemental de Saint-Denis-2(2015 → )
Vice-président dePlaine Commune(2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[45]
Article connexe :Liste des maires de la Seine-Saint-Denis.

Instances de démocratie participative

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La commune s'est dotée en 2010 d'unconseil municipal d'enfants.

Les enfants âgés de huit à onze ans ont élu en novembre 2017 leurs nouveaux représentants[46].

Politique de développement durable

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Le fleurissement de la commune est assuré par les services dePlaine Commune. Elle a obtenu deux fleurs en 2007 auconcours des villes et villages fleuris[47].

Compte tenu des améliorations constatées par l’association nationale des Villes et Villages Fleuris, celle-ci a accordé une troisième fleur à la commune en 2017[48].

Jumelages

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La ville est jumelée avec[49] :

  • Drapeau de l'Italie Luco dei Marsi (Italie) depuis le : Collaboration multilatérale dans les domaines du sport, du tourisme, de l’environnement, du développement dans le domaine des NTIC, permettant la valorisation des richesses culturelles réciproques.
  • Drapeau du Royaume-Uni Cheshunt (Royaume-Uni) depuis 1965 : Jumelage traditionnel
  • Drapeau de l'Allemagne Saalfeld (Allemagne) depuis le : Jumelage pour des projets communs de paix et de collaboration entre les peuples allemand et français.
  • Drapeau de la Palestine Am'ari (Palestine) depuis le : Coopération multilatérale avec le camp deréfugiés palestiniens d'Am'ari enCisjordanie, en solidarité avec les forces de paix dans la région.
  • Drapeau du Cameroun Mengueme (Cameroun) depuis 2000 : Accord de coopération portant sur la santé, l’éducation, l’assainissement, l’électrification rurale, la préservation de l’écosystème, le développement de l’agriculture, de l’élevage mais aussi de la culture, du sport et du tourisme.
  • Drapeau du Maroc Figuig (Maroc) depuis le Accord de coopération portant sur la citoyenneté des jeunes, les échanges culturels, la santé et la prévention, le développement local, l’urbanisme et l’environnement

Distinctions et labels

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En 2010, la commune de Stains a été récompensée par lelabel « Ville Internet @@ »[50].

Fresque

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En des artistes locaux réalisent une fresque qui représente les visages d'Adama Traoré et deGeorge Floyd, qu'ils considèrent tous deux victimes de violences policières, avec en surplomb la phrase «Contre le racisme et les violences policières». En, le maire de la commune est mis en demeure de modifier la fresque en enlevant le mot « policières »[51].

Équipements et services publics

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Espace de sport constituée de terrains de basket , de foot et d'une air de jeux pour tous les âges permettant aux habitants de faire du sport ou se divertir .
Espace sportif de Stains .

Enseignement

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La commune accueille lelycée Utrillo (en), ainsi que 3 collèges publics : Joliot-Curie[52], Pablo Neruda[53] et Barbara[54].

Elle accueille les écoles élémentaires Anatole France[55], Elsa Triolet[56], Victor Renelle[57] et les écoles maternelles Romain Rolland, Paul Langevin[58],Victor Hugo[59], Jean Moulin[60], Guillaume Apollinaire[61] André Lurçat[62] et Guy Moquet[63].

La commune contient aussi l'ensemble scolaire privé Sainte Marie[64].

Équipements culturels/sportifs

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La salle de théâtre de laCité-jardin, rénovée et rééquipée, sert de salle de théâtre, l'espacePaul-Éluard .

Le Central, cinéma de quartier fermé depuis 1969, devient en 1989 le Studio Théâtre[65] où s'installe la compagnie du même nom créée en 1984 parXavier Marcheschi etMarjorie Nakache[66].

La ville dispose également d'une école de musique et de danse, de trois médiathèques (Louis-Aragon, Saint-Just, La Maison du Temps Libre) du réseau des médiathèques dePlaine Commune

On y trouve plusieurs lieux de divertissement : une piscine municipale[67] (Renée Rousseau), des gymnases (Anatole France, Jean Guimier, Léo Lagrange), un centre municipale d'initiation sportive, des associations sportives et un parc des sports aux abords de Stains (Marville).

Santé

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La commune dispose :

  • d'une clinique
  • d'un centre de santé
  • d'un centre dentaire et d'ophtalmologie

Population et société

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Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[68],[Note 7].

En 2022, la commune comptait 40 600 habitants[Note 8], en évolution de +2,48 % par rapport à 2016 (Seine-Saint-Denis : +4,67 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 0809878098299469369931 046932
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 0381 2801 5711 4481 5771 8682 2882 5002 707
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
2 9593 1023 5845 64110 08114 53917 60418 38219 028
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
27 50332 16935 54536 07934 87932 83934 67034 83039 618
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
40 35940 600-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puisInsee à partir de 2006[69].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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En 2015, la population stanoise active était de 13 756 personnes. Le taux de chômage de 22.1%, représente plus du double de la moyenne nationale (11.0%)[70].

En 2008 la ville compte 494 entreprises. Les principales sontCarrefour (hypermarché du Globe, avec 395 salariés), la clinique de l'Estrée (320 salariés) et Kremlin-Rexon (groupeExel Industries fabrication d'équipements de pulvérisation de produits liquides, 250 salariés)[71].

Unezone franche urbaine a été instaurée sur le territoire de la commune de Stains et concernait notamment laZAC du Bois-Moussay.

En 2019 se bâtit au pied de la gare du T11 un centre d'affaires de 25 000 m2 (sur la limite communale avec Pierrefitte) qui doit accueillir un centre de recherche d’Engie, le Crigen (250 emplois), mais également un centre de formation deTotal[72].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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photographie de la mairie de Stains dans les années 1920
photographie de la mairie de Stains dans les années 2020.
La porte monumentale est tout ce qui subsiste du château de la Motte.
Détail du fronton du château de La Motte.
  • Une partie duparc de La Courneuve se trouve sur le territoire de la commune.
  • Château et parc de Stains, puis cité-jardin - Le, Charles-Louis Félix a vendu la seigneurie de Stains à Toussaint Bellanger (vers 1662-1740), trésorier général du sceau de la chancellerie de France et ancien notaire au Châtelet de Paris entre 1690 et 1710[73]. Il fait construire le château de Stains[74] et son parc parArmand-Claude Mollet, architecte du roi, auXVIIIe siècle[75]. Toussaint Bellanger et sa femme, Agnès Préaud, ont été enterrés dans le chœur de l'église de Stains. Le château a été gravement endommagé pendant laguerre de 1870. En subsistent certains communs, dont les écuries, acquises par la commune en 1883, et qui abritent depuis l'hôtel de ville. Le parc du château, acquis par l'Office départemental d'HBM de la Seine (OPDHBMDS), a été loti pour devenir la Cité-Jardin.
  • Mairie. – Le, le conseil municipal vota l'acquisition des écuries et remises de l’ancien château de Stains, dont la famille Hainguerlot était propriétaire, comme héritière deMme de Vatry. La vente eut lieu au prix de 33 000 francs. La restauration, exécutée en 1884, coûta 30 000 francs.
    Le bâtiment est situé avenue Hainguerlot, presque à l'angle de la rue Carnot. La superficie du terrain est de 28 ares 71 centiares. Il est composé d’un corps de logis avec cinq immenses fenêtres en façade, en retrait avec deux ailes reliées par une grille monumentale.
  • Le château de la Motte, attesté en 1361 en tant que fief de la châtellenie de Montmorency[76], a été détruit en1819 à l'exception de quelques dépendances, et il n'en subsiste que le porche, réalisé en style rocaille par René Douin vers1740[77]. Cet élément a été inclus dans le bâtiment de la nouvellemédiathèque Louis Aragon de Stains, inaugurée en.
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption a été construite dans la seconde moitié duXVIe siècle, recevant sa dédicace le d'Eustache du Bellay, évêque de Paris[78],[79]. Les voûtes ont été reconstruites après les bombardements de laguerre de 1870 et le clocher abattu en 1950. Elle a été peinte parMaurice Utrillo dans le tableauÉglise de Stains (huile sur toile, 74 × 90 cm, Galerie Pétridès, c.1930).
    Elle abrite un maître-autel et un retable classés monuments historiques. L'édifice a été fermé au public en 1995 à cause de risques d'écroulement. Malgré de nombreux mouvements des fidèles stanois, aucun projet de rénovation n'était encore prévu à cause du coût élevé des travaux (7 millions d'euros) et du manque de ressources de la ville. Néanmoins, des travaux seront entrepris en pour une durée de deux ans[80].
  • Un second lieu de culte catholique, bien plus modeste, est lachapelle Notre-Dame-des-Peuples, située en lisière du clos Saint-Lazare et en bordure de la zone des Tartres. Construite en 1969, elle a été complètement rénovée en 2010-2012[81]

La commune compte un patrimoine important dejardins ouvriers, notamment au nord de la rue du Moutier. Dans cette rue, à l'angle de la rue Michel-Rolnikas, se trouve aussi lecimetière communal de Stains, lieu de sépulture de la ville.

la Cité-jardin

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Détail d'un bâtiment de la cité-jardin avenue Paul-Vaillant-Couturier.

LaCité-jardin de Stains, construite entre 1921 et 1933 pour l'office départemental deshabitations à loyer modéré de la Seine par les architectes Eugène Gonnot etGeorges Albenque (à qui l'on doit également lehameau du Danube à Paris) à l'emplacement de l'ancien château de Stains (détruit lors des combats de la guerre de 1870), afin de répondre à la demande de logements ouvriers, est uneHabitation à bon marché dotée d'un confort important pour l'époque, tout en conservant une architecture résidentielle.
Véritable ville dans la ville, centrée sur la place Marcel-Pointet[82] et sa salle de spectacles (achevée après la Seconde Guerre mondiale[83]), elle est édifiée afin d’héberger en priorité les populations ouvrières de Saint-Denis, Le Bourget et La Courneuve.
Le bâti de 1 676 logements se répartit sous forme de 456 pavillons avec jardins, groupés par deux, quatre ou six, soit de maisons individuelles, soit encore de 19 immeubles collectifs de 3 ou 4 étages : immeubles en T, en angle, à redents ou parallèles à la rue[84].

Elle appartient au patrimoine national et est inscrite à l’inventaire des sites pittoresques depuis 1976[84] et est souvent citée en référence par des architectes et urbanistes qui pensent qu’elle est l'une des plus belles et plus réussies de France. Sa rénovation au début des années 2000 est dirigée par le bailleur, l'Office Public de l'Habitat de Seine-Saint-Denis, avec l'aide de l'ANRU[85].

Article détaillé :Cité-jardin.

Stains dans les arts

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Le filmHiver 54, l'abbé Pierre deDenis Amar (1989) portant sur le rude hiver 1954, le drame des sans-abri et l'action de l'abbé Pierre, a été tourné à Stains.

Le filmUn air de famille deCédric Klapisch (1996), d'après la pièce de théâtre deJean-Pierre Bacri etAgnès Jaoui, a été tourné à Stains :
- les intérieurs ont été tournés auxstudios SETS ;
- les extérieurs ont également été tournés à Stains : on reconnaît aisément le café et la voie de chemin de fer en arrière-plan, à l'angle de la rue des Parouzets et de la rue Hennequin.

Le filmLe Vilain d'Albert Dupontel (2009), a été tourné dans la cité-jardin de Stains[86].

Le filmLes Grands Esprits d'Olivier Ayache-Vidal (2017) a été en grande partie tourné à Stains au collège Barbara, et des collégiens stanois incarnent des personnages du long-métrage[87].

La ville est le lieu du romanWesh, le Musée d'Orsay de Michael Nativel[88], qui relate une altercation ayant opposé des élèves du lycée Maurice Utrillo de Stains et des gardiens duMusée d'Orsay en 2016[89].

Article connexe :Liste de films tournés dans le département de la Seine-Saint-Denis.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de StainsBlason
D'argent aux deux fasces ondées de sinople, au chef degueules chargé de trois épis de blé tigés et feuillés d'or.
Devise / Cri
'semina metes (sème, tu récolteras)
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  6. Deux rue de la commune portent son nom : l'avenue Louis Borde et la rue du Lieutenant Gardette, son nom dans la résistance
  7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  8. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Références

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Nota : les références des Archives nationales ont été reclassées et les références actuelles sont changées[97]

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  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  3. « Orthodromie entre Stains et Bonneuil-en-France », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
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  7. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  8. « Unité urbaine 2020 de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
  9. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Stains ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », surle site de l'Insee(consulté le).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  12. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016,document mentionné en liens externes.
  13. Tableau LOG T7, Recensement général de la population 2016,document mentionné en liens externes.
  14. Le MoniteurNo 5628 du 7 octobre 2011
  15. http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Stains.pdf
  16. « Les 24 quartiers du CTRU de Plaine Commune », surle site dePlaine Commune(consulté le).
  17. « Stains : le maire réclame un nouveau tram et le métro », surLe Parisien,.
  18. Source :Atlas du patrimoine du Pays de France, éd. par l'association du Pays de France-CDG, juin 2006
  19. Inventaire général des chartes de Saint-Denis : tome I (Archives nationales, LL 1189)Érection de la cure de Stains par Pierre évêque de Paris, du consentement de Nicolas archidiacre et de Guillaume curé de Saint-Léger, de la parroisse duquel Saint-Léger a été démembré le village dudit Stains, à la charge par les curez dudit Stains de payer à l’avenir aux curez dudit Saint-Léger quarante solz parisis par chacun an pour les indemniser dudit démembrement, dont il y aura dix solz pour la fabrique, et comme les abbé et couvent de Saint-Denis ont le droit de patronnage et de présentation à laditte cure de Saint-Léger, ils ayent les mêmes droits pour la cure et parroisse dudit Stains. Du mois de febvrier 1213.
  20. Archives nationale S5091, supplément n.7
  21. Mannier (1873) p. 20
  22. Toussaint Coppolani, « Ballon N° 9 : « Ballon non dénommé No 2 ou le Piper No 1 » », surcoppoweb.com,(consulté le).
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  24. Journal Officiel, Loino 64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
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  26. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
  27. Décret n° 2015-1659 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Saint-Denis surLégifrance.
  28. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
  29. Résultats des élections municipales 2008 -1er tour
    Votants 43,7 %
    Exprimés 39,1 %
    Liste Beaumale (
    PCF) - 53,4 % des exprimés - 30 élus
    Liste Abdellali (UMP) - 36,1 % des exprimés - 7 sièges
    Liste Teboul-Roques (PT) - 10,5 % des exprimés - 2 sièges
    SourceLe Parisien
  30. Maïté Koda, « Le Guadeloupéen Julien Mugerin, candidat UMP à Stains : Il a moins de 30 ans et se présente sous l'étiquette UMP. Julien Mugerin, d'origine guadeloupéenne, brigue la mairie de Stains, un bastion communiste de Seine-Saint-Denis. Pas de quoi effrayer ce sarkozyste de la première heure »,La Première,‎(lire en ligne, consulté le).
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  32. C. G., « Municipales à Stains : une campagne à couteaux tirés : Entre le maire sortant de Stains, Azzedine Taïbi (PCF) et son principal opposant Julien Mugerin (divers droite), tous les coups sont permis. En tout, quatre listes s’opposent. Décryptage. »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎(lire en ligne, consulté le)« Têtes de liste : Azzédine Taïbi (PCF), Julien Mugerin (DVD), Hamza Rabehi (LREM), Christopher Dibathia (SE) ».
  33. « Accueil Municipales 2020 > Seine-Saint-Denis (93) > S > Résultats reçus 1er tour », surelections.interieur.gouv.fr(consulté le).
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  35. Jean Maitron, Gérard Larue,Claude Pennetier, « CHARDAVOINE Jean, Robert, Rémy : Né le 11 septembre 1905 à Avy (Charente-Inférieure, Charente-Maritime), mort le 1er janvier 1981 à Fléac-sur-Seugne (Charente-Maritime) ; ouvrier agricole puis manœuvre spécialisé à la Compagnie des chemins de fer du Nord ; syndicaliste CGTU ; maire communiste de Stains (Seine, Seine-Saint-Denis) de 1935 à 1940) ; conseiller général de la Seine (1935-1940, 1945-1953) »,Le Maitron en ligne, 25/10/2008 mis à jour le 17/6/2017(consulté le).
  36. a etb« Les municipalités communistes suspendues dès hier dans la Seine, la Seine-et-Oise et le Pas de Calais »,Le Populaire,no 6076,‎,p. 4(lire en ligne, consulté le).
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  45. R. H., « Azzédine Taïbi réélu maire »,Actualités, surstains.fr,(consulté le)« La liste Stains en Commun menée par le maire sortant avait remporté le scrutin dès le premier tour avec 57,89 % des voix, « malgré un contexte de crise sanitaire qui a fait grimper l’abstention, la démocratie a parlé… un score historique que les forces citoyennes, progressistes et écologistes n’avaient pas connu depuis près de 20 ans » a rappelé Azzédine Taïbi ».
  46. M. FR., « Stains : le conseil municipal des enfants est élu »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎(lire en ligne, consulté le).
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  66. Au théâtre de Stains, on offre du beau sans graff ou sans hip-hop, surnouvelobs.com, consulté le 3 novembre 2020
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  97. inventaire des Archives nationales
v ·m
Plus de 2 000 000 d'habitantsParis
Plus de 100 000 habitants
Plus de 75 000 habitants
Plus de 50 000 habitants
Plus de 25 000 habitants
Moins de 25 000 habitants1 792 autres communes
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T6 de laMétropole du Grand Paris
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