Pour l’article homonyme, voirStade Yves-du-Manoir.
| Noms précédents | Stade du Matin (1907-1919) Stade de Colombes (1920-1924) Stade olympique de Colombes Stade olympique Yves-du-Manoir (1928-2002). |
|---|---|
| Surnom | Colombes |
| Adresse | 12, rue François-Faber 92700Colombes |
| Ouverture | |
|---|---|
| Architecte | |
| Rénovation | |
| Extension |
| Clubs résidents | Racing Club de France Équipe de France de football (1908-1972) Équipe de France de rugby à XV (1908-1972) Racing 92 (1907-2017) Racing Club de France football(1920-1932, 1966-1984, 1990-). |
|---|---|
| Propriétaire | |
| Administration |
| Surface | Pelouse naturelle |
|---|---|
| Capacité | |
| Tribunes | 6 000 |
| Affluence record | 63 638, le (match d'appui de quarts de finale deCoupe des Clubs Champions EuropéensAjax Amsterdam-Benfica Lisbonne) |
| Patrimonialité | Recensé à l'inventaire général |
| Coordonnées |
|---|
Lestade départemental Yves-du-Manoir, anciennementstade olympique Yves-du-Manoir[1], est un complexe sportif situé depuis1907 àColombes, dans la banlieue nord-ouest deParis. La piste d'athlétisme entourant le terrain d'honneur (en tartan dès 1970) a accueilli, outre les épreuves des Jeux olympiques d'été de 1924, de nombreuses épreuves internationales d'athlétisme. La pelouse centrale a, quant à elle, notamment accueilli lesJeux olympiques d'été de 1924, la finale de laCoupe du monde de football 1938, quarante finales de laCoupe de France de football, un grand nombre de finales duchampionnat de France de rugby à XV, des matchs internationaux deséquipes de France de football et derugby à XV ainsi que des rencontres dehockey sur gazon auxJeux olympiques d'été de 2024.
Le site du stade deColombes est destiné au sport depuis1883. C'est à l'origine unhippodrome de la Société des courses de Colombes. En1907, l'hippodrome et le quotidien parisienLe Matin fondent une association. Une partie de l'hippodrome est alors transformée en un stade qui accueille des compétitions d'athlétisme, de rugby et de football dès 1907. L'enceinte est alors rebaptisée « Stade du Matin ».
LeRacing Club de France, club omnisports parisien, devient locataire des installations de Colombes en1920. Évoluant régulièrement dans ce stade via ses sectionsrugby à XV,football etathlétisme depuis son inauguration en 1907, le poids du club ciel et blanc joue incontestablement un rôle dans le choix deColombes, jugé le plus mauvais des projets, dans le choix du stade olympique desJeux olympiques d'été de 1924. LeParc des Princes et lebois de Vincennes avec lestade Pershing offraient en effet des possibilités bien plus intéressantes, car plus proches de la capitale. Colombes souffrira toujours de sa localisation. Ainsi, leRacing évoluera, dès 1932 enfootball, auParc des Princes plutôt qu'au stade deColombes.
Désigné comme stade olympique principal, Colombes profite des fonds débloqués pour porter sa capacité à plus de 40 000 places, malgré un projet initial de 100 000 places. Après bien des palabres et même l'abandon du projet de Colombes, c'est finalement l'architecteLouis Faure-Dujarric, ancien joueur de l'équipe derugby à XV du Racing, qui signe les travaux.


Le stade et le centre sportif aux alentours est connu comme le point central desJeux olympiques d'été de 1924[2]. Beaucoup d'épreuves se déroulaient en plein air et le calendrier était beaucoup plus large : les jeux se tenaient de mai à juillet (lesconcours artistiques commençaient en mars)[3], avec un dispositif conséquent[4]. Le stade athlétique de 45 000 places, dont 20 000 assises couvertes et extensible à 65 000, accueillit lescérémonies, l'athlétisme, le départ et l'arrivée ducyclisme sur route[5], l'équitation[6], lefootball[7], lagymnastique[8], le cross dupentathlon moderne[9], lerugby[10] et les jeux de l'enfance comme sport de démonstration[11].
Le stade d'escrime (plusieurs pistes pour lesépreuves d'épée et de sabre ainsi que pour l'épreuve du pentathlon moderne)[12] et le stade de tennis (une dizaine de courts pourles compétitions) étaient adjacents au stade athlétique[13].
Une gare est construite àColombes sur laligne de Paris-Saint-Lazare à Ermont - Eaubonne par Argenteuil. Lagare du Stade ouvre pour les Jeux olympiques de 1924. Elle permet de desservir le stade olympique de Colombes.
La nouvelle enceinte est rebaptisée en1928 au nom d'un joueur derugby à XV du Racing et espoir de l'équipe nationale,Yves du Manoir, qui vient de se tuer en avion[2].

Le stade olympique Yves-du-Manoir deColombes a également accueilli de nombreux événements, notamment des matches defootball, comme la finale de laCoupe du monde de football 1938, remportée par l'Italie contre laHongrie, ou encore de nombreuses finales deCoupe de France[2]. À l'occasion de la Coupe du monde 1938, le stade est rénové et agrandi. Il peut désormais accueillir plus de 60 000 spectateurs. Le record d'affluence de l'enceinte est enregistré à l'occasion d'un match d'appui de quarts de finale deCoupe d'Europe des clubs champions, entre l'Ajax Amsterdam et leBenfica Lisbonne, le : 63 638 spectateurs payants.
Avec le début de la Seconde Guerre mondiale, l'installation sportive a également servi de camp de transit parisien pour les internés allemands et autrichiens, qui ont été répartis de là vers d'autrescamps d'internement en France. Parmi les internés ici se trouvaient des réfugiés tels queFranz Hessel,Walter Benjamin,Hermann Kesten,Soma Morgenstern,Willi Münzenberg,Horst Rosenthal,Hans Sahl etWols. Dans son journal, Kurt Stern a enregistré ses propres expériences en tant que détenu au stade olympique et a enregistré à plusieurs reprises les expériences d'autres détenus de Colombes qu'il a ensuite rencontrés dans d'autres camps. Il a également rapporté que les survivants duSt. Louis ont été internés ici, qui devaient appartenir au contingent que la France a engagé après la fin de l'odyssée du navire[14].
Le stade a accueilli quelques événements non sportifs tel des congrès annuels detémoins de Jéhovah dans les années 1960-1970.
Il est aussi le théâtre de l'assassinat d'Ali Chekkal, ancien vice-président de l'Assemblée algérienne par Mohamed Ben Sadok, en marge de la finale deCoupe de France de football 1956-1957[15].
La reconstruction duParc des Princes à la fin desannées 1960, inauguré en1972, porte un sévère coup au stade de Colombes[2]. Les matches internationaux de football et de rugby, ainsi que les finales de la Coupe de France se déroulant à compter de cette date au nouveau Parc des Princes et cela jusqu'à l'inauguration duStade de France en1998, conçu par l’État pour accueillir différents événements sportifs : football, rugby, athlétisme et courses automobiles.
Le vieux stade olympique de Colombes ne bénéficie alors d'aucune rénovation et d'un entretien minimal. Enceinte totalement vétuste dès lesannées 1980, les trois quarts des tribunes sont interdites au public au début des années 1990, puis rasées. Seule subsiste alors la tribune principale Sud, dotée de quelque 7 000 sièges ainsi que les virages l'avoisinant.

Au terme de la saison 2008-2009 dePro D2, le club derugby à XV duRacing Métro 92 remonte enTop 14, faisant renaître le stade de ses cendres. Une nouvelle tribune latérale de 4 900 places est inaugurée à cette occasion le.
Leconseil général des Hauts-de-Seine présente en la maquette d'un projet de rénovation. Cependant, la lenteur du projet et l'impossibilité de rénover profondément le site poussent finalement le Racing Métro 92 à s'implanter à la Défense dans sa futureU Arena, salle modulable et polyvalente capable d'accueillir 32 000 spectateurs en mode rugby. Elle est inaugurée en, laissant alors le stade sans club résident. Le, leRacing 92 joue son dernier match au stade Yves-du-Manoir avant de s'installer dans l'U Arena la semaine suivante[16]. Le, leRacing 92 revient jouer au stade Yves-du-Manoir à l'occasion d'un match de barrage deTop 14 l'opposant auStade rochelais. L'U Arena, depuis renomméeParis La Défense Arena, était alors indisponible car réservée de longue date par la chanteuseMylène Farmer pour les répétitions de sa série de concerts dans la salle[17].

À partir de, le stade Lucien-Choine, un terrain annexe du stade aujourd'hui détruit, accueille l'ensemble des matches duRacing Club de France Football.
En 2014, le stade sert de lieu de tournage à l'interview du footballeurRaïs M'Bolhi (qui y a touché ses premiers ballons à l'âge de 9 ans) par le journalisteMouloud Achour[18].
Le stade fut utilisé pour deux candidatures parisiennes pour l'accueil desJeux olympiques d'été. À chaque fois, le comité de candidature insista sur l'héritage, pour faire le lien avec l'olympiade de 1924[2]. C'est en effet l'un des rares sites sportifs ayant subsisté après des décennies d'urbanisme.
Pour lacandidature de Paris pour 2012, le stade et le centre sportif qui l'entoure devaient accueillir 5 terrains debaseball etsoftball, après une rénovation majeure[19],[20],[21]. Le projet n'aboutit pas à cause de l'échec de la candidature ; même en cas de victoire, il aurait été compromis car leCIO retire, dans la foulée de l'attribution des jeux à Londres, le baseball et le softball duprogramme olympique[22].
Dans le cadre de l'organisation des Jeux olympiques d'été de 2024, le stade est retenu en vue d'accueillir les épreuves dehockey sur gazon[16]. Par ailleurs, un travail est en cours pour développer un projet de siège et de centre d’entraînement de haut niveau de laFédération française de hockey[23] (fédération chapeautant le hockey sur gazon et lehockey en salle).
En février 2025, des travaux de rénovation sont annoncés en vue de transformer les tribunes pour qu'elles soient configurées en quatre tribunes proches d'un terrain synthétique permettant d'accueillir 14 000 spectateurs. Une fois les travaux achevés, le club duRacing 92 devrait rejouer sur ce terrain en 2027, dix ans après l'avoir quitté[24].

Le,Patrick Devedjian, alors président duconseil général des Hauts-de-Seine, annonce le projet de reconversion pour le stade :« Nous allons réaliser à Colombes, au stade Yves-du-Manoir, les équipements nécessaires au rayonnement duhandball, à savoir une salle de 15 000 places, des bureaux et des équipements annexes ». Le syndicat mixte du stade Yves-du-Manoir a déjà pris la décision à l'unanimité de lancer une étude de pré-programmation pour définir les besoins et le projet, qui sera suivi dès par un concours d'architecte. Cet aménagement devait également comprendre les locaux du nouveau siège de laFédération française de handball (FFHB).
En est signé un protocole avec cette fédération afin que soit installé en 2015 le centre national du handball, comprenant le siège de la FFHB, une résidence pour les équipes de France masculines et féminines, des installations d'entraînement, une salle de 8 000 places ainsi qu'un centre de formation. Le programme définitif est approuvé en. La livraison devait avoir lieu fin 2015, afin que cet équipement soit pleinement opérationnel lors deschampionnats du monde masculins de handball 2017.
Finalement, le projet est abandonné à la suite du retard pris, rien ne pouvant être prêt pour 2017, et en raison du fait que la FFHB préfère conserver son statut de propriétaire àGentilly, plutôt que de devenir locataire à Colombes. Le devenir du stade est donc laissé en sursis, même si on réclame sa conversion en centre sportif[25].
En vue desépreuves de hockey sur gazon desJeux olympiques de 2024, un projet de rénovation du stade est adopté[2]. Ce chantier conduira sur plus long terme au déménagement de laFédération française de hockey, de son centre national d'entraînement, des instances franciliennes et départementales, ainsi que du club dehockey sur gazon duRacing club de France[26].
Le site est entièrement rénové entre2021 et2023. Conçu par les cabinets d'architectureCelnikier et Grabli Architectes, Olgga Architectes, Atelier Dutrevis Architectes Associés et reconstruit par le groupe de BTPLéon Grosse, les travaux se terminent endécembre 2023. Le nouvel ensemble deux bâtiments dont le premier accueille laFédération française de hockey sur gazon et son centre national d'entraînement, qui disposent des deux terrains synthétiques éclairés du tournoi olympique, dont un avec une tribune de 1 000 places autour d'un bâtiment construit avec des locaux administratifs, des salles de réunion et des vestiaires[27]. Le second édifice comprend une tribune de 300 places, des vestiaires pour le foot et le rugby, une salle de sport et des bureaux[28].
Le complexe comprend aussi sept nouveaux terrains defootball et derugby à XV[29]. Le mythique terrain d'honneur voit sa fameusepiste olympique d'athlétisme l'entourant supprimée au profit d'un petit anneau de200 m (seulement apte à l'échauffement) situé à quelques centaines de mètres. La piste exclut donc désormais toute possibilité de compétition d'athlétisme, étant désormais réservée au public scolaire et associatif[2].
Cependant, sa tribune historique est remise aux normes avec de nouveaux sièges. Celle-ci peut désormais accueillir 6 000 spectateurs[29]. Le stade historique dispose d'environ 9 500 places avec les tribunes provisoires installées pour les Jeux olympiques de 2024[27]. La pelouse naturelle est remplacée par un synthétique bleu flambant neuf.
Le complexe sportif dans son ensemble peut accueillir près de 13 500 spectateurs lors desJeux olympiques d'été de 2024[27].
Le coût global du projet s'élève à101 millions d'euros. Un budget financé par le département desHauts-de-Seine et la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solidéo)[29].
Outre l'installation de laFédération française de hockey sur gazon et de son centre national d'entraînement, il est prévu que les sectionshockey sur gazon etfootball du Racing club de France deviennent à terme résidents du stade, que l'ensemble des terrains du stade redeviennent progressivement des terrains en gazon et que les trois moquettes du stade soient léguées à trois clubs qui ont répondu à l'appel à candidatures de la Fédération (HC Segré, le T.A.C. Le Touquet et le FC Lyon) et trouvent ainsi une seconde vie après les Jeux[30].
LeRacing 92 devrait aussi venir s'y entrainer et jouer quelques matchs derugby à XV en alternance avec laParis La Défense Arena deNanterre où il évolue actuellement[27].
| Date | Tour | Équipe 1 | Score | Équipe 2 | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 1er tour | Italie | 1 - 0 | 20 000 | ||
| 1er tour | Uruguay | 7 - 0 | 1 000 | ||
| 8e de finale | Pays-Bas | 6 - 0 | 1 000 | ||
| 8e de finale | [N 1]État libre d'Irlande | 1 - 0 | 1 500 | ||
| 8e de finale | Suède | 8 - 1 | 8 532 | ||
| Quart de finale | France | 1 -5 | 45 000 | ||
| Demi-finale | Suisse | 2 - 1 | 7 448 | ||
| Demi-finale | Uruguay | 2 - 1 | 7 088 | ||
| Petite finale | Suède | 1 - 1 | 9 915 | ||
| Petite finale (rejouée) | Suède | 3 - 1 | 40 522 | ||
| Finale | Uruguay | 3 - 0 | 40 522 |
| Date | Tour | Équipe 1 | Score | Équipe 2 | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 8e de finale | France | 3 - 1 | 30 454 | ||
| Quart de finale | France | 1 -3 | 58 455 | ||
| Finale | Italie | 4 - 2 | 45 124 |
Entre le et le, le stade olympique Yves-du-Manoir accueille 83 matchs officiels de l'équipe de France.
Le stade olympique Yves-du-Manoir est le stade résident de l'équipe de France de football de à ; soit durant 48 années.
| Liste des matchs de l'équipe de France de football disputés au stade olympique Yves-du-Manoir | ||||||
|---|---|---|---|---|---|---|
| N° | Date | Match | Score | Compétition | Affluence | |
| 1 | 1-2 | Match amical | 498 | |||
| 2 | 1-4 | Match amical | 2 500 | |||
| 3 | 2-1 | Match amical | 20 000 | |||
| 4 | 1-5 | Jeux olympiques 1924 (1/4 de finale) | 45 000 | |||
| 5 | 2-3 | Match amical | 35 000 | |||
| 6 | 1-0 | Match amical | 15 000 | |||
| 7 | 4-1 | Match amical | 12 000 | |||
| 8 | 3-3 | Match amical | 35 000 | |||
| 9 | 1-4 | Match amical | 25 000 | |||
| 10 | 0-6 | Match amical | 25 000 | |||
| 11 | 2-3 | Match amical | 25 000 | |||
| 12 | 0-2 | Match amical | 19 000 | |||
| 13 | 1-5 | Match amical | 40 000 | |||
| 14 | 3-0 | Match amical | 20 000 | |||
| 15 | 2-0 | Match amical | 25 000 | |||
| 16 | 1-4 | Match amical | 35 000 | |||
| 17 | 1-3 | Match amical | 15 000 | |||
| 18 | 3-3 | Match amical | 20 000 | |||
| 19 | 1-6 | Match amical | 18 000 | |||
| 20 | 2-3 | Match amical | 28 000 | |||
| 21 | 0-2 | Match amical | 25 000 | |||
| 22 | 1-2 | Match amical | 28 000 | |||
| 23 | 1-0 | Match amical | 40 076 | |||
| 24 | 5-2 | Match amical | 35 000 | |||
| 25 | 3-4 | Match amical | 25 000 | |||
| 26 | 1-2 | Match amical | 45 000 | |||
| 27 | 1-3 | Match amical | 8 000 | |||
| 28 | 3-0 | Match amical | 30 000 | |||
| 29 | 1-0 | Match amical | 40 000 | |||
| 30 | 1-1 | Match amical | 25 000 | |||
| 31 | 1-2 | Match amical | 27 931 | |||
| 32 | 2-0 | Match amical | 25 000 | |||
| 33 | 3-0 | Match amical | 30 000 | |||
| 34 | 0-2 | Match amical | 16 688 | |||
| 35 | 2-4 | Match amical | 45 168 | |||
| 36 | 3-1 | Coupe du monde 1938 (8e de finale) | 30 454 | |||
| 37 | 1-3 | Coupe du monde 1938 (1/4 de finale) | 58 455 | |||
| 38 | 2-1 | Match amical | 23 064 | |||
| 39 | 3-0 | Match amical | 52 242 | |||
| 40 | 3-1 | Match amical | 57 205 | |||
| 41 | 2-1 | Match amical | 58 481 | |||
| 42 | 1-0 | Match amical | 57 791 | |||
| 43 | 4-0 | Match amical | 38 215 | |||
| 44 | 4-2 | Match amical | 35 176 | |||
| 45 | 1-3 | Match amical | 60 074 | |||
| 46 | 3-0 | Match amical | 46 032 | |||
| 47 | 3-3 | Match amical | 55 600 | |||
| 48 | 1-3 | Match amical | 61 308 | |||
| 49 | 4-2 | Match amical | 33 474 | |||
| 50 | 1-5 | Match amical | 52 217 | |||
| 51 | 1-1 | Éliminatoires de la Coupe du monde 1950 | 53 569 | |||
| 52 | 1-0 | Match amical | 38 946 | |||
| 53 | 0-1 | Match amical | 35 568 | |||
| 54 | 3-3 | Match amical | 48 799 | |||
| 55 | 5-2 | Match amical | 37 468 | |||
| 56 | 2-2 | Match amical | 61 687 | |||
| 57 | 3-0 | Match amical | 35 735 | |||
| 58 | 3-1 | Match amical | 56 021 | |||
| 59 | 3-1 | Match amical | 52 399 | |||
| 60 | 0-1 | Match amical | 38 379 | |||
| 61 | 6-1 | Match amical | 33 020 | |||
| 62 | 2-4 | Match amical | 45 986 | |||
| 63 | 1-3 | Match amical | 61 382 | |||
| 64 | 2-2 | Match amical | 53 674 | |||
| 65 | 1-0 | Match amical | 54 696 | |||
| 66 | 2-0 | Match amical | 34 769 | |||
| 67 | 1-1 | Match amical | 60 654 | |||
| 68 | 3-1 | Match amical | 42 223 | |||
| 69 | 1-2 | Match amical | 59 457 | |||
| 70 | 2-1 | Match amical | 62 145 | |||
| 71 | 6-3 | Éliminatoires de la Coupe du monde 1958 | 46 049 | |||
| 72 | 2-2 | Match amical | 50 992 | |||
| 73 | 2-2 | Match amical | 58 122 | |||
| 74 | 2-2 | Match amical | 42 206 | |||
| 75 | 5-3 | Match amical | 48 111 | |||
| 76 | 5-2 | Éliminatoires de l'Euro 1960 | 43 775 | |||
| 77 | 3-0 | Éliminatoires de la Coupe du monde 1962 | 40 690 | |||
| 78 | 1-1 | Match amical | 46 496 | |||
| 79 | 2-3 | Match amical | 35 136 | |||
| 80 | 2-3 | Match amical | 50 000 | |||
| 81 | 1-3 | Éliminatoires de l'Euro 1964 | 35 274 | |||
| 82 | 0-2 | Éliminatoires de l'Euro 1972 | 21 756 | |||
| 83 | 0-2 | Match amical | 24 816 | |||
| Date | Tour | Équipe 1 | Score | Équipe 2 |
|---|---|---|---|---|
| Groupe unique | France | 61 - 3 | ||
| Groupe unique | Roumanie | 0 -37 | ||
| Groupe unique | France | 3 -17 |
| Adversaires | Date des rencontres |
|---|---|
| 1921,1923,1925,1927,1929,1931,1948,1950,1952,1954,1956,1958,1960,1962,1964,1966,1968,1970,1972 | |
| 1922,1926,1928,1930,1947,1949,1951,1953,1955,1957,1959,1961,1963,1965,1967,1969,1971 | |
| 1920,1922,1924,1926,1928,1930,1947,1949,1951,1953,1955,1957,1959,1961,1963,1965,1967,1969,1971 | |
| 1921,1923,1925,1927,1929,1931,1948,1950,1952,1954,1956,1958,1960,1962,1964,1966,1968,1970,1972 |
En 1972, on y installe un ring deboxe à l'occasion du combat pour le titre de champion du monde de la catégorie des poids moyens le entre le FrançaisJean-Claude Bouttier et l'ArgentinCarlos Monzón. Des projets de combats avecMarcel Cerdan ont été évoqués mais n'ont pas abouti[31].
Sur les autres projets Wikimedia :
Stade ayant accueilli lafinale de laCoupe du monde de football | |
|---|---|
| 20e siècle |
|
| 21e siècle | |
| Généralités | |
|---|---|
| Qualification | |
| Participants | |
| Stades |
|
| (F) : stade d’accueil de la finale.(MD) : stade d’accueil prévu mais match déplacé.(ND) : stade d’accueil prévu mais match non-disputé. | |
| |
| |
| |
| |
| |
| |
|
| Paris |
|
|---|---|
| Région parisienne |
|
| France métropolitaine et outre-mer |
|
| Stades de football |
|
| Sites non sportifs |
|
| en italique, les sites provisoires | |
| Sections | |
|---|---|
| Installations | |
| Section football | |
| Plus de 50 000 places | |
|---|---|
| De 30 000 à 49 999 places | |
| De 20 000 à 29 999 places | |
| De 15 000 à 19 999 places |
|
| De 10 000 à 14 999 places |
|
| De 7 500 à 9 999 places |
|
| De 5 000 à 7 499 places |
|
| Futur stade de + de 5 000 places |
|
| Stade détruit de + de 5 000 places |
|