Cet article est uneébauche concernant lesport.
| Noms précédents | Stade Jean Jaurès (1924-1947) |
|---|---|
| Surnom | Beaublanc |
| Adresse | 20, boulevard de Beaublanc 87000Limoges |
| Début de construction | 1920 |
|---|---|
| Construction | 1947-1951, 2012-2018 |
| Ouverture | 1924 |
| Architecte | |
| Rénovation | 1947, 2012, 2018 |
| Démolition | 2010-2012 |
| Clubs résidents | |
|---|---|
| Propriétaire | Ville de Limoges |
| Administration | Ville de Limoges(d) |
| Surface | Pelouse naturelle |
|---|---|
| Capacité | 13 182 |
| Tribunes | 3 tribunes (Honneur, Sud et Est) |
| Affluence record | 17 592 en (Limoges FC -Stade de Reims) |
| Coordonnées |
|---|
Lestade de Beaublanc[3] est le principal stade de la ville deLimoges. L'enceinte se trouve au nord-ouest de la ville, près de la route dePoitiers menant àNantes, dans leparc des sports de Beaublanc, un vaste complexe sportif comprenant divers terrains de sports annexes, la piscine nordique ainsi que lepalais des sports, lieu de résidence de l'équipe debasket duCSP Limoges.
Sa capacité est de 13 182 places depuis la fin des travaux en 2019, mais celle-ci devrait passer à 20 000 places après la seconde tranche des travaux, dont la date n'est pas encore communiquée.
C'est actuellement le terrain de jeu de l'Union sportive athlétique de Limoges et de certaines sections sportives de l'ASPTT Limoges. C'était également le stade duLimoges Football Club avant son déménagement austade Saint-Lazare au sud-est de la ville.
À son origine le site de Beaublanc était un domaine de 35 hectares situé près de la route deBellac en bordure de l’Aurence, au nord de la ville deLimoges. Propriété de la famille Ardant du Mas-Jambost, le site est acheté par la municipalité socialiste de Limoges, en 1920. À l'époque, cette dernière y envisage la création d’une cité-jardin bon marché et ainsi qu’un grand parc. Les paysagistes Nivet et Faure-Laurent soumettent au conseil municipal, un plan ambitieux comprenant un jardin d’agrément urbain, un espace de jeu, un casino, un stade, des cascades, ruisselets. Durant les années 1920 et 1930, le site de Beaublanc se transforme en un véritable parc. On y trouve notamment des installations sportives (terrains debasket-Ball,volley-Ball ethandball) et un stade principal (pour la pratique dufootball et durugby), le stade Jean-Jaurès, construit au cours de l’année1924. Beaublanc devient alors en l’espace d’une décennie le lieu de nombreuses rencontres sportives et festivités marquantes. Ainsi, M. André Pécaud (1902-1991),est nommé, lors de la délibération du, architecte principal, par la ville. Il décide, conjointement avec la Municipalité, d’y aménager un stade detennis et debasket-Ball avec des tribunes, ainsi qu’un grand stade de football-rugby, dans la partie sud-est du Parc de Beaublanc. André Pécaud fut distingué lors deExposition universelle de 1937 auPalais de Chaillot àParis et son fils Bernard (1928-2023), en 1953 distingué par leDiplôme d'architecte diplômé par le gouvernement plus de 60 années d'architecture stade, monument, lycée et tout travaux à Limoges.Commencés en pour le stade de basket-Ball et de tennis, les travaux sont terminés à la fin de l’année1947.La municipalité décide alors de remplacer l'ancien stade Jean-Jaurès destiné aufootball et aurugby par un stade plus moderne. Ce dernier, construit en1947 et inauguré sous le nom de terrain d'honneur du parc des sports de Beaublanc en1951, a désormais une capacité d'accueil de 14 000 places minimum avec les pesages.
Le record d'affluence eut lieu en1960, contre leStade de Reims, lorsque leLimoges Football Club jouait au stade municipal de Beaublanc. 17 592 spectateurs se déplacèrent au stade pour voir leslimougeauds évoluer contre les vedettes professionnellesrémoises notammentRaymond Kopa,Robert Siatka,Roger Piantoni,Armand Penverne,Lucien Muller ouJust Fontaine.
En 2007, le stade est utilisé pour le tournoi international de Football U18 organisé par "Lafarge Limoges Foot Avenir".
En 2012, la municipalité commence la rénovation de cet équipement vieillissant qui date de 1947, avec la reconstruction de la tribune d'honneur et de la tribune sud.
En 2013, le chantier de Beaublanc est endeuillé par la mort dramatique d'un ouvrier.
En 2014, les travaux ont avancé et continuent malgré le changement de maire d'Alain Rodet àÉmile Roger Lombertie. La tribune sud est recouverte d'une charpente.
En 2015, il apparaît que le bureau d'études a fait des erreurs de calculs et il n'y a pas assez de ferraille dans la structure béton. Le bureau d'études est liquidé en et la maison mère vers laquelle se tourne la Ville met, elle aussi, la clef sous la porte. Outre le retard inhérent à la recherche d'un nouveau bureau d'études et au temps qu'il lui faudra pour livrer ses conclusions, le tarif augmente de plusieurs millions. La résolution technique, qui consiste en l'ajout d'armatures et le renforcement des fondations, débute en 2016. Ces travaux entraînent un surcoût estimé entre 7 et 10 millions d'euros.
En 2018, la couverture est pour ainsi dire achevée, 5 000 sièges sur 10 000 sont d'ores et déjà installés : les travaux du stade d'honneur de Beaublanc à Limoges s'achèvent[4]. En 2019, la capacité du stade est de 13 182 places sur 3 trois tribunes dont deux sont entièrement rénovées (Honneur et Sud).
Au départ du projet, le stade, dans son entier, devait coûter 60 millions. Après six ans de travaux, du fait des malfaçons, la facture de rénovation de la seule moitié du stade atteint la somme de 63 millions d'euros[5].
| Plus de 50 000 places | |
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| De 30 000 à 49 999 places | |
| De 20 000 à 29 999 places | |
| De 15 000 à 19 999 places |
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| De 10 000 à 14 999 places |
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| De 7 500 à 9 999 places |
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| De 5 000 à 7 499 places |
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| Futur stade de + de 5 000 places |
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| Stade détruit de + de 5 000 places |
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