Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Spie

49° 02′ 28″ N, 2° 01′ 46″ E
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirSpie (homonymie).

SPIE
logo de Spie
Logo de l'entreprise.

Création1900(Société parisienne pour l'industrie des chemins de fer et des tramways électriques)
Dates clés1968 : fusion avec laSociété de construction des Batignolles
2003 : scission avecSpie Batignolles
FondateursÉdouard Empain
Forme juridiqueSociété anonyme
ActionEuronext : SPIE
Slogan« Spie, l'ambition partagée. »
Siège socialCergy-Pontoise
Drapeau de la France France
Coordonnées49° 02′ 28″ N, 2° 01′ 46″ E
DirectionGauthier Louette (président-directeur général)
ActivitéCollectivités, énergie, infrastructures, tertiaire, industrie
FilialesSPIE CityNetworks

Spie ICS(ex-Spie Communications)
Spie Oil & Gas Services
Spie Nucléaire
Spie Facilities
Spie Industrie
SPIE Building Solutions
Heijmans Industrial Services

Effectif48 000 (2022)
SIREN399258755Voir et modifier les données sur Wikidata
Site webspie.com

Capitalisation2 563 M €(avril 2019)
Chiffre d'affaires10 241 M € (2022)
Résultat net213,2 M € (2022)
Société précédenteAMEC SPIE(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
modifier -modifier le code -voir Wikidata 

SPIE (Société Parisienne pour l'Industrie Électrique) est unesociété française spécialisée dans les domaines dugénie électrique,mécanique etclimatique, de l’énergie et desréseaux de communication. Son métier est la réalisation, l’assistance à l’exploitation et lamaintenance d'équipements industriels. Spie est coté en bourse avec le code SPIE[1].

Histoire

[modifier |modifier le code]

Débuts

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Société de construction des Batignolles.

La SPIE a une double origine : d'une part, laSociété de construction des Batignolles fondée en 1871 parErnest Goüin, et d'autre part, laSociété parisienne pour l'industrie des chemins de fer et des tramways électriques (SPICF), appelée aussi la "Parisienne électrique"[2], fondée en 1900, par lebaron Empain.

La SPICF doit réaliser les travaux d'infrastructures électriques dumétro de Paris lancés en 1900. Lebaron Empain avait décroché l'appel d'offre en 1898 et fondé dans ce but la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris. La SPICF est chargé d'électrifier les rames et de proposer une politique tarifaire. Empain fait appel à la sociétéGirolou, fondée parAlexandre Giros etLouis Loucheur, pour compléter l'électrification vers 1905[3].

Seconde guerre mondiale et nationalisations

[modifier |modifier le code]

Pendant la guerre, elle compte parmi ses administrateurs Guy de la Rochette (1940-1945)[2], Edouard Empain (1936-1944)[2], Lucien Esbran (1939-1944)[2] etEdmond Roux (1940-1944)[2], un ancien de laSociété générale de force et lumière (SGFL)[4] du magnatPierre-Marie Durand, deuxième électricien francais, derrière laLyonnaise des Eaux et de l’Electricité (SLEE, ou groupe Mercier). Après une crise au conseil d’administration de la SGFL, plusieurs personnalités appuyées par leCCF, avaient remplacé le banquier-adminstrateur traditionnel. Parmi elles,Edmond Roux était devenu conseiller dePierre-Marie Durand et administrateur de plusieurs filiales[5] du groupe mais aussi de la Compagnie du Gaz de Lyon et de la Société générale pour l’industrie électrique. Il est par ailleurs président du Syndicat professionnel des Producteurs et Distributeurs d'énergie électrique[6],[7],[8], fondé au début du XXe au 16, rue de la Baume à Paris[4], et a siégé à ce titre, sous l'occupation, avecRobert Desprès, deL'Énergie industrielle, autre société dePierre-Marie Durand, au Comité de l’Energie Electrique (COE),« instance clé de l’organisation économique » sous Vichy[9] qu'il préside tout en se déclarant« hostile à tout autoritarisme prolongé du Comité »[10].Roger Boutteville, directeur deL'Union d'électricité, est nommé après la guerre président d'une commission de l'électricité duCNPF, un« lot deconsolation » pour les anciens du COE qui ne trouvent pas leur place àl’EDF », où siègent aussiPaul Huvelin etEdmond Roux[11]

C'est lui qui négocie après la guerre, face au ministre communisteMarcel Paul, avecJean-Marie Louvel, un adjoint dePaul Huvelin à laSociété générale d'entreprises (SGE), qui a rejoint leMRP par "opportunisme"[12], pour en devenir le trésorier, maire du Vésinet et président la Commission de l'équipement national auPalais Bourbon, d'importantes compensations des actionnaires des compagnies d'électriciténationalisées[7] par la loi d'. Le MRP s’était penché tôt sur la nationalisation, dès son congrès constitutif de[12], pour demander d'en exclure la distribution d'électricité[12] et les usines d’électrochimie et d’électrométallurgie, soit la moitié de la production[12]. Une "Commission Perrier" de compromis[12] se réunit quatre fois entre janvier et,Roger Boutteville etEdmond Roux y représentent le CNPF[12]. Finalement,Jean-Marie Louvel obtient que les actionnaires soient dédommagés par des obligations à intérêt 3 %[12] plutôt que les 2% proposés par la SFIO[12], plus une part selon l’accroissement des recettes[12], compromis censé équilibrer le 1 % demandé par le PCF pour les œuvres sociales[13]. Le groupe Empain a été concerné comme les autres géants du secteur, la CGE et la SGE, les groupes Mercier et Durand, ouL'Énergie industrielle[12].

Après-guerre

[modifier |modifier le code]

En 1946, la société devient laSociété parisienne pour l'industrie électrique (SPIE).André Berthelot, fils deMarcellin Berthelot, en est nommé président du conseil d'administration l'année suivante.

L'année 1964 est celle de la création deJeumont-Schneider, qui s'investit dans les premiers grands projets d'automatisation des sites de production. LesJeumont (groupe Empain) est réuni avecLMESW (groupe Schneider)[14] qui a les licencesWestinghouse.

En 1967, alors que lesGoüin se désengagent, Spie fusionne avec laSociété de construction des Batignolles (SCB) pour formerSpie Batignolles[15].

L'année 1967 voit aussi une réalisation importante du groupe[7], l'entrée en service dans les Ardennes, à la frontière franco-belge, du premierréacteur à eau pressurisée de laCentrale nucléaire de Chooz, un projet franco-belge, qui provient d'une licence américaine acquise auprès de la sociétéWestinghouse, par laFranco-Américaine de Constructions Atomiques (Framatome) en[16]. Basé sur le modèle du réacteur de lacentrale nucléaire de Yankee Rowe, il affiche une pression primaire plus élevée[17].

MaisWestinghouse ne se voit pas accorder, en[18], l'autorisation d'investissement dansJeumont-Schneider par le ministre de l'économie et des finances. Alors que le gouvernement belge a donné son accord à la cession à Westhinghouse des Ateliers de constructions électriques de Charleroi[18],Valéry Giscard d'Estaing suggère à l'américain de s'associer avec un français dans la reprise de la partie française[18], avant d'exprimer un refus plus clair en[19], obligeant leBaron Empain à se tourner en mai 1970 vers la CGE ou la Compagnie électromécanique (CEM), pour vendre à 200 millions de francs ses 61%[20].

En 1969, le groupe Empain prend possession de la totalité deSchneider Electric ; Spie Batignolles devient une filiale du groupeEmpain-Schneider.

Spie Batignolles absorbe laCompagnie industrielle de travaux (CITRA) en 1972.

En 1981, après la sortie du capital de la famille Empain, le groupe Empain se restructure et prend le nom de Schneider Electric ; Spie Batignolles est toujours une filiale.

En 1982 la division « Électricité nucléaire » et Trindel intégrant le groupe, l'ensemble prend le nom de Spie Trindel.

Avant 1984, rachat deCoignet SA avec l'aide desCharbonnages de France[21].

Spie Batignolles construit les montagnes russes en bois nomméesAnaconda dans le parc alors nomméBig Bang Schtroumpf, rebaptiséWalygator Parc depuis 2007, les plus hautes d’Europe entre 1989 et 2001 d'après les plans de William Cobb[22].

En 1997, l'entreprise est vendue par Schneider et est l'objet d’unereprise d'entreprise par ses salariés (une RES) de cinq ans, lors du rachat de l'entreprise par les salariés associés à l'anglaisAmec.

En 1998, Spie Batignolles prend le nom de Spie et se compose de trois grandes filiales :

  • Spie Batignolles, spécialisée dans les activités de construction ;
  • Spie Enertrans, spécialisée dans les activités énergétiques et de transport ferroviaire ;
  • Spie Trindel, spécialisée dans l'ingénierie électrique et les services de proximité.

En 1999, Spie achète l'entreprise de génie climatique Laurent Bouillet.

En 2001, Spie achèteMatra Nortel Communications Distribution qui prend ensuite le nom de Spie Communications, et désormaisSpie ICS (« ICS » pour « Integrated connectivity solutions »).

En 2003,Spie Batignolles, filiale « construction » de Spie est cédée à ses cadres dirigeants. Dans le même temps Amec prend le contrôle de Spie qui devient Amec Spie.

Ensuite en 2004, l'entreprise Amec Spie crée plusieurs filiales comme Spie Communications. Mais l'organisation a besoin de ressources humaines externes car elle manque d'effectifs.

En 2006, le groupe Amec cède Spie au fonds d'investissementPAI partners. Après l'aval de laCommission européenne (Bruxelles) le, la société prend un nouveau nom, « Spie », en lieu et place de « Amec Spie ». Un nouveau logotype est en conséquence créé.

En 2007, Spie rachète la division ingénierie électrique d'Amec qui prend le nom de Spie Matthew Hall. La même année, Spie Nederland rachète Controlec, puis l'entreprise néerlandaiseHeijmans Industrial Services (HIS), spécialisée dans la conception, le développement, la rénovation, la modification et l'entretien d'installations mécaniques Spie acquiert le Néerlandais, l'année suivante.

En 2008, Spie acquiert plusieurs entreprises :

SPIE renforce sa présence au Royaume-Uni en 2009 avec le rachat de WHS, une société spécialisée en installations électriques et instrumentation dans le secteur de l’énergie.

En 2011, SPIE est cédée par PAI Partners au consortiumClayton, Dubilier & Rice (en),AXA Private Equity etCaisse de dépôt et placement du Québec.

SPIE acquiert la division de services en énergie et bâtiment du groupeHochtief en 2012.

En 2013, sept sociétés ont rejoint SPIE :

  1. Plexal Group en Australie ;
  2. La branche Services Solutions du groupe allemand Hochtief (désormais Spie GmbH) ;
  3. Alard et Electricity Network Solutions (ENS) au Royaume-Uni ;
  4. Le groupe Devis en Belgique ;
  5. L'activité Infrastructure Services & Projects (IS&P) du groupe KPN aux Pays-Bas. IS&P forme désormais une nouvelle division au sein de SPIE Nederland : SPIE-ICS (Spie Integrated Connectivity Solutions);
  6. Saint-Fons Métallurgie (SFM) en France a également rejoint SPIE.

Ces acquisitions, menées presque exclusivement dans le Nord-Ouest de l'Europe et en Allemagne, constituent pour le groupe un changement de dimension en termes d'effectifs, de résultats mais aussi d'opportunités de développement.

Un des principaux développements de l'année 2014 a été le déploiement d’un réseau et d’une expertise européens dans le domaine des solutions et services ICT avec les acquisitions de Fleischhauer en Allemagne et celles de Viscom et Connectis en Suisse. L'acquisition de Scotshield Fire and Security permet d'offrir une gamme de services d'installations à SPIE, de faire son entrée sur le marché de la sécurité au Royaume-Uni et de développer son expertise dans le domaine du bâtiment intelligent.

Avec l’acquisition stratégique du groupe Numac, prestataire de services techniques et de maintenance industrielle majeur proposant un portefeuille complet de services et de solutions par l’intermédiaire de ses quatre filiales, en, Spie renforce sa présence aux Pays-Bas.

En, SPIEfait son entrée à labourse de Paris[24], annonce avoir acquis Leven Energy Services au Royaume-Uni[25] et avoir passé un contrat defacility management avecGenerali[26].

Chantier d'EUROPA, siège de SPIE inauguré en 2016.

En, SPIE rachète l'entreprise Agis Fire & Security, basée à Varsovie (Pologne) et spécialisée dans la protection incendie et la sécurité des bâtiments[27]. Avec ce rachat, SPIE a réalisé sa100e acquisition en dix ans[28].

En, Spie annonce l'acquisition pour 850 millions d'euros de SAG, une entreprise allemande spécialisée dans les services pour les collectivités[29].

En, SPIE acquiert la société allemandePMS Sicherheitstechnik + Kommunikation (PMS)[30] et elle finalise l'acquisition de l'entrepriseMer ICT aux Pays-Bas[31].

En, SPIE annonce l'acquisition de l'entreprise belge SYSTEMAT (150 employés)[32].

En, SPIE intègre l'entreprise Vigilec, entreprise française de maintenance des réseaux d'électricité, gaz et télécommunications.

Début septembre 2021, SPIE dépose une offre de rachat pour l'entreprise Equans, filiale d'Engie, dans le but de créer "le champion européen pure-player des services multi-techniques"[33].

En août 2024, SPIE a finalisé l'acquisition de 87 % d'OTTO Life Science Engineering GmbH, Allemagne (OTTO LSE), après que les autorités antitrust compétentes ont approuvé la transaction[34].

Direction de SPIE

[modifier |modifier le code]

Présidents

[modifier |modifier le code]

Actionnaires

[modifier |modifier le code]
Actionnaires[35].
Nom%
Caisse de dépôt et placement du Québec10,6%
Peugeot Invest SA (Île-de-France)5,46%
Aviva Investors Global Services Ltd.4,17%
Natixis Investment Managers International SA3,93%
Spie SA Employee Stock Ownership Plan3,57%
Norges Bank Investment Management2,36%
CRUX Asset Management Ltd.2,32%
Financière de l'Échiquier SA2,29%
The Vanguard Group, Inc.2,10%
Gauthier Louette1,57%

Mécénat

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. Spie entre en Bourse
  2. abcd ete"Le groupe Empain en France. 1883-1948", thèse de de Doctorat de Caroline Suzor à l'Université catholique de Louvain en 2009[1]
  3. Xavier Bezançon, et Daniel Devillebichot,Histoire de la construction moderne et contemporaine en France, Paris, Eyrolles, 2014,pp. 129-130.
  4. a etb"Le patronat de l’électricité en France dans l’entre-deux-guerres", par Henri Morsel, dans le "Bulletin d'histoire de l'électricité" en 1991[2]
  5. "Entreprises et pouvoir économique dans la région Rhône-Alpes (1920-1954)" par Hervé Joly, François Robert, et Alexandre Giandou, en 2009, dans les cahiers du Centre Pierre Léon d’histoire économique et sociale, à l'Institut des Sciences de l’Homme de Lyon[3]
  6. "Le chef d'entreprise: Évolution de son rôle au XXe siècle" par Germain Martin et Philippe Simon, en 1946[4]
  7. ab etc"Histoire secrète du patronat de 1945 à nos jours: Le vrai visage du capitalisme français" par Frédéric Charpier, Martine Orange, Erwan Seznec. Editions La Découverte, 2014[5]
  8. "E.D.F. et la main invisible, ou, Genèse de E.D.F" par Jean Janiaud, page 71
  9. "Force et Lumière : 1899-1914. Étude d’une société de production-distribution d’électricité", par Anne Bertrand-Camitaud, dans leBulletin d'histoire de l'électricité en 1985[6]
  10. "Relations entre pouvoirs publics, autorités d’occupation et société d’électricité (1940-1944)", par Patrice Paulédans leBulletin d'histoire de l'électricité en 1997[7]
  11. "Un grand patronat français peu renouvelé à la Libération" par Hervé Joly[8]
  12. abcdefghi etj"Le rôle de Jean-Marie Louvel, président de la commission de l’équipement national lors de la nationalisation de l’électricité de 1945 à 1949", par Christophe Mauboussin dans leBulletin d'histoire de l'électricité, en 1996[9]
  13. Interview du ministreMarcel Paul dans «Les nationalisations ont-elles été une spoliation ? », par J.-C. Asselain, contribution à "Les nationalisations de la Libération.De l'utopie au compromis", sous la direction de Claire Andrieu, Lucette Le Van et Antoine Prost, ÉditeurPresses de Sciences, en 1987, page 271[10]
  14. Historique du groupe Schneider et de sa restructuration surcreusot.net
  15. Xavier Bezançon, et Daniel Devillebichot,Histoire de la construction moderne et contemporaine en France, Paris, Eyrolles, 2014,pp. 322.
  16. Christian Bataille etRobert Galley, « Rapport sur l'aval du cycle nucléaire », surassemblee-nationale.fr,(consulté le).
  17. Physique, fonctionnement et sûreté des REP - Collection Génie Atomique, Hubert Grard
  18. ab etc"Alsthom, C.G.E. et Thomson-C.S.F. se sont rapprochées pour reprendre Jeumont-Schneider" dansLe Monde du 25 janvier 1969[11]
  19. Article d'Alphonse Thélier dansLe Monde du 8 décembre 1969[12]
  20. "La C.G.E. souhaiterait un dénouement rapide de l'affaire Jeumont-Schneider". Article dansLe Monde du 27 mai 1970, parJacqueline Grappin[13]
  21. [PDF]Le Figaro, 24 avril 1984 — fr. « Florilège de travaux remportés par DTP dans le Sud-Est asiatique ».
  22. « Une nouvelle industrie touristique Un marché sans illusions pour les Français », surLe Monde,(consulté le).
  23. « Le groupe Spie acquiert Gefca et Lapierre et renforce son offre multitechnique de proximité », surspie.com.
  24. « Spie réussit son entrée à la Bourse de Paris », surlemonde.fr.
  25. « Spie: acquisition de Leven Energy Services au Royaume-Uni », surabcbourse.com.
  26. « Spie: contrat de 'facility management' avec Generali », surabcbourse.com.
  27. « Spie fait une acquisition en Europe de l'Est », surlefigaro.fr.
  28. « Spie, le "serial" acheteur "Made in France" : 100 acquisitions en 10 ans », surlatribune.fr.
  29. « Spie achète l'allemand SAG pour 850 M d'euros », surlefigaro.fr,Le Figaro,.
  30. « Spie prend de l'ampleur avec PMS en Allemagne », surfusacq.com.
  31. « Spie a finalisé l'acquisition de MER ICT », surfusacq.com.
  32. « BREF - Spie acquiert le groupe belge Systemat »,Investir,‎(lire en ligne, consulté le)
  33. « Spie dépose une offre pour acheter Equans, filiale d'Engie », surLEFIGARO(consulté le).
  34. (de) « SPIE unterzeichnet Vereinbarung zum Erwerb der Otto Life Science Engineering GmbH », surSPIE(consulté le)
  35. ZoneBourse, « SPIE : Actionnaires Dirigeants et Profil Société | SPIE | FR0012757854 | Zone bourse », surzonebourse.com(consulté le).

Annexes

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Entreprises duCAC Next 20
v ·m
Entreprises duNext 150
Euronext 100
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Spie&oldid=222602671 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp