La Brionne, le Ruisseau de Martrois, le Ruisseau du Val d'Ete sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.
Un ancien cours d'eau leMoroillon, situé près du bois de Beurey, est mentionné en1260[4].
Une rigole de 14 km a été construite en 1831 pour réaliser la jonction duréservoir de Grosbois, sur laBrenne, aucanal de Bourgogne à 378 m d'altitude, ce qui donne une pente de 0,16 %. Cette rigole traverse la montagne de Soussey dans un souterrain long de 3 705 m qui débouche sur la commune où elle capte l'eau de la Brionne avant de faire de même avec deux autres ruisseaux en aval.
LeMollevaux[5], affluent de l'Armançon, est répertorié en 1838[6].
Dans les années1860, les fontainesBriant,La Fontaine-qui-bout etFricotin sont répertoriées par Joseph Garnier[1] sur le territoire de la commune[7]. La fontaineLa Sense est mentionnée par Alphonse Roserot[8].
Au, Soussey-sur-Brionne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle est située hors unité urbaine[20] et hors attraction des villes[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,7 %), forêts (29,2 %),terres arables (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), zones urbanisées (2,4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le nom de la localité est attesté dès leIXe siècle[24] sous les formes latinisées :Selsiacus auXIe siècle[25],Sollicia, Sucei etJosbertus de Soceio en 1134[26],Soceium, Socceium (1219[27]),Sauceyum en 1294[28],Soceyum ouSocceyum avant 1312[29],Souceyum vers 1400[30] et romanes:Soce, Socce, Soccé (Ecclesia Sancti Johannis de Soccé en 1178[31]),Succé en 1188[27],Socé en 1229[32],Soccey,Secé en 1264[33],Soucé en 1282[33],Soucey en 1310[34],Soulcey en 1375[35],Soncey en 1397[36],Soussey en 1442[37],Soucey dessus Grant Champt en 1461[38]Soucy ouSoussy en 1489[39],Soulsey en 1549[40],Saulcy en 1574[41],Saucy en 1657[42],Soissey en 1668[43],Soussoy en 1676[44],[45],[46].
En patoisSoussi; le nom du village pourrait représenter le nom ancien de la rivière (aujourd'hui la Brionne)[47].
Celles du hameau de Beurey sont attestées dès leXIIe[48] :Burriacum en 1163[33],Burreium en 1186[49],Burré en 1187[33],Burreum en 1196[33],Burri en 1260[33],Burreyum en 1287[33],Burretum en 1293[33],Burrey en 1343[33],Beurré en 1574[50],Beurey en 1657[51],Beurrey en 1661[52],Barée en l'Auxois proche Beurizot en 1688[53] etBoeurey en 1734[54].
Celles du hameau de Grand Champ sont attestées dès leXIIIe[55] :Grandis Campus en 1252[53],Grant Champ en 1260[33],Gran Chan en 1285[56],Grant Champt en 1461[38],Grand Champ en 1625[57],Grand Champs en 1713[58].
Celles de l'ancien hameau de L'Epinois sont attestées également dès leXIIIe[55] :Coma d'Espinés en 1219[59],Planta d'Espineaul en 1290[33],L'Espinois en 1295[33],Grangia d'Espineaus en 1298[33],Espineaux en 1300[33],L'Espinoy en 1657[42],Lespinois en 1668 (Baronnie de Pouilly, siège de Lespinois[43]),L'Epinoy en 1783[60],L'Epinay en 1787[61],Saint-Agri-Lepinois auXVIIIe[62],L'Epinoi auXVIIIe[63].
En1181, l'abbaye de Saint-Seine acquiert des biens à Soussey etMartrois, en donnant :1) une absolution aux âmes des ancêtres des vendeurs ; 2) à leur famille une part des prières des moines ; 3) en remettant 20 livres à Robert de Soce et 60 sols à Régnier son fils.
Le, le DucPhilippe II de Bourgogne, après avoir chevauché toute la nuit depuisDijon, se rend à Soussey (sans doute au château) pour y « disner » et « gister » afin de tenter de reprendre Grand Champ auxGrandes compagnies[69].
La population de Soussey (Grandchamp excepté) est en1397 de huitserfs solvables et de trois misérables.
En1450, sous le Duché dePhilippe le Bon, un dénommé Ogier de Soussey sollicite et obtient le pardon du Duc à la suite de l'homicide involontaire commis par les familles Rebel et Maillet, quelques années auparavant à Soussey, sur la personne du prêtre deThoisy-la-Berchère, Guillaume Doille, celui-ci ayant tenté d'abuser de la sœur d'Ogier, Claude Maillet et menacé d'excommunier plusieurs villageois de Soussey[71].
Selon Alphonse Roserot,« il y avait un château-fort à Grand Champ dès 1461 »[55].
En1499, il est fait mention sur Soussey d'un fief dépendant d'Eguilly:Le Rochon[72].
L'un des derniersermites de La Chapelle Saint-Jean, le Frère François, publie en1782, chez l'éditeur Defay deLyon son « Essai sur les maladies contagieuses du bétail, avec les moyens de les prévenir et d'y remédier efficacement».
Sous l'Ancien Régime, Soussey est rattaché à la recette d'Arnay-le-duc en ce qui concerne la perception de l'impôt.Pour la circonscription ecclésiastique, jusqu'auXXe, le village fait partie de l'archiprêtré de Pouilly-en-Auxois, lui-même dépendant de l'archidiaconé deFlavigny, dépendant lui-même dudiocèse d'Autun[76].
Faisant suite à la division du territoire français en départements fin 1789 par l'Assemblée nationale, Soussey, de1790 à1795, est rattaché aucanton de Vitteaux comme 20 autres communes (22 selon une autre source[77]) et fait partie ainsi dudistrict de Semur[64]. Lors de la suppression des districts en 1800, le canton de Vitteaux fut rattaché à l'arrondissement de Semur-en-Auxois.
Le, les écoliers de Soussey (avec ceux de Cessey, Sainte-Colombe, Velogny, Avosnes et Marcilly) participent à Vitteaux à une remise de prix pour les écoles favorisant l'enseignement desdroits de l'homme et de la constitution, organisée par l'administration du département de la Côte-d'Or[78].
En1798, l'agent communal de Soussey est un dénommé Darcy qui dépend de l'administration cantonale à Vitteaux[79].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[82]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[83].
En 2022, la commune comptait 158 habitants[Note 2], en évolution de +5,33 % par rapport à 2016 (Côte-d'Or : +0,82 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La culture de la vigne de l'Auxois était également principalement localisée dans ces deux communes, mais la concurrence des vins de la Côte a progressivement entraîné leur disparition à Soussey[87]. Les flancs des collines autrefois plantés de vignes sont devenus des prés. Cependant, la commune est comptée dans l'indication géographique protégée "coteaux-de-l'Auxois" qui pourrait rendre possible la relance de la viticulture sur des coteaux bien exposés comme cela s'est produit par exemple àFlavigny-sur-Ozerain.
Ledialecte parlé jadis à Soussey et dans les environs, est lebourguignon-morvandiau,patois issu de lalangue d'oïl. Une vieille chanson, interprétée autrefois pendant les noces ou dans les réunions de toutes sortes, intitulée « Épitre des sobriquets du canton de Vitteaux » évoque les principaux villages environnants et notamment, au début d'un de ses couplets, celui de Soussey[89] :
(...)
Etsé l'gorman d'Sain Jan[90] (voici le gourmand de Saint-Jean)
À l'est du village se niche la sortie du tunnel de 3,6 km emprunté par la rigole qui relie Grosbois au canal, que l'on repère sur la montagne grâce aux puits de ventilation disséminés dans les prés. Aux alentours, on croise une petite cascade sur le ruisseau de Brionne et d'anciennestufières.
Une autre rigole, beaucoup plus petite, est creusée dans un mur en tuf au lieu-dit Godot ; une sorte de micro-aqueduc original qui guide les eaux de la source pétrifiante de Bouchasey.
La chapelle Saint-Jean:XIIe siècle autrefois dénommée Le Clos Saint-Jean[95], ou Hermitage Saint-Jean[62] ou La Chapelle Saint-Jean de l'Ermitage[96], était l'abside d'une ancienne église aujourd'hui disparue[97]. Elle fait l'objet d'un classement au titre desMonuments historiquesClassé MH(10 novembre 1925)[98]. À proximité, la source miraculeuse indiquait les chances de survie des nourrissons. On y jetait les langes. Derrière la chapelle s'étirent de belles roches et un énorme rocher isolé porte les ruines de la « Tour de Jéricho ». Elle était considérée comme une tour à signaux.
La ferme de l'Épinois : ancienne grange cistercienne avec sa chapelle Saint-Agrice. Elle dépendait de l'abbaye de la Bussière. C'était l'un des trois sièges de la justice de la baronnie de Pouilly-en-Auxois[99].
Lechâteau :XIIIe siècle,XVIe siècle etXVIIe siècle car les différents bâtiments furent ajoutés au fur et à mesure[100]. Au-delà de la porte charretière, on aperçoit la maison-tour duXIIIe siècle, vénérable donjon[101] carré avec tourelle d'escalier à vis coiffé d'un toit en tuile. Les autres bâtiments qui se répartissent autour de la cour datent duXVIe siècle. Dans le parc coule une rivière au bord de laquelle se trouve un colombier. Le château habité peut se visiter en partie sur rendez-vous où la vie d'une famille seigneuriale y est reconstituée avec meubles et mannequins. Jardin à la française dans la cour intérieure. Parc à l'anglaise autour du château. Classé au titre desMonuments historiquesClassé MH(6 décembre 1984)[102].Claude Courtépée écrit que, de son temps, les armoiries de Pracomtal et de Saulx (1585) étaient visibles sur la façade de la tour[45].
lamaison du procureur d'office Jean-Louis Nauret (édifiée en 1658) située face à l'entrée de l'église,
unpigeonnier carré,
de nombreuxponts faits de dalles de pierre,
unpont-aqueduc permettant à un ruisseau de se glisser sous la rigole du canal. Plusieurs moulins à eau profitaient jadis de la rivière comme le moulin Capitain ou le moulin de Grandchamp.
Sous les duchés de Bourgogne, lesfiefs faisant partie du territoire correspondant actuellement à celui du département de la Côte-d'Or, étaient principalement tenus par des barons, tous vassaux des ducs. Labaronnie de Soussey en faisait partie[105].
Louise de Pracomtal, leur fille, Baronne de Soussey
FrançoisDamas, Comte deCrux, Vicomte d'Anlezy, son époux en 1648[114]
Antoine-LouisDamas, Chevalier, Comte deCrux, Baron de Soussey et de Saint-Thibault, époux en 1670 de Marie-Anne Coutier de Souhey[115]
Jacques et Louis de Reugny, écuyers, Seigneurs en partie de Martrois et Soussey en 1673[116]
EtienneDamas (1674-1721), Chevalier, Comte deCrux, Baron de Souhey et de Saint-Thibault, Seigneur de Soussey, époux en 1701 de Margueritte-Etiennette d'Achey[117]
Claude Nauret (ou Navret?), né vers 1600,procureur en la justice de Soussey
Jean Louis Nauret (ou Navret?), 1627-1710, fils du précédent,notaire, procureur fiscal et juge administrateur du seigneur de Soussey[122], époux (en 1648) de Jeanne de Bourbon Busset (1630-1683)[123]
Annet Nauret (ou Navret?), 1650-1733, fils du précédent, notaire, procureur d'office et juge administrateur du seigneur de Soussey[124]
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbinNomenclature historique des communes, hameaux, écarts, lieux-dits du département de la Côte-d'Or, n° 716, Dijon, 1869 (extrait de l'Annuaire du département de la Côte-d'Or, années 1860, 1861 et 1862).
↑Versus forestam de Burri (...); de nemore predicto quod vocatur Foresta (...), sicut se comportat rivus de Moroillon, a parte ville que vocatur Grant Champ, usque ad nemus quod vocatur li Mange, Notre Dame de La Bussière, H 537, AD21, repris dansRoserot 1924,p. 266.
↑inRivières et petits cours d'eau non navigables situés dans le département de la Côte-d'Or, Archives de la Côte-d'Or, 1838, repris dansRoserot 1924,p. 254.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Bernard Prost,Inventaires mobiliers et extraits des comptes des Ducs de Bourgogne de la Maison de Valois (1363-1467), Tome I, Philippe le Hardi, Paris 1903-1904, page 414
↑inNouvel État Général des villes, bourgs et paroisses, villages, hameaux et écarts en dépendant, compris dans les États du duché de Bourgogne, Comtés et Pays adjacents, Dijon 1783, f° 304
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↑Courtépée la décrit comme unancien castel in Description Générale et particulière du Duché de Bourgogne par M.Courtépée, Frantin à Dijon, 1775, tome 4, page 86
↑inLes peuplements castraux en Côte-d'Or d'Hervé Mouillebouche, page 223-224, Revue Mémoires de la Commission des antiquités du département de la Côte-d'Or, éditée par l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, 1996. Commission des antiquités du département de la Côte-d'Or. Lire en ligne:http://bm-dijon.fr . Dans ce même document, sont répertoriés page 238, la centaine de sites constituant les « peuplements castraux » dans le département de la Côte-d'Or, dont la Tour de Jéricho de Soussey
↑inItinéraires de Philippe le Hardi et de Jean sans Peur, ducs de Bourgogne, 1363-1419: d'après les comptes de dépenses de leur hòtel recueillis et en ordre par E. Petit Imprimerie nationale, 1888 - 719 pages
↑in C'est le troisième registre d'Huguenot Girard, de Dijon, clerc, coadjuteur du tabellion de Dijon, 1425-1437, Notaires et tabellionnages : protocoles et minutes (série B11221-11387bis), Chambre des comptes de Dijon, archives départementales de la Côte-d'Or. Lire en ligne:http://www.archinoe.net/console/ir_ead_visu.php?eadid=FRAD021_000001844&ir=23308#
↑in Honor, Vengeance, and Social Trouble: Pardon Letters in the Burgundians Low Countries de Peter Arnade et Walter Prevenier, lettre de pardon n°13 jugé à Beaune en juillet 1450, ADN, Lille, B, 1684, fols. 142-143v (Lancien, n°533) page 118, Ithaca, New York, Londres, Cornell University Press, 2015,(ISBN978-0-8014-5346-5).
↑Jacques Drouas acheta en 1756 la seigneurie deVelogny pour 50.000 livres à Champeaux de Saucy. Cette seigneurie relevait de Soussey qui appartenait à Mme la baronne de Damas. Voici comment Jacques Drouas rendit hommage par procureur à sasuzeraine. Claude Bouchard, bailli de Vitteaux, s'étant informé si la dite Dame était à Soussey, apprit qu'elle était hors de la province. Le dit Bouchard, pour le sieur Drouas, sans épée ni éperons, s'étant transporté sur le pont-levis du château de Soussey, mit le genou à terre, tête nue, baisa la chaîne et fit les autres cérémonies requises par la coutume. Il fit entre les mains d'Alexandre Aury, bailli de Soussey, le serment de foi et d'hommage avec promesse de donner le dénombrement de la terre de Velogny. Tel était le devoir de fief.Hutinel et Mathey 1990,p. 292.
↑inNouvel État Général des villes, bourgs et paroisses, villages, hameaux et écarts en dépendant, compris dans les États du duché de Bourgogne, Comtés et Pays adjacents, Dijon 1783, f° 304 v°, inCartes de la France deCassini, 1744-1788 et inNomenclature historique des communes, hameaux, écarts, lieux-dits du département de la Côte-d'Or de Joseph Garnier n° 716, Dijon, 1869 (extrait de l'Annuaire du département de la Côte-d'Or, années 1860, 1861 et 1862) repris parRoserot 1924,p. 265.
↑« Les pruneaux, jadis connus de toutes les foires de l'Europe, étaient une branche de commerce fort considérable. Ces pruneaux sont faits avec les prunes Sainte-Catherine, Damas, venant de Syrie, d'où elles nous furent rapportées par les seigneurs de Saffres à leur retour des croisades. Les seigneurs de Saffres et de Vitteaux sont les premiers qui se plurent à cultiver cet excellent fruit et, à leur exemple, les seigneurs des environs et les particuliers en propagèrent l'espèce et apprirent la manière d'en faire des pruneaux (...) Peu de temps après que les pruneaux étaient façonnés, les personnes qui en faisaient le commerce allaient les vendre à Dijon à tous les seigneurs du Parlement et autres qui affluaient alors dans cette ville (...) ». IHutinel et Mathey 1990,p. 162-163.
↑inRevue géographique de l'Est: II. — Évaluation du degré d'authenticité des territoires ruraux de l'Auxois et du Morvan par Valérie Delignières, tome 38 - 3, 1998, page 113. Lire en ligne:http://www.persee.fr/doc/rgest_0035-3213_1998_num_38_3_2340
↑InArchives départementales de la Côte-d'Or antérieures à 1790, page 259, Archives civiles, série B, Chambre des comptes de Bourgogne, Tome 4, 1876 Dijon
↑InArchives départementales de la Côte-d'Or antérieures à 1790, page 262, Archives civiles, série B, Chambre des comptes de Bourgogne, Tome 4, 1876 Dijon
↑InLes Pracontal de Normandie: histoire et généalogie d'un rameau établi dans l'Avranchin vers 1474 pages 7 et suivantes, Société d'archéologie de d'histoire de la Manche, 1978 - 50 pages
↑InArchives départementales de la Côte-d'Or antérieures à 1790, page 281, Archives civiles, série B, Chambre des comptes de Bourgogne, Tome 4, 1876 Dijon
↑Seigneur de Saint-Thibault, de Saint-Beury et de Beurizot, InArchives généalogiques et historiques de la noblesse de France par M. Lainé, Tome 5, page 96, Paris 1836
↑Seigneur des Gouffiers et de la Cave, reçu Chevalier de Malte le 7 juin 1631. Son contrat de mariage avait été passé auChâteau de Vésigneux devant Magdelenat et Marques, notaires royaux. Une des conditions de ce contrat prévoyait que: « celui des enfants qui aurait la Baronnie de Soussey porterait le nom et les armes de Pracomtal conjointement avec le nom et les armes de Damas ». Il fut Conseiller d'État et Maréchal de Camp. Il siégea aux États de Bourgogne en 1642, 1645, 1647 et 1658. InArchives généalogiques et historiques de la noblesse de France par M. Lainé, Tome 5, page 95, Paris 1836 et inArmorial général de la France ou Registre de la Noblesse, volume 3, partie 2, page 22, de Louis P. D'Hozier, 1752
↑Il siégea aux États de Bourgogne en 1671, 1679 et 1682. InArchives généalogiques et historiques de la noblesse de France par M. Lainé, Tome 5, page 97, Paris 1836
↑InArchives départementales de la Côte-d'Or antérieures à 1790, page 316, Archives civiles, série B, Chambre des comptes de Bourgogne, Tome 4, 1876 Dijon
↑InArchives généalogiques et historiques de la noblesse de France par M. Lainé, Tome 5, page 97, Paris 1836
↑InArchives départementales de la Côte-d'Or antérieures à 1790, page 349, Archives civiles, série B, Chambre des comptes de Bourgogne, Tome 4, 1876 Dijon
↑Voir in"Monographie de Vitteaux" par François Etienne Hutinel, édition Honoré Champion, Paris, 1912, page 291 et suivanteshttps://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1457525/f297.item.r=soussey et inArchives départementales de la Côte-d'Or antérieures à 1790, page 363, Archives civiles, série B, Chambre des comptes de Bourgogne, Tome 4, 1876 Dijon
↑a etbInArchives départementales de la Côte-d'Or antérieures à 1790, page 377, Archives civiles, série B, Chambre des comptes de Bourgogne, Tome 4, 1876 Dijon
↑Selon les registres paroissiaux de l'époque (archives départementales de la Côte-d'Or, 1603-1782, FRAD021_613_5MI37R056), sa fille Emilande (1687-1764) épousera (date inconnue) (Annet-)Jean Bruley (ou Brulé) (1681-1750), fermier à la métairie de Beurey, hameau de Soussey
↑ab etcSelon les registres paroissiaux de l'époque (archives départementales de la Côte-d'Or, 1603-1782, FRAD021_613_5MI37R056)
↑Selon les registres paroissiaux de l'époque (archives départementales de la Côte-d'Or, 1603-1782, FRAD021_613_5MI37R056), Marandon était simple vicaire en 1750 et curé de Soussey en 1764.