Ne pas confondre avecSoignolles, dans leCalvados
| Soignolles-en-Brie | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Île-de-France | ||||
| Département | Seine-et-Marne (Melun) | ||||
| Arrondissement | Melun | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes Brie des rivières et châteaux | ||||
| Maire Mandat | Serge Barberi 2020-2026 | ||||
| Code postal | 77111 | ||||
| Code commune | 77455 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Soignollais | ||||
| Population municipale | 2 024 hab.(2022 | ||||
| Densité | 188 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 48° 39′ 20″ nord, 2° 42′ 02″ est | ||||
| Altitude | Min. 57 m Max. 97 m | ||||
| Superficie | 10,77 km2 | ||||
| Type | Bourg rural | ||||
| Unité urbaine | Coubert (ville-centre) | ||||
| Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Fontenay-Trésigny | ||||
| Législatives | Neuvième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte :Île-de-France | |||||
| Liens | |||||
| Site web | ville-soignollesenbrie.fr | ||||
| modifier | |||||
Soignolles-en-Brie est unecommune française située dans ledépartement deSeine-et-Marne enrégionÎle-de-France.
Soignolles-en-Brie est à 6,1 km au sud-est deBrie-Comte-Robert.
La grande ville la plus proche estMelun à 13,5 km.
| Grisy-Suisnes 3,8 km | Coubert 2 km | Solers 2,5 km |
| Évry-Grégy-sur-Yerre 3,8 km | Yèbles 6,4 km | |
| Limoges-Fourches 3,9 km | Lissy 3,7 km | Champdeuil 5,2 km |
L'altitude de la commune varie de 57 mètres à 97 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 63 mètres d'altitude (mairie)[1], dans une petite vallée parcourue par la rivière l’Yerres. Le village s'étend sur les bords de cette vallée et est principalement entouré par des champs et des bois.
Soignolles-en-Brie est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Le réseau hydrographique de la commune se compose de troiscours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,11 km[6].
Afin d’atteindre lebon état des eaux imposé par laDirective-cadre sur l'eau du, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : leSDAGE, à l’échelle dubassin hydrographique, et leSAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein dubassin Seine-Normandie[7].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le. Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : leru de l'Étang de Beuvron, laVisandre, l’Yvron, leBréon, l’Avon, laMarsange, laBarbançonne, leRéveillon[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[9].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de Seine-et-Marne.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[12] et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec11,4 jours de précipitations en janvier et7,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deMontereau-sur-le-Jard à8 km àvol d'oiseau[16], est de11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de41,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−19,8 °C, atteinte le[Note 1].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].
Au, Soignolles-en-Brie est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22].Elle appartient à l'unité urbaine de Coubert[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle estville-centre[Note 3],[23],[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[24]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].
La commune compte115lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[27] dontMont Sébastien,Barneau,la Burelle,la Bouguenelle,Meillant.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (69,1% ), zones urbanisées (13,1% ), forêts (7,9% ), mines, décharges et chantiers (7,4% ), zones agricoles hétérogènes (2,5 %)[28].
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[29],[30],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'unplan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de lacommunauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[31],[32].
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de865 dont 86,3 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme,pavillons, etc.) et 13,3 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants.
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,3 % contre 11,2 % de locataires et 5 % logés gratuitement[33].
La commune est desservie par la ligne d'autocars duréseau de bus du Pays BriardNo 30A (Tournan-en-Brie – Melun).
Le nom de la localité est attesté sous la formeCeognoiles en 1182[34],Sognolles en 1750.
Du diminutif bas latinciconiola, faisant allusion au haut balancier de certains puits, dénommé « cigogne » et qui sert à remonter l'eau[35], ou du bas latinsoniola, du verbesoniaire : procurer, fournir, mot employé dès leXIIIe siècle en langage bas-latin ou francique[réf. nécessaire], étant lui-même une déformation du mot latin plus anciensogniola[réf. nécessaire] signifiant lieu où l’on soigne, ou hospice, mais aussi logement pour le voyageur, « hôtellerie », ce qui indiquerait que la commune était fréquentée par les voyageurs, en route vers la Champagne, ou versMelun etMeaux.
LaBrie (prononcé[bʁi]) est unerégion naturelle située dans la partie orientale dubassin parisien, entre les vallées de laMarne, de l'Orge, de laSeine et lacôte d'Île-de-France.
AuXIIIe siècle, il existait de nombreux moines hospitaliers détachés des monastères et s’occupant des sortes de relais sur les trajets importants. Soignolles qui ressemble beaucoup à SOIGNIES possédait un prieuré qui fut un centre de pèlerinage pendant plusieurs siècles : on venait y vénérer la relique du crâne de Saint-Sébastien.Lieu de passage obligé, à cause du gué sur l’Yerres, de la route de Melun-Lagny, il est probable que Soignolles dut d’abord être un refuge, un abri de nuit pour les voyageurs et les pèlerins attardés, au milieu d’une vallée beaucoup plus boisée qu’aujourd’hui. Les moines du Mont Saint-Sébastien (fondé auXIIIe siècle) étaient des guides pour la traversée du gué de l’Yerres et des gardiens pour la sécurité du passage[36].
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
| 1848 | 1870 | Jean-Baptiste Reboul | ||
| 1870 | 1871 | Nicolas-Marcel Perreux | Vigneron | |
| 1871 | 1880 | Étienne Denis | Cultivateur | |
| 1881 | 1892 | Edmé Hyppolite Collet | Boulanger | |
| 1892 | 1907 | Victor Dugue | Manouvrier-cultivateur | |
| 1907 | 1922 | Louis Armand Hugué | Instituteur Conseiller d'arrondissement(1919 → 1925) | |
| 1922 | mai 1929 | Henry-Gaston Perreux | Cultivateur exploitant | |
| mai 1929 | mai 1935 | Lucien Paris | Entrepreneur de maçonnerie | |
| mai 1935 | octobre 1947 | Marcel Perreux | Cultivateur | |
| octobre 1947 | mai 1953 | Marcel Dehu | ||
| mai 1953 | mars 1965 | Marcel Perreux | Cultivateur | |
| mars 1965 | janvier 1966 | Roger Poggi | Architecte | |
| janvier 1966 | mars 1971 | Jean Thollet | ||
| mars 1971 | mars 1983 | Marcel Tétrot | PS | Instituteur |
| mars 1983 | juin 1989 | Olivier Guichard | PS | Directeur d’école |
| juin 1989 | juin 1995 | Marc Noé | RPR | Conseiller général de Brie-Comte-Robert(1994 → 2001) Suppléant du députéJean-Pierre Cognat(1993 → 1997) |
| juin 1995 | juin 2013 | Annie Lavot | DVG | Dirigeante de société |
| juin 2013[38] | en cours | Serge Barberi[39] | DVG | Chef de service Réélu en 2014 et 2020 |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[40],[41].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Soignolles-en-Brie est assurée par lacommunauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le[42],[43],[44].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[45]. Lacommunauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[42],[46].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par lacommunauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entrepriseSuez, dont le contrat expire le[42],[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2022, la commune comptait 2 024 habitants[Note 7], en évolution de +2,79 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 700 | 630 | 678 | 628 | 729 | 690 | 693 | 684 | 665 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 645 | 621 | 641 | 636 | 622 | 587 | 578 | 717 | 615 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 633 | 622 | 629 | 553 | 529 | 570 | 600 | 581 | 716 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 834 | 840 | 940 | 1 113 | 1 474 | 1 962 | 2 032 | 2 031 | 2 073 |
| 2015 | 2020 | 2022 | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 987 | 2 038 | 2 024 | - | - | - | - | - | - |

En 2018, le nombre deménagesfiscaux de la commune était de 791 (dont 71 %imposés), représentant 2 002 personnes et lamédiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 870 euros[52].
En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 378, occupant 1 035 actifs résidants.Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 75,9 % contre un taux de chômage de 5,1 %. Les 19 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,5 % de retraités ou préretraités et 3,6 % pour les autres inactifs[53].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de145 dont12 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres,38 dans la construction,28 dans lecommerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,6 dans l’Information et communication,8 dans les activités financières et d'assurance,27 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien,9 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et17 étaient relatifs aux autres activités de services[54].
En 2020,23 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont15individuelles.
Au, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[55].
Soignolles-en-Brie est dans lapetite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de laBrie autour deBrie-Comte-Robert[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de fleurs et horticulture diverse[56].
Si la productivité agricole de laSeine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de2 000 ha par an dans lesannées 1980, moins dans lesannées 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans lesannées 2010[57]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 10 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de104 ha en 1988 à68 ha en 2010[56].Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Soignolles-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :
| 1988 | 2000 | 2010 | |
|---|---|---|---|
| Dimension économique[56],[Note 9] | |||
| Nombre d’exploitations (u) | 10 | 7 | 4 |
| Travail (UTA) | 26 | 15 | 6 |
| Surface agricole utilisée (ha) | 1 039 | 622 | 271 |
| Cultures[58] | |||
| Terres labourables (ha) | 1 022 | 588 | 254 |
| Céréales (ha) | 578 | 352 | 142 |
| dontblé tendre (ha) | 390 | 252 | s |
| dontmaïs-grain et maïs-semence (ha) | 146 | 16 | s |
| Tournesol (ha) | 0 | s | |
| Colza etnavette (ha) | 44 | s | s |
| Élevage[56] | |||
| Cheptel (UGBTA[Note 10]) | 30 | 19 | 2 |
| Blason | D'argent au chevron de gueules; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. | |
|---|---|---|
| Détails | Figure sur le site de la mairie[63]. |
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