Siradan | |||||
![]() Le village de Siradan. | |||||
![]() Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Bagnères-de-Bigorre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Neste Barousse | ||||
Maire Mandat | Roman Demange 2020-2026 | ||||
Code postal | 65370 | ||||
Code commune | 65427 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Siradanais | ||||
Population municipale | 287 hab.(2022![]() | ||||
Densité | 105 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 58′ 15″ nord, 0° 36′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 459 m Max. 1 027 m | ||||
Superficie | 2,74 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de la Barousse | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Hautes-Pyrénées Géolocalisation sur la carte :région Occitanie | |||||
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Siradan est unecommune française située dans l'est dudépartement desHautes-Pyrénées, enrégionOccitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays deComminges, correspondant à l’anciencomté de Comminges, circonscription de laprovince de Gascogne située sur les départements actuels duGers, de laHaute-Garonne, desHautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau de Gouhouron et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de cinqzones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Siradan est une commune rurale qui compte 287 habitants en 2022. Ses habitantssont appelés les Siradanais ou Siradanaises.
La commune de Siradan se trouve dans ledépartement desHautes-Pyrénées, enrégionOccitanie[I 1].
Elle se situe à 53 km à vol d'oiseau deTarbes[1],préfecture du département, à 39 km de Bagnères-de-Bigorre[2],sous-préfecture, et à 25 km deLannemezan[3],bureau centralisateur ducanton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour lesélections départementales[I 1].La commune fait en outre partie dubassin de vie deMontréjeau[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] :Sainte-Marie (0,8 km),Bagiry (1,4 km),Thèbe (1,8 km),Saléchan (2,2 km),Samuran (2,4 km),Galié (2,7 km),Troubat (2,7 km),Cazarilh (2,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Siradan fait partie du pays deComminges, correspondant à l’anciencomté de Comminges, circonscription de laprovince de Gascogne située sur les départements actuels duGers, de laHaute-Garonne, desHautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
Siradan est limitrophe de cinq autres communes, dont une dans le département de laHaute-Garonne.
Samuran | Bagiry (Haute-Garonne) | |
![]() | Sainte-Marie | |
Thèbe | Saléchan |
La commune est dans lebassin versant de la Garonne, au sein dubassin hydrographiqueAdour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Canal du Moulin, constituant unréseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie desclimats de la France qui compte alors huit grands types de climats enmétropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie parMétéo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour lesprécipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec lechangement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par laDirection générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Mauléon-Barousse », sur la commune deMauléon-Barousse, mise en service en 1995[14] et qui se trouve à 4 km àvol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 121,4 mm pour la période 1981-2010[16].Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 57 km[17], la température moyenne annuelle évolue de12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à12,6 °C pour 1981-2010[19], puis à12,9 °C pour 1991-2020[20].
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.Deux ZNIEFF detype 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21] :« la Garonne de la frontière franco-espagnole jusqu'à Montréjeau » (469 ha), couvrant 38 communes dont 28 dans laHaute-Garonne et dix dans lesHautes-Pyrénées[22] et les « rochers calcaires et milieux associés du Mail de Maubourg à la montagne de Gert » (1 354 ha), couvrant 11 communes dont une dans laHaute-Garonne et dix dans lesHautes-Pyrénées[23] et trois ZNIEFF detype 2[Note 6],[21] :
Au, Siradan est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :forêts (67,6 %), zones urbanisées (22 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Cette commune est desservie par laroute départementaleD 924 et par laroute départementaleD 161.
Le territoire de la commune de Siradan est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier : le risque deradon[28]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre duXIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de laDREAL Occitanie[30]. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[31],[28].
Siradan est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord lecode forestier et l’arrêté préfectoral du, qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[32]
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[33].
Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 19,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 141 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 sont en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[34],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[28].
Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Siradan est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[36].
On trouvera les principales informations dans leDictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées deMichel Grosclaude etJean-François Le Nail[37] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Étymologie : domaine antique, du nom de personnage aquitainSiradus et suffixe-anum >an (qui signifie « domaine deSiradus »).
La théorie de la languenostratique donne, elle,"si" pour "eau","er" pour "bord","at" pour "haut" et"an" pour "lieu éloigné (là)"[38].
Nomoccitan : Siradan.
Une inscription lapidaire d'époque gallo-romaine y a été trouvée sur uncippe sur la montagne de Gert, mentionnant une divinité nommée Aereda[39].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1800 | 1807 | Etienne Dosset[40] | ||
1807 | 1830 | Simon de Sarrieu[40] | ||
1830 | 1831 | Fabien Seilhan[40] | Adjoint faisant fonction de maire | |
1832 | 1836 | Jean Bertrand Euillet[40] | ||
1836 | 1840 | Jean Bertrand Comet[40] | ||
décembre 1840 | 1845 | Alphonse de Sarrieu[rd 1] | nommé par le préfet | |
février 1845 | 1848 | Pierre Dosset[rd 2] | propriétaire des thermes[rd 3] | |
novembre 1848 | 1852 | Joseph Mourère[rd 4] | ||
août 1852 | 1855 | François Ferrère[rd 5] | ||
août 1855 | 1860 | Pascal Comet[rd 6] | ||
août 1860 | 1862 | Eugène Ambroise Bruguières[rd 7] | médecin inspecteur des eaux thermales de Siradan en retraite, nommé | |
septembre 1862 | 1870 | Pascal Comet[rd 8] | cultivateur, nommé | |
octobre 1870 | 1871 | Jean-Baptiste Cabiro[rd 9] | retraité, nommé par le préfet | |
mai 1871 | 1874 | Pascal Comet[rd 10] | ||
décembre 1874 | 1878 | François Pénacèque[rd 11] | ||
janvier 1878 | 1884 | Pascal Comet[rd 12] | ||
mai 1884 | 1888 | Jean Ousset[rd 13] | ||
mai 1888 | 1892 | Jean-Marie Noguès[rd 14] | ||
mai 1892 | 1895 | Jacques Loo[rd 15] | réélu en juillet 1893[rd 16] | |
novembre 1895 | 1919 | Jean-Marie Brun[rd 17] | réélu en1896[rd 18],1900[rd 19],1904[rd 20],1908[rd 21] etmai 1912[rd 22] | |
décembre 1919 | 1922 | Eugène Larrieu[rd 23] | ||
décembre 1922 | 1928 | Pierre Pradère[rd 24] | réélu enmai 1925[rd 25] | |
novembre 1928 | 1944 | Théophile Brun[rd 26] | réélu enmai 1929[rd 27] etmai 1935[rd 28] | |
novembre 1944 | 1945 | Auguste Fontaneuve[rd 29] | Président ducomité communal de libération |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mai 1945 | 1945[rd 30] | Auguste Fontaneuve[rd 31] | ||
novembre 1945 | mars 1977 | Hubert de Sèze[rd 30] | réélu en1947[rd 32],1953[rd 33],1959[rd 34],1965[rd 35] et1971[rd 36] | |
mars 1977 | 2008 | Jacques Bourdil[rd 37] | Médecin-directeur[Note 7] | |
mars 2008 | mars 2014 | Alain Laborde | ||
mars 2014 | mai 2020 | Jean-Claude Fazilleau | ||
mai 2020 | En cours | Roman Demange |
Sénéchaussée d'Auch,pays desQuatre-Vallées,Vallée de la Barousse,canton deBarousse (1801-2014)[41].
Siradan fait partie de lacommunauté de communes Vallée de la Barousse, créée en, qui réunit vingt-cinq communes.
À partir du, elle rejoint la nouvellecommunauté de communes Neste Barousse[42].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2022, la commune comptait 287 habitants[Note 8], en évolution de +0,7 % par rapport à 2016 (Hautes-Pyrénées : +1,59 %,France horsMayotte : +2,11 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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346 | 416 | 388 | 413 | 491 | 519 | 558 | 539 | 516 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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437 | 417 | 411 | 468 | 388 | 375 | 385 | 377 | 310 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
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330 | 322 | 297 | 283 | 254 | 246 | 211 | 186 | 216 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
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254 | 268 | 245 | 268 | 272 | 311 | 297 | 293 | 293 |
2018 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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282 | 287 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[48] | 1975[48] | 1982[48] | 1990[48] | 1999[48] | 2006[49] | 2009[50] | 2013[51] |
Rang de la commune dans le département | 120 | 91 | 122 | 116 | 105 | 117 | 122 | 123 |
Nombre de communes du département | 479 | 473 | 473 | 474 | 474 | 474 | 474 | 474 |
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école maternelle et élémentaire[52].
En 2018, la commune compte 90 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 178 personnes. Lamédiane durevenu disponible parunité de consommation est de 19 510 €[I 5] (20 420 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 5,9 % | 5,4 % | 5,4 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,4 % | 9,8 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 149 personnes, parmi lesquelles on compte 55 % d'actifs (49,7 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs) et 45 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. Depuis 2008, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 176 emplois en 2018, contre 136 en 2013 et 126 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 75, soit unindicateur de concentration d'emploi de 235,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 33,3 %[I 11].
Sur ces 75 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 76 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % lestransports en commun, 13,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Des exploitations agricoles, un maçon, un garage automobile, l'Hôtel Restaurant l'Orée des Cimes, un plombier, un micro camping (), un gîte ("La Tanière") et l'hostellerie du Château de Siradan[53].
Depuis 2009, la zone des Rochers calcaires et milieux associés duMail de Maubourg à la Montagne de Gert est répertoriée enZNIEFF de type 1, avec une superficie de1 353,97 hectares ; elle s'étend sur une partie de la commune de Siradan[54].
Chaque été, l'édition pyrénéenne du festival de cinéma Kino Pyrénéus se tient à Siradan.
Kino est un mouvement cinématographique international, consistant à réaliser des films sans budget, dans un esprit d’entraide, non-compétitif, de liberté et de bienveillance. Sa devise est : « Faire bien avec rien, faire mieux avec peu, mais le faire maintenant. »
La dernière édition a eu lieu du 23 au 28 aout 2021[58].
Lesarmes de Siradan seblasonnent ainsi : |
Selon les Archives départementales, les habitants de Siradan étaient surnommés "eths capons"(oc)« les chapons. On appelle chapons [capons] des fruits, pommes ou poires, cuits au four. Les champs environnant Siradan sont couverts de poiriers, de pommiers surtout. Les habitants en font des chapons qu'ils vont vendre aux villes voisines. (Rosapelly, vers 1910) »[41]
Sauf mention contraire, toutes les références ci-dessous proviennent des registres de délibérations conservés auxarchives départementales des Hautes-Pyrénées, consultés le 16 octobre 2015 à l'adresse suivante :