Il est peut-être indiqué sur leCanon royal de Turin, étant donné que plusieurs noms endommagésSekhemrê-... sont présents au début de la colonne 12. Sinon, il est attesté par une stèle fortement endommagée contemporaine de son règne aujourd'hui auMusée égyptien du Caire (CG 20799)[1],[2]. Un linteau et des blocs portant son nom se trouveraient àEl Kab[3].
La position chronologique de Sekhemrê-Sânhktaouy Neferhotep reste débattue. En effet, sur ce point, leCanon royal de Turin est ouvert à des interprétations. Plusieurs rois sont enregistrés sous le nom deSekhemrê-... et les dommages causés au document original ne préservent pas le nom complet. Par conséquent, Sekhemrê-Sânhktaouy Neferhotep peut en principe correspondre à n'importe quelSekhemrê-... conservé sur la liste des rois, c'est-à-dire peut être un souverain de laXIIIe,XVIe etXVIIe dynasties.
↑Pascal Vernus (1982), « La stèle du roi Sekhemsankhtaouyrê Neferhotep Iykhernofret et la domination Hyksôs (stèle Caire JE 59635) »,ASAEno 68,p. 129-135.
↑W. V. Davies, « The Origin of the Blue Crown »,The Journal of Egyptian Archaeology, Vol. 68, (1982),p. 69-76.
↑Julien Siesse,Throne Names Patterns as a Clue for the Internal Chronology of the 13th to 17th Dynasties (Late Middle Kingdom and Second Intermediate Period), GM 246, 2015,p. 75-98.