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Seconde intifada

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Pour les articles homonymes, voirAl-Aqsa.

Seconde intifada
Description de cette image, également commentée ci-après
Affrontements entre Palestiniens et militaires israéliens à Ayosh près de Ramallah, en 2000.
Informations générales
Date -
LieuCisjordanie,bande de Gaza,Israël
Issue
Belligérants
Drapeau d’IsraëlIsraëlFatah
Hamas
Jihad islamique
FPLP

et d'autres groupes activistes
Commandants
Ismaël Haniyeh
Mahmoud al-Zahar
Khaled Mechaal
Nizar Rayyan
Osama Mazini (en)
Tawfik Jaber
Ahmed Jabari
Mohammed Deif
Said Seyam
Ihab al-Ghussein (en)
Ramadan Shallah
Abdelaziz Awda
Pertes
 :

Drapeau d’Israël
1 062 morts :

  • 727 civils israéliens tués par des activistes palestiniens
  • 335 militaires israéliens tués par des Palestiniens
  • 12 civils israéliens tués par la police israélienne
- :


3 057 morts[1] :

  • 2 860 combattants et civils palestiniens tués par des militaires israéliens
  • 47 Palestiniens tués par des civils israéliens
64 civils étrangers :

  • 54 citoyens étrangers tués par des Palestiniens
  • 10 citoyens étrangers tués par des militaires israéliens

Conflit israélo-arabe

Batailles

Palestine mandataire (1920-1948)
Israël et pays arabes (depuis 1948)
Égypte
Liban
Territoires palestiniens

Massacres
Données clés

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Lasecondeintifada ouIntifada al-Aqsa (arabe :الإنتفاضة الفلسطينية الثانية ouإنتفاضة الأقصى) désigne la période de violence israélo-palestinienne à partir de jusqu'à environ. Les événements sont décrits par Israël comme une campagne de terrorisme palestinien, tandis qu'ils sont décrits par les Palestiniens comme une révolte contre l'occupation et lacolonisation[2].

Le début de la seconde intifada est marqué par la visite d'Ariel Sharon, le chef de l'opposition israélienne sur l'esplanade des Mosquées et lemont du Temple, le et lamort de Mohammed al-Dura deux jours plus tard. Elle se marque par des émeutes palestiniennes dans lesterritoires occupés auxquelles se joint lapopulation palestinienne de nationalité israélienne. Elle est immédiatement réprimée par l'armée israélienne. Après quinze jours, on compte plus de 100 morts palestiniens et vingt-quatre israéliens (dix Juifs[3], ainsi que quatorzeArabes israéliens tués par la police israélienne[4]). Le, la violence grimpe d'un cran quand leHamas et leJihad islamique lancent une campagne d'attentats-suicides contre les centres urbains israéliens, avec plus d'une quarantaine d'attentats perpétrés jusqu'à la fin de l'année 2001[5].

Israël lance l'opérationRempart en, marquée par la bataille de Jénine et la construction d'unmur de séparation israélienne. Suivront également plusieurs opérations militaires dont l'opérationArc-en-ciel (), l'opérationPluies d'été (), l'opérationPlomb durci (nouvel an 2009) suivie par laguerre de Gaza.

Certains auteurs considèrent que le soulèvement prend fin en 2003 avec l'amorce de lafeuille de route pour la paix duQuartet pour le Moyen-Orient, l'accord sur une trêve avec Israël entre les différentes factions palestiniennes, et le début des pourparlers de paix entre Ariel Sharon etMahmoud Abbas[6]. D'autres auteurs considèrent qu'elle prend fin avec le cessez-le-feu observé par le Hamas, conséquence de mesures politiques et diplomatiques pour certains[7], ou de la force de dissuasion desassassinats ciblés pour d'autres[8]. Marquée notamment par la rencontre de Charm-el-Cheikh entre Sharon et Abbas ()[9], et le désengagement unilatéral israélien de Gaza, l'année 2005 est une autre date communément admise pour le terme de ces événements[10],[11],[12]. Enfin, certains politologues considèrent que les moyens d'actions ont changé, mais que la seconde Intifada se poursuit jusqu'à nos jours avec les attaques à la roquette contre Israël[13].

Contexte historique

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Articles connexes :Conflit israélo-palestinien etTerritoires palestiniens occupés.
Évolution de la population israélienne dans les territoires occupés, y compris Jérusalem-Est et le plateau du Golan (1967-2016). Les immigrants comme les personnes nées sur place sont comptabilisées. Entre 1982 et aujourd'hui, la population a augmenté de manière constante d'environ 16 000 personnes par an, tant pendant les 2 intifadas (1988-1993 ; 2001-2006) que pendant les négociations de paix qui ont suivi les accords d'Oslo (1993-2000).

Déclenchement

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Le,Ariel Sharon, parlementaire et membre duLikoud (à l'époque dans l'opposition politique au gouvernement deEhud Barak), fait une visite sous haute sécurité sur l'esplanade des mosquées /mont du Temple àJérusalem. Cette visite est interprétée comme une provocation par les Palestiniens et la population arabe.

La veille,Yasser Arafat, invité à diner par Ehud Barak à son domicile, s'entretient avec le Premier ministre israélien. Il s'agit de la première rencontre entre les deux dirigeants depuis lesommet de Camp David II, deux mois auparavant. Le statut de l'esplanade des mosquées et du mont du temple occupe l'essentiel de la conversation[14]. Arafat demande à Ehud Barak d'interdire la visite car il s'agit selon lui d'une provocation susceptible d'accroître les tensions entre les deux peuples et qui risque de provoquer de nouvelles émeutes. Le général Amos Guilad, chef d'Aman, et Yehouda Wilk, inspecteur général de la police, partagent ses craintes. Barak répond à Arafat qu'il ne peut pas s'opposer à la volonté d'un membre de laKnesset de se rendre sur l'endroit[15].

Le Jerusalem Center for Public Affairs, un groupe israélien néo-conservateur, conteste le lien entre le déplacement d'Ariel Sharon et le déclenchement de la seconde Intifada et accuse Yasser Arafat d'avoir planifié le soulèvement depuis l'échec dusommet de Camp David II à l'été2000[16]. D'autres analystes excluent le caractère prémédité du soulèvement et pensent au contraire qu'Arafat n'a fait que prendre en marche le train de l'Intifada.

Le rapport Mitchell du Sénat américain a estimé que les émeutes n'étaient pas la conséquence de la visite d'Ariel Sharon[17], bien que son « effet provocateur » aurait dû être prévu. Selon la même Commission, le Premier ministre Ehud Barak déclare que la visite « était destinée à être un acte de politique intérieure dirigé contre lui par un adversaire politique et qu'il a refusé de l'interdire ». Elle indique par ailleurs ne pas penser « qu'il y avait un plan délibéré de l'Autorité palestinienne de lancer une campagne de violences à la première occasion »[18].

Chronologie

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Article détaillé :Chronologie de la Seconde Intifada.

Cycle de la violence

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Le, alors que leprocessus de paix israélo-palestinien, relancé vainement par ledeuxième sommet de Camp David, est dans l'impasse, la visite d’Ariel Sharon sur l'esplanade des Mosquées provoque la colère des Palestiniens. Les manifestations qui s'ensuivent sont fortement réprimées : trois jours plus tard, on compte quinze morts et trois cents blessés parmi les Palestiniens[19]. Le, les médias rapportent la mort deMohammed al-Durah qui devient une « figure symbolique de l'intifada »[20]. Les violences s'amplifient et au, on compte quatre-vingt-dix morts et deux mille blessés parmi les Palestiniens[21] ainsi que14 Arabes israéliens (en)[4] tués lors de manifestations de soutien. Le,2 réservistes israéliens sont lynchés à Ramallah par la foule[21].

Attentats palestiniens

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Secours israélien à la suite d'unattentat-suicide au centre commercial deNetanya le[22]

146attentats-suicides ciblant principalement des civils sont perpétrés en Israël peu après le déclenchement de l'Intifada en 2000.

Le, unattentat est commis dans une discothèque àTel-Aviv faisant 21 victimes et 120 blessés, principalement des adolescents. Cet attentat marque très durablement les esprits en Israël. Cet attentat est une des raisons invoquées par le gouvernement israélien pour la construction d'unmur de séparation ou clôture de sécurité majoritairement soutenu par la population israélienne[réf. nécessaire]. Bien que validé en tant que mesure de sécurité provisoire par laCour suprême d'Israël, l'ONU vote une résolution en sa défaveur (par 90 États pour sur 181) et demande à Israël son démantèlement[réf. nécessaire].

Chars israéliens lors de l'opérationRempart dans les rues ducamp de réfugiés palestiniens de Jénine, avril 2002.

En 2002, l'attentat de l'hôtel Park de Netanya, qui fait 29 victimes civiles, pousse le gouvernement israélien à lancer l'opérationRempart qui avait pour objectif une réoccupation partielle des territoires autonomes sous contrôle direct de l'autorité palestinienne afin de stopper les attentats[23].

Les Palestiniens s'en prennent également aux civils israéliens dans les territoires occupés (la Cisjordanie etGaza) en tendant des embuscades meurtrières aux Israéliens.Marouan Barghouti s'impose comme « un vrai chef de guerre »[15]. Son rôle dans la campagne d'attentats-suicides contre Israël fera de lui l'un des Palestiniens les plus recherchés par les forces de sécurité israéliennes. Le, Israël capture Barghouti. Il sera inculpé par un tribunal civil pour meurtres et tentatives de meurtres dans une entreprise terroriste sous son commandement.

Violence israélienne

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Lesbulldozers blindés de l'armée israélienne se préparant à entrer dansBeit Hanoun, dans la bande de Gaza, pendant la seconde intifada, printemps 2002.

Les généraux israéliens qui dirigent l'armée enCisjordanie et dans labande de Gaza demandent des instructions claires. Les troupes reçoivent l'ordre de ne circuler qu'en voitures blindées et sont autorisées à tirer dans les jambes des militants. Des brigades sont envoyées en renfort dans les territoires occupés[15].

Un rapport de 2001 duPublic Committee Against Torture in Israel et d'autres organisations (dont l'Organisation mondiale contre la torture, basée en Suisse) affirment avoir eu connaissance d'une vingtaine de cas de torture entre la décision de 1999 de laCour suprême israélienne interdisant latorture, et 2001[24].

L'armée israélienne répond aux attentats et violences palestiniennes par des bombardements aériens contre des cibles de l'Autorité palestinienne et des autres groupes responsables.

Les circonstances de l'« assassinat ciblé » deSalah Shehadeh, membre desbrigades Izz el-Din el-Qassam, en, tué par une bombe d'une tonne ayant tué 14 civils et blessé 150 personnes, ont conduit à l'ouverture d'une enquête, en Israël et enEspagne, contre les responsables de cette opération, dont le généralDan Haloutz, alors chef d'état-major de l'armée etBenjamin Ben-Eliezer, alorsministre de la Défense[25]. En 2009 l'Espagne limite la compétence universelle de sa justice à ses ressortissants, mettant fin aux poursuites contre les dirigeants israéliens.

Violences interpalestiniennes

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Article détaillé :Tensions interpalestiniennes.

Depuis le début de la seconde intifada, plusieurs centaines dePalestiniens sont morts lors d'affrontements armés interpalestiniens, selon les chiffres du Ministère de l'intérieur de l'Autorité palestinienne.

En 2005, lafin de la colonisation et de l'occupation israélienne de labande de Gaza, décidée parAriel Sharon devenu Premier ministre, a laissé une situation tendue car elle n'a pas été faite en concertation avec l'autorité palestinienne.

Les échanges de tirs entre des membres duHamas et duFatah sont courants et des incidents armés ont également eu lieu en entre groupes rivaux palestiniens auLiban. On compte enfin parmi les victimes des Palestiniens accusés d'être des collaborateurs.

Selon une ONG, cette violence a fait entre 2000 et 2005 au moins 267 victimes pararmes à feu (excluant autre catégorie d'arme) dont 98 pour la seule année 2005Voir statistiques annuelles.

Bilans

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Bilan humain

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Nombres de morts israéliens et palestiniens, du au.

Du jusqu'au, 1 010 Israéliens et 3 179 Palestiniens ont été tués[26].

Conséquences politiques

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La seconde Intifada met une forte pression sur le camp de la paix israélien, et permet aux sionistes radicaux de les réduire temporairement au silence : des personnalités commeAmos Oz,David Grossman etA. B. Yehoshua déclarent dans des interviews qu’il n’est plus possible de faire confiance aux Palestiniens, et publient une pétition le 2 janvier 2001 dansHaaretz déniant ledroit au retour desréfugiés palestiniens. C’est également à ce moment qu’a lieu le procès de Teddy Katz, auteur d’une thèse d’histoire controversée sur lemassacre de Tantoura de 1948, où les soldats de labrigade Alexandroni avaient massacré des dizaines de prisonniers palestiniens[27]. Le politologue françaisOlivier Roy considérait en 2002 que la seconde intifada et la victoire du Likoud en 2001 ont « relancé la volonté israélienne de réoccuper les territoires, bref de revenir à la politique d'avant Oslo : pas d'État palestinien, maintien des colonies, contrôle direct par l'armée, fragmentation de l'espace palestinien, paupérisation des populations condamnées soit à s'exiler, soit à devenir des citoyens de seconde zone dans une situation de plus en plus proche de l'apartheid »[28].

Outre une clôture, les autorités israéliennes ont décidé de créer en conséquence de la seconde intifada une « zone tampon », mais en territoire palestinien. De 100 mètres à l’origine, cette zone s'est progressivement élargie à 500 mètres, au détriment des terrains agricoles qui s'y trouvaient. En raison de l'absence de signalisation permettant de délimiter cette zone, les soldats procèdent à des tirs de sommations à l'encontre des Palestiniens s'approchant de trop près. Plusieurs Palestiniens ont été abattus[29].

Conséquences économiques

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Les violences liées à la Seconde Intifada ont eu des répercussions économiques plus graves que l’éclatement de labulle Internet. Affectant le tourisme et les échanges commerciaux, seules ressources d’Israël durant cette période, la Seconde Intifada a aussi influencé lesvariables macroéconomiques de base comme l'inflation, laproduction et lesdétentions monétaires qui sont liées aux risques et incertitudes inhérents à cette période de violences[30]. Letourisme fut lourdement affecté par cet épisode, entraînant unefuite de capitaux et une diminution desinvestissements.

Cependant l'économie israélienne put rapidement recouvrer après 2006 jusqu'à devenir dans la décennie suivante un important leader du progrès technologique (« start-up nation »), notamment grâce aux incitations introduites parBenyamin Netanyahou entre 2003 et 2005 en qualité de ministre des finances du second gouvernement Sharon.

Dans la littérature

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Notes et références

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  1. Medea (Institut européen de recherche sur la coopération européenne et euro-arabe), « Deuxième Intifada site = www.medea.be »(consulté le)
  2. AlainGresh, « Intifada pour une vraie paix », surLe Monde diplomatique,(consulté le)
  3. Howard Sachar,A History of Israel. From the Rise of Zionism to our Time, 2007,p. 1038.
  4. a etbSébastien Boussois,Israël confronté à son passé : essai sur l'influence de la “nouvelle histoire”,L'Harmattan, 2008,p. 213.
  5. Robert Pape,« The Strategic Logic of Suicide Terrorism »,American Political Science Review, Vol.97, n°3, août 2003.
  6. Gregory Harms,Palestine Israel Conflict: A Basic Introduction, Pluto Press, 2008,p. 175.
  7. Zuhur, 2008
  8. Kober, 2007
  9. Le président de l'Autorité palestinienne et le premier ministre israélien se sont engagés à faire cesser les violences, mardi 8 février à Charm el-Cheikh (La Croix, 8-02-2005.
  10. ArnoldLuethold,Entry-points to Palestinian security sector reform, DCAF,, 186 p.(ISBN 9292220616,lire en ligne),p. 44
  11. « Palestinian ceasefire ends four-year intifada »,The Telegraph,‎(lire en ligne, consulté le)
  12. « Rising of the oppressed: the second Intifada »,International Socialism, a quarterly journal of socialist theory,‎(lire en ligne, consulté le)
  13. JonathanSchachter, « The End of the Second Intifada? »,Strategic Assessment, Institute for National Security Studies,vol. 13,no 3,‎(lire en ligne, consulté le)
  14. Ton rêve est mon cauchemar, Elizabeth Schemla, page 111
  15. ab etcTsahal, Pierre Razoux, p. 443-445.
  16. Lt. Col. (ret.) Jonathan D. Halevi,« The Palestinian Authority’s Responsibility for the Outbreak of the Second Intifada: Its Own Damning Testimony », site duJerusalem Center for Public Affairs, 20 février 2013 (Jerusalem Viewpoints,no 594, mars-avril 2013).
  17. « Traduction du rapport Mitchell »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)[PDF]
  18. https://www.humanite.fr/monde/-/israel-palestine-les-points-cles-du-rapport-mitchell
  19. BBC News,Violence engulfs West Bank and Gaza, 30 septembre 2010.
  20. Edward Saïd,Culture and resistance: conversations with Edward W. Said, South End Press, p.175.
  21. a etbBenny Morris,Victimes. Histoire revisitée du conflit arabo-sioniste, 2003, p.719.
  22. « Israël - Six tués dans un attentat-suicide à Netanya, violente riposte de l’armée en Cisjordanie - Un kamikaze palestinien met le feu aux poudres », surL'Orient-Le Jour,(consulté le)
  23. http://www.mfa.gov.il/MFA/Terrorism-+Obstacle+to+Peace/Terrorism+and+Islamic+Fundamentalism-/Four+Years+of+Conflict+3-Oct-2004.htm
  24. Steve Weizman,Israel uses torture in defiance of court ban, report says,The Independent, 12 novembre 2001.
  25. Sharon Weill,De Gaza à Madrid, l'assassinat ciblé de Salah Shehadeh,Le Monde diplomatique, septembre 2009.
  26. Les chiffres ne précisent pas si les terroristes suicidés ou abattus sont inclus :(en)ICT,Breakdown of Fatalities: 27 September 2000 through 1 January 2005.
  27. Ilan Pappé, « The Tantura Case in Israel: The Katz Research and Trial »,Journal of Palestine Studies, volume 30,no 3, été 2001,p. 28.
  28. Olivier Roy,Les illusions du 11 septembre, Seuil, La République des Idées, 2002, p. 50-51.
  29. « À Gaza, l’armée israélienne déverse des herbicides »,L'Humanité,‎(lire en ligne)
  30. Benchimol, J. (2016),Money and monetary policy in Israel during the last decade,Journal of Policy Modeling, vol. 38,p. 103-124.
  31. « « Une femme fuyant l’annonce », de David Grossman : écrire pour conjurer la perte d’un fils »,Le Monde,Le Monde,(consulté le)
  32. « L'attentat - Yasmina Khadra », surBabelio(consulté le)
  33. « Le traître » guide les lecteurs sur les pistes sinueuses du Moyen-Orient,La Tribune de Genève, 7 août 2010
  34. « L'attentat - Yasmina Khadra », surBabelio(consulté le)
  35. BenoîtBerthou, « Gaza 1956. En marge de l’Histoire », surwww.du9.org,

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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