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Sarrasin commun

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Pour les articles homonymes, voirSarrasin.

Fagopyrum esculentum
Description de cette image, également commentée ci-après
Sarrasin
Classification Tropicos
RègnePlantae
ClasseEquisetopsida
Sous-classeMagnoliidae
Super-ordreCaryophyllanae
OrdreCaryophyllales
FamillePolygonaceae
GenreFagopyrum

Espèce

Fagopyrum esculentum
Moench,1794[1]

Synonymes

  • Fagopyrum cerealeRaf.[2]
  • Fagopyrum dryandriiFenzl[2]
  • Fagopyrum emarginatumMoench[2]
  • Fagopyrum fagopyrum(L.) H.Karst.[2]
  • Fagopyrum fagopyrum(L.) Karst.[3]
  • Fagopyrum polygonumMacloskie[2]
  • Fagopyrum sagittatumGilib.[3],[2]
  • Fagopyrum vulgareHill[3]
  • Fagopyrum vulgareT.Nees[2]
  • Helxine fagopyrumKuntze[2]
  • Kunokale carneumRaf.[2]
  • Phegopyrum esculentumPeterm.[2]
  • Polygonum cerealeSalisb.[2]
  • Polygonum dioicumBuch.-Ham. ex Meisn.[2]
  • Polygonum emarginatumRoth[2]
  • Polygonum fagopyrumL.[3],[2]
  • Polygonum gracileMeisn.[2]
  • Polygonum macropterumMeisn.[2]
  • Polygonum pyramidatumLoisel.[2]

Lesarrasin commun (Fagopyrum esculentum,Moench) est uneespèce deplantes à fleurs,annuelles, de lafamille despolygonacées, cultivée pour sesgraines destinées à l'alimentation humaine commeanimale.

Malgré son appellation courante deblé noir, le sarrasin n'est pas une espèce du genreTriticum (genre regroupant les variétés deblé), ni même une espèce degraminées. Il est dépourvu degluten, ce qui le rend difficile à utiliser pur enpanification (pain noir) ou pour la confection despâtes. Le sarrasin est souvent considéré comme unecéréale bien qu'il n'en soit pas une, il est alors qualifié depseudo-céréale[4].

Il est connu sous divers noms communs : sarrasin, renouée sarrasin, blé noir, blé de barbarie, bucail ou bucaille, carabin, mais égalementfroment noir dans certaines sources duXVIe siècle.

Étymologie

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Fagopyrum vient du latinfagus (hêtre) et du grecpyros (blé)[5], ce qui donne « blé de hêtre ». Ce nom fait référence à la ressemblance des graines de sarrasin avec lesfaînes, les fruits du hêtre.Esculentum signifie « comestible » ou « mangeable ». Donc,Fagopyrum esculentum pourrait se traduire par« blé de hêtre comestible ».

L'emploi du terme « sarrasin » pour désigner cettepseudo-céréale, outre son origine géographique (tout ce qui vient d'Orient est qualifié de « sarrasin » auMoyen Âge), provient peut-être de sa couleur brune.

Enlatin médiévalfrumentum sarracenorum (1460) désigne la graine[6],[7].

Description

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Organes floraux deFagopyrum esculentum (1876)
Sarrasin l (Fagopyrum esculentum) en fleurs.
Fleurs.

Le sarrasin est uneplante annuelle à tige dressée, de 20 à 70 cm de hauteur, à feuilles en forme de cœur renversé, plutôt molles.

Lesfeuilles supérieures sontsessiles, tandis que les feuilles inférieures ont unpétiole assez long.

Lesfleurs, petites, de couleur blanche ou rose, sont groupées en grappes serrées. Elles portent huitétamines et troisstyles.

Comme dans les autresespèces dugenreFagopyrum, il existe deux morphologies florales : ce sont des espècesdistyliques.

Lesfruits sont desakènes à trois angles, qui contiennent une seulegraine. Leur maturation est très échelonnée, ce qui rend la récolte plutôt délicate.

Riches enprotéines, les graines contiennent tous lesacides aminés essentiels[8].

C'est un grain hautement nutritif, de surcroît riche en fibres solubles et en composésantioxydants[9].

Histoire et distribution

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La plante est originaire du sud de laChine, dans l'actuelYunnan[9]. Grâce à des analyses génétiques sur des populations sauvages et cultivées, le professeur Ohmi Ohnishi, spécialisé en génétique agricole à l’université de Kyoto, démontre que la région originelle deFagopyrum esculentum se trouve sur les piémonts de l'Himalaya, dans le nord-ouest duYunnan, en Chine, où l'espèce sauvageF. esculentum ssp.ancestrale est encore présente[10]. Ce n’est que dans un second temps qu’elle aurait migré vers la région deSanjiang (région autonomezhuang duGuangxi) où elle a été domestiquée[11]. Plus tard, la plante s'est répandue par la culture enExtrême-Orient, principalementCorée etJapon, ainsi qu'enEurope auXIVe siècle[9].

Autrefois très cultivé dans les régions à sols pauvres, telles que lessteppes deMongolie, et dans les terres acides (ségala), enEurope du Nord, enPologne, enRussie, enAmérique du Nord ainsi qu'enFrance (Auvergne,Bretagne,Limousin,Normandie,Pyrénées,Rouergue) et en Belgique (Liège), il reste l'un des grains préférés dans les pays d'Europe de l'Est etdu Nord.

Les graines sont récoltées parbattage[12] en veillant au taux d'humidité de la graine le plus bas possible, puis ensuite séchées par ventilation[13].

En France le sarrasin a failli disparaître dans les années 1960 au profit d'importations deLituanie et de Chine, en raison d’une correction de la carence en cuivre dans les sols. Il a alors été remplacé par l’orge, le blé, le maïs, plus rentables. "Sa culture est passée de700 000 hectares auXIXe siècle à34 860 hectares en 2017". En Bretagne, en 2022, les surfaces cultivées représentent10 000 hectares[14]. Les trois quarts de la consommation française de sarrasin sont importés deChine, dePologne et duCanada[9].

Production

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Production de sarrasin (blé noir) en tonnes[15],[16],[17]
Année2010201120122013201420152016
PaysTonnes%Tonnes%Tonnes%Tonnes%Tonnes%Tonnes%Tonnes%
Drapeau de la RussieRussie339 29323 %800 37535 %796 51135 %833 93636 %661 76434 %861 23643 %1 186 33350 %
Drapeau de la République populaire de ChineChine500 00034 %680 00030 %700 00031 %733 00031 %564 90029 %515 00025 %404 25917 %
Drapeau de l'UkraineUkraine133 7009 %281 60012 %238 70010 %179 0208 %167 4409 %128 1006 %176 4307 %
Drapeau de la FranceFrance125 9009 %91 4004 %105 0005 %154 8007 %111 3006 %119 5306 %122 2065 %
Drapeau de la PolognePologne97 2207 %92 9854 %94 4214 %90 8744 %83 4994 %63 5243 %118 5625 %
Drapeau des États-UnisÉtats-Unis82 6156 %79 5544 %82 0004 %81 0003 %83 0004 %78 3784 %75 2413 %
Drapeau du BrésilBrésil56 7004 %57 0003 %60 0003 %62 0003 %64 0003 %62 6423 %62 8723 %
Drapeau du KazakhstanKazakhstan26 9602 %37 4302 %48 0402 %68 0003 %46 5302 %45 4122 %89 6194 %
Drapeau du JaponJapon29 7002 %32 0001 %44 6002 %33 4001 %31 1002 %34 8002 %28 8001 %
Drapeau de la BiélorussieBiélorussie18 4001 %44 4712 %39 3282 %30 3531 %18 3821 %11 6351 %13 0871 %
Drapeau de la LituanieLituanie14 0001 %26 0001 %30 6001 %28 2001 %35 6002 %36 5332 %49 9222 %
Autres pays33 7132 %45 0412 %51 2382 %53 2252 %56 5673 %68 6293 %47 4522 %
Monde Monde1 457 971100 %2 267 621100 %2 287 877100 %2 347 558100 %1 924 082100 %2 025 419100 %2 395 822100 %

Culture

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Le développement de la plante se fait en trois phases : levée, stagnation puis explosion, et début simultané de la floraison jusqu’à la moisson.

Enluminure représentant une longue plante aux fleurs violettes, entourée de deux insectes.
Les Grandes Heures de Bretagne duXVIe siècle.
Champ de sarrasin en fleurs auBhoutan.

Il est semé en France de mi-mai à début juillet (endérobée) et jusqu’en août dans le Japon subtropical (parfois comme couvert végétal), pour éviter les gelées qu'il ne supporte pas. Le sarrasin est une plante nécessitant de la chaleur pour une levée rapide et uniforme (en une semaine) et beaucoup d'humidité.

Pour une récolte en grains en France, il est préférable de ne pas semer après le 15 juin car les fortes chaleurs à la floraison peuvent entraîner des avortements floraux (coulure) et diminuer le rendement. De même, les populations d'abeilles étant généralement insuffisantes, il est prudent de placer de deux à cinqruches à l'hectare à proximité des parcelles[18]. On sème environ 40 kg/ha d'une variété commela Harpe avec un semoir à céréales[19].

Le sarrasin exporte peu d'éléments minéraux, on ne pratique donc généralement pas de fumure, même organique. Un excès d'azote peut entraîner de la verse ou un développement des parties vertes au détriment des graines. Les précédents fournissant des reliquats importants et les sols riches enmatière organique sont donc à éviter[19].

Les principaux prédateurs sont lespigeons. Il n'y a généralement ni autres ravageurs ni maladies.

Le sarrasin domine facilement les herbes concurrentes passé le stade 2 feuilles vraies, de plus ses racines émettent des substances toxiques (allélopathie). Il faut donc s'assurer que le sarrasin atteigne ce stade sur un sol propre, en faisant éventuellement précéder un semis soigné defaux semis[19]. On ne pratique donc normalement pas de désherbage, même mécanique, la plante se cassant facilement.

Le blé noir est récolté entre la mi-septembre et la mi-octobre. Sa particularité est de ne pas mûrir uniformément, les pertes peuvent donc être importantes à la moisson, surtout avec l'emploi de lamoissonneuse-batteuse. On récolte lorsque les tiges sont rouges et les trois quarts des grains mûrs à 25 % d'humidité. On sèche ensuite pour ramener à 15 % pour une bonne conservation[19]. Les rendements varient de 0 à 30 quintaux secs pour un cycle de 2 à 5 mois.

Évolution des surfaces cultivées

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En France, la culture a failli disparaître[9], le blé noir couvrait700 000 ha en France auXIXe siècle et160 000 ha en Bretagne au milieu des années 1960, la carence en cuivre dans les sols[20] rendant impossible à cette époque la culture des céréales à l'exception du seigle[21]. Il a été remplacé par l'orge, leblé et lemaïs, plus rentables dans un système de fertilisation intensive. Les bénéfices à l'hectare peuvent cependant être similaires du fait de sa culture à très faibles intrants[9]. LaFAO indique que30 000 ha sont cultivés en France[Quand ?][22].

Cependant, depuis quelques années, le sarrasin est cultivé par les agriculteurs pratiquant l'agriculture de conservation et l'agriculture biologique. Son fort pouvoir couvrant permettant de diminuer la pression desadventices sur l'ensemble de la rotation, sa capacité à économiser l'azote en font une plante intéressante, notamment dans les couverts inter-cultures (culture intermédiaire piège à nitrates)[23].

En Bretagne

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On trouve dès leXIIe siècle des traces de pollen de sarrasin dans destourbières enBretagne[24]. La culture du blé noir (ou sarrasin) apparaît dans les systèmes agraires en Bretagne, en Normandie[25], dans la Somme[26] ou la Haute-Vienne[27] auXVIe siècle. Si ses rendements sont irréguliers et assez faibles, il n'est pas taxé, il pousse sur des sols pauvres, et permet une récolte en trois mois, ce qui lui vaut le surnom de « plante des cent-jours »[28],[29]. Parmi les nombreuses légendes concernantAnne de Bretagne[30], on lui attribue fréquemment le développement de sa culture[31],[32]. Un conseiller au Parlement de Bretagne, Noël du Fail, écrit vers 1550 (cité par Bleuzen du Pontavice[réf. incomplète]) que« sans ce grain qui nous est venu depuis soixante ans, les gens pauvres auraient beaucoup à souffrir ». Traditionnellement, le sarrasin est associé à la culture despommes de terre car la plante a un effetrépulsif pour letaupin dont la larve s'attaque auxtubercules et aucollet de la pomme de terre[33].

Plus de100 000 ha sont cultivés en Bretagne au début des années 1960, quelques centaines20 ans plus tard[33], le blé noir subissant le contrecoup de lapolitique agricole commune à l'origine de l'industrialisation de l'agriculture qui bascule de la polyculture à l'agriculture de marché. Depuis les années 2000, la production locale de sarrasin ne permettant d'approvisionner que le quart des quelque 15 000 tonnes consommées annuellement en France[34], la confection des galettes de blé noir fait largement appel à des produits d'importation provenant deChine, dePologne et duCanada[35],[36]. Uneindication géographique protégée, l'IGPBlé noir tradition Bretagne, existe depuis 2010 pour la farine de sarrasin bretonne, grâce à l'Association blé noir tradition Bretagne (créée en 1987) qui rassemble plus de800 producteurs et une dizaine de meuniers pour promouvoir l'utilisation de farine bretonne (4 000 tonnes par an)[34]. Les surfaces cultivées en Bretagne sont comprises entre3 000 et4 000 hectares[37], dont la moitié sous l'égide de cette association[38],[24].

Utilisation

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Graines de sarrasin légèrement grillées.
Graines de sarrasin légèrement grillées.

Alimentation humaine

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Article détaillé :Graine de sarrasin.

Il est consommé en grains bouillis comme le riz[9]. Les grains peuvent être grillés avant la cuisson dans l'eau[9]. Sous forme de farine délayée dans l'eau, il entre dans la composition de crêpes (Bretagne bretonnante, à l'ouest de la ligne Saint-Brieuc-Vannes) et degalettes[9] telles les "galetous" en Limousin. Avec du lait, il sert aussi à confectionner des bouillies en Bretagne et en Normandie.

AuJapon, le sarrasin entre dans la composition desnouilles soba et dans les infusionssobacha[9].

Alimentation animale

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Graines de sarrasin.

Le sarrasin (grains oufourrage) peut être utilisé pour l'alimentation animale[39]. Les grains de sarrasin présentent une excellente qualitéprotéique avec une proportion delysine très supérieure aux céréales. Savaleur énergétique est cependant inférieure à celle de l'orge. Compte tenu de ces caractéristiques, la meilleure façon de l'utiliser serait de le donner en mélange avec des céréales classiques[39].

Les fanes (oupailles) de sarrasins sont peu digestes et peu appréciées des ruminants[39].

Le sarrasin est utilisé comme couvert à gibier semé seul ou en mélange[40]

Le sarrasin estmellifère[9],[41]. Dans le cadre de l'année internationale de la biodiversité 2010, un projet pilote, enFranche-Comté, visait à cultiver des surfaces de sarrasin offrant aux abeilles un pollen nutritif[42].

Fagopyrisme

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Le fagopyrisme est une affection (photosensibilisation de la peau) qui survient chez les animaux recevant une ration comportant une trop grande proportion de sarrasin et exposés à la lumière[39].

Cette affection ne peut survenir que lorsque le sarrasin est en fleurs. Sous l’effet de la lumière, il devient alors dermotoxique et peut créer desinflammations cutanées, notamment sur les parties pâles de la peau ou du cuir. Le fagopyrisme peut également se retrouver chez l’homme après avoir consommé du miel de sarrasin[43],[44].

Plante auxiliaire

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C’est une plante nettoyante qui limite la présence de plantesadventices en occupant le sol. Associées auxmycorhizes, ses racines mobilisent des grandes quantités de phosphore et de calcium. Il peut servir deplante de service pour accompagner les implantations précoces de trèfle, de luzerne, voire de colza[45].

Levant facilement, étouffant les adventices, sensible au gel, le sarrasin est considéré comme un excellentengrais vert et utilisé comme couvert[46]. Il faut alors le semer en tout début d'été et le détruire avant la maturité des graines[47].

Utilisation des cosses

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Traditionnellement, notamment enCorée du Sud et auJapon, l'écale (ou cosse) de sarrasin est récupérée et nettoyée à la suite du décorticage de la graine. Elle est utilisée comme rembourrage desoreillers. La cosse de sarrasin peut également être utilisée commepaillis des plates-bandes en horticulture.

Commerce

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En 2014, la France est importatrice nette de sarrasin, d'après les douanes françaises. Le prix de la tonne importée était d'environ 470 [48].

Espèces voisines

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D'autres espèces du genreFagopyrum sont également cultivées, notamment :

Liste des sous-espèces

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SelonNCBI(15 janvier 2020)[49] :

  • Fagopyrum esculentum subsp.ancestrale Ohnishi
  • Fagopyrum esculentum subsp.esculentum

Divers

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Le nom du sarrasin fut attribué au18e jour du mois devendémiaire ducalendrier républicain ou révolutionnaire français[50], généralement chaque9 octobre dugrégorien.

Notes et références

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  1. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 15 janvier 2020.
  2. abcdefghijklmnop etqThe Plant List (2013). Version 1.1. Published on the Internet; http://www.theplantlist.org/, consulté le 15 janvier 2020.
  3. abc etdBioLib, consulté le 15 janvier 2020.
  4. « Page sarrasin », surAgriculture et Agroalimentaire Canada.
  5. Bailly
  6. Alain Rey (direction), Marianne Tomi, Tristan Hordé, Chantal Tanet et Alain Rey,Dictionnaire historique de la langue française, Tomes I et II, Le Robert,
  7. Informationslexicographiques etétymologiques de « sarrasin » dans leTrésor de la langue française informatisé, sur le site duCentre national de ressources textuelles et lexicales.
  8. « Le sarrasin - Propriétés, Composition, Recettes, Analyse, Conseils », surpasseportsante.net(consulté le).
  9. abcdefghij etkÉric Birlouez,Petite et grande histoire des céréales et légumes secs,Éditions Quæ,coll. « Carnets de sciences »,, 191 p.(ISBN 978-2-7592-3476-9), Portraits de céréales et légumes secs,chap. 4 (« Plantes vivrières d'Extrême-Orient »),p. 155-158.
  10. (en) OhmiOhnishi, « Search for the wild ancestor of buckwheat III. The wild ancestor of cultivated common buckwheat, and of tatary buckwheat »,Economic Botany,vol. 52,no 2,‎,p. 123–133(ISSN 0013-0001 et1874-9364,DOI 10.1007/BF02861199,lire en ligne, consulté le)
  11. (en) Ohnishi Ohmi, « On the Origin of Cultivated Buckwheat »,Advances in Buckwheat Research Proceedings of the 9th International Symposium on Buckwheat,‎,p. 16-21(lire en ligne).
  12. Fiche "Sarrasin" sur agriconnaissances.fr, consulté le 17 avril 2025.
  13. [PDF]Fiche Semences de céréales sur FNAMS-SEMAE, consulté le 17 avril 2025.
  14. « Le sarrasin, la nouvelle star des céréales ! », surconsoglobe.com,(consulté le).
  15. « FAOSTAT », surfaostat3.fao.org(consulté le).
  16. « FAOSTAT », surfaostat3.fao.org(consulté le).
  17. « FAOSTAT », surOrganisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture(consulté le).
  18. « Sarrasin biologique », surPhyteauvergne,(consulté le)
  19. abc etd« Le sarrasin en agriculture biologique », surChambres d'agriculture Bretagne,(consulté le)
  20. Yves Coïc et Marcel Coppenet,Les Oligo-éléments en agriculture et élevage, Éditions Quae,,p. 65.
  21. Gabriel Omnès, « Le blé noir breton a le vent en poupe », surgrandes-cultures.com,.
  22. L’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture[réf. incomplète]
  23. Anaïs Gaborit, « Grandes cultures biologiques. LES CLÉS DE LA RÉUSSITE », surRéseau agriculture biologique des Chambres d'agriculture(consulté le)
  24. a etbFrançois-Régis Gaudry, « Spéciale Crêpes » dans l'émissionOn va déguster, surFrance Inter, 25 mars 2012.
  25. Bibl. Mun. d’Avranches, Fonds Ancien, ms. 206, Fol. 127-128, Le livre vert du chapitre cathédral d’Avranches. Accord entre le chapitre cathédral d’Avranches et le curé de la paroisse de Pontaubault les dîmes novales et les blés sarrasins, 2 mai 1460. ; Beaurepaire Charles de, Notes et documents concernant l’état des campagnes de la Haute-Normandie dans les derniers temps du Moyen Âge,s.l., P. Huet, 1865,p. 44. (" La première mention que nous ayons rencontrée du sarrasin est de l'année 1525. Elle nous est fournie par une enquête au sujet des dîmes que les religieux de Valmont avaient droit de percevoir en la paroisse de Tiergeville ; mais les termes de cette enquête prouvent que cette sorte de blé était cultivée dans cette localité depuis un demi-siècle au moins") ; Heron Alexandre, Deux chroniques de Rouen, Rouen, A. Lestringant, 1900, p. 124. ("1521, fur blé très cher […] Après laquelle criée les paisans n'en apporterent plus telement qu'il n'i avoit riens en la halle au blé de Rouen, sinon aulcun pou de avoyne, de pois gris, de vesche et de blé sarrasin dequoy on faisoit du pain, et ne savoit si tost venir en la halle iceluy grain qu'il ne fust requeylly.") ; Dubosc N., Cacheux Paul Le et Dolbet François, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Manche, Saint-Lô, France, Barbaroux, 1875, 682 p,t. 1, Abbaye de Blanchelande,p. 89. ("Dîmes des bleds, limages et sarrasins" 1594").
  26. Jean-Baptiste Jouancoux, Études pour servir à un glossaire étymologique du patois Picard, Amiens, T. Jeunet, 1880, vol. 1/2,p. 60. (« Sept septiers et demy de blé bucaille ». Bucaille étant un des nombreux noms français du Fagopyrum).
  27. Petit Auguste, « Le métayage en Limousin duXIIIe auXVIe siècle », dans Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, 1926, vol. 71, p. 448. (Arch. dép. Haute-Vienne, fonds des notaires E 16.449 n° provisoire, 1578, « Et de tous les bledz, segle, froment, avoyne, bled noir et aultres leguns que proviendront en tous lesd. »).
  28. Jean-Jacques Monnier, Jean-Christophe Cassard, directeurs de publication,Toute l'histoire de Bretagne : des origines à la fin duXXe siècle, Morlaix : Skol Vreizh, 1996,(ISBN 2-903313-95-4),p. 326.
  29. Michel Nassiet, « Les activités d'un petit noble au début duXVIe s d'après son inventaire après décès »,Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest. Tome 100, numéro 2, 1993,p. 166.
  30. Joël Cornette,Histoire de la Bretagne et des Bretons, Paris, Éd. du Seuil, 2008, collection : Points. Histoire (no 401). Tome 1,Des âges obscurs au règne de Louis XIV,(ISBN 978-2-7578-0995-2)p. 387.
  31. Keltz 2013,p. 17.
  32. Yves Goulm, « Les crêpiers bretons »,Micheriou Koz, les vieux métiers de Bretagne, Kylan's,no 31,‎,p. 15(ISSN 1637-5173).
  33. a etb« Nouvelle jeunesse pour le blé noir IGP en Bretagne », surlepoint.fr,.
  34. a etbKeltz 2013,p. 50.
  35. Faux pays du terroir.
  36. Keltz 2013,p. 51.
  37. Alimagri, publication du Ministère de l'Agriculture, janvier 2011.
  38. « L'Association Blé Noir Tradition Bretagne : organisme de défense et de gestion de la culture, du stockage et de la transformation de la farine de blé noir, dite farine de sarrasin de Bretagne », surblenoir-bretagne.com(consulté le).
  39. abc etd« Utilisation du sarrasin en alimentation animale », sureap.mcgill.ca(consulté le).
  40. « jachère faune sauvage "adaptée" », sursymbiose-biodiversite.com(consulté le)
  41. « Quand le sarrasin revient », surla-sca.net(consulté le).
  42. « Abeilles : des centaines d'hectares semés pour les nourrir », surmaxisciences.com(consulté le).
  43. « Utilisation du Sarrasin en Alimentation Animale », surwww.eap.mcgill.ca(consulté le)
  44. Books ofDante, « Le sarrasin (Fagopyrum esculentum) », sur[Books of] Dante,(consulté le)
  45. Frédéric Thomas, Matthieu Archambeaud,Les couverts végétaux, Édition France agricole(lire en ligne).
  46. « Sarrasin », surfiches.arvalis-infos.fr,
  47. « Intérêt de quelques espèces d'engrais vert », suragrireseau.net,(consulté le)
  48. « Indicateur des échanges import/export », surDirection générale des douanes. Indiquer NC8=10081000(consulté le).
  49. NCBI, consulté le 15 janvier 2020.
  50. Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine,Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française,p. 19.

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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Bases de données et dictionnaires

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v ·m
Céréales
Pseudo-céréales
Histoire de la culture des céréales
Articles connexes
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